Avant les années 90/ 2000, ce n'était pas de la naïveté de ne pas tout préciser, le respect voulait qu'un consentement était progressif, implicitement chacun savait que les premiers temps on ne crée pas d'intimité sexuelle ! Et les fantasmes restaient des fantasmes... Aujourd'hui on est très vite considéré naïf ! La société sous prétexte de liberté sexuelle amène particulièrement les hommes à abuser de la confiance !!! Il faudrait parler de toutes les pratiques sexuelles avant le premier rapport, et encore l'homme peut se croire le meilleur des amants et pour son orgueil, vous amener à dépasser les limites exprimées fermement ! Le problème majeur c'est que l'autre n'existe pas, il y en a trop, les opportunités sont telles que chacun-e n'est plus rien même en famille... Quant à la honte il ne faut jamais l'intégrer, mais plutôt l'inverser. Et là le monde changera, mais toute la société va vers la honte des victimes plutôt que des agresseurs, sauf peut-être moins pour les enfants. Le silence, le retrait protège, il permet de souffler pour mieux renvoyer la honte au violeur !
Serait il possible d'avoir un podcast sur l'in*este car c'est un long sujet et qui est malheureusement trop tabou quand on cherche des choses pour comprendre guérir c'est compliqué car peu osent se lancer la dessus même les psy sont peu formés la dessus et contourne le sujet
Exactement être clair pour éviter les interprétations qui sont propres à chacun
Faut mettre carte sur table lors de la découverte de l'autre aussi bien ses qualités que ses "défauts", si ça plaît pas tant pis
Avant les années 90/ 2000, ce n'était pas de la naïveté de ne pas tout préciser, le respect voulait qu'un consentement était progressif, implicitement chacun savait que les premiers temps on ne crée pas d'intimité sexuelle ! Et les fantasmes restaient des fantasmes...
Aujourd'hui on est très vite considéré naïf ! La société sous prétexte de liberté sexuelle amène particulièrement les hommes à abuser de la confiance !!! Il faudrait parler de toutes les pratiques sexuelles avant le premier rapport, et encore l'homme peut se croire le meilleur des amants et pour son orgueil, vous amener à dépasser les limites exprimées fermement !
Le problème majeur c'est que l'autre n'existe pas, il y en a trop, les opportunités sont telles que chacun-e n'est plus rien même en famille...
Quant à la honte il ne faut jamais l'intégrer, mais plutôt l'inverser.
Et là le monde changera, mais toute la société va vers la honte des victimes plutôt que des agresseurs, sauf peut-être moins pour les enfants.
Le silence, le retrait protège, il permet de souffler pour mieux renvoyer la honte au violeur !
21:54 la honte mais aussi la culpabilité
Serait il possible d'avoir un podcast sur l'in*este car c'est un long sujet et qui est malheureusement trop tabou quand on cherche des choses pour comprendre guérir c'est compliqué car peu osent se lancer la dessus même les psy sont peu formés la dessus et contourne le sujet