AMIES - «L'Arme fatale 3»: il n'y a pas d'arme plus fatale que le mulet de Mel Gibson

Cette semaine, Marie fait découvrir L'Arme fatale 3 à Anaïs. «Un monument du cinéma d'action et de comédie… Ou en tout cas, la suite d'un monument du cinéma d'action et de comédie», selon Marie. Réalisé par Richard Donner, c'est le troisième opus d'une tétralogie qui a débuté avec L'Arme fatale en 1987.
La saga L'Arme fatale fait partie des films fondateurs du buddy cop movie, un sous-genre du buddy movie («film de potes» en français), mais donc en version policière. «C'est très souvent un couple d'hommes mal assorti et il y en a un qui est blanc et l'autre qui est noir», explique Marie.
Sorti en 1992, le film est «très nineties» avec une bande originale composée de Sting, Eric Clapton, Boyz II Men, Elton John ou encore Cypress Hill. Mais ce qui a surtout marqué Anaïs, c'est l'omniprésence du saxophone et la coupe mulet de Riggs, le personnage interprété par Mel Gibson, qui partage l'affiche avec Danny Glover (Murtaugh).
Si Anaïs n'a pas été particulièrement captivée par L'Arme fatale 3, elle était toutefois préoccupée par un élément: quelle est cette «arme fatale» mentionnée dans le titre? Mais ce visionnage lui a-t-il quand même permis de voir le côté «culte» de la saga? Et surtout, lui a-t-il donné envie de voir les trois autres films?
AMIES, c'est reparti! Anaïs et Marie partent à la (re)découverte de leurs univers cinématographiques ou sériels préférés. Et pour démarrer cette saison, les AMIES se plongent dans la décennie de leur enfance, mais aussi celle d'énormes succès… Bienvenue dans AMIES: Back to the 90's.
AMIES est un podcast d'Anaïs Bordages et Marie Telling, produit par Slate Podcasts.
Direction éditoriale: Christophe Carron
Production éditoriale, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues
Musique: «Stone Ocean» - Allesandro Rizzo, Elliot Greenway Ireland & Ian James Britt
Illustration: Anaïs Lefebvre
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[@adrienmartin2009]

L'analyse de Marie sur la "Protective Custody" me rappelle énormément le principe du queer-baiting. On appâte le public queer sans rebuter le public conservateur. Ici on attire le public noir avec un acteur de premier plan mais en l'humiliant un peu pour ne pas effrayer l'Amérique un peu bas du front.