Très intéressant Étant pratiquant pour la deuxième année je suis heureux de pouvoir en connaître plus sur cet art Qui sait peut être un jour un voyage aux Philippines 🙂 Merci Lionel et vivement la partie 2 🙂
Merci pour ce beau reportage et la qualité de votre pratique et passion.juste une question pourquoi ne pas avoir parlé du pekiti tirsia kali. Bonne journee
Avec plaisir 🙏🏼 Tout simplement qu'à l'époque je n'avais pas les contacts que j'ai aujourd'hui comme avec les écoles du Doce Pares, PKT, Balintawak et bien d'autres.
Merci. J'enseigne en banlieue toulousaine à Blagnac. Sinon pour trouver des clubs de Doblete Rapilon faut aller sur www.dobleterapilon.com - GM Dani Faynot propose un stage retraite aux Philippines en 2025.
Très beau reportage. Par contre il n'y a pas hitoriquement de "kali" à Mindanao, mais du kuntaw silat (sans rapport avec le kuntao chinois) pratiqué par les Maguindanaon, les Maranao, les Tausug, qui sont plus malais que "philippin". Par contre le mot "kalis" désigne une lame moyenne utilisée par les Tausug, de la longueur d'un bolo, mais avec la forme d'un kriss (sauf qu'il coupe alors que le kriss ne coupe pas). Il est possible que cela soit une confusion entre le "kalis", par le GI's, qui ont eu à se confronter aux musulmans de l'Ile de Mindanao. Cela dit KALI est à Luzon un acronyme pour parler des sciences liées à la pratique de l'arnis (écriture, histoire, etc.)
Merci beaucoup pour ton commentaire et tes précisions historiques ! 🙏 C'est toujours enrichissant de lire des retours détaillés comme le tien. Comme je le mentionne dans l'introduction, ma compréhension et mes connaissances des arts martiaux philippins ont énormément évolué depuis le tournage de ce reportage en 2007. À cette époque, je débutais tout juste mon apprentissage, et mes perspectives étaient encore très limitées. Je suis d'accord avec toi sur l'importance de différencier les pratiques locales, comme le kuntaw silat des communautés de Mindanao, et les usages du mot "kali". La richesse culturelle et historique des Philippines est complexe et fascinante, et je continue d'apprendre à chaque rencontre/recherche. Merci encore pour ton éclairage qui montre à quel point ces nuances sont importantes pour bien comprendre ces traditions ! 👊 Lionel
Merci pour le reportage, c’était un plaisir de découvrir cet art et son histoire
Ça fait plaisir, merci 🙇🏼♂️
Très beau reportage et très intéressant. J'ai beaucoup apprécié les interviews des différents maitres et leur philosophie 🙏
Un grand merci ! Je suis ravi que tu es apprécié. A bientôt
Lionel
Très intéressant
Étant pratiquant pour la deuxième année je suis heureux de pouvoir en connaître plus sur cet art
Qui sait peut être un jour un voyage aux Philippines 🙂
Merci Lionel et vivement la partie 2 🙂
Merci beaucoup et content que cela donne un peu plus de connaissances sur votre art.
A bientôt et belle pratique. Salamat po!
Lionel
Super merci 👍🙏🙋👊
Avec plaisir 🙏🏼
Merci pour le partage
Avec plaisir 🙇🏼♂️
Merci ❤
Merci beaucoup 🙏🏼
Merci !
Merci et avec plaisir
merci 😁🥰😉
Avec plaisir 😊
Merci
Avec plaisir 🙏🏼
Merci pour ce beau reportage et la qualité de votre pratique et passion.juste une question pourquoi ne pas avoir parlé du pekiti tirsia kali. Bonne journee
Avec plaisir 🙏🏼
Tout simplement qu'à l'époque je n'avais pas les contacts que j'ai aujourd'hui comme avec les écoles du Doce Pares, PKT, Balintawak et bien d'autres.
Très intéressant votre club se trouve où en France ? Vous organisez des stages aux philippines ?
Merci. J'enseigne en banlieue toulousaine à Blagnac. Sinon pour trouver des clubs de Doblete Rapilon faut aller sur www.dobleterapilon.com - GM Dani Faynot propose un stage retraite aux Philippines en 2025.
Très beau reportage. Par contre il n'y a pas hitoriquement de "kali" à Mindanao, mais du kuntaw silat (sans rapport avec le kuntao chinois) pratiqué par les Maguindanaon, les Maranao, les Tausug, qui sont plus malais que "philippin". Par contre le mot "kalis" désigne une lame moyenne utilisée par les Tausug, de la longueur d'un bolo, mais avec la forme d'un kriss (sauf qu'il coupe alors que le kriss ne coupe pas). Il est possible que cela soit une confusion entre le "kalis", par le GI's, qui ont eu à se confronter aux musulmans de l'Ile de Mindanao. Cela dit KALI est à Luzon un acronyme pour parler des sciences liées à la pratique de l'arnis (écriture, histoire, etc.)
Merci beaucoup pour ton commentaire et tes précisions historiques ! 🙏 C'est toujours enrichissant de lire des retours détaillés comme le tien. Comme je le mentionne dans l'introduction, ma compréhension et mes connaissances des arts martiaux philippins ont énormément évolué depuis le tournage de ce reportage en 2007. À cette époque, je débutais tout juste mon apprentissage, et mes perspectives étaient encore très limitées.
Je suis d'accord avec toi sur l'importance de différencier les pratiques locales, comme le kuntaw silat des communautés de Mindanao, et les usages du mot "kali". La richesse culturelle et historique des Philippines est complexe et fascinante, et je continue d'apprendre à chaque rencontre/recherche. Merci encore pour ton éclairage qui montre à quel point ces nuances sont importantes pour bien comprendre ces traditions ! 👊
Lionel