Encore un reportage entre amis ! Monsieur TSIMI, qui exprime ses ambitions présidentielles dans le média de son ami Jean-Bruno TAGNE, cela peut passer, soit ! Mais cette situation soulève des questions sur la manière dont certaines figures publiques en Afrique abordent la question du développement et de la gouvernance. Pourquoi certains Africains semblent-ils penser que le développement est une tâche simple, voire triviale ? Pourquoi croient-ils qu’il suffit d’avoir été enseignant en Europe pour prétendre diriger un pays en Afrique ? Les réalités du terrain sont infiniment plus complexes. Il ne suffit pas de posséder un bagage intellectuel acquis à l’étranger pour se croire investi de la légitimité nécessaire à gouverner un pays, surtout lorsque l’on n’a jamais démontré d’engagement concret auprès de sa communauté. En effet, Monsieur TSIMI, malgré ses qualifications académiques, n’a jamais mené à bien un projet social, ni dans son village natal, ni dans sa commune, ni même dans son ancien lycée. Il n’a pas non plus laissé de trace d’un quelconque engagement auprès de ses amis d’enfance ou des communautés locales. Pourtant, il aspire à la présidence ! Cela pose une question fondamentale : qui a dit aux africains que la seule manière de servir son pays est d’occuper une fonction élective ? Le leadership ne se limite pas à l’exercice du pouvoir politique ; il commence par un engagement authentique et concret sur le terrain. Le véritable développement ne se résume pas à des discours ou à des ambitions personnelles. Il s’agit d’abord de comprendre les réalités sociales des différentes communautés, de participer activement à la formation et à la valorisation du potentiel humain, à l’organisation de luttes sociales pour des causes justes, et à la sensibilisation des populations aux enjeux auxquels elles sont confrontées. Il est crucial de construire des itinéraires scientifiques, car c’est la science, avec son approche méthodique et ses innovations, qui constitue le véritable moteur du développement. Les politiciens africains, avant de se lancer dans la quête du pouvoir, il est indispensable de prouver sa capacité à comprendre et à répondre aux besoins réels de la population. Le développement d’un pays ne se décrète pas, il se construit patiemment, en travaillant main dans la main avec ceux qu’on prétend vouloir servir. La jeunesse africaine doit tourner le dos au messianisme, qui leur faire croire qu’ils y’aura un magicien qui viendra changer le pays! C’est d’abord un itinéraire personnel de rigueur de chacun, une projection de chaque africain à donner le meilleur de son intelligence pendant son passage sur cette terre-aux-brefs-séjours! Il faut de la rigueur, de l’amour pour son prochain et de l’ambition de laisser une trace de grandeur par son génie, sa créativité et des innovations.
Tu as quelle expérience en politique? Commence par te faire connaître par de bonnes actes c’est le peuple qui vote , pour gagner il faut être prêt du peuple trop bavarder et rêver c’est inutile
en fait ce qui a fait la force de fru ndi en 1992 c est qu il avait la societe civile(syndicat, transporteur, vendeur a la sauvette....agriculteurs) les politiciens sont formatés....
Encore un reportage entre amis !
Monsieur TSIMI, qui exprime ses ambitions présidentielles dans le média de son ami Jean-Bruno TAGNE, cela peut passer, soit ! Mais cette situation soulève des questions sur la manière dont certaines figures publiques en Afrique abordent la question du développement et de la gouvernance.
Pourquoi certains Africains semblent-ils penser que le développement est une tâche simple, voire triviale ? Pourquoi croient-ils qu’il suffit d’avoir été enseignant en Europe pour prétendre diriger un pays en Afrique ? Les réalités du terrain sont infiniment plus complexes. Il ne suffit pas de posséder un bagage intellectuel acquis à l’étranger pour se croire investi de la légitimité nécessaire à gouverner un pays, surtout lorsque l’on n’a jamais démontré d’engagement concret auprès de sa communauté.
En effet, Monsieur TSIMI, malgré ses qualifications académiques, n’a jamais mené à bien un projet social, ni dans son village natal, ni dans sa commune, ni même dans son ancien lycée. Il n’a pas non plus laissé de trace d’un quelconque engagement auprès de ses amis d’enfance ou des communautés locales. Pourtant, il aspire à la présidence ! Cela pose une question fondamentale : qui a dit aux africains que la seule manière de servir son pays est d’occuper une fonction élective ? Le leadership ne se limite pas à l’exercice du pouvoir politique ; il commence par un engagement authentique et concret sur le terrain.
Le véritable développement ne se résume pas à des discours ou à des ambitions personnelles. Il s’agit d’abord de comprendre les réalités sociales des différentes communautés, de participer activement à la formation et à la valorisation du potentiel humain, à l’organisation de luttes sociales pour des causes justes, et à la sensibilisation des populations aux enjeux auxquels elles sont confrontées. Il est crucial de construire des itinéraires scientifiques, car c’est la science, avec son approche méthodique et ses innovations, qui constitue le véritable moteur du développement.
Les politiciens africains, avant de se lancer dans la quête du pouvoir, il est indispensable de prouver sa capacité à comprendre et à répondre aux besoins réels de la population. Le développement d’un pays ne se décrète pas, il se construit patiemment, en travaillant main dans la main avec ceux qu’on prétend vouloir servir.
La jeunesse africaine doit tourner le dos au messianisme, qui leur faire croire qu’ils y’aura un magicien qui viendra changer le pays! C’est d’abord un itinéraire personnel de rigueur de chacun, une projection de chaque africain à donner le meilleur de son intelligence pendant son passage sur cette terre-aux-brefs-séjours! Il faut de la rigueur, de l’amour pour son prochain et de l’ambition de laisser une trace de grandeur par son génie, sa créativité et des innovations.
1 plaisantin!
biya sort tjr des gens comme cela a la dernière minute🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣. ......
Au moins cette fois vous n'aller pas nous sortir des mots comme tri - ba - lis - me.
Socrate et Larousse 😂
Un petit Senghor...
Tu as quelle expérience en politique? Commence par te faire connaître par de bonnes actes c’est le peuple qui vote , pour gagner il faut être prêt du peuple trop bavarder et rêver c’est inutile
en fait ce qui a fait la force de fru ndi en 1992 c est qu il avait la societe civile(syndicat, transporteur, vendeur a la sauvette....agriculteurs)
les politiciens sont formatés....
Some of the things he says are just out of this world... downright stupid!!!
Tsiup!!
😂 😂 😂
Si au moins tu n'avais pas un nom betsi je devais comprendre
@@ernesttsimilaisse le tribalisme d’état
@@ernesttsimimeme moi je Wanda 😂, j’ai lu 2x son name
Il n'a pas parlé de projets ni de plans...
Encore une créature.
Combien a t'il de militants emprisonné ? Aucune, foutaise...