J'allais avoir 20 ans en septembre et je me mariais en juin . Mes collègues étant parties faire des courses sur l'heure du temps de midi à la rue Neuve, revenaient affolées au bureau. Elles avaient assist é au début de cet incendie gigantesque. Un professeur du Lycée Royal Marguerite Bervoets et sa mère ont péri dans la fournaise.
Les grosses pompes de l'innovation ont été blanchis en un coup de cuillère à pot alors qu'ils portaient une large responsabilité dans le nombre de décès. Ce magasin était une bombe sur patte. Le moindre court circuit du système électrique vieillot (ou autre étincelle) et c'était la cata, sans issues de secours bien placées et indiquées clairement ni alarme efficace (certains ont cru que c'était le signal de la pause, et au restaurant par exemple, cette sirène n'était même pas audible). Les familles des victimes ont été dédommagés plus pour qu'ils la ferment qu'autre chose.
après...c'est 1967. Les normes de sécurité que ce soit sur les circuits électriques ou sur les évacuations etc. n'étaient pas les mêmes qu'aujourd'hui. Certaines procédures ont été changées après ce drame...pcq c'est malheureusement comme ça que ça va. Tant que ça n'a pas posé problème, on ne change pas. C'est après les accidents qu'on comprends qu'on doit faire autrement. C'est facile de refaire le monde et de critiquer plus de 30 après... A l'époque d'aussi gros complexes étaient rares. Avoir autant de gens au même endroit était rare aussi. Les centres commerciaux c'était relativement nouveau (le tout premier centre commercial à ouvert en 1956 aux USA. C'était un des premiers en Belgique.
@@lydiavandermiege Tout à fait vrai que chaque drame amène son lot d'évolutions de sécurité. Et que cette grande surface était assez "rare". Cependant, beaucoup d'avis sur le manque de sécurité avaient été prononcés "avant". Principalement, l'impossibilité de sortir du magasin si incendie. Les propriétaires ne voulaient pas faire les travaux car ça aurait diminué les rentrées (fermer une partie de l'inno pour le faire). On ne changera pas le passé. Et on continue à faire de grosses gaffes au quotidien, facilité ou argent le permettront toujours...
@@krapoutchik1 ...pcq toutes ces choses-là n'étaient pas cadrées, pas obligatoires à l'époque et même assez peu connues. Rien ne permet de conclure que le refus était motivé par la peur de "perdre de l'argent". Il est tout à fait possible que ce refus ait été motivé par les faibles probabilités d'un tel accident, d'une évolution aussi rapide. La fameuse balance bénéfice/risque... Les gens sont souvent cons, les commerciaux aussi. Malheureusement, dans de nombreux cas, tant qu'on oblige pas les gens...ils ne le font pas. Même si c'est bien pour eux, même si c'est bien pour les autres et même si l'effort à fournir est minime. Pendant la covid, combien de gens auraient spontanément portés le masque si on ne les avaient pas obligés à le faire, combien auraient restreint leur déplacements ? Pas grand monde... Pourtant ce n'était pas difficile à faire, ni cher. Si on veut que les gens qui ne sont pas obligés de faire un truc le fasse, il faut leur amener des preuves en béton, des stats etc. surtout lorsqu'il faut faire de telles dépenses. Et ces preuves et ces stats on en avaient pas vraiment à l'époque. Encore aujourd'hui, combien de commerces se contentent de ne faire que le minimum au niveau des consignes de sécurité ? Pourtant, on a plus l'excuse, maintenant on sait.
Après cette terrible incendie maintenant les pompiers sont aujourd'hui avec pleins de technologie et espérant que sa se reproduise plus un terrible incendie ni en Belgique et ni en France
Moi j'avais 18 ans , cela a été une terrible catastrophe pour Bruxelles , j'y ai été souvent mais j'avais un mal être dans ce magasin , pourquoi je n'en sais rien.
Io ero lì, avevo 21 anni, lavoravo al centro commerciali Priba che era attaccato a l'Inno, ogni giorno a l'ora di pranzo andavo a l'anno, quel giorno non sono andata ,per fortuna, ho assistito a delle situazione orrende le persone si buttavano delle finestre e cadevano sulle macchine che si trovavano davanti al 'Inno puoi tante altre situazione terribili
Un bâtiment vétuste, un système de lutte contre les incendies inefficace et obsolète, et une mauvaise gestion de la crise, voilà les causes de ce désastre. Les pompiers n’ont été prévenus que plusieurs dizaines de minutes après le début de l’incendie par un appel anonyme.
Les plus beaux magasins a Bruxelles très bonne reportages ❤ vivent Bruxelles ❤
J'allais avoir 20 ans en septembre et je me mariais en juin . Mes collègues étant parties faire des courses sur l'heure du temps de midi à la rue Neuve, revenaient affolées au bureau. Elles avaient assist é au début de cet incendie gigantesque. Un professeur du Lycée Royal Marguerite Bervoets et sa mère ont péri dans la fournaise.
Les grosses pompes de l'innovation ont été blanchis en un coup de cuillère à pot alors qu'ils portaient une large responsabilité dans le nombre de décès. Ce magasin était une bombe sur patte. Le moindre court circuit du système électrique vieillot (ou autre étincelle) et c'était la cata, sans issues de secours bien placées et indiquées clairement ni alarme efficace (certains ont cru que c'était le signal de la pause, et au restaurant par exemple, cette sirène n'était même pas audible). Les familles des victimes ont été dédommagés plus pour qu'ils la ferment qu'autre chose.
"En deux coups de cuillère à pot" est l'expression correcte 😉
@@fredmeers24 Haha, oui, sorry! Merci, je rectifie :-)
après...c'est 1967. Les normes de sécurité que ce soit sur les circuits électriques ou sur les évacuations etc. n'étaient pas les mêmes qu'aujourd'hui. Certaines procédures ont été changées après ce drame...pcq c'est malheureusement comme ça que ça va. Tant que ça n'a pas posé problème, on ne change pas. C'est après les accidents qu'on comprends qu'on doit faire autrement.
C'est facile de refaire le monde et de critiquer plus de 30 après... A l'époque d'aussi gros complexes étaient rares. Avoir autant de gens au même endroit était rare aussi. Les centres commerciaux c'était relativement nouveau (le tout premier centre commercial à ouvert en 1956 aux USA. C'était un des premiers en Belgique.
@@lydiavandermiege Tout à fait vrai que chaque drame amène son lot d'évolutions de sécurité. Et que cette grande surface était assez "rare".
Cependant, beaucoup d'avis sur le manque de sécurité avaient été prononcés "avant". Principalement, l'impossibilité de sortir du magasin si incendie. Les propriétaires ne voulaient pas faire les travaux car ça aurait diminué les rentrées (fermer une partie de l'inno pour le faire).
On ne changera pas le passé. Et on continue à faire de grosses gaffes au quotidien, facilité ou argent le permettront toujours...
@@krapoutchik1 ...pcq toutes ces choses-là n'étaient pas cadrées, pas obligatoires à l'époque et même assez peu connues.
Rien ne permet de conclure que le refus était motivé par la peur de "perdre de l'argent". Il est tout à fait possible que ce refus ait été motivé par les faibles probabilités d'un tel accident, d'une évolution aussi rapide. La fameuse balance bénéfice/risque...
Les gens sont souvent cons, les commerciaux aussi. Malheureusement, dans de nombreux cas, tant qu'on oblige pas les gens...ils ne le font pas. Même si c'est bien pour eux, même si c'est bien pour les autres et même si l'effort à fournir est minime. Pendant la covid, combien de gens auraient spontanément portés le masque si on ne les avaient pas obligés à le faire, combien auraient restreint leur déplacements ? Pas grand monde... Pourtant ce n'était pas difficile à faire, ni cher.
Si on veut que les gens qui ne sont pas obligés de faire un truc le fasse, il faut leur amener des preuves en béton, des stats etc. surtout lorsqu'il faut faire de telles dépenses. Et ces preuves et ces stats on en avaient pas vraiment à l'époque.
Encore aujourd'hui, combien de commerces se contentent de ne faire que le minimum au niveau des consignes de sécurité ? Pourtant, on a plus l'excuse, maintenant on sait.
Les causes ont été découverte ?
Après cette terrible incendie maintenant les pompiers sont aujourd'hui avec pleins de technologie et espérant que sa se reproduise plus un terrible incendie ni en Belgique et ni en France
Le jour de l'incendie, l'Innovation n'était pas assuré !!!!
j'endends les journaleux, et leurs questions à la con, ils ne changent pas.
😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢
Moi j'avais 18 ans , cela a été une terrible catastrophe pour Bruxelles , j'y ai été souvent mais j'avais un mal être dans ce magasin , pourquoi je n'en sais rien.
J'avais 14 ans on voyait les fumées jusqu'au Karreveld à Molenbeek-Saint-Jean
Une chose est certaine ,les gens étaient impeccable sur eux , c'était malheureux vraiment
Io ero lì, avevo 21 anni, lavoravo al centro commerciali Priba che era attaccato a l'Inno, ogni giorno a l'ora di pranzo andavo a l'anno, quel giorno non sono andata ,per fortuna, ho assistito a delle situazione orrende le persone si buttavano delle finestre e cadevano sulle macchine che si trovavano davanti al 'Inno puoi tante altre situazione terribili
Je m’en souviens comme d’hier. À l’époque le journaliste avait déjà une attitude déplacée.
Un mégot allumé tombé sur un vêtement synthétique peut déclencher un incendie.
I saw it as boy. was ther
Un bâtiment vétuste, un système de lutte contre les incendies inefficace et obsolète, et une mauvaise gestion de la crise, voilà les causes de ce désastre.
Les pompiers n’ont été prévenus que plusieurs dizaines de minutes après le début de l’incendie par un appel anonyme.
13h22 : début du feu
13h34 : les pompiers sont prévenus
67 78 38 / 2012 2019
"Ecoute ta conscience c'est ton seul juge"