Merci Monsieur Devos ! Par François Rollin
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- Опубликовано: 18 май 2016
- « Je crois à l’immortalité et pourtant je crains bien de mourir avant de la connaître. » Il y a dix ans Raymond Devos tirait sa révérence. Pour rendre hommage à cet inimitable jongleur de mots, le Festival vous propose des pastilles où cinq des lauréats du prix
Raymond Devos : Stéphane De Groodt, Vincent Roca, François Rollin, François Morel et Jean-Jacques Vanier disent ce qu’il représente pour eux.
Réalisation : Sedaine Production
Un grand Monsieur qui parle d'un grand Monsieur...merci pour ce moment...
Une humilité empli de noblesse.
Ça m'a fait le même effet avec Monsieur Devos, j'étais enfant et pour la première fois je riais tellement fort, j'étais subjugué par un tel talent !
Et Merci M. Rollin
Très belle description de Raymond Devos <3
Oui Monsieur Rollin!
Je pense que M. Devos aurait apprécié cet hommage. Rien d'étonnant de la part de M. François Rollin.
Vibrant hommage à un illustre voisin (ou presque) et un très grand de l'histoire des humoristes. M. Devos habitait à qq centaines de mètres de chez moi. Sa maison est d'ailleurs un musée que l'on peut visiter aujourd'hui.
Vous etes de la meme trempe monsieur Rollin !
une vraie intelligence!
Vraiment improbable de tomber sur cette vidéo alors que j'écoutais Asgeir 1min avant... (qu'on entend en générique ici.)
oui mon chère, l'authentique reste inimitable et vous en faite partie aussi.
Il jonglait non seulement avec les mots, mais bien plus avec les idées, proche du "non sense" anglais.
francois rollin aussi grand que devos
Je trouve le terme habiter des plus heureu, puisque une reprise ou interprétation, ne saurait, à mes yeux n’ as voir d’intérêt que sile cascadeur est d’accord de se risquer à l’habiter de mettre en danger une partie de lui-même, une étincelle de ses yeux pour faire vivre une œuvre
De vosse, essayez ;-)
Son ventre est aussi gonflé que son talent
Alors ce qui est bien c’est que là on ne sens pas trop le show-business. Car dans l’ensemble ils se grasses tellement la pattes entre eux, que le fait de taper un commentaire je me demande si je vais pas avoir les doigts graisseux. Gras de complaisance. Sirupeux. Avec
J’ai vraiment l’impression qu’il parle de Dieudo, surtout quand il compare les « techniques » de l’humour
Rollin se compare à Devos ? ... la grenouille qui voulait ... Je regrette, à propos de cet extrait, peut-être le fait-il plus loin ?, je regrette que Rollin ne souligne pas le côté "clownesque" de Devos ! Ses talents de musiciens, jongleur, etc... qui donnent un rythme (syncopé, parfois) à ses textes.