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- Опубликовано: 6 ноя 2024
- Intervenants :
● Eliane Abraham, Directrice stratégique et opérationnelle DAC 54
● Jérôme Jumel, Directeur général de l'ARS Pays de la Loire
● Dominique Libault, Directeur général de l’EN3S, Président du Haut Conseil au financement de la protection sociale
● Olivier Richefou, Président du Conseil Départemental de la Mayenne
Animé par Pierre Mayeur, Consultant associé et membre du conseil d’orientation scientifique de l’EN3S
Résumé de la séquence :
🔎 Dominique Libault met en lumière la complexité du parcours des personnes en perte d'autonomie, tant pour elles que pour leurs aidants. Il rappelle son rapport sur le grand âge et l’autonomie, et insiste sur l’importance de rendre ce parcours moins ardu. Le SPDA s’articule autour de 4 missions essentielles :
1️⃣ Accueil, orientation et information pour guider les personnes.
2️⃣ Gestion des droits afin de simplifier les démarches administratives.
3️⃣ Solutions concrètes : veiller à ce que les services existent, soient adaptés et accessibles.
4️⃣ Prévention pour anticiper les risques
🎤 Eliane Abraham renforce cette vision en soulignant que même si le SPDA ne crée pas de nouveaux acteurs, il encourage une coopération renforcée entre ceux déjà présents sur le terrain. L’objectif ? Améliorer l’organisation de chacun pour un meilleur service collectif. Elle pointe également l'enjeu crucial du partage d’informations. Un meilleur accès aux données permettrait de repérer plus rapidement les risques pour les personnes en perte d’autonomie.
🤝 Olivier Richefou témoigne de l’enthousiasme grandissant autour du SPDA, notamment dans les départements en phase d’expérimentation. Il invite les autres départements à emboîter le pas en 2025.
🔄 Jérôme JUMEL, quant à lui, partage l’avancée dans les Région Pays de la Loire, où le SPDA se déploie de manière active. L’important, selon lui, est de partir des réussites et des parcours qui fonctionnent bien pour continuer à progresser.
💡 Innovation et simplification : pour aller plus loin, il est proposé d’utiliser des outils numériques déjà existants pour partager les informations entre les différents acteurs, afin d’éviter la création d’un nouveau système complexe et long à mettre en place.
Enfin, Dominique Libault termine sur un point clé : la gouvernance du SPDA doit impérativement inclure les usagers afin que leur voix soit entendue et qu’ils participent à leur niveau à l’élaboration des services.