“Un monde de paradoxe “ … Sans aucun doute, avec un cerveau humain dépassé par la Complexité du monde gouverné par le principe de l’homéostasie . Merci infiniment à vous deux ! 🌍🤔👍🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏
La priorité c'est le chemin, non le but, la priorité de cette société c'est accumuler une valeur subjective pour acheter bien et services ( le travail des gens), alors que le chemin c'est apprécier tout ce que l'on trouve sur notre chemin
Merci pour votre commentaire. L'entretien est désormais en version audio sans publicité! sur Acast : shows.acast.com/65c204509b76320015983856/66faa5b4fdb2501b6be8e8cb
Un projet qui tient en compte l'environnement, l'humain et le social, ne peux être basé sur un moyen d'échange, la terre donne gratuitement, un vrai humain donne gratuitement, les relations sociales solides ne peuvent tenir si il y a gains, profits ou intérêts.
Du temps de Linné (XVIII° siècle), l’Écologie était nommée « Économie de la Nature ». Ce vocable précis, réaliste et concret, permettait, en une seconde, de saisir la chaîne des causes et des effets où il apparaît, nettement, que la Terre englobe l’Économie et pas l’inverse, que le « marché, l’argent fou » est vraiment anti-naturel (comme le disait Fernand Braudel), une invention humaine (projection ? Hallucination ?) et que dans la systémique du qu’est ce qui englobe et est englobé, il apparaît que l’écologie englobe l’économie, qu’en langage du XVIII° siècle, l’économie de la Nature englobe l’économie des humains. Si vous voulez agir il est essentiel de connaître la structure du réel. Sinon, vous devenez un « grand délirant » comme les doctes politico-économistes et leur roman qui ne parlent jamais du réel mais de leurs mesquins délires ; ce qui se révèle plus terrifiant que toute horreur économique.
Oui notre économie est basée sur le pillage de la terre, les qogis, désolé pour l'orthographe, si j'ai bien compris, la terre est prioritaire et l'économie découle de l'entretien et l'amour de la terre notre environnement, ce qui est plus que parfaitement logique
Le mot performant est mal adapté, je dirais spécialisé, plus on est spécialisé plus on est fragile, plus on est polyvalent plus on est robuste voir anti-fragile
“Un monde de paradoxe “ … Sans aucun doute, avec un cerveau humain dépassé par la Complexité du monde gouverné par le principe de l’homéostasie . Merci infiniment à vous deux ! 🌍🤔👍🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏
La polarisation, n’aide pas à la compréhension! Merci infiniment 😌👍 un matraquage publicitaire effrayant! !!
La priorité c'est le chemin, non le but, la priorité de cette société c'est accumuler une valeur subjective pour acheter bien et services ( le travail des gens), alors que le chemin c'est apprécier tout ce que l'on trouve sur notre chemin
La nature est une école de bio- ingénierie, toute la nature nous apprend de nous même, de notre propre fonctionnement
Dommage pour les pubs qui viennent parasiter une écoute sans regarder l'écran ...
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Un projet qui tient en compte l'environnement, l'humain et le social, ne peux être basé sur un moyen d'échange, la terre donne gratuitement, un vrai humain donne gratuitement, les relations sociales solides ne peuvent tenir si il y a gains, profits ou intérêts.
Certains peuples placent d'ailleurs la réciprocité au centre de leurs interactions.
Du temps de Linné (XVIII° siècle), l’Écologie était nommée « Économie de la Nature ». Ce vocable précis, réaliste et concret, permettait, en une seconde, de saisir la chaîne des causes et des effets où il apparaît, nettement, que la Terre englobe l’Économie et pas l’inverse, que le « marché, l’argent fou » est vraiment anti-naturel (comme le disait Fernand Braudel), une invention humaine (projection ? Hallucination ?) et que dans la systémique du qu’est ce qui englobe et est englobé, il apparaît que l’écologie englobe l’économie, qu’en langage du XVIII° siècle, l’économie de la Nature englobe l’économie des humains. Si vous voulez agir il est essentiel de connaître la structure du réel. Sinon, vous devenez un « grand délirant » comme les doctes politico-économistes et leur roman qui ne parlent jamais du réel mais de leurs mesquins délires ; ce qui se révèle plus terrifiant que toute horreur économique.
Oui notre économie est basée sur le pillage de la terre, les qogis, désolé pour l'orthographe, si j'ai bien compris, la terre est prioritaire et l'économie découle de l'entretien et l'amour de la terre notre environnement, ce qui est plus que parfaitement logique
Ce sont les Kogis, un peuple qui vit dans la Colombie actuelle.
Le mot performant est mal adapté, je dirais spécialisé, plus on est spécialisé plus on est fragile, plus on est polyvalent plus on est robuste voir anti-fragile