Sagesses bouddhistes 19 09 2021
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- Опубликовано: 10 сен 2024
- Déconstruction du moi : Zen et neurosciences - 1re partie
Sagesses Bouddhistes accueille aujourd’hui Alix Helme-Guizon ou Myôshô de son nom de Dharma, responsable du dojo zen d’Angers, le temps de deux émissions afin d’aborder sous l’angle scientifique la notion du « moi » et de sa déconstruction, un thème passionnant.
Réalisation : Michel Baulez / Présentation : Sandrine Colombo
Superbe témoignage. Merci à vous de mettre en ligne ces émissions
Très interessant! Je suis physicien et progressivement je constate avec étonnement que l'approche du boudhisme zen à ce que nous considérons comme la Réalité est pour un scientifique quelque chose très special. Merci.
Cette personne est très intéressante à entendre, elle à le pouvoir de transmettre sa passion. Merci 🙏
C'est l'émission qui m'a extraordinairement plu, quant à la part de responsabilité relative d'aucuns qui y est abordée... ç'a m'a fait tilt d'un coup...une mise en branle intérieure. Merci.
Très instructif et rafraichissant. :) Merci d'avoir partager.
Merci...
Merci. Extrêmement intéressant. 🙏🏻
Vraiment passionnant, vivement la suite. Merci
Excellent !! 🙏💫☀️
Excellent 🙏 Merci.
🙏🙏🙏
Reste la demain nan 2 h con peut écouter
Extraordinaire
J'aime beaucoup
Merci
Bonjour, voilà un thème passionnant. C'est l'inconscient qui décide du moment auquel je pousse un bouton par exemple. Mais c'est une action simple et unique. Qu'en est-il pour une action complexe ? Qu'en est-il lorsque plusieurs personnes se coordonnent pour effectuer un travail ?
Très intéressant
à mon sens,Le moi comme l’égo sont les deux faces de la même médaille,ils sont « l’interface »pour fonctionner et pour s’exprimer,avec plus ou moins de bonheur 🙄,dans le monde des phénomènes,le monde dans lequel nous faisons l’expérience du vivant dans ce corps,au moment de la mort ils ne sont plus d’aucune utilité et disparaissent avec lui..
Très enrichissant et intéressant, mais l’idée de se sauver entièrement soi-même par ses propres efforts ou non efforts est pour moi un problème. Un homme fini ne peut pas se sauver entièrement par lui-même. Et surtout, surtout, me dire que l’idéal bouddhiste n’est pas la Vie ou l’Amour mais au contraire d’arrêter de vivre et de disparaître dans le nirvâna me laisse songeur! Le problème pour les bouddhistes est le samsara, le cycle des naissances, de la vie avec la souffrance qui l’accompagne, et l’idéal consiste à y mettre un terme! C’est un peu comme si pour un athée l’idéal serait la mort! (Ça pourrait l’être pour un bouddhiste s’il ne croyait pas la réincarnation, ce n’est pas très gai tout ça!)
Bien vu. En réalité, le bouddhisme est à mettre en parallèle avec le christianisme, le nirvana est l'équivalent de la vision béatifique. Considérer le monde comme un enfer dont il faut s'évader, c'est penser que le Créateur a fait une erreur de jugement... Hors, l'existence est la manifestation de l'essence, de la Voie éternelle, c'est la Vie. Se libérer du cycle karmique, c'est la même perspective qui mène à la rédemption de l'âme dans le christianisme, qui devient indifférent à la souffrance. Il s'agit d'un lieu métaphysique, le fameux jardin d'Eden...
Travailler sur soi pour être conscient de la souffrance et la dépasser. Tout n'est qu'illusion et finit par revenir à la poussière. Commencer la méditation, expérimenté soi même la magie, la joie et l'amour au fond de soi. Le bouddhisme est seulement la voie de l'éveil.
Avant d'espérer recolter il faut cultiver. Sans l'expérience du cheminement ...