Bonjour.Suis tombée sur votre vidéo..sa fille née de son premier mariage en a bavé non?Il y a eu suicide..Judith était sa préférée valorisant son narcissisme..🤔
En rapport avec le jugement sur le paranoïaque qui ne reconnaitrait pas l'amour de l'autre : c'est que l'amour de l'autre ne tient pas vraiment, objectivement. Or la paramoia, c'est l'objectivité même, la seule qui existe "vraiment". S'il y a un crime que ne commit jamais Lacan c'est de postuler qu'une structure était en défaut d'une vérité posée "objectivement", au-delà donc de la paranoia même. Chaque structure dit quelque chose de vrai et de faux pour un autre digne de ce nom. Faut-il que je dise alors ce qu'il ne faudrait pas dire, ce qui devrait se découvrir pour un sujet donné, par quelque "processus" que ce soit ? A savoir que l'imaginaire porte bien son nom, car ce qui est d-énoncé dans le stade du miroir c'est l'illusion "nécessaire" dont il procède ? Il n'y a d'objectivité que pour un sujet donné, et c'est là sa dimension paranoiaque (universelle, le paranoiaque bien sûr ne s'en tient pas à ce qui est commun bien qu'il puisse le reconnaître, il ne laisse pas tomber "le reste" et c'est là sa vérité propre). Ce qui n'existe pas c'est une scène objective extérieure à des structures qui se répondent, la psychanalyse en est un abord, un observateur "objectif" possible d'une scène qui n'existe pas. La réalité apparente reste de ce point de vue une illusion. Par ailleurs l'idée d'être aimé est un versant possible de la paranoia (car il n'y a pas de permanence de l'autre, à part possiblement une persistance de structure - c'est à dire une manière d'être ir-réel - si ce n'est une carcasse), comme quoi ce n'est pas si simple !
Si on retire les interminables congratulations, remerciements et courbettes calembouresques, il ne reste rien, rien que des moi fats et défraîchis sans aucun élément clinique digne de mettre la psyché au travail.
Sybille pardon...fille de Jacques Lacan qui a ecrit'un père '...Il avait beau être psychanalyste il n en était pas moins père..et un père imparfait comme bcp de pères.
Jacques-Alain Miller : Je respecte votre dignité comme celui d'une personne bien intentionnée (malgré les accusations que je porte pour avoir oblitéré, falsifié et perverti l'oeuvre de JEM Lacan) et dans ce sens je vous dis ('l'inaction est la raison' JL Borges): -Tu ne connais rien à la géopolitique ! -tu ne comprends même pas le résumé qu'avez-vous fait de votre analyste et laquais Henry... -Tais-toi et arrête de tacher le futur de la psychanalyse ! Retour au stoïcisme du maître : -Laissez les bêtises! --
Bonjour.Suis tombée sur votre vidéo..sa fille née de son premier mariage en a bavé non?Il y a eu suicide..Judith était sa préférée valorisant son narcissisme..🤔
Monsieur Miller donne envie de connaître la psychanalyse et pourquoi pas faire démarche
En rapport avec le jugement sur le paranoïaque qui ne reconnaitrait pas l'amour de l'autre : c'est que l'amour de l'autre ne tient pas vraiment, objectivement. Or la paramoia, c'est l'objectivité même, la seule qui existe "vraiment". S'il y a un crime que ne commit jamais Lacan c'est de postuler qu'une structure était en défaut d'une vérité posée "objectivement", au-delà donc de la paranoia même. Chaque structure dit quelque chose de vrai et de faux pour un autre digne de ce nom. Faut-il que je dise alors ce qu'il ne faudrait pas dire, ce qui devrait se découvrir pour un sujet donné, par quelque "processus" que ce soit ? A savoir que l'imaginaire porte bien son nom, car ce qui est d-énoncé dans le stade du miroir c'est l'illusion "nécessaire" dont il procède ? Il n'y a d'objectivité que pour un sujet donné, et c'est là sa dimension paranoiaque (universelle, le paranoiaque bien sûr ne s'en tient pas à ce qui est commun bien qu'il puisse le reconnaître, il ne laisse pas tomber "le reste" et c'est là sa vérité propre). Ce qui n'existe pas c'est une scène objective extérieure à des structures qui se répondent, la psychanalyse en est un abord, un observateur "objectif" possible d'une scène qui n'existe pas. La réalité apparente reste de ce point de vue une illusion. Par ailleurs l'idée d'être aimé est un versant possible de la paranoia (car il n'y a pas de permanence de l'autre, à part possiblement une persistance de structure - c'est à dire une manière d'être ir-réel - si ce n'est une carcasse), comme quoi ce n'est pas si simple !
Si on retire les interminables congratulations, remerciements et courbettes calembouresques, il ne reste rien, rien que des moi fats et défraîchis sans aucun élément clinique digne de mettre la psyché au travail.
È presente in quello che fa!
Sybille pardon...fille de Jacques Lacan qui a ecrit'un père '...Il avait beau être psychanalyste il n en était pas moins père..et un père imparfait comme bcp de pères.
Pagina 59!
Jacques-Alain Miller : Je respecte votre dignité
comme celui d'une personne bien intentionnée
(malgré les accusations que je porte
pour avoir oblitéré, falsifié et perverti
l'oeuvre de JEM Lacan)
et dans ce sens je vous dis
('l'inaction est la raison' JL Borges):
-Tu ne connais rien à la géopolitique !
-tu ne comprends même pas le résumé
qu'avez-vous fait de votre analyste et laquais Henry...
-Tais-toi et arrête de tacher le futur
de la psychanalyse !
Retour au stoïcisme du maître :
-Laissez les bêtises!
--
Du bon pain pour un temps de famine.
Laudatif, mais c'est secondaire face à la famine.