Au cœur de l'Histoire: La Belle Otero (Franck Ferrand)

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  • Опубликовано: 5 сен 2024
  • Invité(s) : Jean Des Cars, Ecrivain, journaliste et historien; "La Saga Des Favorites ", Perrin

Комментарии • 13

  • @helenecm8619
    @helenecm8619 5 лет назад +9

    Une merveille ces émissions
    Je ne m en lasse pas
    Quelle bonne idée de les avoir mises sur youtube car je ne les connaissais pas avant.

  • @oogc8010
    @oogc8010 5 лет назад

    Le fils de Guy Des Cars mon auteur favori.

    • @dolleserge1135
      @dolleserge1135 3 года назад

      ne le dites pas , on va vous prendre pour une imbecile.....avec raison

    • @olivierlarrieux8261
      @olivierlarrieux8261 Год назад +1

      @@dolleserge1135 Mesurez vos propos. On vous pourrait vous prendre pour quelqu’un de suffisant. Et avec raison.

    • @dolleserge1135
      @dolleserge1135 Год назад

      @@olivierlarrieux8261 je mesure bien mes propos....suis exigeant et avec raison

  • @BabyDaay26
    @BabyDaay26 4 года назад

    Rien avoir avec son autobiographie 👀 c'est stupéfiant.

  • @katherineprongos3929
    @katherineprongos3929 4 года назад

    Subtitles also en Francais?

  • @ismaelacci
    @ismaelacci 3 года назад

    Vous faites quypher les mecs.

  • @philrenard7986
    @philrenard7986 2 года назад

    Je suis toujours étonné quand on parle de ces femmes du XIXiè siècle comme de "très belles femmes" alors que... hum... elles sont très loin d'être belles, même pas vraiment jolies. Alors bien sûr, elles l'étaient sans doute selon les standards de "beauté" de l'époque (et dans ce cas, comment devaient être les autres ^^) mais d'après nos standards, on est très très loin des Charlize Théron et Scarlett Johansson actuelles !
    Même Elisabeth d'Autriche (alias Sissi), décrite comme l'une des plus belles femmes de son temps, quand on voit ses photos... elle est juste "mignonne". Et encore... quand elle était très jeune.
    En fait, de nos jours, des millions de femmes les dépassent physiquement. Vous sortez dans une grande ville et, en quelques minutes, vous pouvez tomber sur des femmes dix fois mieux qu'une Sissi ! Il faut croire que dans les siècles passés, la plupart des gens étaient vraiment très moches.
    Et, comme on dit... au royaume des aveugles, les borgnes sont rois.
    PS : cela dit, en ce qui concerne les femmes de la royauté, on continue encore de nos jours à parler de "belles femmes" à propos des Lady Diana ou Mathilde de Belgique alors que... enfin quoi : elles ne sont (ou n'étaient) absolument pas belles ! Kate Middleton à la rigueur...

    • @Chemtrail85
      @Chemtrail85 3 месяца назад

      C est vrai....moi qui ai étudié les photos multiples d Elizabeth d Autriche sous toutes les coutures , j ai été déçues mais c est surtout sa silhouette grande et extrêmement mince qui a fait d elle une des altesse les plus admirees...quand à ces dames de la belle époque et bien disons que leur savoir horizontal à fait leur légende plus qu une soit disant beauté !😂😂

    • @sophietessier8998
      @sophietessier8998 19 дней назад

      C’est surtout que le concept que l’on a de la beauté à présent est totalement différent de celui qu’on avait à l’époque , les critères de beauté change constamment au XIVe siècle, on aimait les femmes avec un grand front, un double menton et une poitrine très généreuse car celle-ci rappelait la capacité d’enfanter des femmes. Dans les années 90. On aimait les filles très fines et avec un visage de poupon car ceci établissez une différence avec les années 80 et la musculature, qui était populaire à ce moment, maintenant on aime les femmes avec des lèvres charnues et un corps très pulpeux et encore, ceci est encore en train de changer Chaque génération à son critère de beauté. Et chaque siècle a des critères totalement opposés, ce qui explique que les femmes de l’époque, que l’on trouve magnifique, vous semble banal et à l’inverse les femmes que nous trouvons magnifique serait sans doute quelconque pour les personnes de cette époque après tout des joue saillant et encore très faim c’est ça rappelle la pauvreté, tout l’inverse de ce que les nobles valorisaient