Je tiens à corriger comme quoi il est dit que certains bio « ne respecte pas les sols » et que « le bio c’est une limitation de la chimie mais ne l’interdit pas » La charte de production biologique interdit toute utilisation de produits chimiques de synthèse. Tout producteur engagé en agriculture biologique est soumis à mini 3 contrôles par an, de ses cultures, de ses produits transformés, de ses pratiques et aussi de toute sa comptabilité d’achat. Cela veut dire que tout apport de fumure, de maitrise de l’herbe ou produits utilisés pour les soins de la vigne vis-à-vis des maladies tel que le mildiou ou l’oïdium et les insectes sont pratiqués sans aucun produit chimique de synthèse. Un non-respect de la charte bio est soumis à une exclusion à la production biologique. Et je peux vous dire que les contrôles ne sont pas fait à la légère, cela peut paraître contraignant mais c’est aussi protéger les consommateurs et l’image du bio. Le respect des sols et des plantes sont la base du bio, et l’évolution pour encore être plus performant est continuelle pour améliorer la vie des sols, des plantes et de la qualité des produits. Et de préciser que les premières années de l’engagement en bio le producteur à le choix de tout passer son exploitation en bio ou de le faire sur 5 années le temps d’adapter ses pratiques, ses connaissances, son matériels d’une production en agriculture conventionnelle à une production en agriculture biologique. Dans ce cas précis le vigneron est sur deux modes de pratiques, bio et non bio, avec un organisme de contrôle pour le surface engagée en bio. Toutes ces précisions sont pour le bon respect des producteurs bio et des revendeurs et ambassadeurs du bio. Vincent Perraud
Je tiens à corriger comme quoi il est dit que certains bio « ne respecte pas les sols » et que « le bio c’est une limitation de la chimie mais ne l’interdit pas »
La charte de production biologique interdit toute utilisation de produits chimiques de synthèse. Tout producteur engagé en agriculture biologique est soumis à mini 3 contrôles par an, de ses cultures, de ses produits transformés, de ses pratiques et aussi de toute sa comptabilité d’achat. Cela veut dire que tout apport de fumure, de maitrise de l’herbe ou produits utilisés pour les soins de la vigne vis-à-vis des maladies tel que le mildiou ou l’oïdium et les insectes sont pratiqués sans aucun produit chimique de synthèse. Un non-respect de la charte bio est soumis à une exclusion à la production biologique. Et je peux vous dire que les contrôles ne sont pas fait à la légère, cela peut paraître contraignant mais c’est aussi protéger les consommateurs et l’image du bio.
Le respect des sols et des plantes sont la base du bio, et l’évolution pour encore être plus performant est continuelle pour améliorer la vie des sols, des plantes et de la qualité des produits.
Et de préciser que les premières années de l’engagement en bio le producteur à le choix de tout passer son exploitation en bio ou de le faire sur 5 années le temps d’adapter ses pratiques, ses connaissances, son matériels d’une production en agriculture conventionnelle à une production en agriculture biologique. Dans ce cas précis le vigneron est sur deux modes de pratiques, bio et non bio, avec un organisme de contrôle pour le surface engagée en bio.
Toutes ces précisions sont pour le bon respect des producteurs bio et des revendeurs et ambassadeurs du bio.
Vincent Perraud