Pascale Ogier, voyelle ? - Philippe Azoury
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- Опубликовано: 29 авг 2024
- Pascale Ogier, voyelle ? conférence par Philippe Azoury (journaliste)
Le 2 février 2019 au Forum des images
Dans le cadre de "France années 80" - Cycle cinéma du 16 janvier au 28 février 2019
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Merci ! Vous avez mis des mots sur beaucoup d'intuitions que j'avais pu avoir sans y trouver écho, et je me sentais jusque là solitaire. Oui Pascale Ogier est si intéressante qu'elle mérité largement à elle seule qu'on lui consacre une conférence entière, cette comète fulgurante passée aussi vite qu'elle fut intense dans le paysage cinématographique français, même si sa vie et sa carrière furent si brève. Merci aussi pour le lien avec Léaud ! Nous avons la même affinité pour la Maman et la Putain, je le savais déjà puisque c'est comme ça que je vous avais découvert Monsieur Azoury, et je souscris d'ailleurs au passage complètement à l'analyse que vous en aviez fait précédemment ici. Cela ne m'étonne pas donc de vous voir tisser des liens entre ces deux oeuvres, ces deux mondes, à la fois si différent (l'un, la Maman, plus crépusculaire, quand Ogier est avant tout solaire, même dans sa mélancolie) et si proches, ou plutôt nous les révéler - car, cela ne m'étonne pas vraiment, ils étaient déjà là -- et de façon vraiment palpable, intime (puisque vous nous révélez ce lien secret si profond entre Eustache et Ogier: le Rose Poussière de Schuhl). Je croyais sans doute ne pas pouvoir complètement formaliser mes idées sur Pascale Ogier faute d'avoir la liberté que vous avez eu de prendre l'actrice telle qu'elle est en entier avec ses personnages dans la vie comme au cinéma et de les voir comme autant de rôles de compositions, de gestes pleins de sens, quitte à devoir pour cela traverser ses films à la diagonale.
Pour information, la chanson de l'extrait de moment solitaire dans "Les nuits de la pleine lune" est "L'étoile d'amour" interprétée par Lucienne Boyer, la même qui chantait "parlez-moi d'amour". On est très loin de la gouailleuse Fréhel, et encore plus de la tragédienne de la chanson qu'était Damia, cher M. Azoury!
A ce niveau là, c'est de l'idolâtrie. Le mec est amoureux d'une comédienne morte d'overdose. Jusqu'à repérer des signes dans la façon qu'elle cassait ses poignets quand elle dansait.
Domage de mettre des extraits plus court que la conference originale !
En effet. Ce n'est pas tant dommage que complètement absurde, ça rend incompréhensible plusieurs commentaires du conférencier.
ce soir j'étais à une perf et je discutais avec un artiste performer et on se demandait "pourquoi la légèreté de cette époque a disparu ?"
english subtitles please
Si je comprend bien les débats télévisuels ont pris la relève, quoi.
Trop de blabla, pas assez d'images, de plus le narrateur est fatigant
Mon dieu.... Quel baratin. Il faudra faire un jour l'histoire de toute cette verbeuse vacuité cinéphilique française. Je propose à la place le résumé suivant: Pascale Ogier était une actrice, dont tout cinéphile qui se respecte devrait se foutre, comme de tous les acteurs et toutes les actrices, sauf comme un petit plaisir coupable (après tout, on a bien le droit, et Philippe Azoury aussi, de lire Cinémonde). En toute logique, elle était merveilleuse dans le merveilleux "Nuits de la Pleine Lune" de Rohmer ("Elle est en pleine voix Rohmerienne" découvre Azoury après une heure de baratin; ben oui, voilà , elle est pleine voix Rohmerienne....), et inévitablement nulle, comme sa mère, dans le nullissime "Pont du Nord" de Rivette.
Vous etes un peu dur...
Je pense que ce commentaire est tout simplement franc et réaliste...@@christinebolly3034
@@christinebolly3034un peu, mais il y a du vrai dans ce commentaire
@@ouimaisnon9989 j’ai repense a ce film, qui, par un curieux detour, m’a rappele LE CHAT, avec Signoret et Gabin... la destruction de Courbevoie, les nouvelles constructions sans ame. Et je me suis dit que cette toute jeune femme avait surtout envie de profiter de la vraie ville/vie, avec ses copains, plutot que de rentrer chaque soir dans cet endroit moche. Elle a le desir de decouvrir et de creer. Elle a envie de desirer. Pas encore envie de pouponner, pas envie non plus d’errer dans cet appartement trop bien range a la maniere du mec, ou de se coller devant la tele pendant que cuit le pot-au-feu. L’homme amoureux est sympa mais pas captivant. Tout simplement, ce serait cela, l’ennui de la banlieue, a la sauce Rohmer. L’ennui qui submerge tout.
Mais quelle fadaise ce gars...
Un souvenir. ruclips.net/video/3FwfIijP7o4/видео.html
Quel bla bla
Bof, la boom version BOurgeois-BOhème soit le libéralisme libertaire qui a pris le pouvoir soit la classe sociale du conférencier.