Bravo, bravo, bravo !!! A vous qui avez participé et produit ces épisodes, dont on ne se lasse pas et qui pourraient bien en comporter 20 de plus...Et vraiment merci pour la défense de ces sujets trop peu abordés, voir méconnus, ou assimilés à quelconques extrémismes dans des buts de discrédit et d'amalgame avec la radicalité. Merci aussi pour ces musiques originales qui sont vraiment bien sympathiques : chapeau camarades.
Merci Floraisons, tout le podcast offre une super introduction à la critique de l'industrie : le cadre conceptuel de PMO m'a aidé à mettre du sens sur certaines analyses éparses que j'avais et m'a conforté à penser avec ces "lunettes" matérialistes anti-technologie. Mention spéciale aux musiques qui collaient chaque fois vraiment bien aux thèmes abordés, ça aidait aussi à digérer les informations de son côté. Le travail de PMO est précieux pour l'avenir, vous leur avez offert une très belle enveloppe pour qu'il se diffuse largement. Chimpanzés du futur de tous les pays, unissez-vous !
Je passe juste vous dire que je vous aime et j'aime votre travail! On en veut plus! Merci le chat et les stagiaires 🏴 Ah oui et adieu est un chef-d'œuvre comme toutes les bandes son et génériques. Miaou
Super boulot merci ^^ Cette idée de podcast en plusieurs parties permet vraiment de comprendre tous les contours d'un sujet donné, j'espère qu'il y en aura d'autre comme cela ;)
Ce dernier épisode est explosif, ça devrait pas s’appeler “face au monde des machines” mais “face à Marx”. J’essaye quand même de poster ici un avis différent. Sans les machines, on serait encore des esclaves… le travail nécessaire serait tel qu’on devrait passer la plus part de notre temps à labourer la terre pour subvenir à nos besoins. La machine à la potentialité de libérer l’homme et c’est bien sûr ce qu’a parfaitement expliqué Marx. Sans machines à écrire… sans machines pour nous soigner, on revient à l’âge de la pierre, pas sûr que ce soit si idéal. Le problème de la machine est l’utilisation qui en est faite qui est elle même déterminée par la nature du propriétaire. En tant que capitaliste, le propriétaire de la machine s’en sert comme moyen de production de valeur et plus encore de survaleur, c’est-à-dire comme moyen d’exploitation du travail humain. Lorsque les travailleurs prendront possession des machines, ils les développeront encore bien plus car les forces productives seront libérées du carcan capitaliste et ils se serviront des machines pour réduire le travail nécessaire au minimum, pour que le temps libre soit le plus grand possible et les machines auront aussi leur rôle à jouer dans ce temps libre. Si on prend le nucléaire, c’est une formidable source d’énergie mais aussi de déchets et de danger. Le problème est que dans le capitalisme la sécurité et le traitement des déchets ne peut pas se valoriser, il s’agit de coûts qui portent préjudice a la rentabilité du capital et doivent donc être éliminés ou réduits au minimum possible selon les normes en vigueur dans la société de classes. Lorsque les travailleurs se saisiront de la question du nucléaire la pollution et la sécurité seront des questions de premier ordre puisque ce n’est plus la rentabilité du capital qui prévaut mais l’intérêt de la majorité des humains. Et alors on mettra les moyens humains pour faire du nucléaire une énergie présentant moins de dangers, on trouvera des solutions au traitement des déchets, etc. Si toutefois les humains en sont incapables alors ce sera le retour à l’âge de pierre que vous semblez appeler de vos vœux.
Bravo, bravo, bravo !!! A vous qui avez participé et produit ces épisodes, dont on ne se lasse pas et qui pourraient bien en comporter 20 de plus...Et vraiment merci pour la défense de ces sujets trop peu abordés, voir méconnus, ou assimilés à quelconques extrémismes dans des buts de discrédit et d'amalgame avec la radicalité.
Merci aussi pour ces musiques originales qui sont vraiment bien sympathiques : chapeau camarades.
Merci Floraisons, tout le podcast offre une super introduction à la critique de l'industrie : le cadre conceptuel de PMO m'a aidé à mettre du sens sur certaines analyses éparses que j'avais et m'a conforté à penser avec ces "lunettes" matérialistes anti-technologie. Mention spéciale aux musiques qui collaient chaque fois vraiment bien aux thèmes abordés, ça aidait aussi à digérer les informations de son côté.
Le travail de PMO est précieux pour l'avenir, vous leur avez offert une très belle enveloppe pour qu'il se diffuse largement. Chimpanzés du futur de tous les pays, unissez-vous !
Je passe juste vous dire que je vous aime et j'aime votre travail! On en veut plus! Merci le chat et les stagiaires 🏴
Ah oui et adieu est un chef-d'œuvre comme toutes les bandes son et génériques. Miaou
Super boulot merci ^^
Cette idée de podcast en plusieurs parties permet vraiment de comprendre tous les contours d'un sujet donné, j'espère qu'il y en aura d'autre comme cela ;)
Merci beaucoup
Ce dernier épisode est explosif, ça devrait pas s’appeler “face au monde des machines” mais “face à Marx”. J’essaye quand même de poster ici un avis différent. Sans les machines, on serait encore des esclaves… le travail nécessaire serait tel qu’on devrait passer la plus part de notre temps à labourer la terre pour subvenir à nos besoins. La machine à la potentialité de libérer l’homme et c’est bien sûr ce qu’a parfaitement expliqué Marx. Sans machines à écrire… sans machines pour nous soigner, on revient à l’âge de la pierre, pas sûr que ce soit si idéal. Le problème de la machine est l’utilisation qui en est faite qui est elle même déterminée par la nature du propriétaire. En tant que capitaliste, le propriétaire de la machine s’en sert comme moyen de production de valeur et plus encore de survaleur, c’est-à-dire comme moyen d’exploitation du travail humain. Lorsque les travailleurs prendront possession des machines, ils les développeront encore bien plus car les forces productives seront libérées du carcan capitaliste et ils se serviront des machines pour réduire le travail nécessaire au minimum, pour que le temps libre soit le plus grand possible et les machines auront aussi leur rôle à jouer dans ce temps libre. Si on prend le nucléaire, c’est une formidable source d’énergie mais aussi de déchets et de danger. Le problème est que dans le capitalisme la sécurité et le traitement des déchets ne peut pas se valoriser, il s’agit de coûts qui portent préjudice a la rentabilité du capital et doivent donc être éliminés ou réduits au minimum possible selon les normes en vigueur dans la société de classes. Lorsque les travailleurs se saisiront de la question du nucléaire la pollution et la sécurité seront des questions de premier ordre puisque ce n’est plus la rentabilité du capital qui prévaut mais l’intérêt de la majorité des humains. Et alors on mettra les moyens humains pour faire du nucléaire une énergie présentant moins de dangers, on trouvera des solutions au traitement des déchets, etc.
Si toutefois les humains en sont incapables alors ce sera le retour à l’âge de pierre que vous semblez appeler de vos vœux.