Vraiment très très cool ta vidéo !! Rythmée, très bien scénarisée, riche en info et... crédible ! BRAVO et un gros merci ! :) Il faut que les gens la partagent au plus vite !!
Le plus grand expert du GIEC a dit il y a 20 ans "j'adore l'eau dans 20 30 ans y'en aura plus"... Or y en a encore partout de l'eau, preuve qu'on peut pas les écouter et leur faire confiance.
Attention quand même, quelques fois les scientifiques se trompent ; par exemple, quand ils affirment que la terre est ronde alors que tout le monde voit bien qu'elle est plate 😁
Merci pour ce second degré… ceci dit, oui, un scientifique, voire toute une communauté scientifique, peut tout à fait se tromper* Une quasi-définition d’une hypothèse scientifique est qu’elle doit être réfutable (merci à K. Popper). Par exemple l’hypothèse d’une Terre plate est parfaitement réfutable, et elle est clairement réfutée. De même l’effet de serre est réfutable, n’en déplaise à J. Fourier sauf que jamais personne n’a réussit à le réfuter. Par contre, le lien direct entre température et émissions de GES est loin d’être démontré car le climat est un phénomène beaucoup plus complexe qu’un simple effet linéaire (ce que d’ailleurs les climatologues disent également!) * une majorité ne fait pas une vérité !
@@philippehuchon236 Ah, Philippe, vous êtes un véritable virtuose du sophisme scientifique. Vous commencez avec une référence à Popper (classique pour essayer de paraître sérieux) et finissez par déformer grossièrement les bases mêmes de la science climatique. Chapeau bas pour cette performance, mais permettez-moi de répondre point par point, avec un minimum de rigueur que vous semblez avoir oublié en cours de route. 1. *« Un scientifique, voire toute une communauté scientifique, peut tout à fait se tromper. »* Bien sûr, Philippe, cela arrive. Mais ce n’est pas parce que la science peut se corriger qu’elle est _par défaut_ erronée. Vous semblez oublier que le processus scientifique repose sur des décennies de vérifications, de contre-vérifications, et d’expérimentations par des milliers de chercheurs indépendants. En d'autres termes, oui, une erreur peut survenir, mais le consensus scientifique sur des sujets comme l'effet de serre ou le rôle des gaz à effet de serre dans le réchauffement climatique n’est pas basé sur une intuition ou un vote de popularité. Il repose sur des données empiriques accumulées depuis plus d’un siècle. C’est amusant, vous semblez croire que le scepticisme de votre clavier peut rivaliser avec cela. 2. *« Le lien direct entre température et émissions de GES est loin d’être démontré. »* Ah, là, on passe aux choses sérieuses : pure désinformation. Le lien entre les gaz à effet de serre et l’augmentation des températures est démontré depuis les travaux de Joseph Fourier (vous l'avez mentionné, bravo), confirmés par Tyndall, Arrhenius, et des milliers d’études récentes. Ce n’est pas juste de la théorie : *les satellites mesurent la radiation infrarouge qui s'échappe de notre atmosphère vers l'espace.* Comparer les données de 1970 et 1996 montre que moins d'énergie s'échappe aux longueurs d'onde que les gaz à effet des serre absorbent. Ce phénomène est décrit par les chercheurs comme : *« une preuve évidente directe et expérimentale d'une augmentation significative des gaz à effet de serre sur Terre. »* Plus récemment, d'autres satellites ont confirmé ces résultats. Alors, Philippe, quelle partie de cette démonstration ne vous convient pas ? Les mathématiques ? La physique ? Ou simplement le fait qu’elle démolisse vos affirmations gratuites ? 3. *« Le climat est un phénomène beaucoup plus complexe qu’un simple effet linéaire. »* C’est vrai, et personne ne dit le contraire. Les climatologues eux-mêmes parlent de rétroactions complexes (effet amplificateur ou modérateur), mais cela ne change rien à la base : *les gaz à effet de serre piègent la chaleur.* Dire que la complexité du climat invalide les conclusions sur le réchauffement, c’est comme dire qu’une horloge est trop complexe pour qu’on en comprenne le mécanisme. Et pourtant, elle fonctionne parfaitement. D’ailleurs, un autre faisceau de preuves s’appelle *l’empreinte digitale de l’effet de serre* : le réchauffement est fort dans la basse atmosphère et on observe un refroidissement dans la haute atmosphère. Ce phénomène est dû au mécanisme par lequel l’atmosphère garde la chaleur en bas. C’est d’ailleurs pour ces travaux d'empreinte digitale que Klaus Hasselmann a reçu le prix Nobel de physique. Mais bon, je suppose que votre expertise rivalise avec un Nobel ? 4. *« Une majorité ne fait pas une vérité ! »* Ah, la rengaine préférée des climato-dénialistes. Vous avez raison en théorie : une majorité n’établit pas une vérité. Mais en science, un consensus écrasant formé par des milliers de preuves indépendantes est le meilleur indicateur que nous avons. Ce n’est pas un argument d’autorité, c’est un argument de méthode. Et dans le cas du climat, toutes les données pointent vers la même conclusion depuis des décennies. Vous avez une preuve contraire ? Non ? Alors pourquoi continuer à insinuer un doute qui n’existe pas ? *En résumé, Philippe :* Votre commentaire tente d’habiller un scepticisme infondé avec des références philosophiques mal digérées et une incompréhension manifeste de la science climatique. Si vous voulez réfuter quelque chose, commencez par lire les rapports du GIEC (ou même une introduction à la physique de l’atmosphère). Vous pourriez découvrir que les liens entre émissions de gaz à effet de serre et réchauffement sont non seulement démontrés, mais également intégrés dans tout, des modèles climatiques aux politiques internationales. En attendant, votre argumentation ressemble à une Terre plate : superficielle et pleine de trous. 😊
Super reportage. J'utiliserai cette vidéo pour contrer certains arguments. J'utilise souvent le Giec comme argument d'autorité. Et on me répond à ça que la science se trompe parfois. Je réponds à ça que justement ici, rien ne fait débat dans le rapport du GIEC et que les conclusion sont prudentes. De plus, les phénomènes observés apparaissent plus vite que les projections. Cette vidéo me donnent d'autres arguments comme l'ouverture à relecture et l'indépendance des scientifiques.
Courage, on est tous dans le même bateau ! Mon entourage proche s'en désintéresse profondément et j'ai l'air du gourou qui cherche à faire des adeptes malgré mes tentatives d'amener le sujet sur des faits qu'ils connaissent... Mon lobbying au travail fait un peu plus d'effets mais dans l'ensemble, il faut un tel niveau de maîtrise des sujets pour contrecarrer toutes les certitudes biaisées que j'atteins rapidement mes limites.
@@SoleilNoir7 Je suis tout à fait d'accord avec vous. Maintenant, je commence à bien me débrouiller et j'arrive à contrecarrer la grande majorité des arguments climato-sceptique. Mais je me forme intensément sur le sujet. L'autre axe, que je tente d'aborder, c'est de changer le récit. Ne pas dire "je prends le train et pas l'avion pour l'environnement même si c'est 2 fois plus long" mais "Je prends le train pour ressentir cette sensation du voyage. Voir les paysages changer, prendre le temps pour soit et se regarder quelques films, prendre le temps de lire, découvrir de belles gares..." Ne lâchons rien les gars ! C'est ensemble qu'on y arrivera !
@@romain8119 Alors comme ça tu arrive à contrecarrer les climatosceptiques . Et si je te disais qu'au sein du Giec (inventé par Margaret Thatcher), qu'il y a un rapport interne diffuser par les cadres scientifiques du Giec en 2014 , pour les scientifiques qui collaborent avec le Giec . En conclusion de ce rapport , il est écrit ceci , "Le climat ne se réchauffe plus depuis 1998 , nous sommes sur un plateau , mais la température n'augmente plus".
L'unique problème du GIEC est leur propension à systématiquement utiliser les fourchettes basses (prudence scientifique) qui fait que leurs rapports sont systématiquement optimistes par rapport aux chiffres réels. En gros on va dans le mur et il se trouve encore des gens 'censés" pour nier la catastrophe.
Et malgré leur "optimisme" on arrive à les accuser de castrophistes. Pourtant, les événements observés arrivent 10 ans plus tôt que ce que les modèles prédisaient.
en effet on est dans une situation aberrante où le GIEC est plutôt en moyenne trop optimiste (ou plus exactement pas eux mais les études de la communauté scientifique, parce qu'un scientifique est généralement très prudent et donc plutôt du coté "pas trop éloigné de maintenant" quand il décrit un changement) et en même temps on a le lobby du doute qui prétend qu'ils sont pessimiste et que tout va bien (il faut bien que ces gens vivent, après avoir été actif dans le tabac, il est temps de changer de pigeons car faire croire que le tabac est bon pour la santé, cela ne passe plus)
@@MarcMarc-cf9mq vos connaissance du climat et ces variations sont a peut prés equivalente a celle d'un poisson rouge, revener sur 2300.00 ans en arriére
Soyons honnetes envers nous même : le réchauffement (global) est une réalité MAIS il est dû à notre accroissment de notre confort : il n'y a pas d'alternative crédible à court terme pour remplacer les énergies fossiles ET l'inertie du système se comptant en centaines voir milliers d'années la conclusion évidente est qu'on ne peut rien faire contre ce changement climatique."ça passe ou ça casse". Donc il vaut mieux s'organiser pour RESISTER à celui-ci . comment ? bon déjà en réorientant tous les "efforts intellectuels" vers la recherche de solutions : pour la climatisation durable / l'isolation / la culture agricole en milieu chaud / le traitement de l'eau / création de barrages / le réaménagement des litoraux / la réindustrialsation au niveau local pour moins de dépendance externe/ etc....ah oui une dernière chose : une armée forte et locale pour résister à la pression exterieure.
@@adolfoe.4155 c'est la conclusion de principe des COP : solutionner les problèmes sans gêner le système qui les engendre. La seule issue est un changement radical de notre manière de faire société : soit par choix, c'est la décroissance, soit imposée par notre inaction, c'est la barbarie partout. Je ne connais personne qui militerait pour des guerres, famines et épidémies partout mais pourtant c'est la voie que nous prenons. Résister à ce que nous engendrons est futile.
S'adapter ne suffira pas (on s'adaptera comment dans 50 ans quand 3 milliards de migrants climatiques venant de la zone tropicale devenue invivable viendront en Europe ou Amérique du Nord ??) Seule solution : il nous faut fortement réduire nos émissions de CO2.
@@franckr6159 oui c'est vital mais aussi dérisoire : une énergie, aussi décarbonée soit-elle, sert toujours le même projet : convertir la nature en déchet. Organiser la descente énergétique et matérielle est un début de réponse efficace.
cela n'a rien d'honnete, prétendre qu'améliorer la situation revient à revenir à l'age de pierre une des 12 excuses classiques de l'inaction climatique. et pourtant un logement passif est beaucoup plus confortable qu'une passoire thermique fossile
@@jojolag31 Pourquoi se résoudre à ce fatalisme non désirable ? Je pense que beaucoup d'actions peuvent-être prise et être soutenue par la population. Par exemple, les subsides sur l'aérien ne profite qu'à une petite partie de la population, les rénovations énergétiques des bâtiments permettent de réduire les charges et d'augmenter son confort de vie, Une TVA augmentée sur les produtis de malbouffe avec en retour une TVA réduite sur les produits frais profiterait au portefeuille et réduirait les frais de santé...
Bof, Trump ou pas, les US continuent de développer les énergies fossiles, et l'Europe, pourtant signataire des accords de Paris, achète leur gaz pourri et contribue ainsi à l'aggravation de la cata... Et sans le GIEC et les cop, on serait à peu près dans la même mxxde.
@@jojolag31 n'as tu pas l'impression comme moi d'en avoir plein la bouche et l'estomac de la merde de gouvernements autoritaires qui décrètent d'autorité que le système économique concurrentiel mondial actuel est le seul horizon, genre TINA ? Non pas que les autoritaires, comme on l'entend couramment, chinois ou russe, soient globalement enviables, m'enfin concernant le climat ou la biodiversité ... Un bon coup de balai s'impose.
Bravo, vous venez de défendre l'immobilisme et le fait de ne surtout rien faire. Je sais pas si s’était votre but, mais en tous cas c'est la finalité de votre discours...
@wenyuda24 Jean Baptiste fressoz nous démontre qu aucune transition n aura lieu Jean marc jancovici démontre notre dépendance au pétrole Arthur keller nous explique les crises systemique à venir Aurore stephan nous explique la pollution des minières Etc C est quoi votre solution ??
@@wenyuda24 On veut nous convertir au voiture electrique et on continue de voyager en avion et en bateaux de croisière Elle est où l amélioration Le co2 ne cesse d augmenter La 7e limite planétaire est franchi J invente rien On a pas 100 ans pour changer ??
Chaque personne politique s'intéresse à une partie du rapport, et en fonction ils ont des assistants pour l'éplucher. Il n'est jamais utile de tous lire. Mais s'il faut trois semaines nuit et jour pour tout lire, ça fait six mois avec un temps normal de lecture si c'est ton boulot. Ce n'est pas infaisable, à la retraite. L'élaboration du rapport est bénévole, effectuée par des gens compétents dans le domaine dont ils font la synthèse, pour leur prestige et l'utilité. Et ils font un résumé pour les dirigeants.
Les rapports du GIEC traduisent la réalité scientifique mais personne ne les lit (8000 pages) donc les gens ne lisent que le résumé (le SPM) qui lui minimise la réalité du problème. J'explique : Le rôle du GIEC est de synthétiser les milliers d'études scientifiques concernant le climat. Ses rapports (groupes de travail WGI, WGII et WGIII, qui font entre 2 et 3000 pages chacun) décrivent donc l'état des connaissances sur le dérèglement climatique. Et l'aspect "politique" du GIEC a été à l'origine voulu par Reagan et Thatcher qui voyaient bien que laisser des scientifiques s'exprimer librement sur un sujet avec de fortes implications sur l'énergie (puisque le problème c'est bien le CO2 et les énergies fossiles) était trop dangereux. C'est pourquoi le résumé pour les décideurs (le SPM: Summary for Policy Makers) qui est le seul rapport qu'ils lisent (42 pages, ils ne vont pas lire les 8000 pages détaillées des rapports scientifiques!) est lui contrôlé par les états. Sans surprise il tendent dans le SPM à atténuer ce que disent les rapports détaillés, à éviter de critiquer ouvertement les énergies fossiles et à ne surtout pas parler explicitement de limiter leur utilisation. Mais les conclusions scientifiques du GIEC qui sont : 1- le climat se réchauffe de plus en plus vite ; 2- c'est nos émissions de CO2 qui en sont la cause ; 3- les conséquences du réchauffement seront très graves sur notre environnement et notre économie ; ces conclusions sont parfaitement valides.
On croit une religion sans preuves, mais on croit les scientifiques seulement lorsqu'ils apportent des preuves. Sur le climat et la cause humaine du réchauffement actuel les preuves sont nombreuses, donc oui on les croit.
Bah, y sont où les climato-sceptiques qui pullulent généralement sous ce genre de vidéo, ceux-là qui se gargarisent de leur ignorance ? Ceux qui nous expliquent que l'effet de serre n'est pas possible dans notre atmosphère parce que, je cite: « on n'a pas de plastique qui recouvre l'immensité de l'univers et nous avons l'air qui circule, ça ne saurait pas faire un effet de serre. » Ceux qui ont compris tout ce qu'il y a à comprendre sans jamais avoir ouvert le moindre ouvrage scientifique de leur vie. Ceux qui ont compris tout ce qu'il y a à comprendre parce que, eux, savent mieux que les autres même s'ils ne bitent rien du tout à ce qu'il se passe.
attends, on t'a vraiment sortit cette phrase ? des arguments claqués j'en ai vu, et finalement souvent les mêmes, mais celui ci, c'est une pépite ! oh bordel je dois la noter
@@BlackCat-ci1ib Yep, sous une vidéo intitulée "COP29 : une conférence climatique de tous les défis, surtout financier - RTBF Info" récemment parue sur RTBF Info.
Mais alors, l'effet de serre serait donc possible dans les embouteillages ? 😂 J'ai déjà rencontré cet argument absurde, je préfère en rigoler tant que c'est encore possible.
Scientifiques choisis par les gouvernements ! Sur quels critères ? N’y a-t-il pas risque de conflit d’intérêt ou de partialité, dès le départ ? Et si non, pourquoi svp ?
Oh, quelle perspicacité, Jean-Sébastien ! Vous venez de mettre en lumière une question que personne - absolument personne - n’avait pensé à poser depuis la création du GIEC en 1988. Heureusement que vous êtes là pour nous ouvrir les yeux. Alors, parlons de ces fameux « _scientifiques choisis par les gouvernements_ ». Les critères ? Vous allez être déçu : ce ne sont pas des experts en flatteries diplomatiques ou en manipulation, mais des chercheurs ayant des doctorats dans des disciplines pertinentes (climatologie, géophysique, chimie, économie, etc.) et ayant publié des études dans des revues scientifiques avec comité de lecture. Le GIEC lance un appel à candidatures, et les gouvernements proposent des noms. Mais - et c’est là où votre théorie de la manipulation s’effondre - c’est le bureau du GIEC qui sélectionne les scientifiques en fonction de leurs compétences et de leur expertise, pas de leur talent à servir des intérêts politiques. Quant au risque de conflit d’intérêt, vous imaginez peut-être 195 pays réussir à s’entendre sur une manipulation commune pour aligner leurs intérêts politiques divergents. Intéressant ! Mais si même ces États sont incapables de se mettre d'accord sur des questions comme le commerce mondial ou les droits de l'homme, comment feraient-ils pour orchestrer un consensus truqué sur la base de 66 000 publications scientifiques ? Si cela était possible, on devrait les inviter à résoudre les conflits mondiaux en quelques jours. Pour ce qui est des scientifiques eux-mêmes, vous seriez surpris d’apprendre qu’ils ne reçoivent pas un centime du GIEC pour leur travail. Oui, la majorité est financée par leurs institutions de recherche, ce qui leur permet de consacrer du temps à la rédaction des rapports. Mais jongler entre ce travail monumental et leurs propres responsabilités académiques reste un défi. Et, bien que certains travaillent parfois tard la nuit ou les week-ends, il ne s'agit pas d'une généralité mais d’un effort ponctuel pour répondre à l'ampleur de la tâche. Enfin, si cela vous intéresse (mais j’en doute), ces rapports sont relus et commentés par des milliers d’autres scientifiques. Et les gouvernements ? Ah, ils peuvent formuler des observations sur le deuxième brouillon. Si ces observations ne tiennent pas la route scientifiquement, elles sont tout simplement ignorées. Quant au résumé pour décideurs (ce fameux document de 30 pages que les gouvernements approuvent phrase par phrase), il ne peut contenir que des éléments déjà présents dans le rapport complet. Donc, en quoi exactement ces gouvernements manipulent-ils des scientifiques qui travaillent sous la supervision de leurs pairs, et dans un processus transparent ? Bref, votre crainte de partialité est charmante, mais la réalité est bien moins dramatique. Si vous cherchez des conflits d’intérêt, il va peut-être falloir se tourner vers d’autres sphères que la science climatologique. Mais bon, merci pour votre commentaire, il nous aura au moins donné l’occasion de réviser les bases du fonctionnement du GIEC.
C'est un très bon communicant, c'est incontestable. Mais... quelle est sa profession ? Son parcours ? Sa formation ? Quelle est son expertise ? C'est l'info principale pour légitimer l'aspect scientifique du GIEC (qui,effectivement, ne contient le mot "expert" que dans l'usage en France puisque même l'acronyme de l'intègre pas...) Ce sont des "diplomates", émanation de l'ONU, nommés par les gouvernants des 195 pays membres (c'est toi qui le dit !) Et qui présentent des interprétations tronquées, orientées, et forcément subjectives de ces pavés proposés par des "experts indépendants". Cette vidéo, bien que très bien montée et agréable à regarder, n'apporte aucune preuve.
Ah, quel plaisir de lire un commentaire aussi profondément informé. Votre analyse linguistique de l'acronyme du GIEC est fascinante : effectivement, le mot « _expert_ » n'est pas dans « _IPCC_ ». Une révélation bouleversante. Mais savez-vous ce qui y est ? Les 234 auteurs du rapport _AR6 WG1,_ tous détenteurs de doctorats en climatologie, physique, chimie, ou disciplines connexes, ayant publié dans des revues à comité de lecture. Je vous invite à une recherche rapide : *« IPCC authors AR6 WG1 ».* Vous pourrez ainsi constater par vous-même qu'il s'agit bien d'experts, _à condition de vouloir voir la vérité, bien sûr._ Quant à votre théorie sur les « _diplomates_ », elle est passionnante. Mais quelques faits risquent de la gâcher. Le bureau du GIEC est élu par les représentants des 195 États membres. Ces mêmes États commandent un rapport, fixent les grandes lignes des sujets à aborder et… s’en vont. Ensuite, le GIEC recrute, via appel à candidature, des centaines de scientifiques experts dans leurs domaines pour travailler sur l’un des trois groupes : bases physiques du climat, vulnérabilités, et atténuation du changement climatique. Les candidatures sont sélectionnées strictement en fonction des expertises, et ce sont les scientifiques, pas les États, qui rédigent les rapports. Et les fameuses « _observations_ » des États sur le deuxième brouillon ? Elles peuvent être rejetées si elles ne sont pas basées sur la science, ce qui arrive fréquemment. Au final, seuls les scientifiques rédigent et valident les rapports complets. Les États approuvent uniquement le _Résumé pour décideurs,_ et ce document ne peut rien inclure qui ne soit déjà contenu dans le rapport complet. Mais je comprends que ce processus vous échappe, surtout si vous confondez rigueur scientifique et complot diplomatique. Quant à votre conclusion sur le manque de preuves : _les rapports du GIEC sont les preuves._ Vous pouvez les lire gratuitement en ligne, ce qui est une chance unique pour quiconque s’intéresse vraiment aux faits. Mais je suppose qu’il est plus simple de décrier une vidéo vulgarisée que de s’attaquer aux 10 538 pages du rapport AR6 ? Bref, merci pour votre analyse linguistique, géopolitique et scientifique d’une rigueur inégalée. Heureusement, nous pouvons nous fier aux scientifiques du GIEC pour comprendre le climat, puisqu’il semblerait que votre expertise se limite à tordre les faits pour nier l’évidence. Mais bon, votre contribution aura au moins offert à tous ici un moment divertissant.
Dans l'acronyme du IPCC, le GIEC en anglais donc (Intergovernmental Panel on Climate Change, IPCC), on ne retrouve pas le mot "experts" ; dans l'acronyme français non plus d'ailleurs, où le mot "experts" a été rajouté à la truelle pour donner une caution scientifique. Mauvaise foi. De plus, il est avéré, de façon sourcée, que sont mises de côté une grande quantité d'études parues dans le monde qui vont à l'encontre des résultats que l'on souhaite obtenir. Enfin, les conclusions du rapport disent souvent des choses très différentes de ce que les études retenues démontrent. L’effondrement de la biodiversité, à cause des résidus industriels et autres pesticides, est bien plus inquiétant mais, bizarrement, rarement documenté (s'intéresser aux travaux d'Aurore Stefan pour se rendre compte du désastre industriel en cours pour soutenir, entre autres, la production de batteries et autre éoliennes). Je rajoute également que les astronomes observent un réchauffement de toutes les planètes du système solaire dans les mêmes proportions que ce que l'on observe chez nous (activité solaire ?). Et, quand bien même tout ça serait vrai, je ne souhaite pas être sacrifié inutilement quand on a la Chine, l'Inde, les USA, qui ne comptent pas faire d'efforts. La France ne représente même pas 1% des émissions. Si nous étions vraiment en démocratie, il est certain que nous n'envisagerions même pas de sacrifier une partie de notre mode de vie contre une réduction des émissions de CO2.
Oui, mais... expert ne veut pas toujours dire vraiment compétent... Mais, un scientifique intègre l'est souvent. Le mot "expert" étant sujet éventuellement à des doutes, il faut donc faire appel à un spécialiste en expert... Là, ça devient plus compliqué comme dirait Raymond Devos... Il faut donc lire le rapport du GIEC pour savoir si ces spécialiste sont des experts... Il y a des chances que oui. Reste que les solutions font que ceux qui sont en avance par rapport à ceux qui veulent ne rien faire complique les choses. Exemple : l'Algérie à abandonné l'essence sans plomb il n'y a qu'environ que 2 ans. Ca laisse imaginer le reste.
Ah, Kramer, que ferions-nous sans votre éclairage si « précieux » sur le GIEC et le climat ? Vous êtes manifestement l’homme qui a découvert que l’absence du mot « experts » dans un acronyme était la preuve irréfutable d’un complot mondial. Chapeau bas ! Alors, allons-y point par point pour décortiquer vos brillantes assertions. 1. *Le mot « experts » dans GIEC ajouté à la truelle ?* Ah, oui, bien sûr, c’est sûrement en cachette que 195 États ont conspiré pour insérer ce mot afin de tromper le monde entier. Vous auriez pu, par exemple, vérifier les 234 auteurs du rapport physique de 2021 _(AR6 WGI),_ tous titulaires de doctorats, chercheurs en climatologie ou disciplines associées, et publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture. Mais bon, pourquoi faire des recherches quand on peut juste... inventer ? 1. *Les études « mises de côté » mystérieusement ?* Ah, vous affirmez qu’on écarte des études sans donner une seule référence. Saviez-vous que tout scientifique peut commenter les brouillons des rapports du GIEC et signaler les études manquantes ? Ces commentaires (et les réponses des auteurs) sont publics. Mais bien sûr, Kramer, vous êtes trop occupé à imaginer des complots pour aller vérifier ce genre de détail. 3. *L’effondrement de la biodiversité oublié ?* Vous avez raison, Kramer, l’effondrement de la biodiversité est tellement ignoré qu’il existe... un organisme international entier, l’IPBES, parfois surnommé « le GIEC de la biodiversité ». C’est étrange comme ces scientifiques aiment tellement ignorer les problèmes qu’ils créent des institutions pour les traiter. 4. *Le réchauffement des planètes du Système solaire ?* Ah, le bon vieux mythe de l’activité solaire. Vous devez être ravi d’apprendre que l’activité solaire DIMINUE depuis plusieurs décennies. Oui, DIMINUE. Ce sont des faits mesurés. Et les histoires de réchauffement sur Neptune ou Pluton sont basées sur des observations limitées, rien de comparable à nos données terrestres. Mais ne laissez pas la réalité gâcher une bonne théorie foireuse. 5 *« La France ne représente que 1 % des émissions* Ah, le classique du « à quoi bon agir, on est petits ». Ce raisonnement est magnifique : si chaque individu, chaque pays se disait qu’il ne représente qu’une fraction du problème, alors autant ne rien faire, et continuons joyeusement vers la catastrophe. À ce stade, votre logique brille autant qu’un lampadaire éteint. De plus, saviez-vous que les pays comme la France ont un rôle crucial en montrant l’exemple et en aidant les transitions mondiales ? Probablement pas, mais c’est noté dans les rapports du GIEC. Encore une fois, il faudrait les lire. 6. *« Sacrifier notre mode de vie »* Vous opposez la démocratie à l’action climatique, comme si vouloir un avenir vivable était un caprice autoritaire. Pourtant, les rapports insistent sur des transitions justes et inclusives. Mais il faut croire que vous confondez « constat scientifique » et « décision politique ». Peut-être que pour vous, toute action collective est une attaque personnelle contre votre droit sacré d’être égoïste. En conclusion, Kramer, si vos arguments étaient aussi solides que vos certitudes, on pourrait presque les prendre au sérieux. Mais voilà, vos « preuves » sont soit inventées, soit contredites par les faits. Allez, un petit effort : ouvrez un rapport du GIEC. Vous pourriez apprendre quelque chose, à défaut de nous divertir avec vos élucubrations.
@@jocelynguenard8572 : oui, en effet, des pays se sont développés moins tôt que d'autres. Et Si l'Algérie n'a abandonné l'essence sans plomb (ce qui n'a une incidence que sur la santé de leurs résidents) qu'il y a deux ans, il n'empêche que leurs émissions de CO2 par habitant sont bien moindres que celles d'un français. Concernant ce pays, c'est étrange, je croyais que la France l'avait colonisé durant près de deux sicles pour y apporter la civilisation, la connaissance, le développement. Ne me dites pas que c'était juste parce qu'il y avait du pétrole, je ne vous croirais pas.
Soyez honnêtes, y-a-t-il un seul scientifique "climato-sceptique" parmi les scientifiques qui sont choisis pour écrire ces rapports ?... Non, il n'y en a aucun, donc forcément ils sont tous d'accords pour dire la même chose... C'est comme les militants des partis politiques, ils ne parlent qu'entre eux et refusent d'écouter ceux qui ne sont pas d'accord avec eux, forcément ils sont persuadés de détenir LA vérité... et après ils s'étonnent de prendre une branlée aux élections... (et c'est valable pour TOUS les partis).
La vérité est qu'il y a des scientifiques climatosceptiques. Cependant, il n'y a pas d'études climatosceptiques. Les scientifiques interviewer sont certes, scientifique mais pas compétent sur les question de climat. Demander à un médecin chercheur de parler de l'espace, il devrait avoir la décence de reconnaitre son incompétence. C'est comme demander à votre pharmacien d'éteindre l'incendie. Ben non on demande au pompier. Ces par ce phénomène que l'on peut avoir des prix Nobel climatosceptique qui donne leur opinion mais qui ne se base pas sur les faits.
Si il existait 1 étude dans le monde qui émettrais des doutes scientifiquement pertinent, il serait pris en compte par le GIEC. La question c'est plutôt, existe il un preuve scientifique qui aille dans le sens des climato-sceptique, et la réponse semble être non... Tout ce qu'on entend de climato-sceptique est fait par des pressions des plus gros lobbys de la planète (qui ont beaucoup a perdre) et des particuliers qui vendent des bouquins... Comme il est dit dans cette vidéo, tout messages reçus par le giec provenant d'une personne aillant déjà été publié DOIT recevoir une réponse, ou sont les réponse qu'on reçus ces par ces soit disant scientifiques qui remettrais en doute 200 ans de preuves scientifiques ? Nul part... car il y serait expliquer d'ou viens leurs erreur, et il ne pourrait plus vendre leurs bouquins... Vous défendiez les cigarettiers dans les années 50 vous, non ? Et encore... les cigarettiers avait plus de "preuves" scientifiques que ne l'on les climato-sceptique aujourd'hui...
Des travaux de scientifiques "sceptiques" sont cités dans les rapports du GIEC, si ça vous rassure... Ils.pourrait ne pas le faire. Pourquoi le font-ils ?
@@LoLo-ft6nj Dans ce rapport, comme dans d'autres publications scientifiques, quand on cite un autre travail, c'est pour son apport. Donc c'est que le résultat obtenu dans ce travail est aussi pris en compte.
Ce qu'il faudrait comprendre ce n'est pas tant l'idée pour certains le fait pour d'autres de l'échauffement du gaz sur terre que.... L'extase violente due au surcroît d'énergie dans nos topologie dialogique il y avait un risque d'échos à l'intérieur même des systèmes cycles. Se risque à été pris en connaissance de causes, nous savions à des degrés divers et variés l'homéostasie des cycles biochimique, phosphore, carbone, azote, ect , Peut-être il est temps de comprendre autrement. Ceci est une croyance.
C'est sûrement pas en mettant des éoliennes qu'on parle d'écologie ça je suis désolé. Quand vous faites une équipe de A à Z vous rendez compte que c'est tout faux voilà. Il faut rester factuel il faut être réaliste en mettant des centrales à la place oui comme EDF
De quel type de centrale parlez-vous ? Aussi, je tiens à préciser, que le problème du réchauffement climatique est le temps réduit que nous avons. Le transition électrique se fera par l'augmentation de l'usage de l'énergie électrique. Afin de répondre à l'augmentation de la demande, aucun scénario n'arrive à se passer de l'emploi d'éoliennes. Le risque est que les centrales nucléaires arrivent trop tard. Les énergies renouvelables ont l'avantage d'être rapidement déployable. Mais oui comme toute technologie, elles engendre aussi des effets négatifs. Tout est une question de balance.
@@TheCptFlamme quelle sobriété ? Celle qui consiste à faire venir des produits de l'autre bout du monde ou celle qui consiste à taxer les gens à mort ?
UNE éolienne c'est plus de 1000 tonnes de béton rien que pour planter le pied. Il faut plus de 20 ans pour que l'éolienne produise l'énergie qu'il a fallu pour la fabriquer et l'installer. Sans compter tout ce sable perdu pour faire ce béton, qui je le rappelle est en baisse car on ne peut pas utiliser le sable du désert pour faire du béton... Et sans compter aussi tous les métaux rares pour faire les aimants du rotor et stator, etc... Et sans compter qu'une éolienne ne vie qu'une trentaine d'années. C'est juste un business de plus entre les politiques, les appels d'offres, et les proches des politiques qui ont les entreprises d'éoliennes. Et toutes les entreprises qui profitent des subventions astronomiques pour des constructions qui n'ont rien à voir avec l'écologie ! L'énergie produite est dérisoire et devient même négative quand on prend en compte sa construction. 20 ans pour amortir l'énergie de sa construction, ça lui laisse 10 ans avant de finir obsolète, rouillée, à remplacer, et même dangereuse. Et ça tue aussi des milliers d'oiseaux ! Les éoliennes c'est le pire truc qui soit arrivé à l'écologie.
Par contre François Gemene , c’est un scientifique ? 😂 Ça y est j’ai vu pendant 1 millième de seconde 2 graphiques je suis scientifique! C’est la vidéo la moins enrichissante que j’ai jamais vu sur le climat.
Ah, Fabien, quelle critique ciselée ! Vous attaquez François Gemenne, visiblement sans savoir ni qui il est, ni ce qu'il fait. Quelle élégance. Permettez-moi donc de vous éclairer un peu, histoire que votre prochain commentaire ait au moins l’air vaguement informé. 1. *« François Gemenne, c’est un scientifique ? 😂 »* Ah, oui, bien sûr, Fabien, un docteur en sciences politiques spécialisé dans les migrations environnementales et climatiques n’est sans doute pas un scientifique pour vous. Après tout, vous semblez penser qu’un scientifique, c’est uniquement quelqu’un qui regarde des graphiques. Fun fact : François Gemenne a soutenu une thèse de doctorat sur les migrations environnementales et est un expert mondialement reconnu dans ce domaine. Mais bon, pourquoi laisser les faits gâcher votre punchline, n’est-ce pas ? 2. *« Ça y est, j’ai vu deux graphiques, je suis scientifique ! »* Vous confondez manifestement la vulgarisation scientifique avec un cours universitaire de 300 heures. Cette vidéo n’est pas là pour faire de vous un expert (et heureusement, vu votre disposition à apprendre), mais pour sensibiliser. Si vous voulez vraiment enrichir vos connaissances, vous pourriez commencer par lire un des rapports du GIEC, en particulier ceux du deuxième groupe, où François Gemenne a contribué. Mais bon, ça demanderait un effort bien plus grand que de pondre un commentaire sarcastique, j’imagine. 3. *« La vidéo la moins enrichissante que j’ai jamais vue sur le climat. »* Vous savez, Fabien, le problème ici ne semble pas être la vidéo, mais votre réticence à écouter. Peut-être que ce n’est pas la vidéo qui manque de contenu, mais votre curiosité qui manque de profondeur ? Si vous vous intéressiez au rôle du GIEC et à ses trois groupes (physique, impacts et vulnérabilités, atténuation), vous comprendriez pourquoi des spécialistes comme François Gemenne, politologues ou économistes, y ont leur place aux côtés des climatologues. Mais encore une fois, cela impliquerait de faire preuve d’un minimum de bonne foi. En bref, Fabien, si vous avez des critiques à faire, commencez par comprendre de quoi vous parlez. Vous pourriez apprendre que François Gemenne a largement sa place dans ce débat, contrairement à vos commentaires qui, eux, enrichissent autant que deux minutes de publicité entre deux vidéos de chats. Bonne chance pour vos prochaines contributions, en espérant qu’elles soient un peu plus... scientifiques. 😊
Et si vous cherchiez un minimum au lieu de dire n'importe quoi ? Source GIEC (sélection des experts): La sélection s’effectue comme suit: un appel à candidatures est d’abord lancé auprès des gouvernements et des organisations ayant le statut d’observateur auprès du GIEC; des curriculum vitae détaillés sont ensuite remis et les auteurs sont sélectionnés en fonction de leurs compétences. Le GIEC s’efforce de réunir des équipes d’auteurs représentatives de la diversité des points de vue et des qualifications scientifiques, techniques et socio-économiques. Afin de parvenir à des rapports d’évaluation exhaustifs, c’est-à-dire qui ne favorisent pas un pays ou un groupe de pays mais tiennent compte des problématiques de chaque région, les équipes sont constituées d’une variété d’auteurs provenant de diverses régions et de pays développés comme de pays en développement.
@ oui, mais les « experts pertinents » qui sont choisis par les gouvernements suivent tous la même doxa de l’UE face au réchauffement climatique, sinon, ils ne sont pas sélectionnés. Une méthode scientifique voudrait confronter les points de vue, ce qui n’est pas le cas.
@@sberthu Vous me parlez de "doxa" puis de "méthode scientifique", vous êtes sûr de savoir de quoi vous parlez? Et "confronter les points de vue" ça a été fait ! Ce que vous appelez "doxa" c'est en fait le "consensus scientifique" qui ne sort pas de la tête de 3 technocrates mais qui est le fruit de la recherche scientifique. J'explique : Le « consensus scientifique » ça existe, et heureusement ! Les propositions suivantes font consensus : 2+2=4, la Terre n’est pas plate elle a la forme d’une sphère, la Terre tourne autour du soleil et pas l’inverse, etc…. Il y a des millions de découvertes scientifiques qui font consensus au sein de la communauté scientifique. Cela ne signifie pas que le consensus ne puisse jamais être invalidé, beaucoup de consensus sont modifiés au cours du temps, mais à une CONDITION essentielle, c’est que le scientifique qui pense que sur un point précis le consensus doit être contredit (et donc que la communauté scientifique, après débat contradictoire, évolue vers un nouveau consensus scientifique différent du premier), le fasse avec des éléments scientifiques fiables, solides et reconnus par les pairs. Et ça s'appelle la Recherche, càd justement la "méthode scientifique". Les charlatans et autres baratineurs ont besoin que vous croyiez que le « consensus scientifique » ça n’existe pas, que c'est juste la "doxa" , car ça leur permet sur plein de sujets de raconter n’importe quoi. Concernant le changement climatique anthroppique, il y a consensus, que ça vous plaise ou pas. Une preuve de ceci, cette étude: "Greater than 99% consensus on human caused climate change in the peer-reviewed scientific literature", Mark Lynas et al.
@@sberthu en gros avec votre raissonement un atome de fer , d'oxygène , d'hydrogene ont : la meme forme doc pas d'étage électrique la meme masse donc le meme volume un atome d hydrogen au même poids qu'un atome de fer les même états, donc devrait avoir le même point de solidification ,de liquéfaction donc en gros on peut jeter tous les travaux en chimie et physique depuis Mendélief , on a plus besoin de matieer naturelle puisque on doit pouvoir tout modifer a la volée des qu'on aura trouvé la technologie
@@sberthu Ils sont choisis parmi ceux qui ont des expertises scientifiques, hors, ceux qui se disent "scientifique" et qui sont en même temps climato-sceptique n'ont rien de concret a présenter a bar leurs blabla... voilà pourquoi il n'existe pas de scientifique climato-sceptique...
GIEC c'est IPCC en angliche, avec un P comme panel. Ils sont autant experts que moi. Addendum: vu que mes réponses st supprimées: International panel on climate change=comité international sur le chgt climatique, il faudra d'ailleurs qu'ils mettent "dérèglement" ald "Changement ". Expert en français c'est aussi expert en anglais.
Alors ici panel sous entend panel au sens de groupe d'expert (ça se vérifie en avec une recherche Google sur la traduction de "Intergovernmental Panel on Climate Change")
Et si vous cherchiez un minimum au lieu de dire n'importe quoi ? Source GIEC (sélection des experts): La sélection s’effectue comme suit: un appel à candidatures est d’abord lancé auprès des gouvernements et des organisations ayant le statut d’observateur auprès du GIEC; des curriculum vitae détaillés sont ensuite remis et les auteurs sont sélectionnés en fonction de leurs compétences. Le GIEC s’efforce de réunir des équipes d’auteurs représentatives de la diversité des points de vue et des qualifications scientifiques, techniques et socio-économiques. Afin de parvenir à des rapports d’évaluation exhaustifs, c’est-à-dire qui ne favorisent pas un pays ou un groupe de pays mais tiennent compte des problématiques de chaque région, les équipes sont constituées d’une variété d’auteurs provenant de diverses régions et de pays développés comme de pays en développement.
@@TheValmap Traductions de "panel" nom le panneau panel, sign, backboard, signboard, fascia le comité committee, panel, board le jury jury, panel, board of examiners le tableau de bord dashboard, panel, instrument panel, fascia la table ronde round table, panel la tribune gallery, tribune, platform, grandstand, rostrum, panel le caisson box, caisson, panel le jury d'entretien panel le réunion-débat panel la commission d'enquête committee of enquiry, court of inquiry, panel, commission of enquiry verbe lambrisser panel, wainscot plaquer plate, tackle, veneer, ditch, clad, panel revêtir don, dress, line, invest, array, panel => y'a jamais "expert", faut arrêter de raconter n'importe quoi...
@@LoLo-ft6nj Alors effectivement c'est ma faute, je suis mal exprimé et j'ai modifié mon commentaire pour être plus clair, je voulais dire que si tu cherches la traduction de "Intergovernmental Panel on Climate Change" que ce soit sur leur site officiel, ou google translate, tu verras que le mot panel est traduit par groupe d'experts, car dans l'expression IPCC, on sous-entend panel dans le sens de panel of expert. Mais bon de toute façon, qu'il y ait expert ou non dans le nom n'est pas le critère déterminant pour juger de l'expertise de ses membres, il faut plutôt se référer au domaine de recherches et travaux de ses membres pour constater qu'il s'agit bien de personnes ayant les compétences requises.
@@superconsensuel3869 Vous répétez 2 foutaises négationnistes infondées et c'est moi le perroquet ??? Alors expliquons : "tous mourir gelés ds les 70's" : -- > Il n’y a jamais eu de consensus scientifique concernant un prochain refroidissement mondial. C'était une possibilité évoquée dans les années 70 par certaines études scientifiques à cause de la pollution (aérosols), mais ensuite la pollution a diminué et ce risque éventuel a tout simplement disparu. Pourtant, à la même époque, BIEN DAVANTAGE d'articles scientifiques discutaient déjà du risque d'un réchauffement climatique dû au CO2 (voir l’étude : « The Myth of the 1970s Global Cooling Scientific Consensus » by Thomas C. Peterson et al. , Sept 2008). Et depuis, ce risque n'a pas disparu (contrairement aux aérosols), il s'est au contraire confirmé. Et il existe désormais un consensus scientifique sur le réchauffement climatique causé par le CO2 anthropique. Vous mélangez les "prédictions" des titres sensationnalistes et trompeurs des journaux, et ce que les scientifiques ont réellement déclaré (le "consensus scientifique"). "Le CO2 c'est de l engrais sans lequel il n y a plus de vie sur terre" : -- > Dire que parce que le CO2 est bon pour les plantes, c'est une preuve que le CO2 ne peut pas faire de mal, est aussi stupide que d'affirmer : les êtres humains ont besoin d'eau pour survivre donc il est impossible de mourir noyé dans l'eau ! La réalité est la suivante : trop de CO2 peut augmenter la température de la Terre à des niveaux invivables pour les êtres humains. Plus n'est pas toujours mieux !
Merci pour cette vidéo dynamique et intéressante, mais il convient à mon avis d’être prudent avec la notion de consensus scientifique. Un consensus n’est pas une vérité, l’histoire des sciences regorge d’exemples à ce propos. Pourquoi? A cause des pressions externes. Cela a longtemps été la religion. Il y a maintenant une autre religion, que j’appelle « mainstream » qui fait que pour être financé et pour publier, un chercheur doit être « dans le moule », sinon point de salut, pas d’argent, pas de promotion… autrement dit, seul(e)s les plus habiles à maîtriser l’air du temps vont tirer leur épingle du jeu. Tout ça pour dire que le choix des experts (qui sont en effet experts, aucun doute là-dessus) est totalement biaisé par les perspectives de financement et de carrière (un point d’ailleurs pudiquement évoqué par l’invité). PS je précise que je ne suis pas du tout climatosceptique au sens péjoratif qui lui est souvent attribué, mais juste suffisamment scientifique pour douter, m’interroger, m’informer, etc.
Ah Philippe, merci pour ce souffle d'air frais sceptique au milieu des certitudes pesantes ! On sent chez vous une passion pour la science… ou du moins pour ses clichés romantiques : le pauvre chercheur solitaire, oppressé par une « _religion mainstream_ », empêché de briller par un consensus tyrannique. Un tableau si dramatique qu’il mériterait presque un Oscar ! Mais permettez-moi de répondre avec un peu d’ironie et beaucoup de science. 1. *Le consensus scientifique, cette « dictature » de la majorité* Vous avez raison, Philippe, un consensus n’est pas une vérité absolue. Mais alors, quelle alternative proposez-vous ? L'anarchie intellectuelle où chaque théorie, même farfelue, a un poids égal ? Le consensus scientifique n’est pas un dogme, c’est un outil. Il repose sur l’état actuel des connaissances validées par des milliers d’études indépendantes. Bien sûr, si vous avez sous la main une nouvelle théorie renversante avec des preuves solides, publiez-la ! Vous serez accueilli en héros. Vous savez, 99,9 % des études depuis 2012 établissent un lien entre les émissions humaines de CO₂ et le changement climatique. Que reste-t-il aux sceptiques ? 0,1 %... mais c’est sûrement là que la vérité se cache, n’est-ce pas ? 2. *La « religion mainstream » et ses « chercheurs dans le moule »* Ah, le « _moule_ » ! Ce vieux cliché selon lequel les chercheurs sont tous des clones soumis à une idéologie. Cela doit être une sacrée coïncidence que des scientifiques issus de 195 pays, avec des cultures et des intérêts divergents, s’accordent miraculeusement sur le fait que la planète se réchauffe à cause des émissions humaines. Peut-être un complot mondial ? Plus sérieusement, les experts du GIEC ne sont même pas payés pour leur travail. Ils bossent bénévolement, souvent au prix de nuits et de week-ends sacrifiés. Ils ne gagnent rien à dire que le climat change ; en revanche, contester ce consensus, ça, c’est lucratif ! Les lobbies fossiles seraient à genoux devant quiconque pourrait prouver que le CO₂ n’a rien à voir dans tout ça. Le seul hic ? Personne n’a encore réussi, malgré des décennies d’essais. Peut-être que la « _religion mainstream_ » est simplement... la science. 3. *Les pressions externes, un frein à la vérité* Vous mentionnez les pressions sur les chercheurs pour obtenir des financements. Une observation intéressante. Mais rappelez-vous que la science repose sur la diversité des institutions, des pairs qui relisent et critiquent les travaux, et une transparence systématique. Croyez-moi, si une hypothèse fausse pouvait passer, les climatologues eux-mêmes seraient les premiers à la démonter. C’est littéralement leur métier. En revanche, les vrais biais viennent souvent de ceux qui critiquent la science sans l’appuyer sur des données, en invoquant des théories vagues comme ce fameux « air du temps » que vous dénoncez. 4. *La douce illusion de douter en scientifique* Vous dites que vous n’êtes pas climato-sceptique, juste un scientifique prudent qui doute. Admirable ! Mais doutez-vous aussi de la gravité à cause de quelques échecs expérimentaux ? De la théorie cellulaire ? Philippe, le doute scientifique doit s’accompagner de preuves. Se poser des questions, c’est bien. Refuser de croire au consensus en absence de preuves contraires, c’est du scepticisme stérile. Pour conclure, cher Philippe, votre vigilance est louable, mais les bases sur lesquelles repose votre commentaire manquent cruellement de substance. Le GIEC n’est pas parfait, mais il est la meilleure synthèse des connaissances climatiques disponibles. Refuser ce consensus, c’est comme refuser un diagnostic médical basé sur des milliers d’examens, sous prétexte qu’un guérisseur alternatif pourrait mieux savoir. Alors oui, continuez à vous informer, mais faites-le sur des bases solides, pas en ressassant des généralités sans fondements. Après tout, le vrai service rendu à la science, ce n’est pas de douter pour douter, mais de chercher à comprendre et agir. Bonne lecture du rapport du GIEC… si vous avez 10 538 pages de libre ce week-end. 😊
@ merci pour cette longue réponse qui vient utilement compléter mon commentaire, à une exception près : « croire au consensus » n’est guère une attitude scientifique, il est préférable de réserver la croyance aux religions…
@@philippehuchon236 Ah, Philippe, vous semblez confondre deux notions : _croire et accepter rationnellement._ Vous avez raison sur un point : la science n’est pas une affaire de « _croyance_ ». Mais réduire ma phrase - « _Refuser de croire au consensus en absence de preuves contraires, c’est du scepticisme stérile_ » - à une invitation à une foi aveugle est une lecture simpliste, voire malhonnête. Permettez-moi de clarifier. Le consensus scientifique n’est pas un dogme, ni une foi religieuse. C’est l’aboutissement d’un processus rigoureux, où des milliers d’études indépendantes convergent vers les mêmes conclusions. Ce n’est pas une question de « _croire_ » dans le sens religieux du terme, mais de reconnaître la robustesse de ces conclusions face aux données disponibles. Vous pouvez remplacer « _croire_ » par « tenir pour valide sur la base des preuves disponibles » si cela apaise votre conscience épistémologique. Refuser ce consensus sans preuves contraires solides, en revanche, n’a rien de scientifique. Ce n’est pas du scepticisme éclairé, c’est du déni ou du scepticisme stérile - une posture qui rejette l’état actuel des connaissances non parce qu’il y a des éléments contraires, mais par simple posture. Or, douter pour douter, sans preuves, n’est pas une vertu scientifique. Par ailleurs, Philippe, je remarque que vous qualifiez ma réponse de « _complément_ » à votre commentaire. Soyons honnêtes : il n’y a ici rien de complémentaire. Mon commentaire ne vient pas enrichir vos arguments, mais démonter point par point leurs failles méthodologiques. Cela dit, je peux vous accorder ceci : il transforme vos approximations en une opportunité d’apporter des clarifications utiles au débat. Ce n’est peut-être pas ce que vous aviez prévu, mais au moins, cela aura été constructif… pour les lecteurs. 😊
Cher Michel, Ah, quel classique ! « _Regardez qui les paye_ », dites-vous, comme si cela révélait un sombre complot mondial. Mais laissez-moi éclairer votre lanterne : les auteurs du GIEC ne sont pas payés pour leur travail sur les rapports. Oui, vous avez bien lu. Ils sont bénévoles. Ils doivent même trouver leur propre financement pour contribuer aux rapports, souvent en jonglant entre leur charge de travail habituelle et les heures supplémentaires qu’ils consacrent tard le soir et les week-ends. Ce sont donc des scientifiques, pas des marionnettes rémunérées pour propager une « doxa ». Mais attendez, cela devient encore plus intéressant : les auteurs du GIEC viennent de dizaines de pays aux intérêts divergents. Imaginez, Michel : réunir des experts de Chine, des États-Unis, de l’Union européenne, et d’autres nations, et parvenir à une synthèse scientifique sur le climat. Si un tel consensus mondial est possible malgré des tensions géopolitiques constantes, cela démontre une chose : la science transcende vos fantasmes de contrôle et d’argent. Vous pourriez aussi chercher, ne serait-ce qu’une fois, qui sont réellement ces auteurs. Une petite recherche (essayez « _IPCC authors AR6 WGI 2021_ ») vous révélera qu’ils sont tous des experts reconnus, avec doctorats et publications dans des revues scientifiques à comité de lecture. Alors, qui paye ces scientifiques ? Leurs institutions de recherche, leurs universités, leurs agences nationales. Et croyez-moi, ces organismes ne se réunissent pas pour conspirer autour d’un café. Votre commentaire n’est rien d’autre qu’une tentative grossière de discréditer un travail colossal et rigoureux. Pendant que vous murmurez des théories bancales sur « _qui paye_ », des milliers de scientifiques, eux, travaillent gratuitement pour que des gens comme vous aient des faits, pas des slogans. Mais continuez, Michel, la science avance très bien sans votre aval. 🌍
La rengaine négationniste habituelle sur le GIEC ! Ce n'est pas parce que vous n'aimez pas les conclusions que cela prouve que le messager serait "une vaste blague". Et ce que dit le GIEC c'est bien ce que dit l'immense majorité des climatologues, plus de 99% des études sur le climat le confirment, voir cette étude : "Greater than 99% consensus on human caused climate change in the peer-reviewed scientific literature", Mark Lynas et al.
Captation de CO2, c'est de l'imaginaire, jancovici l'explique très bien au niveau du coût/ inutilité, dans un audit avec le sénat , il y a qq mois mais ce genre d'info n'est pas diffusé à la télé.
Captation du CO2 par l'installation Orca, en Islande : 4000 tonnes par an. Quantité de CO2 ajoutée à l'atmosphère en 2022 uniquement avec la combustion de fossiles (source AIE) : 37.000.000.000 de tonnes. J'ai fait la division pour savoir combien d'installations il faudrait pour obtenir un bilan carbone neutre, et de combien de kilomètres elles seraient espacées sur la totalité des terres émergées. Et je suis tombé de l'armoire.
Vraiment très très cool ta vidéo !! Rythmée, très bien scénarisée, riche en info et... crédible ! BRAVO et un gros merci ! :) Il faut que les gens la partagent au plus vite !!
François Gemenne est belge ?! Aïe mon coeur de français 😂😂 (En vrai, on le voit beaucoup dans la télé française)
PS : J'adore votre émission ❤
A la base c'est un scientifique de l'Université de Liège. 😉
Le plus grand expert du GIEC a dit il y a 20 ans "j'adore l'eau dans 20 30 ans y'en aura plus"... Or y en a encore partout de l'eau, preuve qu'on peut pas les écouter et leur faire confiance.
Attention quand même, quelques fois les scientifiques se trompent ; par exemple, quand ils affirment que la terre est ronde alors que tout le monde voit bien qu'elle est plate 😁
Moi je ne risque rien, ma voyante me la dit en plus j'ai une pierre magique 😂😂😂
Merci pour ce second degré… ceci dit, oui, un scientifique, voire toute une communauté scientifique, peut tout à fait se tromper*
Une quasi-définition d’une hypothèse scientifique est qu’elle doit être réfutable (merci à K. Popper).
Par exemple l’hypothèse d’une Terre plate est parfaitement réfutable, et elle est clairement réfutée.
De même l’effet de serre est réfutable, n’en déplaise à J. Fourier sauf que jamais personne n’a réussit à le réfuter.
Par contre, le lien direct entre température et émissions de GES est loin d’être démontré car le climat est un phénomène beaucoup plus complexe qu’un simple effet linéaire (ce que d’ailleurs les climatologues disent également!)
* une majorité ne fait pas une vérité !
@@philippehuchon236 Ah, Philippe, vous êtes un véritable virtuose du sophisme scientifique. Vous commencez avec une référence à Popper (classique pour essayer de paraître sérieux) et finissez par déformer grossièrement les bases mêmes de la science climatique. Chapeau bas pour cette performance, mais permettez-moi de répondre point par point, avec un minimum de rigueur que vous semblez avoir oublié en cours de route.
1. *« Un scientifique, voire toute une communauté scientifique, peut tout à fait se tromper. »*
Bien sûr, Philippe, cela arrive. Mais ce n’est pas parce que la science peut se corriger qu’elle est _par défaut_ erronée. Vous semblez oublier que le processus scientifique repose sur des décennies de vérifications, de contre-vérifications, et d’expérimentations par des milliers de chercheurs indépendants. En d'autres termes, oui, une erreur peut survenir, mais le consensus scientifique sur des sujets comme l'effet de serre ou le rôle des gaz à effet de serre dans le réchauffement climatique n’est pas basé sur une intuition ou un vote de popularité. Il repose sur des données empiriques accumulées depuis plus d’un siècle. C’est amusant, vous semblez croire que le scepticisme de votre clavier peut rivaliser avec cela.
2. *« Le lien direct entre température et émissions de GES est loin d’être démontré. »*
Ah, là, on passe aux choses sérieuses : pure désinformation. Le lien entre les gaz à effet de serre et l’augmentation des températures est démontré depuis les travaux de Joseph Fourier (vous l'avez mentionné, bravo), confirmés par Tyndall, Arrhenius, et des milliers d’études récentes. Ce n’est pas juste de la théorie : *les satellites mesurent la radiation infrarouge qui s'échappe de notre atmosphère vers l'espace.* Comparer les données de 1970 et 1996 montre que moins d'énergie s'échappe aux longueurs d'onde que les gaz à effet des serre absorbent. Ce phénomène est décrit par les chercheurs comme : *« une preuve évidente directe et expérimentale d'une augmentation significative des gaz à effet de serre sur Terre. »* Plus récemment, d'autres satellites ont confirmé ces résultats. Alors, Philippe, quelle partie de cette démonstration ne vous convient pas ? Les mathématiques ? La physique ? Ou simplement le fait qu’elle démolisse vos affirmations gratuites ?
3. *« Le climat est un phénomène beaucoup plus complexe qu’un simple effet linéaire. »*
C’est vrai, et personne ne dit le contraire. Les climatologues eux-mêmes parlent de rétroactions complexes (effet amplificateur ou modérateur), mais cela ne change rien à la base : *les gaz à effet de serre piègent la chaleur.* Dire que la complexité du climat invalide les conclusions sur le réchauffement, c’est comme dire qu’une horloge est trop complexe pour qu’on en comprenne le mécanisme. Et pourtant, elle fonctionne parfaitement. D’ailleurs, un autre faisceau de preuves s’appelle *l’empreinte digitale de l’effet de serre* : le réchauffement est fort dans la basse atmosphère et on observe un refroidissement dans la haute atmosphère. Ce phénomène est dû au mécanisme par lequel l’atmosphère garde la chaleur en bas. C’est d’ailleurs pour ces travaux d'empreinte digitale que Klaus Hasselmann a reçu le prix Nobel de physique. Mais bon, je suppose que votre expertise rivalise avec un Nobel ?
4. *« Une majorité ne fait pas une vérité ! »*
Ah, la rengaine préférée des climato-dénialistes. Vous avez raison en théorie : une majorité n’établit pas une vérité. Mais en science, un consensus écrasant formé par des milliers de preuves indépendantes est le meilleur indicateur que nous avons. Ce n’est pas un argument d’autorité, c’est un argument de méthode. Et dans le cas du climat, toutes les données pointent vers la même conclusion depuis des décennies. Vous avez une preuve contraire ? Non ? Alors pourquoi continuer à insinuer un doute qui n’existe pas ?
*En résumé, Philippe :*
Votre commentaire tente d’habiller un scepticisme infondé avec des références philosophiques mal digérées et une incompréhension manifeste de la science climatique. Si vous voulez réfuter quelque chose, commencez par lire les rapports du GIEC (ou même une introduction à la physique de l’atmosphère). Vous pourriez découvrir que les liens entre émissions de gaz à effet de serre et réchauffement sont non seulement démontrés, mais également intégrés dans tout, des modèles climatiques aux politiques internationales. En attendant, votre argumentation ressemble à une Terre plate : superficielle et pleine de trous. 😊
Bravo. Dommage que je suis déjà convaincu. Est-ce que les climato-négationiste et la climato-rassuriste regarderont la vidéo ?
Super reportage. J'utiliserai cette vidéo pour contrer certains arguments. J'utilise souvent le Giec comme argument d'autorité. Et on me répond à ça que la science se trompe parfois. Je réponds à ça que justement ici, rien ne fait débat dans le rapport du GIEC et que les conclusion sont prudentes. De plus, les phénomènes observés apparaissent plus vite que les projections. Cette vidéo me donnent d'autres arguments comme l'ouverture à relecture et l'indépendance des scientifiques.
Courage, on est tous dans le même bateau !
Mon entourage proche s'en désintéresse profondément et j'ai l'air du gourou qui cherche à faire des adeptes malgré mes tentatives d'amener le sujet sur des faits qu'ils connaissent...
Mon lobbying au travail fait un peu plus d'effets mais dans l'ensemble, il faut un tel niveau de maîtrise des sujets pour contrecarrer toutes les certitudes biaisées que j'atteins rapidement mes limites.
Le climatoscepticisme est très actif sur les réseaux sociaux et utilise tous les moyens pour discréditer le GIEC et le réchauffement climatique
@@SoleilNoir7 Je suis tout à fait d'accord avec vous. Maintenant, je commence à bien me débrouiller et j'arrive à contrecarrer la grande majorité des arguments climato-sceptique. Mais je me forme intensément sur le sujet. L'autre axe, que je tente d'aborder, c'est de changer le récit. Ne pas dire "je prends le train et pas l'avion pour l'environnement même si c'est 2 fois plus long" mais "Je prends le train pour ressentir cette sensation du voyage. Voir les paysages changer, prendre le temps pour soit et se regarder quelques films, prendre le temps de lire, découvrir de belles gares..."
Ne lâchons rien les gars ! C'est ensemble qu'on y arrivera !
@@romain8119 oui rendre le récit d'une sobriété choisie inspirant est une super entrée en matière pour une oreille prête à écouter.
On y arrivera !
@@romain8119
Alors comme ça tu arrive à contrecarrer les climatosceptiques .
Et si je te disais qu'au sein du Giec (inventé par Margaret Thatcher), qu'il y a un rapport interne diffuser par les cadres scientifiques du Giec en 2014 , pour les scientifiques qui collaborent avec le Giec .
En conclusion de ce rapport , il est écrit ceci ,
"Le climat ne se réchauffe plus depuis 1998 , nous sommes sur un plateau , mais la température n'augmente plus".
L'unique problème du GIEC est leur propension à systématiquement utiliser les fourchettes basses (prudence scientifique) qui fait que leurs rapports sont systématiquement optimistes par rapport aux chiffres réels. En gros on va dans le mur et il se trouve encore des gens 'censés" pour nier la catastrophe.
j'ai un arc et des fléches et le steak de mamouth avec des asperges sauvages c'est excellent
Non, les incertitudes connues sont données.
Et malgré leur "optimisme" on arrive à les accuser de castrophistes. Pourtant, les événements observés arrivent 10 ans plus tôt que ce que les modèles prédisaient.
en effet on est dans une situation aberrante où le GIEC est plutôt en moyenne trop optimiste (ou plus exactement pas eux mais les études de la communauté scientifique, parce qu'un scientifique est généralement très prudent et donc plutôt du coté "pas trop éloigné de maintenant" quand il décrit un changement) et en même temps on a le lobby du doute qui prétend qu'ils sont pessimiste et que tout va bien (il faut bien que ces gens vivent, après avoir été actif dans le tabac, il est temps de changer de pigeons car faire croire que le tabac est bon pour la santé, cela ne passe plus)
@@MarcMarc-cf9mq vos connaissance du climat et ces variations sont a peut prés equivalente a celle d'un poisson rouge, revener sur 2300.00 ans en arriére
C'est Reagan et Thatcher qui ont initié le Giec bien avant 1988...
Soyons honnetes envers nous même : le réchauffement (global) est une réalité MAIS il est dû à notre accroissment de notre confort : il n'y a pas d'alternative crédible à court terme pour remplacer les énergies fossiles ET l'inertie du système se comptant en centaines voir milliers d'années la conclusion évidente est qu'on ne peut rien faire contre ce changement climatique."ça passe ou ça casse". Donc il vaut mieux s'organiser pour RESISTER à celui-ci . comment ? bon déjà en réorientant tous les "efforts intellectuels" vers la recherche de solutions : pour la climatisation durable / l'isolation / la culture agricole en milieu chaud / le traitement de l'eau / création de barrages / le réaménagement des litoraux / la réindustrialsation au niveau local pour moins de dépendance externe/ etc....ah oui une dernière chose : une armée forte et locale pour résister à la pression exterieure.
C'est exactement ça.... lutter contre le changement climatique reviendrait à renoncer à notre confort et les soldes d'été.
@@adolfoe.4155 c'est la conclusion de principe des COP : solutionner les problèmes sans gêner le système qui les engendre.
La seule issue est un changement radical de notre manière de faire société : soit par choix, c'est la décroissance, soit imposée par notre inaction, c'est la barbarie partout.
Je ne connais personne qui militerait pour des guerres, famines et épidémies partout mais pourtant c'est la voie que nous prenons.
Résister à ce que nous engendrons est futile.
S'adapter ne suffira pas (on s'adaptera comment dans 50 ans quand 3 milliards de migrants climatiques venant de la zone tropicale devenue invivable viendront en Europe ou Amérique du Nord ??)
Seule solution : il nous faut fortement réduire nos émissions de CO2.
@@franckr6159 oui c'est vital mais aussi dérisoire : une énergie, aussi décarbonée soit-elle, sert toujours le même projet : convertir la nature en déchet.
Organiser la descente énergétique et matérielle est un début de réponse efficace.
cela n'a rien d'honnete, prétendre qu'améliorer la situation revient à revenir à l'age de pierre une des 12 excuses classiques de l'inaction climatique.
et pourtant un logement passif est beaucoup plus confortable qu'une passoire thermique fossile
Avec notre situation économique en Europe (risque d'inaction) et l'élection de trump (déni climatique), on va être bien
Il est temps de se mobiliser !
@romain8119 on va d'abord passer par la phase gouvernement autoritaire. Les gens aiment bien goûter la merde avant de s'en détourner
@@jojolag31 Pourquoi se résoudre à ce fatalisme non désirable ? Je pense que beaucoup d'actions peuvent-être prise et être soutenue par la population. Par exemple, les subsides sur l'aérien ne profite qu'à une petite partie de la population, les rénovations énergétiques des bâtiments permettent de réduire les charges et d'augmenter son confort de vie, Une TVA augmentée sur les produtis de malbouffe avec en retour une TVA réduite sur les produits frais profiterait au portefeuille et réduirait les frais de santé...
Bof, Trump ou pas, les US continuent de développer les énergies fossiles, et l'Europe, pourtant signataire des accords de Paris, achète leur gaz pourri et contribue ainsi à l'aggravation de la cata... Et sans le GIEC et les cop, on serait à peu près dans la même mxxde.
@@jojolag31 n'as tu pas l'impression comme moi d'en avoir plein la bouche et l'estomac de la merde de gouvernements autoritaires qui décrètent d'autorité que le système économique concurrentiel mondial actuel est le seul horizon, genre TINA ? Non pas que les autoritaires, comme on l'entend couramment, chinois ou russe, soient globalement enviables, m'enfin concernant le climat ou la biodiversité ... Un bon coup de balai s'impose.
POSITIF 😋
Ais-je déjà dit que je kiffe la RTBF ? Je le redis !
Il est déjà trop tard.
On a même pas commencé à changer nos modes de vies à croissance infini
La decroissance subi sera notre avenir
Pourquoi se résoudre a un tel fatalisme ?
Bravo, vous venez de défendre l'immobilisme et le fait de ne surtout rien faire.
Je sais pas si s’était votre but, mais en tous cas c'est la finalité de votre discours...
@romain8119
Personne ne veut changer son mode de vie
@wenyuda24
Jean Baptiste fressoz nous démontre qu aucune transition n aura lieu
Jean marc jancovici démontre notre dépendance au pétrole
Arthur keller nous explique les crises systemique à venir
Aurore stephan nous explique la pollution des minières
Etc
C est quoi votre solution ??
@@wenyuda24
On veut nous convertir au voiture electrique et on continue de voyager en avion et en bateaux de croisière
Elle est où l amélioration
Le co2 ne cesse d augmenter
La 7e limite planétaire est franchi
J invente rien
On a pas 100 ans pour changer ??
Chaque personne politique s'intéresse à une partie du rapport, et en fonction ils ont des assistants pour l'éplucher. Il n'est jamais utile de tous lire. Mais s'il faut trois semaines nuit et jour pour tout lire, ça fait six mois avec un temps normal de lecture si c'est ton boulot. Ce n'est pas infaisable, à la retraite.
L'élaboration du rapport est bénévole, effectuée par des gens compétents dans le domaine dont ils font la synthèse, pour leur prestige et l'utilité. Et ils font un résumé pour les dirigeants.
Les rapports du GIEC traduisent la réalité scientifique mais personne ne les lit (8000 pages) donc les gens ne lisent que le résumé (le SPM) qui lui minimise la réalité du problème.
J'explique :
Le rôle du GIEC est de synthétiser les milliers d'études scientifiques concernant le climat. Ses rapports (groupes de travail WGI, WGII et WGIII, qui font entre 2 et 3000 pages chacun) décrivent donc l'état des connaissances sur le dérèglement climatique. Et l'aspect "politique" du GIEC a été à l'origine voulu par Reagan et Thatcher qui voyaient bien que laisser des scientifiques s'exprimer librement sur un sujet avec de fortes implications sur l'énergie (puisque le problème c'est bien le CO2 et les énergies fossiles) était trop dangereux. C'est pourquoi le résumé pour les décideurs (le SPM: Summary for Policy Makers) qui est le seul rapport qu'ils lisent (42 pages, ils ne vont pas lire les 8000 pages détaillées des rapports scientifiques!) est lui contrôlé par les états. Sans surprise il tendent dans le SPM à atténuer ce que disent les rapports détaillés, à éviter de critiquer ouvertement les énergies fossiles et à ne surtout pas parler explicitement de limiter leur utilisation. Mais les conclusions scientifiques du GIEC qui sont : 1- le climat se réchauffe de plus en plus vite ; 2- c'est nos émissions de CO2 qui en sont la cause ; 3- les conséquences du réchauffement seront très graves sur notre environnement et notre économie ; ces conclusions sont parfaitement valides.
je ne savais pas que les scientifiques étaient là pour être crus, je pensais que c'était la religion qu'il fallait croire...
On croit une religion sans preuves, mais on croit les scientifiques seulement lorsqu'ils apportent des preuves.
Sur le climat et la cause humaine du réchauffement actuel les preuves sont nombreuses, donc oui on les croit.
Vous ne "croyez" pas non plus votre médecin quand il parle de votre santé, ou votre garagiste quand il parle de voiture ?
@@kevclem8663vous êtes au premier degré ?
@@raphaelcaceres9129 Pas plus ou moins que le commentaire auquel je réponds à mon avis.
Bah, y sont où les climato-sceptiques qui pullulent généralement sous ce genre de vidéo, ceux-là qui se gargarisent de leur ignorance ?
Ceux qui nous expliquent que l'effet de serre n'est pas possible dans notre atmosphère parce que, je cite: « on n'a pas de plastique qui recouvre l'immensité de l'univers et nous avons l'air qui circule, ça ne saurait pas faire un effet de serre. »
Ceux qui ont compris tout ce qu'il y a à comprendre sans jamais avoir ouvert le moindre ouvrage scientifique de leur vie.
Ceux qui ont compris tout ce qu'il y a à comprendre parce que, eux, savent mieux que les autres même s'ils ne bitent rien du tout à ce qu'il se passe.
attends, on t'a vraiment sortit cette phrase ? des arguments claqués j'en ai vu, et finalement souvent les mêmes, mais celui ci, c'est une pépite ! oh bordel je dois la noter
@@BlackCat-ci1ib Yep, sous une vidéo intitulée "COP29 : une conférence climatique de tous les défis, surtout financier - RTBF Info" récemment parue sur RTBF Info.
Mais alors, l'effet de serre serait donc possible dans les embouteillages ? 😂
J'ai déjà rencontré cet argument absurde, je préfère en rigoler tant que c'est encore possible.
Scientifiques choisis par les gouvernements ! Sur quels critères ? N’y a-t-il pas risque de conflit d’intérêt ou de partialité, dès le départ ?
Et si non, pourquoi svp ?
Oh, quelle perspicacité, Jean-Sébastien ! Vous venez de mettre en lumière une question que personne - absolument personne - n’avait pensé à poser depuis la création du GIEC en 1988. Heureusement que vous êtes là pour nous ouvrir les yeux. Alors, parlons de ces fameux « _scientifiques choisis par les gouvernements_ ».
Les critères ? Vous allez être déçu : ce ne sont pas des experts en flatteries diplomatiques ou en manipulation, mais des chercheurs ayant des doctorats dans des disciplines pertinentes (climatologie, géophysique, chimie, économie, etc.) et ayant publié des études dans des revues scientifiques avec comité de lecture. Le GIEC lance un appel à candidatures, et les gouvernements proposent des noms. Mais - et c’est là où votre théorie de la manipulation s’effondre - c’est le bureau du GIEC qui sélectionne les scientifiques en fonction de leurs compétences et de leur expertise, pas de leur talent à servir des intérêts politiques.
Quant au risque de conflit d’intérêt, vous imaginez peut-être 195 pays réussir à s’entendre sur une manipulation commune pour aligner leurs intérêts politiques divergents. Intéressant ! Mais si même ces États sont incapables de se mettre d'accord sur des questions comme le commerce mondial ou les droits de l'homme, comment feraient-ils pour orchestrer un consensus truqué sur la base de 66 000 publications scientifiques ? Si cela était possible, on devrait les inviter à résoudre les conflits mondiaux en quelques jours.
Pour ce qui est des scientifiques eux-mêmes, vous seriez surpris d’apprendre qu’ils ne reçoivent pas un centime du GIEC pour leur travail. Oui, la majorité est financée par leurs institutions de recherche, ce qui leur permet de consacrer du temps à la rédaction des rapports. Mais jongler entre ce travail monumental et leurs propres responsabilités académiques reste un défi. Et, bien que certains travaillent parfois tard la nuit ou les week-ends, il ne s'agit pas d'une généralité mais d’un effort ponctuel pour répondre à l'ampleur de la tâche.
Enfin, si cela vous intéresse (mais j’en doute), ces rapports sont relus et commentés par des milliers d’autres scientifiques. Et les gouvernements ? Ah, ils peuvent formuler des observations sur le deuxième brouillon. Si ces observations ne tiennent pas la route scientifiquement, elles sont tout simplement ignorées. Quant au résumé pour décideurs (ce fameux document de 30 pages que les gouvernements approuvent phrase par phrase), il ne peut contenir que des éléments déjà présents dans le rapport complet. Donc, en quoi exactement ces gouvernements manipulent-ils des scientifiques qui travaillent sous la supervision de leurs pairs, et dans un processus transparent ?
Bref, votre crainte de partialité est charmante, mais la réalité est bien moins dramatique. Si vous cherchez des conflits d’intérêt, il va peut-être falloir se tourner vers d’autres sphères que la science climatologique. Mais bon, merci pour votre commentaire, il nous aura au moins donné l’occasion de réviser les bases du fonctionnement du GIEC.
C'est un très bon communicant, c'est incontestable. Mais... quelle est sa profession ? Son parcours ? Sa formation ?
Quelle est son expertise ? C'est l'info principale pour légitimer l'aspect scientifique du GIEC (qui,effectivement, ne contient le mot "expert" que dans l'usage en France puisque même l'acronyme de l'intègre pas...)
Ce sont des "diplomates", émanation de l'ONU, nommés par les gouvernants des 195 pays membres (c'est toi qui le dit !) Et qui présentent des interprétations tronquées, orientées, et forcément subjectives de ces pavés proposés par des "experts indépendants".
Cette vidéo, bien que très bien montée et agréable à regarder, n'apporte aucune preuve.
Ah, quel plaisir de lire un commentaire aussi profondément informé. Votre analyse linguistique de l'acronyme du GIEC est fascinante : effectivement, le mot « _expert_ » n'est pas dans « _IPCC_ ». Une révélation bouleversante. Mais savez-vous ce qui y est ? Les 234 auteurs du rapport _AR6 WG1,_ tous détenteurs de doctorats en climatologie, physique, chimie, ou disciplines connexes, ayant publié dans des revues à comité de lecture. Je vous invite à une recherche rapide : *« IPCC authors AR6 WG1 ».* Vous pourrez ainsi constater par vous-même qu'il s'agit bien d'experts, _à condition de vouloir voir la vérité, bien sûr._
Quant à votre théorie sur les « _diplomates_ », elle est passionnante. Mais quelques faits risquent de la gâcher. Le bureau du GIEC est élu par les représentants des 195 États membres. Ces mêmes États commandent un rapport, fixent les grandes lignes des sujets à aborder et… s’en vont. Ensuite, le GIEC recrute, via appel à candidature, des centaines de scientifiques experts dans leurs domaines pour travailler sur l’un des trois groupes : bases physiques du climat, vulnérabilités, et atténuation du changement climatique. Les candidatures sont sélectionnées strictement en fonction des expertises, et ce sont les scientifiques, pas les États, qui rédigent les rapports.
Et les fameuses « _observations_ » des États sur le deuxième brouillon ? Elles peuvent être rejetées si elles ne sont pas basées sur la science, ce qui arrive fréquemment. Au final, seuls les scientifiques rédigent et valident les rapports complets. Les États approuvent uniquement le _Résumé pour décideurs,_ et ce document ne peut rien inclure qui ne soit déjà contenu dans le rapport complet. Mais je comprends que ce processus vous échappe, surtout si vous confondez rigueur scientifique et complot diplomatique.
Quant à votre conclusion sur le manque de preuves : _les rapports du GIEC sont les preuves._ Vous pouvez les lire gratuitement en ligne, ce qui est une chance unique pour quiconque s’intéresse vraiment aux faits. Mais je suppose qu’il est plus simple de décrier une vidéo vulgarisée que de s’attaquer aux 10 538 pages du rapport AR6 ?
Bref, merci pour votre analyse linguistique, géopolitique et scientifique d’une rigueur inégalée. Heureusement, nous pouvons nous fier aux scientifiques du GIEC pour comprendre le climat, puisqu’il semblerait que votre expertise se limite à tordre les faits pour nier l’évidence. Mais bon, votre contribution aura au moins offert à tous ici un moment divertissant.
Si vous vous renseignez un peu, tout est dispo sur youtube, des vidéos beaucoup plus longue que 10 minutes.....
Dans l'acronyme du IPCC, le GIEC en anglais donc (Intergovernmental Panel on Climate Change, IPCC), on ne retrouve pas le mot "experts" ; dans l'acronyme français non plus d'ailleurs, où le mot "experts" a été rajouté à la truelle pour donner une caution scientifique.
Mauvaise foi.
De plus, il est avéré, de façon sourcée, que sont mises de côté une grande quantité d'études parues dans le monde qui vont à l'encontre des résultats que l'on souhaite obtenir. Enfin, les conclusions du rapport disent souvent des choses très différentes de ce que les études retenues démontrent.
L’effondrement de la biodiversité, à cause des résidus industriels et autres pesticides, est bien plus inquiétant mais, bizarrement, rarement documenté (s'intéresser aux travaux d'Aurore Stefan pour se rendre compte du désastre industriel en cours pour soutenir, entre autres, la production de batteries et autre éoliennes).
Je rajoute également que les astronomes observent un réchauffement de toutes les planètes du système solaire dans les mêmes proportions que ce que l'on observe chez nous (activité solaire ?).
Et, quand bien même tout ça serait vrai, je ne souhaite pas être sacrifié inutilement quand on a la Chine, l'Inde, les USA, qui ne comptent pas faire d'efforts. La France ne représente même pas 1% des émissions.
Si nous étions vraiment en démocratie, il est certain que nous n'envisagerions même pas de sacrifier une partie de notre mode de vie contre une réduction des émissions de CO2.
Oui, mais... expert ne veut pas toujours dire vraiment compétent... Mais, un scientifique intègre l'est souvent. Le mot "expert" étant sujet éventuellement à des doutes, il faut donc faire appel à un spécialiste en expert... Là, ça devient plus compliqué comme dirait Raymond Devos... Il faut donc lire le rapport du GIEC pour savoir si ces spécialiste sont des experts... Il y a des chances que oui. Reste que les solutions font que ceux qui sont en avance par rapport à ceux qui veulent ne rien faire complique les choses. Exemple : l'Algérie à abandonné l'essence sans plomb il n'y a qu'environ que 2 ans. Ca laisse imaginer le reste.
Ah, Kramer, que ferions-nous sans votre éclairage si « précieux » sur le GIEC et le climat ? Vous êtes manifestement l’homme qui a découvert que l’absence du mot « experts » dans un acronyme était la preuve irréfutable d’un complot mondial. Chapeau bas ! Alors, allons-y point par point pour décortiquer vos brillantes assertions.
1. *Le mot « experts » dans GIEC ajouté à la truelle ?*
Ah, oui, bien sûr, c’est sûrement en cachette que 195 États ont conspiré pour insérer ce mot afin de tromper le monde entier. Vous auriez pu, par exemple, vérifier les 234 auteurs du rapport physique de 2021 _(AR6 WGI),_ tous titulaires de doctorats, chercheurs en climatologie ou disciplines associées, et publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture. Mais bon, pourquoi faire des recherches quand on peut juste... inventer ?
1. *Les études « mises de côté » mystérieusement ?*
Ah, vous affirmez qu’on écarte des études sans donner une seule référence. Saviez-vous que tout scientifique peut commenter les brouillons des rapports du GIEC et signaler les études manquantes ? Ces commentaires (et les réponses des auteurs) sont publics. Mais bien sûr, Kramer, vous êtes trop occupé à imaginer des complots pour aller vérifier ce genre de détail.
3. *L’effondrement de la biodiversité oublié ?*
Vous avez raison, Kramer, l’effondrement de la biodiversité est tellement ignoré qu’il existe... un organisme international entier, l’IPBES, parfois surnommé « le GIEC de la biodiversité ». C’est étrange comme ces scientifiques aiment tellement ignorer les problèmes qu’ils créent des institutions pour les traiter.
4. *Le réchauffement des planètes du Système solaire ?*
Ah, le bon vieux mythe de l’activité solaire. Vous devez être ravi d’apprendre que l’activité solaire DIMINUE depuis plusieurs décennies. Oui, DIMINUE. Ce sont des faits mesurés. Et les histoires de réchauffement sur Neptune ou Pluton sont basées sur des observations limitées, rien de comparable à nos données terrestres. Mais ne laissez pas la réalité gâcher une bonne théorie foireuse.
5 *« La France ne représente que 1 % des émissions*
Ah, le classique du « à quoi bon agir, on est petits ». Ce raisonnement est magnifique : si chaque individu, chaque pays se disait qu’il ne représente qu’une fraction du problème, alors autant ne rien faire, et continuons joyeusement vers la catastrophe. À ce stade, votre logique brille autant qu’un lampadaire éteint. De plus, saviez-vous que les pays comme la France ont un rôle crucial en montrant l’exemple et en aidant les transitions mondiales ? Probablement pas, mais c’est noté dans les rapports du GIEC. Encore une fois, il faudrait les lire.
6. *« Sacrifier notre mode de vie »*
Vous opposez la démocratie à l’action climatique, comme si vouloir un avenir vivable était un caprice autoritaire. Pourtant, les rapports insistent sur des transitions justes et inclusives. Mais il faut croire que vous confondez « constat scientifique » et « décision politique ». Peut-être que pour vous, toute action collective est une attaque personnelle contre votre droit sacré d’être égoïste.
En conclusion, Kramer, si vos arguments étaient aussi solides que vos certitudes, on pourrait presque les prendre au sérieux. Mais voilà, vos « preuves » sont soit inventées, soit contredites par les faits. Allez, un petit effort : ouvrez un rapport du GIEC. Vous pourriez apprendre quelque chose, à défaut de nous divertir avec vos élucubrations.
@@jocelynguenard8572 : oui, en effet, des pays se sont développés moins tôt que d'autres.
Et Si l'Algérie n'a abandonné l'essence sans plomb (ce qui n'a une incidence que sur la santé de leurs résidents) qu'il y a deux ans, il n'empêche que leurs émissions de CO2 par habitant sont bien moindres que celles d'un français.
Concernant ce pays, c'est étrange, je croyais que la France l'avait colonisé durant près de deux sicles pour y apporter la civilisation, la connaissance, le développement. Ne me dites pas que c'était juste parce qu'il y avait du pétrole, je ne vous croirais pas.
Depuis que j ai regardé une vidéo de François avec Jean Baptiste fressoz j ai perdu confiance en cette homme
On a vu la même, ressenti partagé si ça peut te consoler.
tellement de choses à dire sur cette vidéo, je vais résumé tu es une factchekeuse.
Soyez honnêtes, y-a-t-il un seul scientifique "climato-sceptique" parmi les scientifiques qui sont choisis pour écrire ces rapports ?...
Non, il n'y en a aucun, donc forcément ils sont tous d'accords pour dire la même chose...
C'est comme les militants des partis politiques, ils ne parlent qu'entre eux et refusent d'écouter ceux qui ne sont pas d'accord avec eux, forcément ils sont persuadés de détenir LA vérité... et après ils s'étonnent de prendre une branlée aux élections... (et c'est valable pour TOUS les partis).
La vérité est qu'il y a des scientifiques climatosceptiques. Cependant, il n'y a pas d'études climatosceptiques. Les scientifiques interviewer sont certes, scientifique mais pas compétent sur les question de climat. Demander à un médecin chercheur de parler de l'espace, il devrait avoir la décence de reconnaitre son incompétence. C'est comme demander à votre pharmacien d'éteindre l'incendie. Ben non on demande au pompier. Ces par ce phénomène que l'on peut avoir des prix Nobel climatosceptique qui donne leur opinion mais qui ne se base pas sur les faits.
Si il existait 1 étude dans le monde qui émettrais des doutes scientifiquement pertinent, il serait pris en compte par le GIEC.
La question c'est plutôt, existe il un preuve scientifique qui aille dans le sens des climato-sceptique, et la réponse semble être non...
Tout ce qu'on entend de climato-sceptique est fait par des pressions des plus gros lobbys de la planète (qui ont beaucoup a perdre) et des particuliers qui vendent des bouquins...
Comme il est dit dans cette vidéo, tout messages reçus par le giec provenant d'une personne aillant déjà été publié DOIT recevoir une réponse, ou sont les réponse qu'on reçus ces par ces soit disant scientifiques qui remettrais en doute 200 ans de preuves scientifiques ?
Nul part... car il y serait expliquer d'ou viens leurs erreur, et il ne pourrait plus vendre leurs bouquins...
Vous défendiez les cigarettiers dans les années 50 vous, non ?
Et encore... les cigarettiers avait plus de "preuves" scientifiques que ne l'on les climato-sceptique aujourd'hui...
Des travaux de scientifiques "sceptiques" sont cités dans les rapports du GIEC, si ça vous rassure...
Ils.pourrait ne pas le faire.
Pourquoi le font-ils ?
@@kevclem8663
"cités" ou pris en compte, parce que ça n'a aucun rapport...
@@LoLo-ft6nj
Dans ce rapport, comme dans d'autres publications scientifiques, quand on cite un autre travail, c'est pour son apport.
Donc c'est que le résultat obtenu dans ce travail est aussi pris en compte.
Ce qu'il faudrait comprendre ce n'est pas tant l'idée pour certains le fait pour d'autres de l'échauffement du gaz sur terre que....
L'extase violente due au surcroît d'énergie dans nos topologie dialogique il y avait un risque d'échos à l'intérieur même des systèmes cycles.
Se risque à été pris en connaissance de causes, nous savions à des degrés divers et variés
l'homéostasie des cycles biochimique, phosphore, carbone, azote, ect ,
Peut-être il est temps de comprendre autrement.
Ceci est une croyance.
n'oublions pas que les pets de dinausores ont influencé le climat il y a 6000. 000 ans
@micheldaudin4308 et peut-être aussi à l'époque precambrienne ! Stromatolithes .làbas , les pets sont stratosphérique !
C'est sûrement pas en mettant des éoliennes qu'on parle d'écologie ça je suis désolé. Quand vous faites une équipe de A à Z vous rendez compte que c'est tout faux voilà. Il faut rester factuel il faut être réaliste en mettant des centrales à la place oui comme EDF
De quel type de centrale parlez-vous ? Aussi, je tiens à préciser, que le problème du réchauffement climatique est le temps réduit que nous avons. Le transition électrique se fera par l'augmentation de l'usage de l'énergie électrique. Afin de répondre à l'augmentation de la demande, aucun scénario n'arrive à se passer de l'emploi d'éoliennes. Le risque est que les centrales nucléaires arrivent trop tard. Les énergies renouvelables ont l'avantage d'être rapidement déployable.
Mais oui comme toute technologie, elles engendre aussi des effets négatifs. Tout est une question de balance.
👌👌👌
La sobriété reste la meilleure solution pour l'instant.
@@TheCptFlamme quelle sobriété ? Celle qui consiste à faire venir des produits de l'autre bout du monde ou celle qui consiste à taxer les gens à mort ?
UNE éolienne c'est plus de 1000 tonnes de béton rien que pour planter le pied. Il faut plus de 20 ans pour que l'éolienne produise l'énergie qu'il a fallu pour la fabriquer et l'installer. Sans compter tout ce sable perdu pour faire ce béton, qui je le rappelle est en baisse car on ne peut pas utiliser le sable du désert pour faire du béton... Et sans compter aussi tous les métaux rares pour faire les aimants du rotor et stator, etc... Et sans compter qu'une éolienne ne vie qu'une trentaine d'années. C'est juste un business de plus entre les politiques, les appels d'offres, et les proches des politiques qui ont les entreprises d'éoliennes. Et toutes les entreprises qui profitent des subventions astronomiques pour des constructions qui n'ont rien à voir avec l'écologie ! L'énergie produite est dérisoire et devient même négative quand on prend en compte sa construction. 20 ans pour amortir l'énergie de sa construction, ça lui laisse 10 ans avant de finir obsolète, rouillée, à remplacer, et même dangereuse. Et ça tue aussi des milliers d'oiseaux ! Les éoliennes c'est le pire truc qui soit arrivé à l'écologie.
Par contre François Gemene , c’est un scientifique ? 😂
Ça y est j’ai vu pendant 1 millième de seconde 2 graphiques je suis scientifique!
C’est la vidéo la moins enrichissante que j’ai jamais vu sur le climat.
Ah, Fabien, quelle critique ciselée ! Vous attaquez François Gemenne, visiblement sans savoir ni qui il est, ni ce qu'il fait. Quelle élégance. Permettez-moi donc de vous éclairer un peu, histoire que votre prochain commentaire ait au moins l’air vaguement informé.
1. *« François Gemenne, c’est un scientifique ? 😂 »*
Ah, oui, bien sûr, Fabien, un docteur en sciences politiques spécialisé dans les migrations environnementales et climatiques n’est sans doute pas un scientifique pour vous. Après tout, vous semblez penser qu’un scientifique, c’est uniquement quelqu’un qui regarde des graphiques. Fun fact : François Gemenne a soutenu une thèse de doctorat sur les migrations environnementales et est un expert mondialement reconnu dans ce domaine. Mais bon, pourquoi laisser les faits gâcher votre punchline, n’est-ce pas ?
2. *« Ça y est, j’ai vu deux graphiques, je suis scientifique ! »*
Vous confondez manifestement la vulgarisation scientifique avec un cours universitaire de 300 heures. Cette vidéo n’est pas là pour faire de vous un expert (et heureusement, vu votre disposition à apprendre), mais pour sensibiliser. Si vous voulez vraiment enrichir vos connaissances, vous pourriez commencer par lire un des rapports du GIEC, en particulier ceux du deuxième groupe, où François Gemenne a contribué. Mais bon, ça demanderait un effort bien plus grand que de pondre un commentaire sarcastique, j’imagine.
3. *« La vidéo la moins enrichissante que j’ai jamais vue sur le climat. »*
Vous savez, Fabien, le problème ici ne semble pas être la vidéo, mais votre réticence à écouter. Peut-être que ce n’est pas la vidéo qui manque de contenu, mais votre curiosité qui manque de profondeur ? Si vous vous intéressiez au rôle du GIEC et à ses trois groupes (physique, impacts et vulnérabilités, atténuation), vous comprendriez pourquoi des spécialistes comme François Gemenne, politologues ou économistes, y ont leur place aux côtés des climatologues. Mais encore une fois, cela impliquerait de faire preuve d’un minimum de bonne foi.
En bref, Fabien, si vous avez des critiques à faire, commencez par comprendre de quoi vous parlez. Vous pourriez apprendre que François Gemenne a largement sa place dans ce débat, contrairement à vos commentaires qui, eux, enrichissent autant que deux minutes de publicité entre deux vidéos de chats. Bonne chance pour vos prochaines contributions, en espérant qu’elles soient un peu plus... scientifiques. 😊
« Chaque gouvernement va sélectionner les chercheurs de son pays qu’il juge pertinent » . Tout est dit.
Et si vous cherchiez un minimum au lieu de dire n'importe quoi ?
Source GIEC (sélection des experts):
La sélection s’effectue comme suit: un appel à candidatures est d’abord lancé auprès des gouvernements
et des organisations ayant le statut d’observateur auprès du GIEC; des curriculum vitae détaillés sont
ensuite remis et les auteurs sont sélectionnés en fonction de leurs compétences. Le GIEC s’efforce de réunir
des équipes d’auteurs représentatives de la diversité des points de vue et des qualifications scientifiques,
techniques et socio-économiques. Afin de parvenir à des rapports d’évaluation exhaustifs, c’est-à-dire qui
ne favorisent pas un pays ou un groupe de pays mais tiennent compte des problématiques de chaque
région, les équipes sont constituées d’une variété d’auteurs provenant de diverses régions et de pays
développés comme de pays en développement.
@ oui, mais les « experts pertinents » qui sont choisis par les gouvernements suivent tous la même doxa de l’UE face au réchauffement climatique, sinon, ils ne sont pas sélectionnés. Une méthode scientifique voudrait confronter les points de vue, ce qui n’est pas le cas.
@@sberthu Vous me parlez de "doxa" puis de "méthode scientifique", vous êtes sûr de savoir de quoi vous parlez? Et "confronter les points de vue" ça a été fait !
Ce que vous appelez "doxa" c'est en fait le "consensus scientifique" qui ne sort pas de la tête de 3 technocrates mais qui est le fruit de la recherche scientifique. J'explique :
Le « consensus scientifique » ça existe, et heureusement ! Les propositions suivantes font consensus : 2+2=4, la Terre n’est pas plate elle a la forme d’une sphère, la Terre tourne autour du soleil et pas l’inverse, etc…. Il y a des millions de découvertes scientifiques qui font consensus au sein de la communauté scientifique. Cela ne signifie pas que le consensus ne puisse jamais être invalidé, beaucoup de consensus sont modifiés au cours du temps, mais à une CONDITION essentielle, c’est que le scientifique qui pense que sur un point précis le consensus doit être contredit (et donc que la communauté scientifique, après débat contradictoire, évolue vers un nouveau consensus scientifique différent du premier), le fasse avec des éléments scientifiques fiables, solides et reconnus par les pairs. Et ça s'appelle la Recherche, càd justement la "méthode scientifique". Les charlatans et autres baratineurs ont besoin que vous croyiez que le « consensus scientifique » ça n’existe pas, que c'est juste la "doxa" , car ça leur permet sur plein de sujets de raconter n’importe quoi.
Concernant le changement climatique anthroppique, il y a consensus, que ça vous plaise ou pas. Une preuve de ceci, cette étude:
"Greater than 99% consensus on human caused climate change in the peer-reviewed scientific literature", Mark Lynas et al.
@@sberthu en gros avec votre raissonement un atome de fer , d'oxygène , d'hydrogene ont :
la meme forme doc pas d'étage électrique
la meme masse donc le meme volume un atome d hydrogen au même poids qu'un atome de fer
les même états, donc devrait avoir le même point de solidification ,de liquéfaction
donc en gros on peut jeter tous les travaux en chimie et physique depuis Mendélief ,
on a plus besoin de matieer naturelle puisque on doit pouvoir tout modifer a la volée des qu'on aura trouvé la technologie
@@sberthu Ils sont choisis parmi ceux qui ont des expertises scientifiques, hors, ceux qui se disent "scientifique" et qui sont en même temps climato-sceptique n'ont rien de concret a présenter a bar leurs blabla... voilà pourquoi il n'existe pas de scientifique climato-sceptique...
des résumés d’études faites par des lobbys
Quelle démonstration, vous êtes au top😂
encore un coup des puissants lobbys des vendeurs de glace a la pistache et de sombreros!
Evidemment dans le quartier des affaires en Suisse on peut signer des deux mains pour le Giec.
GIEC c'est IPCC en angliche, avec un P comme panel. Ils sont autant experts que moi.
Addendum: vu que mes réponses st supprimées: International panel on climate change=comité international sur le chgt climatique, il faudra d'ailleurs qu'ils mettent "dérèglement" ald "Changement ". Expert en français c'est aussi expert en anglais.
Alors ici panel sous entend panel au sens de groupe d'expert (ça se vérifie en avec une recherche Google sur la traduction de "Intergovernmental Panel on Climate Change")
Et si vous cherchiez un minimum au lieu de dire n'importe quoi ?
Source GIEC (sélection des experts):
La sélection s’effectue comme suit: un appel à candidatures est d’abord lancé auprès des gouvernements
et des organisations ayant le statut d’observateur auprès du GIEC; des curriculum vitae détaillés sont
ensuite remis et les auteurs sont sélectionnés en fonction de leurs compétences. Le GIEC s’efforce de réunir
des équipes d’auteurs représentatives de la diversité des points de vue et des qualifications scientifiques,
techniques et socio-économiques. Afin de parvenir à des rapports d’évaluation exhaustifs, c’est-à-dire qui
ne favorisent pas un pays ou un groupe de pays mais tiennent compte des problématiques de chaque
région, les équipes sont constituées d’une variété d’auteurs provenant de diverses régions et de pays
développés comme de pays en développement.
@@TheValmap
Traductions de "panel"
nom
le panneau
panel, sign, backboard, signboard, fascia
le comité
committee, panel, board
le jury
jury, panel, board of examiners
le tableau de bord
dashboard, panel, instrument panel, fascia
la table ronde
round table, panel
la tribune
gallery, tribune, platform, grandstand, rostrum, panel
le caisson
box, caisson, panel
le jury d'entretien
panel
le réunion-débat
panel
la commission d'enquête
committee of enquiry, court of inquiry, panel, commission of enquiry
verbe
lambrisser
panel, wainscot
plaquer
plate, tackle, veneer, ditch, clad, panel
revêtir
don, dress, line, invest, array, panel
=> y'a jamais "expert", faut arrêter de raconter n'importe quoi...
@@LoLo-ft6nj Alors effectivement c'est ma faute, je suis mal exprimé et j'ai modifié mon commentaire pour être plus clair, je voulais dire que si tu cherches la traduction de "Intergovernmental Panel on Climate Change" que ce soit sur leur site officiel, ou google translate, tu verras que le mot panel est traduit par groupe d'experts, car dans l'expression IPCC, on sous-entend panel dans le sens de panel of expert.
Mais bon de toute façon, qu'il y ait expert ou non dans le nom n'est pas le critère déterminant pour juger de l'expertise de ses membres, il faut plutôt se référer au domaine de recherches et travaux de ses membres pour constater qu'il s'agit bien de personnes ayant les compétences requises.
@@superconsensuel3869 Vous répétez 2 foutaises négationnistes infondées et c'est moi le perroquet ???
Alors expliquons :
"tous mourir gelés ds les 70's" : -- > Il n’y a jamais eu de consensus scientifique concernant un prochain refroidissement mondial. C'était une possibilité évoquée dans les années 70 par certaines études scientifiques à cause de la pollution (aérosols), mais ensuite la pollution a diminué et ce risque éventuel a tout simplement disparu. Pourtant, à la même époque, BIEN DAVANTAGE d'articles scientifiques discutaient déjà du risque d'un réchauffement climatique dû au CO2 (voir l’étude : « The Myth of the 1970s Global Cooling Scientific Consensus » by Thomas C. Peterson et al. , Sept 2008). Et depuis, ce risque n'a pas disparu (contrairement aux aérosols), il s'est au contraire confirmé. Et il existe désormais un consensus scientifique sur le réchauffement climatique causé par le CO2 anthropique. Vous mélangez les "prédictions" des titres sensationnalistes et trompeurs des journaux, et ce que les scientifiques ont réellement déclaré (le "consensus scientifique").
"Le CO2 c'est de l engrais sans lequel il n y a plus de vie sur terre" : -- > Dire que parce que le CO2 est bon pour les plantes, c'est une preuve que le CO2 ne peut pas faire de mal, est aussi stupide que d'affirmer : les êtres humains ont besoin d'eau pour survivre donc il est impossible de mourir noyé dans l'eau ! La réalité est la suivante : trop de CO2 peut augmenter la température de la Terre à des niveaux invivables pour les êtres humains. Plus n'est pas toujours mieux !
Merci pour cette vidéo dynamique et intéressante, mais il convient à mon avis d’être prudent avec la notion de consensus scientifique. Un consensus n’est pas une vérité, l’histoire des sciences regorge d’exemples à ce propos. Pourquoi? A cause des pressions externes. Cela a longtemps été la religion. Il y a maintenant une autre religion, que j’appelle « mainstream » qui fait que pour être financé et pour publier, un chercheur doit être « dans le moule », sinon point de salut, pas d’argent, pas de promotion… autrement dit, seul(e)s les plus habiles à maîtriser l’air du temps vont tirer leur épingle du jeu. Tout ça pour dire que le choix des experts (qui sont en effet experts, aucun doute là-dessus) est totalement biaisé par les perspectives de financement et de carrière (un point d’ailleurs pudiquement évoqué par l’invité).
PS je précise que je ne suis pas du tout climatosceptique au sens péjoratif qui lui est souvent attribué, mais juste suffisamment scientifique pour douter, m’interroger, m’informer, etc.
Ah Philippe, merci pour ce souffle d'air frais sceptique au milieu des certitudes pesantes ! On sent chez vous une passion pour la science… ou du moins pour ses clichés romantiques : le pauvre chercheur solitaire, oppressé par une « _religion mainstream_ », empêché de briller par un consensus tyrannique. Un tableau si dramatique qu’il mériterait presque un Oscar ! Mais permettez-moi de répondre avec un peu d’ironie et beaucoup de science.
1. *Le consensus scientifique, cette « dictature » de la majorité*
Vous avez raison, Philippe, un consensus n’est pas une vérité absolue. Mais alors, quelle alternative proposez-vous ? L'anarchie intellectuelle où chaque théorie, même farfelue, a un poids égal ? Le consensus scientifique n’est pas un dogme, c’est un outil. Il repose sur l’état actuel des connaissances validées par des milliers d’études indépendantes. Bien sûr, si vous avez sous la main une nouvelle théorie renversante avec des preuves solides, publiez-la ! Vous serez accueilli en héros. Vous savez, 99,9 % des études depuis 2012 établissent un lien entre les émissions humaines de CO₂ et le changement climatique. Que reste-t-il aux sceptiques ? 0,1 %... mais c’est sûrement là que la vérité se cache, n’est-ce pas ?
2. *La « religion mainstream » et ses « chercheurs dans le moule »*
Ah, le « _moule_ » ! Ce vieux cliché selon lequel les chercheurs sont tous des clones soumis à une idéologie. Cela doit être une sacrée coïncidence que des scientifiques issus de 195 pays, avec des cultures et des intérêts divergents, s’accordent miraculeusement sur le fait que la planète se réchauffe à cause des émissions humaines. Peut-être un complot mondial ? Plus sérieusement, les experts du GIEC ne sont même pas payés pour leur travail. Ils bossent bénévolement, souvent au prix de nuits et de week-ends sacrifiés. Ils ne gagnent rien à dire que le climat change ; en revanche, contester ce consensus, ça, c’est lucratif ! Les lobbies fossiles seraient à genoux devant quiconque pourrait prouver que le CO₂ n’a rien à voir dans tout ça. Le seul hic ? Personne n’a encore réussi, malgré des décennies d’essais. Peut-être que la « _religion mainstream_ » est simplement... la science.
3. *Les pressions externes, un frein à la vérité*
Vous mentionnez les pressions sur les chercheurs pour obtenir des financements. Une observation intéressante. Mais rappelez-vous que la science repose sur la diversité des institutions, des pairs qui relisent et critiquent les travaux, et une transparence systématique. Croyez-moi, si une hypothèse fausse pouvait passer, les climatologues eux-mêmes seraient les premiers à la démonter. C’est littéralement leur métier. En revanche, les vrais biais viennent souvent de ceux qui critiquent la science sans l’appuyer sur des données, en invoquant des théories vagues comme ce fameux « air du temps » que vous dénoncez.
4. *La douce illusion de douter en scientifique*
Vous dites que vous n’êtes pas climato-sceptique, juste un scientifique prudent qui doute. Admirable ! Mais doutez-vous aussi de la gravité à cause de quelques échecs expérimentaux ? De la théorie cellulaire ? Philippe, le doute scientifique doit s’accompagner de preuves. Se poser des questions, c’est bien. Refuser de croire au consensus en absence de preuves contraires, c’est du scepticisme stérile.
Pour conclure, cher Philippe, votre vigilance est louable, mais les bases sur lesquelles repose votre commentaire manquent cruellement de substance. Le GIEC n’est pas parfait, mais il est la meilleure synthèse des connaissances climatiques disponibles. Refuser ce consensus, c’est comme refuser un diagnostic médical basé sur des milliers d’examens, sous prétexte qu’un guérisseur alternatif pourrait mieux savoir. Alors oui, continuez à vous informer, mais faites-le sur des bases solides, pas en ressassant des généralités sans fondements. Après tout, le vrai service rendu à la science, ce n’est pas de douter pour douter, mais de chercher à comprendre et agir. Bonne lecture du rapport du GIEC… si vous avez 10 538 pages de libre ce week-end. 😊
@ merci pour cette longue réponse qui vient utilement compléter mon commentaire, à une exception près : « croire au consensus » n’est guère une attitude scientifique, il est préférable de réserver la croyance aux religions…
@@philippehuchon236 Ah, Philippe, vous semblez confondre deux notions : _croire et accepter rationnellement._ Vous avez raison sur un point : la science n’est pas une affaire de « _croyance_ ». Mais réduire ma phrase - « _Refuser de croire au consensus en absence de preuves contraires, c’est du scepticisme stérile_ » - à une invitation à une foi aveugle est une lecture simpliste, voire malhonnête. Permettez-moi de clarifier.
Le consensus scientifique n’est pas un dogme, ni une foi religieuse. C’est l’aboutissement d’un processus rigoureux, où des milliers d’études indépendantes convergent vers les mêmes conclusions. Ce n’est pas une question de « _croire_ » dans le sens religieux du terme, mais de reconnaître la robustesse de ces conclusions face aux données disponibles. Vous pouvez remplacer « _croire_ » par « tenir pour valide sur la base des preuves disponibles » si cela apaise votre conscience épistémologique.
Refuser ce consensus sans preuves contraires solides, en revanche, n’a rien de scientifique. Ce n’est pas du scepticisme éclairé, c’est du déni ou du scepticisme stérile - une posture qui rejette l’état actuel des connaissances non parce qu’il y a des éléments contraires, mais par simple posture. Or, douter pour douter, sans preuves, n’est pas une vertu scientifique.
Par ailleurs, Philippe, je remarque que vous qualifiez ma réponse de « _complément_ » à votre commentaire. Soyons honnêtes : il n’y a ici rien de complémentaire. Mon commentaire ne vient pas enrichir vos arguments, mais démonter point par point leurs failles méthodologiques. Cela dit, je peux vous accorder ceci : il transforme vos approximations en une opportunité d’apporter des clarifications utiles au débat. Ce n’est peut-être pas ce que vous aviez prévu, mais au moins, cela aura été constructif… pour les lecteurs. 😊
@@Alex.Kibkalo ma réponse, mesurée et constructive, a été « strikée »… rien à ajouter! Le consensus, peut-être ?
Auriez-vous un ou deux exemples illustrant votre " Un consensus n’est pas une vérité, l’histoire des sciences regorge d’exemples à ce propos. " ?
commencez par regarder qui sont t'ils et qui les paye, vous aurez la réponse
poutine????
@@olivierb9716 mauvaise réponse
Cher Michel, Ah, quel classique ! « _Regardez qui les paye_ », dites-vous, comme si cela révélait un sombre complot mondial. Mais laissez-moi éclairer votre lanterne : les auteurs du GIEC ne sont pas payés pour leur travail sur les rapports. Oui, vous avez bien lu. Ils sont bénévoles. Ils doivent même trouver leur propre financement pour contribuer aux rapports, souvent en jonglant entre leur charge de travail habituelle et les heures supplémentaires qu’ils consacrent tard le soir et les week-ends. Ce sont donc des scientifiques, pas des marionnettes rémunérées pour propager une « doxa ».
Mais attendez, cela devient encore plus intéressant : les auteurs du GIEC viennent de dizaines de pays aux intérêts divergents. Imaginez, Michel : réunir des experts de Chine, des États-Unis, de l’Union européenne, et d’autres nations, et parvenir à une synthèse scientifique sur le climat. Si un tel consensus mondial est possible malgré des tensions géopolitiques constantes, cela démontre une chose : la science transcende vos fantasmes de contrôle et d’argent.
Vous pourriez aussi chercher, ne serait-ce qu’une fois, qui sont réellement ces auteurs. Une petite recherche (essayez « _IPCC authors AR6 WGI 2021_ ») vous révélera qu’ils sont tous des experts reconnus, avec doctorats et publications dans des revues scientifiques à comité de lecture. Alors, qui paye ces scientifiques ? Leurs institutions de recherche, leurs universités, leurs agences nationales. Et croyez-moi, ces organismes ne se réunissent pas pour conspirer autour d’un café.
Votre commentaire n’est rien d’autre qu’une tentative grossière de discréditer un travail colossal et rigoureux. Pendant que vous murmurez des théories bancales sur « _qui paye_ », des milliers de scientifiques, eux, travaillent gratuitement pour que des gens comme vous aient des faits, pas des slogans. Mais continuez, Michel, la science avance très bien sans votre aval. 🌍
@@micheldaudin4308 Les illuminatis ?
Les Annunakis ?
Les Reptiliens ?
Epstein, qui ne serait pas mort comme ils essayent de nous le faire croire ?
@@micheldaudin4308 Les illuminatis ?
Les Annunakis ?
Les Reptiliens ?
Le giec. C'est une vaste blague.
La rengaine négationniste habituelle sur le GIEC ! Ce n'est pas parce que vous n'aimez pas les conclusions que cela prouve que le messager serait "une vaste blague".
Et ce que dit le GIEC c'est bien ce que dit l'immense majorité des climatologues, plus de 99% des études sur le climat le confirment, voir cette étude : "Greater than 99% consensus on human caused climate change in the peer-reviewed scientific literature", Mark Lynas et al.
Sauf si on trouve les technologies de captation co2 de l'ampleur comme prévue par le GIEC.
Captation de CO2, c'est de l'imaginaire, jancovici l'explique très bien au niveau du coût/ inutilité, dans un audit avec le sénat , il y a qq mois mais ce genre d'info n'est pas diffusé à la télé.
Captation du CO2 par l'installation Orca, en Islande : 4000 tonnes par an. Quantité de CO2 ajoutée à l'atmosphère en 2022 uniquement avec la combustion de fossiles (source AIE) : 37.000.000.000 de tonnes. J'ai fait la division pour savoir combien d'installations il faudrait pour obtenir un bilan carbone neutre, et de combien de kilomètres elles seraient espacées sur la totalité des terres émergées. Et je suis tombé de l'armoire.
N'importe quoi !🤣🤣🤣🤣
C'est à dire ?