super job ! j'ai un film à te conseiller : "Bienvenue chez les Robinson" Ce film est incroyable, il parle aussi bien du déni, que de grandir, et d'acceptation
J'adore ce film, je l'avais beaucoup aimé quand j'étais enfant, même si son esthétique ne plaira pas à tout le monde, mais certains personnages sont très intéressants et mémorables, certaines répliques et citations de certains personnages du film sont vraiment sont assez philosophiques et profondes, et l'évolution du protagoniste (Rango le caméléon) tout au long du film avec sa confrontation contre son némésis à la fin, tout ça était vraiment magnifique et grandiose, franchement, je recommande grandement ce film.
Les deux premières minutes de ta vidéo m’ont suffit à me refaire le film pour la deuxième fois depuis sa sortie où je l’ai vu au cinéma. Avec du recul c’est une œuvre excellente qui me tape droit au cœur, le reste de ta vidéo le prouve bien. Un petit ovni pourtant incroyable, tout comme cette vidéo !
J’adore ce film mais je pense qu’il est sous côté. J’ai l’impression que personne ne le connaît autour de moi alors qu’il est super intéressant et amusant à voir. Sinon incroyable ta vidéo continue comme ça 😃👍
Merci pour tes vidéos je les adore, tu as une façon de raconter qui me rappelle les bibliothécaire pour enfants, tu as une voix rassurantes et posée ainsi qu'un bon rythme. Cependant même si l'idée de montrer des extraits de témoignages et d'interview est super, tu gagnerais à mettre des sous-titres en français, de nombreuses personnes ne parlent pas ou on du mal avec l'anglais. Continue tes vidéos, je t'en remercie
Je l'avais vu plus jeune et il m'avait marqué, il n'est pas parfait mais l'histoire fonctionne bien et je me souviens encore "D'une légende à l'autre" et du salut qu'ils se font... Il faudrait que je le revoie.
J'ai vu Rango à la miniature, j'hésite pas, voici une lettre d'amour de mon film pref : Rango est d'une étrange excellence, oublié malgré une identité remarquable,souvent lynché par son scénario basique avec quelques fulgurances narratives. Il est facile de trouver d'interprêter mille et une chose pour trouver chaussure à son pied surtout quand on parle de son film préferé. Mais en +10 ans je ne suis jamais tombé à court d'éloges. J'aimerais justement appuyer sur les points les plus sous-estimés du film justement. S'il est clair que le style artistique est toujours décrié, il est rare de voir un tel engouement sur sa signification narrative qu'elle peut porter. Et à quel point, l'intrigue d'enquête sur la recherche de l'eau rentre en plein dans l'ensemble thématique et symbolique. Exemple, le VRAI antagoniste de l'histoire : Le Maire-La Tortue. Celle-ci faisant un deal avec le diable pour un bonheur matériel, sacrifiant son identité. Le fait que ce soit un méchant oubliable et aux motivations quelconque est thématiquement nickel. Ses motivations sont impersonelles, ce qui fait que personne s'en rappel. Il en devient oublié à la fois in-universe et pour nous ; l'oubli, l'identité,sa place dans le monde,le mythe. C'est qqch qu'il veut effacer mais il le fait de manière égoîste. Ce qui relate avec les thématiques de l'oeuvre mais forcement il en devient un peu ennuyant. Faire de lui un méchant tragique qui due à un handicap compense son manque de vie de gunslinger stylé en détruisant ce mode de vie auquel il ne peut s'identifier....aurait pu être un bon arc. Mais bon, de ce qu'on a eu, ça tient plus du headcanon, ce qui est dommage car ça rendrait le film encore meilleur.Après....ses méthodes sont intéressantes et originales, l'aspect gentrification qui représente le fait d'effacer l'identité d'une ville via la modernisation, l'adaptation d'une vie à travers le temps. Dirt s'est autant adapté que Rango. Et tout deux n'ont pas vraiment le choix.Enfait la plupart des persos essayent de s'adapter à la vie en société, la survie tout court ou juste à la vie en générale. D'autant plus mis en avant par la mise en scène de visions et de mégalophobie quasi d'horreur existentielle. Les rêves et les révélations sur l'environnement, l'espace, le desert, Las Vegas qui vend vraiment cette dimension écrasante de plus grand à jamais au delà de nôtre perception ridicule. D'où le message simple au final, on est sur qqch de très empatique, "it's not about you, it's about them", qui replace et définit nôtre place dans NÔTRE univers. C'est eux qui font qu'on se souvient de nous, c'est grâce à une famille et à des amis. Qqch que les antagonistes n'ont pas et ce sont les êtres les plus oubliés du film (Vraiment cool le détail de l'Aigle ayant des gravures sur son bec, insinuant aussi qu'il vient d'un environnement humain mais qu'il s'est perdu mais adapté dans le désert). La barque abandonnée, le traitement sur l'écologie et l'avancée technologique qui plonge la ville dans l'oubli par sa conformisation métropolitaine. Si toutes les villes devaient absolument se conformiser, alors elles se ressembleraient toutes. C'est d'ailleurs pour ça que c'est touchant de faire de Dirt = Mud, car elle s'est justement identifier, malgré son changement comme un village pittoresque avec une musique de vacance. Je pense le message aurait été encore plus percutant si à la fin du film des touristes venaient pour visiter la nouvelle ville. Et au final ils paraissent autant moderne que prévu mais sans la partie attrition. Le Maire est la personification de sa ville, en tout cas d'un point de vue strictement scénaristique, et là-dessus on peut y voir une lecture de l'homme aux 1000 ambitions luttant contre le temps et la mortalité, mais via sa ville : Il joue avec des forces qui le dépasse, il veut voir l'ancienne société, le Far West et les Gunslinger disparaître, il veut forcer sa ville à changer même si ça leur fait mal alors que théoriquement ça devrait aussi leur profiter. Typiquement le trope du vieillard en quête d'immortalité spirituelle. Ce qui est très meta dans un sens parce que si on se souvient plus de qqu, c'est Jake the Rattlesnake, l'un des meilleurs designs d'antagonistes de la fiction. J'aime aussi bcp le détail que durant le film,Rango passe d'un gars très bizarre ayant des séquelles de sa solitude qui pourrait s'apparenté à une anxiété sociale qu'il compense en jouant le rôle du mâle alpha toxique. Y a plusieurs moments où il fait des blagues racistes et sexistes (il assume direct que le corbeau au poncho parle aux esprits ou qu'il n'y a pas de mal à être un crapaud plutôt qu'un reptile). Il fait souvent des remarques et des longues tirades parfois offensantes ou diminutives à la 0SS 117 ce qui est hilarant. C'est aussi là, que la direction artistique prend tout son sens narratif. On met autant d'attention sur le mode de vie des animaux reflètant la survie et le voyage de Rango qui doit lui même survivre dans ce nouvel écosystème qu'est la ville et la vie en société. D'où les Mariachis prédissant sa mort alors qu'il vient de trouver une civilisation. D'où l'insistance sur ce caméléon qui ne peut pas se camoufler (déjà prc que les Caméléon irl ne font pas ça) mais aussi parce que ça c'est fait au sein de cette populace. Et à l'instar d'un animal pris au piège, se sentant écraser par son environnement, il doit grimacer et faire le duire-à-cuire pour pas se faire manger tout cru. Et le pire c'est que bien qu'il commence mal, il finit vers le début de la fin du film à devenir plutôt compétent en tant que shérif, jusqu'à dénicher le responsable de toutes les supercheries. Ce qui est plutôt rafraichissant dans le domaine des script des persos principaux "charlatan mais fini par devenir meilleur par [insert une bonne valeur]". Pareil pour tout les autres persos, apart les antagonistes et Rango ; personne n'a d'arc mais c'est pas un problème car tout le monde est si drôle si unique, si attachant que tu pardonnes le fait qu'ils prennent autant de place. Un peu limite sur Beans prc que bien qu'unique, elle n'est finalement qu'un love-interest par contre.... Et tout ce narratif qu'il s'est inséré lui même qui se fait détruire par l'icône qu'est Jake The Rattlesnake, littéralement le diable, le serpent qui rappelle sa pathétique existence, fait apprendre la vérité, fait ouvrir les yeux à tout le monde (tel le fruit défendu), apparition iconique renforcé par cette présence tentaculaire, qui bien qu'il ne fait même pas 1m de long rend fort menacant à l'écran parce que tout le monde, y compris le Maire, en manipulant est passif dans cette histoire, même Rango d'une certaine façon, ce n'est que peu de temps après la capture des taupes et de l'arrivée de Jake où il a vraiment pris action c'était pour directement accuser le Maire de ces cachotteries. Il n'y a que Jake qui non seulement n'est pas affecté par la soif mais c'est aussi le seul qui agit concrètement, ce qui le rend terrifiant enfait. Puis vient Dieu ou quelconque force supérieure qui indique et redonne de l'espoir et de la valeur en Rango qui avait abandonné justement cette image et cet égo grandissant en lui en ne le permettant pas de mourir avec cette scène atrocement relatable. Cette impression de futilité morbide qu'il y a à continuer la vie dans un moment où Rango n'a justement plus de personnages à jouer. Et c'est le seul moment du film où les voitures n'ont absolument aucun effet.
Libre de toutes peur et de toutes déceptions, ils accueillent à bras ouvert la mort, même si inconsciemment il s'agit aussi de son plus gros accomplissement. C'était sa résistance et sa quête ardue d'existence et de raisons que la route lui causait un danger direct. Mais ici il est convaincu en son propre vide. Il ne peut qu'accepter ce qui lui arrive et passer le cap si l'univers lui autorise et en effet Il a encore une mission même s'il sait pas encore laquelle. Et c'est en cela que la définition même du western et de la tonalité artistique de tout ce film arrive sous la forme de Clint Eastwood qui conclut l'arc principal de Rango sur la valeur de son existence et de quel but aurait une rédemption en ce contexte. Mais pour le coup, sa signification est bien plus littérale mais permet déjà une idée meta, de tarée mais décuple ce jeu d'échelle extrêmement atmosphérique et permet à l'intrigue et au développement de l'univers de s'iconiser. Sa scène et les différents symbolismes nous font passer du désert classique à une dimension supérieure de rêve situé dans une infinité vertigineuse et aux très beaux plan skybox que Rango semble admirer à Las Vegas dont il semble très anxieux et son écrasante avancée sur le monde des animaux qui se meurt.Eux et leur mythologie respective, le fameux Clint Eastwood indifférent des noms que x et x se donnent, cherchant toujours quelque chose et de ces fameux cactus qui bougent. Cette mythologie à petite échelle et la souffrance que ces êtres pourtant si dérageant qui te convainct de l'importance de l'eau, la souffrance, l'aridité et le réalisme dans l'atmosphère,les animations, les personnages mutilés et sales et le décor en carton ou fait de matériaux de récupération et d'objest humains, tout est là pour te donner sincèrement soif et faire saliver à la moindre eau présente. Le verre d'eau que le Maire donne à Beans est une eau plus appétissante que je ne vais jamais gouter irl. Même si ça fait pas parti du domaine de lecture attendu du film, Rango te fait vraiment SUBIR le consumérisme extrême et la nocivité de la nature humaine et ceux en 3 plans minimum. Las Vegas fait assécher tout le désert, le Maire s'inspire directement de l'humanité pour d'autant plus l'assécher, le peu d'outil et d'équipement de nature humaine laisse tout de même Dirt dans une condition déplorable et les effets plus directs tuent et blessent activement la faune/flore. Ou corromp. L'humanité à travers les animaux ou à travers ses constructions, pose son influence en tant qu'espèce sur le côté, le plan de la barque, la ville présenté comme une gigantesque créature que Rango évite, il y a une caractérisation quasi horrifique dans ce traitement divin hors d'atteinte et hors de compréhension, la vie passé de Rango qui est naît grâce aux humains ou du moins dont sa vie a été permi grâce aux humains, comme si la vraie personne, l'identité était née qu'à partir de l'accident du début du film. Ca se remarque notamment sur l'imitation technologique et même religieuse, le Maire utilise les coutumes (qui sont surement apparus à cause de lui d'ailleurs), détruit les cultures initiales de Dirt pour laisser place à son culte, à sa religion qui n'est qu'accorder pour avoir copier l'humanité qui est totalement indifférente.Il copie Dieu tout ça pour se mettre à sa place, tandis que l'Humanité dans tout ça use, exploite et souille malgré elle son environnement dans tout les sens du termes. Les habitants sont désespérés et se laissent mourrir en attendant que quelqu'un d'autre les sauve ; à chaque moment où le désespoir est à son paroxysme, ils deviennent une masse noire, voulant pendre le premier individu auquel le Maire a jeté le dévolu. Ce n'est que quand Rango agit qu'ils reprennent leur esprits et leur personallité par la même occasion. A vrai dire l'Esprit de L'Ouest aussi est indifférent et confus à l'importance des titres et de la loyauté aveugle qui ronge l'existence. Ile ne fait que souligner l'importance des actions et du rôle que l'on devrait jouer plutôt que de la valeur superflue que l'on peut tirer : "you must make your own meaning in life, religion is no more than the opiate of the masses and God is as confused about everything as you are" - Marx. L'extrêmisme de la religion et de ses travers correspond aussi à une forme de déshumanisation. Non pas qu'ils étaient spécialement sympa,mais les réactions des habitants voulant tuer et torturer les prisonniers confirme à quel point la perte d'identité peut détruire des âmes. De plus ça reste assez subtil, on est pas sur un message totalement anti-religion ou anti-dieu,Rango est d'une certaine façon une figure messianique ,envoyé par 2 fois par Dieu (que ce soit le dieu littéral de ces créatures ou le dieu qui les a effectivement permi de vivre, peut autant prendre comme détruire, corrompre ou protéger, tu peux pas faire plus humaniste comme message), guidé et sauvant Dirt par conviction que ce qu'il fait est une bonne chose pour Dirt, malgré l'incertitude de son plan. Il a fait son saut de la foi. Evidemment que ça peut apporter un fléau si mené par une sombre âme, mais c'est aussi un outil puissant pour maintenir l'espoir et apporter un miracle (comme symbolisé en fin de film) même si son symbole/Rango n'est pas parfait. Ironiquement preuve en est via l'abondance de blague et de signes morbides gras qui convinct d'autant plus de la nécessité de la préservation de l'espoir et de l'essence de Dirt et de la récupération de l'eau. Et peu importe le contexte, c'est une fondamentale de l'existence à la fois dans un écosystème purement naturel par rapport à une vie en société. Dans tout les cas, tu es obbligé d'encaisser et de t'endurcir, dans des cas extrêmes à te coincer dans ta bulle (Rango dans son personnage - Dirt en ses habitants, d'où le rejet des étrangers) et dans ce cas garder espoir que tout ira mieux. Ce qui justifie pleinement le soudain interêt de la populace tout en rejetant le trope des bully dans des bars.Telle l'insigne du shérif, il est devenu l'étoile que sa famille avait besoin,il a fait façe à sa solitude en trouvant une responsabilité. Et en embrassant la "uncannyness" en ses designs asymétriques, pour nous raconter quelque chose qui vaut le coup, on iconise et créer de l'empathie et de l'interêt via la souffrance et les tracas quotidien d'une vie que n'importe quel adolescent devant ce film est en train de vivre ou vivra Sans rentrer dans des standards psychédélique, c'est l'un des films les plus créatifs que j'ai jamais vu de ma vie conceptuellement des personnages à l'intrigue, c'est très prenant.Un vilain qui utilise la gentrification de sa ville comme parallèle à la recherche d'immortalité tout cela via un style artistique ultra-réaliste poussé à une expression et une esthétique edgy où tout le monde est mutilé et crache des insultes mais peut tout de même rester colorée, fun mais profonde. Entre la frontière du live-action sérieux et mature et du film d'animation fun, suffit de voir les sessions d'acting qui n'ont pas résulté en une performance capture classique qui a quand même réussi à tirer parmi les utilisations du photoréalisme le plus en avance et époustouflant du genre.Prenant aussi bien en terme de puissance émotionelle que de ses scènes d'actions épiques, drôle la majorité du film mais peut être extrêmement déprimant et empli de pensées contemplatives par moments. Sans blague, ce film peut servir de remède contre des pensées suicidaires, ça a marché sur moi et je suis éternellement reconaissant à ce film
Heyy, super vidéo sur un sujet hyper cool continue comme ça. Juste je te conseillerais de mettre des sous titres dans les moments d'interviews pour nos amis non anglophone. Voila sinon continue ce que tu fais c mortel .
12:01 : ce qui est ironique puisque jack est inspiré lui même du personnage de sentenza (angel eyes en vo) du bon la brute et le truand, interprété par lee van cleef
![Blox Fruits Dragon Rework Update [Full Stream]](http://i.ytimg.com/vi/EqDAp8udhm0/mqdefault.jpg)
Hésitez pas à me proposer des films / séries que vous voulez voir sur cette chaine !
super job !
j'ai un film à te conseiller : "Bienvenue chez les Robinson"
Ce film est incroyable, il parle aussi bien du déni, que de grandir, et d'acceptation
J'adore ce film, je l'avais beaucoup aimé quand j'étais enfant, même si son esthétique ne plaira pas à tout le monde, mais certains personnages sont très intéressants et mémorables, certaines répliques et citations de certains personnages du film sont vraiment sont assez philosophiques et profondes, et l'évolution du protagoniste (Rango le caméléon) tout au long du film avec sa confrontation contre son némésis à la fin, tout ça était vraiment magnifique et grandiose, franchement, je recommande grandement ce film.
C'est le dernier film que j'ai vue avec ma grand mère... avant qu'elle décède... ce film est une pépite et une source de nostalgie...
RANGO ! 🦎🤠🚰🏜
merci beaucoup de mettre en lumière cet excellent film qui brille par son originalité et sa beauté !
Merci d'avoir regardé la vidéo !
Rango et mon film préféré et enfin quelqu’un en parle
Les deux premières minutes de ta vidéo m’ont suffit à me refaire le film pour la deuxième fois depuis sa sortie où je l’ai vu au cinéma. Avec du recul c’est une œuvre excellente qui me tape droit au cœur, le reste de ta vidéo le prouve bien. Un petit ovni pourtant incroyable, tout comme cette vidéo !
Merci ça fait plaisir!
Le realisme des images est ce qui m'a le plus impressionné. Et après c' le sale des personnages qui m'impressionne
J’adore ce film mais je pense qu’il est sous côté. J’ai l’impression que personne ne le connaît autour de moi alors qu’il est super intéressant et amusant à voir.
Sinon incroyable ta vidéo continue comme ça 😃👍
Merci pour tes vidéos je les adore, tu as une façon de raconter qui me rappelle les bibliothécaire pour enfants, tu as une voix rassurantes et posée ainsi qu'un bon rythme.
Cependant même si l'idée de montrer des extraits de témoignages et d'interview est super, tu gagnerais à mettre des sous-titres en français, de nombreuses personnes ne parlent pas ou on du mal avec l'anglais.
Continue tes vidéos, je t'en remercie
Merci à toi de les regarder ! Je prend note pour les prochaines vidéos merci !😊
Analyse du film Très Quali ! Chef ⭐️
Merci !
Merci pour cette vidéo très bien détaillée. J'aimerais bien que vous mettiez les sous-titres vf pour les passages en anglais.
Petite pépite cette vidéo 👍
Excellente la vidéo ! Il date le film mais j'avais kiffé à l'époque
J'avais oublié ce film, je pense que je vais lui donner une chance
Bonne idée !
Comment ne pas aimer ce film ? Cest un banger
ton intro est incroyable🤩
Merci !
bros j'ai écouté ce film j'avait 5 ans jcrois super de voir que ce film parle encore de lui !
Je l'avais vu plus jeune et il m'avait marqué, il n'est pas parfait mais l'histoire fonctionne bien et je me souviens encore "D'une légende à l'autre" et du salut qu'ils se font... Il faudrait que je le revoie.
Rango incroyable film ! Super vidéo sur le sujet bravo ! ♥
Merci !
Banger ce film merci d'en parler t'es fort au passage gg
Merci !
J'ai vu Rango à la miniature, j'hésite pas, voici une lettre d'amour de mon film pref :
Rango est d'une étrange excellence, oublié malgré une identité remarquable,souvent lynché par son scénario basique avec quelques fulgurances narratives. Il est facile de trouver d'interprêter mille et une chose pour trouver chaussure à son pied surtout quand on parle de son film préferé. Mais en +10 ans je ne suis jamais tombé à court d'éloges. J'aimerais justement appuyer sur les points les plus sous-estimés du film justement. S'il est clair que le style artistique est toujours décrié, il est rare de voir un tel engouement sur sa signification narrative qu'elle peut porter. Et à quel point, l'intrigue d'enquête sur la recherche de l'eau rentre en plein dans l'ensemble thématique et symbolique. Exemple, le VRAI antagoniste de l'histoire : Le Maire-La Tortue. Celle-ci faisant un deal avec le diable pour un bonheur matériel, sacrifiant son identité. Le fait que ce soit un méchant oubliable et aux motivations quelconque est thématiquement nickel. Ses motivations sont impersonelles, ce qui fait que personne s'en rappel. Il en devient oublié à la fois in-universe et pour nous ; l'oubli, l'identité,sa place dans le monde,le mythe. C'est qqch qu'il veut effacer mais il le fait de manière égoîste. Ce qui relate avec les thématiques de l'oeuvre mais forcement il en devient un peu ennuyant. Faire de lui un méchant tragique qui due à un handicap compense son manque de vie de gunslinger stylé en détruisant ce mode de vie auquel il ne peut s'identifier....aurait pu être un bon arc. Mais bon, de ce qu'on a eu, ça tient plus du headcanon, ce qui est dommage car ça rendrait le film encore meilleur.Après....ses méthodes sont intéressantes et originales, l'aspect gentrification qui représente le fait d'effacer l'identité d'une ville via la modernisation, l'adaptation d'une vie à travers le temps. Dirt s'est autant adapté que Rango. Et tout deux n'ont pas vraiment le choix.Enfait la plupart des persos essayent de s'adapter à la vie en société, la survie tout court ou juste à la vie en générale. D'autant plus mis en avant par la mise en scène de visions et de mégalophobie quasi d'horreur existentielle. Les rêves et les révélations sur l'environnement, l'espace, le desert, Las Vegas qui vend vraiment cette dimension écrasante de plus grand à jamais au delà de nôtre perception ridicule. D'où le message simple au final, on est sur qqch de très empatique, "it's not about you, it's about them", qui replace et définit nôtre place dans NÔTRE univers. C'est eux qui font qu'on se souvient de nous, c'est grâce à une famille et à des amis. Qqch que les antagonistes n'ont pas et ce sont les êtres les plus oubliés du film (Vraiment cool le détail de l'Aigle ayant des gravures sur son bec, insinuant aussi qu'il vient d'un environnement humain mais qu'il s'est perdu mais adapté dans le désert). La barque abandonnée, le traitement sur l'écologie et l'avancée technologique qui plonge la ville dans l'oubli par sa conformisation métropolitaine. Si toutes les villes devaient absolument se conformiser, alors elles se ressembleraient toutes. C'est d'ailleurs pour ça que c'est touchant de faire de Dirt = Mud, car elle s'est justement identifier, malgré son changement comme un village pittoresque avec une musique de vacance. Je pense le message aurait été encore plus percutant si à la fin du film des touristes venaient pour visiter la nouvelle ville. Et au final ils paraissent autant moderne que prévu mais sans la partie attrition. Le Maire est la personification de sa ville, en tout cas d'un point de vue strictement scénaristique, et là-dessus on peut y voir une lecture de l'homme aux 1000 ambitions luttant contre le temps et la mortalité, mais via sa ville : Il joue avec des forces qui le dépasse, il veut voir l'ancienne société, le Far West et les Gunslinger disparaître, il veut forcer sa ville à changer même si ça leur fait mal alors que théoriquement ça devrait aussi leur profiter. Typiquement le trope du vieillard en quête d'immortalité spirituelle.
Ce qui est très meta dans un sens parce que si on se souvient plus de qqu, c'est Jake the Rattlesnake, l'un des meilleurs designs d'antagonistes de la fiction. J'aime aussi bcp le détail que durant le film,Rango passe d'un gars très bizarre ayant des séquelles de sa solitude qui pourrait s'apparenté à une anxiété sociale qu'il compense en jouant le rôle du mâle alpha toxique. Y a plusieurs moments où il fait des blagues racistes et sexistes (il assume direct que le corbeau au poncho parle aux esprits ou qu'il n'y a pas de mal à être un crapaud plutôt qu'un reptile). Il fait souvent des remarques et des longues tirades parfois offensantes ou diminutives à la 0SS 117 ce qui est hilarant. C'est aussi là, que la direction artistique prend tout son sens narratif. On met autant d'attention sur le mode de vie des animaux reflètant la survie et le voyage de Rango qui doit lui même survivre dans ce nouvel écosystème qu'est la ville et la vie en société. D'où les Mariachis prédissant sa mort alors qu'il vient de trouver une civilisation. D'où l'insistance sur ce caméléon qui ne peut pas se camoufler (déjà prc que les Caméléon irl ne font pas ça) mais aussi parce que ça c'est fait au sein de cette populace. Et à l'instar d'un animal pris au piège, se sentant écraser par son environnement, il doit grimacer et faire le duire-à-cuire pour pas se faire manger tout cru. Et le pire c'est que bien qu'il commence mal, il finit vers le début de la fin du film à devenir plutôt compétent en tant que shérif, jusqu'à dénicher le responsable de toutes les supercheries. Ce qui est plutôt rafraichissant dans le domaine des script des persos principaux "charlatan mais fini par devenir meilleur par [insert une bonne valeur]". Pareil pour tout les autres persos, apart les antagonistes et Rango ; personne n'a d'arc mais c'est pas un problème car tout le monde est si drôle si unique, si attachant que tu pardonnes le fait qu'ils prennent autant de place. Un peu limite sur Beans prc que bien qu'unique, elle n'est finalement qu'un love-interest par contre.... Et tout ce narratif qu'il s'est inséré lui même qui se fait détruire par l'icône qu'est Jake The Rattlesnake, littéralement le diable, le serpent qui rappelle sa pathétique existence, fait apprendre la vérité, fait ouvrir les yeux à tout le monde (tel le fruit défendu), apparition iconique renforcé par cette présence tentaculaire, qui bien qu'il ne fait même pas 1m de long rend fort menacant à l'écran parce que tout le monde, y compris le Maire, en manipulant est passif dans cette histoire, même Rango d'une certaine façon, ce n'est que peu de temps après la capture des taupes et de l'arrivée de Jake où il a vraiment pris action c'était pour directement accuser le Maire de ces cachotteries. Il n'y a que Jake qui non seulement n'est pas affecté par la soif mais c'est aussi le seul qui agit concrètement, ce qui le rend terrifiant enfait. Puis vient Dieu ou quelconque force supérieure qui indique et redonne de l'espoir et de la valeur en Rango qui avait abandonné justement cette image et cet égo grandissant en lui en ne le permettant pas de mourir avec cette scène atrocement relatable. Cette impression de futilité morbide qu'il y a à continuer la vie dans un moment où Rango n'a justement plus de personnages à jouer. Et c'est le seul moment du film où les voitures n'ont absolument aucun effet.
Libre de toutes peur et de toutes déceptions, ils accueillent à bras ouvert la mort, même si inconsciemment il s'agit aussi de son plus gros accomplissement. C'était sa résistance et sa quête ardue d'existence et de raisons que la route lui causait un danger direct. Mais ici il est convaincu en son propre vide. Il ne peut qu'accepter ce qui lui arrive et passer le cap si l'univers lui autorise et en effet Il a encore une mission même s'il sait pas encore laquelle. Et c'est en cela que la définition même du western et de la tonalité artistique de tout ce film arrive sous la forme de Clint Eastwood qui conclut l'arc principal de Rango sur la valeur de son existence et de quel but aurait une rédemption en ce contexte. Mais pour le coup, sa signification est bien plus littérale mais permet déjà une idée meta, de tarée mais décuple ce jeu d'échelle extrêmement atmosphérique et permet à l'intrigue et au développement de l'univers de s'iconiser. Sa scène et les différents symbolismes nous font passer du désert classique à une dimension supérieure de rêve situé dans une infinité vertigineuse et aux très beaux plan skybox que Rango semble admirer à Las Vegas dont il semble très anxieux et son écrasante avancée sur le monde des animaux qui se meurt.Eux et leur mythologie respective, le fameux Clint Eastwood indifférent des noms que x et x se donnent, cherchant toujours quelque chose et de ces fameux cactus qui bougent. Cette mythologie à petite échelle et la souffrance que ces êtres pourtant si dérageant qui te convainct de l'importance de l'eau, la souffrance, l'aridité et le réalisme dans l'atmosphère,les animations, les personnages mutilés et sales et le décor en carton ou fait de matériaux de récupération et d'objest humains, tout est là pour te donner sincèrement soif et faire saliver à la moindre eau présente. Le verre d'eau que le Maire donne à Beans est une eau plus appétissante que je ne vais jamais gouter irl. Même si ça fait pas parti du domaine de lecture attendu du film, Rango te fait vraiment SUBIR le consumérisme extrême et la nocivité de la nature humaine et ceux en 3 plans minimum. Las Vegas fait assécher tout le désert, le Maire s'inspire directement de l'humanité pour d'autant plus l'assécher, le peu d'outil et d'équipement de nature humaine laisse tout de même Dirt dans une condition déplorable et les effets plus directs tuent et blessent activement la faune/flore. Ou corromp. L'humanité à travers les animaux ou à travers ses constructions, pose son influence en tant qu'espèce sur le côté, le plan de la barque, la ville présenté comme une gigantesque créature que Rango évite, il y a une caractérisation quasi horrifique dans ce traitement divin hors d'atteinte et hors de compréhension, la vie passé de Rango qui est naît grâce aux humains ou du moins dont sa vie a été permi grâce aux humains, comme si la vraie personne, l'identité était née qu'à partir de l'accident du début du film. Ca se remarque notamment sur l'imitation technologique et même religieuse, le Maire utilise les coutumes (qui sont surement apparus à cause de lui d'ailleurs), détruit les cultures initiales de Dirt pour laisser place à son culte, à sa religion qui n'est qu'accorder pour avoir copier l'humanité qui est totalement indifférente.Il copie Dieu tout ça pour se mettre à sa place, tandis que l'Humanité dans tout ça use, exploite et souille malgré elle son environnement dans tout les sens du termes. Les habitants sont désespérés et se laissent mourrir en attendant que quelqu'un d'autre les sauve ; à chaque moment où le désespoir est à son paroxysme, ils deviennent une masse noire, voulant pendre le premier individu auquel le Maire a jeté le dévolu. Ce n'est que quand Rango agit qu'ils reprennent leur esprits et leur personallité par la même occasion. A vrai dire l'Esprit de L'Ouest aussi est indifférent et confus à l'importance des titres et de la loyauté aveugle qui ronge l'existence. Ile ne fait que souligner l'importance des actions et du rôle que l'on devrait jouer plutôt que de la valeur superflue que l'on peut tirer : "you must make your own meaning in life, religion is no more than the opiate of the masses and God is as confused about everything as you are" - Marx. L'extrêmisme de la religion et de ses travers correspond aussi à une forme de déshumanisation. Non pas qu'ils étaient spécialement sympa,mais les réactions des habitants voulant tuer et torturer les prisonniers confirme à quel point la perte d'identité peut détruire des âmes. De plus ça reste assez subtil, on est pas sur un message totalement anti-religion ou anti-dieu,Rango est d'une certaine façon une figure messianique ,envoyé par 2 fois par Dieu (que ce soit le dieu littéral de ces créatures ou le dieu qui les a effectivement permi de vivre, peut autant prendre comme détruire, corrompre ou protéger, tu peux pas faire plus humaniste comme message), guidé et sauvant Dirt par conviction que ce qu'il fait est une bonne chose pour Dirt, malgré l'incertitude de son plan. Il a fait son saut de la foi. Evidemment que ça peut apporter un fléau si mené par une sombre âme, mais c'est aussi un outil puissant pour maintenir l'espoir et apporter un miracle (comme symbolisé en fin de film) même si son symbole/Rango n'est pas parfait. Ironiquement preuve en est via l'abondance de blague et de signes morbides gras qui convinct d'autant plus de la nécessité de la préservation de l'espoir et de l'essence de Dirt et de la récupération de l'eau. Et peu importe le contexte, c'est une fondamentale de l'existence à la fois dans un écosystème purement naturel par rapport à une vie en société. Dans tout les cas, tu es obbligé d'encaisser et de t'endurcir, dans des cas extrêmes à te coincer dans ta bulle (Rango dans son personnage - Dirt en ses habitants, d'où le rejet des étrangers) et dans ce cas garder espoir que tout ira mieux. Ce qui justifie pleinement le soudain interêt de la populace tout en rejetant le trope des bully dans des bars.Telle l'insigne du shérif, il est devenu l'étoile que sa famille avait besoin,il a fait façe à sa solitude en trouvant une responsabilité. Et en embrassant la "uncannyness" en ses designs asymétriques, pour nous raconter quelque chose qui vaut le coup, on iconise et créer de l'empathie et de l'interêt via la souffrance et les tracas quotidien d'une vie que n'importe quel adolescent devant ce film est en train de vivre ou vivra
Sans rentrer dans des standards psychédélique, c'est l'un des films les plus créatifs que j'ai jamais vu de ma vie conceptuellement des personnages à l'intrigue, c'est très prenant.Un vilain qui utilise la gentrification de sa ville comme parallèle à la recherche d'immortalité tout cela via un style artistique ultra-réaliste poussé à une expression et une esthétique edgy où tout le monde est mutilé et crache des insultes mais peut tout de même rester colorée, fun mais profonde. Entre la frontière du live-action sérieux et mature et du film d'animation fun, suffit de voir les sessions d'acting qui n'ont pas résulté en une performance capture classique qui a quand même réussi à tirer parmi les utilisations du photoréalisme le plus en avance et époustouflant du genre.Prenant aussi bien en terme de puissance émotionelle que de ses scènes d'actions épiques, drôle la majorité du film mais peut être extrêmement déprimant et empli de pensées contemplatives par moments. Sans blague, ce film peut servir de remède contre des pensées suicidaires, ça a marché sur moi et je suis éternellement reconaissant à ce film
0:49 "Yeeh Ha cheval !" 😂 Super vidéo sinon !
Merci :D
6:00 punaise mais la même technique que les scénaristes/animateurs d'Arcane, en fait ! :D C'est de là que ça vient, peut-être !
Heyy, super vidéo sur un sujet hyper cool continue comme ça. Juste je te conseillerais de mettre des sous titres dans les moments d'interviews pour nos amis non anglophone. Voila sinon continue ce que tu fais c mortel .
Merci ça fait plaisir ! Je prend note 😊
Rango : je ne tire qu’une seul balle
Méchant : tu n’est qu’un gamin
Rango : on parie ?
D’après mes souvenirs 😂😂😂
C’est à peu prêt ça 😂
5:44 faut être fort pour être acteur 😂
super la vidéo je penser que jéter le seul a connaitre se film
Cooooool
RAAAAAAAANGOOOOOOO
L'un de mes fild préfère
12:01 : ce qui est ironique puisque jack est inspiré lui même du personnage de sentenza (angel eyes en vo) du bon la brute et le truand, interprété par lee van cleef
C'est bon j'ai compris je vais revoir Rango X)
Ah voilà c'était Rango le titre du film Merci
Je n ai pas encore vue la vidéo mais je sais qu elle sera super surtout si c appropo de rango
Mon nom est.....Rangoooohhh.....
Premier !
Petit film sympathique un peu hideux avec sa DA photoréaliste
Ouais based based tout ça