« Là, à côté du titre, la palette de peinture était éblouissante de couleurs. Elle laissait entrevoir toute la richesse et la profondeur d'une bonne description. Quelques pinceaux reposaient sagement entre les mélanges de nuance. Cependant, leurs poils maculés de couleurs anéantissaient toute forme de doute, l'artiste n'était pas loin, prêt à nous emporter dans son récit fantastique. » Un peu courte ma description... pas franchement du Zola ! Mais heureusement, Madame Tatoudi va m'aider à en écrire de meilleures. Cool !
@@johannaconseileditorial J'ai terminé mon premier roman "Illumination" il y a 4 mois, votre explication correspond à ce que j'ai produit, exception faite de l'odorat, du goût, le toucher. C'est une narration à la troisième personne qui se permet quelques fois l'introspection des personnages
Comment commenter une vidéo de Madame Tatoudi ? Lorsque c'est envisageable, j'adore "confier" la description à un(e) personnage. Le lectorat bénéficie de son ressenti, ce qui contribue à affiner la sensibilité - positive ou négative - du/de la protagoniste. Évidemment, l'état mental du descripteur influence la perception, son âge, sa taille, modifient les interprétations et les volumes. Nous avons tous en mémoire les longs couloirs sombres de notre enfance qu'on parcourt, adulte, en trois enjambées ! Une autre façon consiste à engager une sorte dialogue subliminal entre le personnage et le décor/cadre. Bien sûr, c'est plus facile dans les films où les jeux de lumière et les sons influent sur l'émotion des spectateurs... leur absence aussi, d'ailleurs (de lumière et de sons, pas des spectateurs !) ! PS. J'avais également beaucoup aimé lire "Le parfum". Je trouve cependant, qu'à 10 ans, tu étais bien jeune pour en saisir toutes les arcanes...
"Madame Tatoudi"... lol Merci JY. C'est marrant, moi aussi j'ai en mémoire les un long couloir dans mon enfance (et je sais où il menait, mais vous ne le saurez pas ahah). Alors, pour le Parfum, je n'avais pas 10 ans, mais c'est gentil à toi de faire croire à nos auditeurs/trices que je suis encore dans ma trentaine ;)
« Là, à côté du titre, la palette de peinture était éblouissante de couleurs. Elle laissait entrevoir toute la richesse et la profondeur d'une bonne description. Quelques pinceaux reposaient sagement entre les mélanges de nuance. Cependant, leurs poils maculés de couleurs anéantissaient toute forme de doute, l'artiste n'était pas loin, prêt à nous emporter dans son récit fantastique. »
Un peu courte ma description... pas franchement du Zola ! Mais heureusement, Madame Tatoudi va m'aider à en écrire de meilleures. Cool !
Très joli ! Merci Thierry :)
Merci Sandra :)
J'ai l'impression d'avoir accompli quelque chose d'important, merci 😉
C'est-à-dire ? N'hésitez pas à développer, Alexandre ;)
@@johannaconseileditorial J'ai terminé mon premier roman "Illumination" il y a 4 mois, votre explication correspond à ce que j'ai produit, exception faite de l'odorat, du goût, le toucher. C'est une narration à la troisième personne qui se permet quelques fois l'introspection des personnages
@@alleealexandre Bravo !
Comment commenter une vidéo de Madame Tatoudi ?
Lorsque c'est envisageable, j'adore "confier" la description à un(e) personnage. Le lectorat bénéficie de son ressenti, ce qui contribue à affiner la sensibilité - positive ou négative - du/de la protagoniste. Évidemment, l'état mental du descripteur influence la perception, son âge, sa taille, modifient les interprétations et les volumes. Nous avons tous en mémoire les longs couloirs sombres de notre enfance qu'on parcourt, adulte, en trois enjambées !
Une autre façon consiste à engager une sorte dialogue subliminal entre le personnage et le décor/cadre. Bien sûr, c'est plus facile dans les films où les jeux de lumière et les sons influent sur l'émotion des spectateurs... leur absence aussi, d'ailleurs (de lumière et de sons, pas des spectateurs !) !
PS. J'avais également beaucoup aimé lire "Le parfum". Je trouve cependant, qu'à 10 ans, tu étais bien jeune pour en saisir toutes les arcanes...
"Madame Tatoudi"... lol Merci JY. C'est marrant, moi aussi j'ai en mémoire les un long couloir dans mon enfance (et je sais où il menait, mais vous ne le saurez pas ahah). Alors, pour le Parfum, je n'avais pas 10 ans, mais c'est gentil à toi de faire croire à nos auditeurs/trices que je suis encore dans ma trentaine ;)