À propos de "la façon dont ça vous est arrivé", quand on voit ce qui se passe dans le procès de Mazan, où la victime doit se justifier de tout alors que là, il y a toutes les preuves et qu'elle était inconsciente, on se dit que tout est fait pour nous empêcher de déposer plainte !
Il me semble qu'il manque un cas de figure à l'analogie de la tasse de thé : quand une personne accepte celle-ci, commence à la boire, et en fin de compte n'en veut plus. On pensera par exemple au cas d'un certain bouseux.
@@alteredbrain > On est d'accord. Mais il semble que ce cas de figure soit mal compris par certains : le cas du bouseux est sans doute loin d'être unique.
@@Benoit-Pierre > Ce cas n'a surtout rien à voir... => ta réponse à didierford est autrement plus constructive et aurait pu convenir à mon post également, pour d'autres raisons. "C est censé être diffusé à l échelle d un pays et vu par des enfants de 12 ans ... Fallait un truc compréhensible à 12 ans. Voir 8." => c'est une information qu'il manquait ici (ou que j'ai loupé, c'est possible aussi) => vu sous cet angle, je peux comprendre, en effet.
Alors : 1) Que l'exemple soit simple est normal, c'est fait pour vulgariser... 2) Pour le "qui ne dit mot consent" : a) en politique, le consentement est donné via les élections... le terme consentement n'est d'ailleurs pas très approprié. b) en administratif, pour offrir des protections légales aux demandeurs : passé une telle date, si pas de réponses, c'est considéré comme ok. Ce qui évite de faire traîner au lieu de refuser et de voir la décision attaquée en recours.
Pour la question sur le consentement à aller voir ailleurs... elle ferait bien de revoir la notion de consentement. L'homme a le droit de ne pas donner son consentement à : - devoir potentiellement élever un enfant qui n'est pas le sien, avec tout ce que cela implique (1/3 héritage, pension alimentaire, etc.) + toute la détresse quand on est pas sûr que l'enfant est le sien + la détresse quand on découvre que finalement, ce n'était pas le sien. - s'exposer potentiellement à des maladies sexuellement transmissibles. Si elle veut aller voir ailleurs, elle a le droit, mais dans ce cas elle respecte le consentement de son conjoint et le quitte.
C'est quoi cette histoire de consentement à passer le balai ? Les tâches ménagères, ça se partage. Évidemment, ça se discute, bien sûr. Mais ça n'a pas de rapport avec le consentement, ça. J'ai l'impression d'un gars qui se victimise. Je me trompe peut-être, mais mon premier réflexe, c'était de penser au profil du type qui se défile comme un gamin. "Oh, mais non, je ne consens pas à passer l'aspirateur, ça ne fait que dix jours qu'il n'est pas sorti du placard. Franchement, ça va. Et puis, si ça te dérange, tu n'as qu'à faire le ménage, toi. C'est pas sale, t'es juste maniaque". Tant qu'on y est, on peut aller jusqu'à "ça ne me dérange pas qu'il y ait des gouttes à côté des WC. Si t'es pas contente, tu peux nettoyer". On pousse un peu plus et on entend le mot "hystérique".
Sa question n avait rien de personnel. Et elle était très simple. Les filles ont abordé ( rapidement ) si on peut forcer un enfant à manger, se faire vacciner. Le sujet tout entier porte sur le consentement à faire avec son corps des choses qu'on veut pas. En entreprise c est super encadré. Par ton contrat de travail tu donne un consentement préalable pour un nombre défini d actions. Et ponctuellement, tu as le droit de retrait. Faire le ménage, c est utiliser son corps pour une chose qu'on a pas forcément envie. On est complètement dans le sujet. Et sa question a naturellement débouché sur le consentement social, la vie en grand groupe. Si je prends ton argumentaire : t'as signé le contrat de mariage, ça fait 10j qu'on a pas pris le thé, donc ce soir, on prendra le thé !!! T'es juste prude !!! Le ménage était un exemple d activité de bien commun. Faut pas se braquer sur le vocabulaire.
@@Benoit-Pierre Le ménage est indispensable pour une question d'hygiène. Quand on vit seul, on est bien obligé de le faire, même si on n'en a pas envie. Boire un thé, c'est facultatif. On ne peut pas comparer.
Merci de glisser un mot pour les hommes, même si en soit ça mériterait bien plus qu'un mot tanr le sujet est tabou est méconnu, j'ai en effet appris à titre personnel à 90% des femmes que j'ai pu fréquenter qu'elles ne respectent pas et ne comprennent pas le consentement des hommes, avec moi et/ou avec les histoires qu'elles me racontent, cette idée d'un homme qui dit jamais non est ultra presente, cette idée d'embrasser de force en soirée également, de faire des câlins sans demander aussi, et surtout dans l'intimité, la pression, les chantages sont quasi systématique, il suffit en réalité de ne pas être en demande, pour subir en général la demande, les complaintes et forçage de l'autre, peu importe le genre...quand je raconte mes histoires, mes anecdotes, mon vécu, celà surprend la majorité des femmes, car elles me répondent qu'en effet elles n'ont absolument jamais réfléchi à ce sujet, et donc ne sachant absolument pas ce qu'est le consentement concernant les hommes, on peut largement douter qu'elles en respectent les limites, il serait temps d'en parler en effet, je n'ai malheureusement pas l'audience, le poid pour le faire...
A 16:50 "c'est tellement sexy de demander". Les relations amoureuses se créé justement avec beaucoup d'implicite. Toute la littérature amoureuse ne parle que de gens qui tombent amoureux parce que l'autre a fait le truc que l'autre personne voulait, précisément sans rien demander. Je vais être un peu taquin, mais j'ai l'impression d'entendre 2 geeks parler d'amour, ou tout devrait être explicite, c'est tellement loin des mécaniques amoureuses !
Ceci. Ce commentaire, c'est exactement la démonstration de comment on justifie et on alimente une culture du viol. C'est pas que vous êtes taquin, David, c'est que vous n'avez toujours pas compris ou pas envie de comprendre ce qu'est le consentement. Ou bien vous commencez à vous poser les vraies questions et admettre qu'il va falloir déconstruire votre rapport au consentement ou bien continuez à vous conformer à cette culture. Je n'ai aucun doute sur la direction que vous allez prendre, mais hey... surprenez moi. Ah je vous préviens : je ne lirai pas votre réponse. Je m'en fous
@@alteredbrain du coup je ne vais pas répondre à cette amalgame douteux ou sortir l'expression "culture du viol" est le sésame qui est censé donner raison et clore la débat. C'est quand même bizarre de faire des messages si on n'en attend pas de réponse...
Je partage l'avis de David, contre les conférencière. Mais, je pense que c est quand même bien de soulever le sujet. Il Faut être prêt à entendre un refus ou changement d avis du partenaire ... Soit il précisément implicite, ou non verbalisé ... Après, tout dépend avec qui.
En tout cas, cette conf, c'est du caviar, je pense que ça va être ma référence à montrer pour éduquer les gens à ce sujet. La section commentaire montre que les mecs ont encore du taf, mais hasard du calendrier, une influenceuse sextoys a fait une vidéo sur le consentement où elle dit que c'est important, mais qu'en vrai, ça la fait chier de devoir demander à chaque pratique qu'elle veut faire avec son partenaire, parce qu'elle veut pas casser le mood ou se rendre moins sexy. Y'a du TAF
Non, s'interroger sur l'impossibilité de prouver un dit oral, ce n'est pas se faire l'avocat du diable ou un gros masculiniste... Le niveau des questions est affligeant.
L'analogie avec la tasse de thé n'est pas bonne car l'investissement n'est pas identique. J'en ai une bien meilleure : imaginez que vous avez le projet de partir à l'étranger depuis 1 an. Vous avez tout organisé pour ça. Et une semaine avant le départ la personne qui devait vous accueillir en colocation vous dit : "au fait j'ai changé d'avis". Vous devez soit trouver une location pourrie a la va vite pour partir quand même, soit abandonner le projet. Vous sentez cette frustration ?
Et du coup, parce que l investissement est élevée, ça vous donne le droit de kidnapper la personne pour qu elle prenne l avion avec vous ? Ou de passer des heures à la culpabilité pour qu elle finisse par dire oui ? Enfin, l image du "voyage d un an" est pour moi très inapproprié car s il te faut autant de temps pour avoir un "oui" et autant de préparation de ta partenaire pour s envoyer en l air avec sa partenaire peut-être qu en réalité de base elle pense constamment non et finit systématiquement par céder vue "ta préparation"(qu on va appeler insistance)
La frustration ne justifie en rien le forçage. L'analogie de la colocation ne me parle pas du tout. Vous présentez ça comme un contrat rompu pour raison inconnue. Dans le cas de relations intimes, il ne s'agit pas d'un contrat, d'un engagement, d'une parole qu'on donne. Il s'agit de ressentis qui peuvent se modifier au fil du temps. Le partenaire peut se comporter de manière inquiétante et casser ainsi le désir. Et là, on fait quoi ? On accepte de continuer alors qu'on se sent mal à l'aise ? Éventuellement même, on se sent en danger ? Vous accepteriez ça, vous ?
@@didierredford8816 Dans l'analogie, la tasse de thé ne représente pas la/le partenaire, elle représente le rapport sexuel. Du coup, oui, je sais parfaitement comprendre une analogie. Vous visiblement c'est plus compliqué.
![Blox Fruits Dragon Rework Update [Full Stream]](http://i.ytimg.com/vi/EqDAp8udhm0/mqdefault.jpg)
À propos de "la façon dont ça vous est arrivé", quand on voit ce qui se passe dans le procès de Mazan, où la victime doit se justifier de tout alors que là, il y a toutes les preuves et qu'elle était inconsciente, on se dit que tout est fait pour nous empêcher de déposer plainte !
Merci !
Il me semble qu'il manque un cas de figure à l'analogie de la tasse de thé : quand une personne accepte celle-ci, commence à la boire, et en fin de compte n'en veut plus.
On pensera par exemple au cas d'un certain bouseux.
eh bien dans ce cas faut pas lui faire boire le reste du thé
@@alteredbrain > On est d'accord. Mais il semble que ce cas de figure soit mal compris par certains : le cas du bouseux est sans doute loin d'être unique.
J'avais une ex capable de s endormir littéralement 10s après d être couchée. Parfois en milieu de phrase. Ce cas non plus n est pas évoqué.
@@Benoit-Pierre > Ce cas n'a surtout rien à voir...
=> ta réponse à didierford est autrement plus constructive et aurait pu convenir à mon post également, pour d'autres raisons.
"C est censé être diffusé à l échelle d un pays et vu par des enfants de 12 ans ... Fallait un truc compréhensible à 12 ans. Voir 8."
=> c'est une information qu'il manquait ici (ou que j'ai loupé, c'est possible aussi)
=> vu sous cet angle, je peux comprendre, en effet.
@@zecatox elles le disent au début de la vidéo, j'ai pas le timecode ...
Alors :
1) Que l'exemple soit simple est normal, c'est fait pour vulgariser...
2) Pour le "qui ne dit mot consent" :
a) en politique, le consentement est donné via les élections... le terme consentement n'est d'ailleurs pas très approprié.
b) en administratif, pour offrir des protections légales aux demandeurs : passé une telle date, si pas de réponses, c'est considéré comme ok. Ce qui évite de faire traîner au lieu de refuser et de voir la décision attaquée en recours.
Pour la question sur le consentement à aller voir ailleurs... elle ferait bien de revoir la notion de consentement.
L'homme a le droit de ne pas donner son consentement à :
- devoir potentiellement élever un enfant qui n'est pas le sien, avec tout ce que cela implique (1/3 héritage, pension alimentaire, etc.) + toute la détresse quand on est pas sûr que l'enfant est le sien + la détresse quand on découvre que finalement, ce n'était pas le sien.
- s'exposer potentiellement à des maladies sexuellement transmissibles.
Si elle veut aller voir ailleurs, elle a le droit, mais dans ce cas elle respecte le consentement de son conjoint et le quitte.
C'est quoi cette histoire de consentement à passer le balai ? Les tâches ménagères, ça se partage. Évidemment, ça se discute, bien sûr. Mais ça n'a pas de rapport avec le consentement, ça. J'ai l'impression d'un gars qui se victimise. Je me trompe peut-être, mais mon premier réflexe, c'était de penser au profil du type qui se défile comme un gamin. "Oh, mais non, je ne consens pas à passer l'aspirateur, ça ne fait que dix jours qu'il n'est pas sorti du placard. Franchement, ça va. Et puis, si ça te dérange, tu n'as qu'à faire le ménage, toi. C'est pas sale, t'es juste maniaque". Tant qu'on y est, on peut aller jusqu'à "ça ne me dérange pas qu'il y ait des gouttes à côté des WC. Si t'es pas contente, tu peux nettoyer". On pousse un peu plus et on entend le mot "hystérique".
Sa question n avait rien de personnel. Et elle était très simple. Les filles ont abordé ( rapidement ) si on peut forcer un enfant à manger, se faire vacciner. Le sujet tout entier porte sur le consentement à faire avec son corps des choses qu'on veut pas.
En entreprise c est super encadré. Par ton contrat de travail tu donne un consentement préalable pour un nombre défini d actions. Et ponctuellement, tu as le droit de retrait.
Faire le ménage, c est utiliser son corps pour une chose qu'on a pas forcément envie. On est complètement dans le sujet.
Et sa question a naturellement débouché sur le consentement social, la vie en grand groupe.
Si je prends ton argumentaire : t'as signé le contrat de mariage, ça fait 10j qu'on a pas pris le thé, donc ce soir, on prendra le thé !!! T'es juste prude !!!
Le ménage était un exemple d activité de bien commun. Faut pas se braquer sur le vocabulaire.
@@Benoit-Pierre Le ménage est indispensable pour une question d'hygiène. Quand on vit seul, on est bien obligé de le faire, même si on n'en a pas envie. Boire un thé, c'est facultatif. On ne peut pas comparer.
Merci de glisser un mot pour les hommes, même si en soit ça mériterait bien plus qu'un mot tanr le sujet est tabou est méconnu, j'ai en effet appris à titre personnel à 90% des femmes que j'ai pu fréquenter qu'elles ne respectent pas et ne comprennent pas le consentement des hommes, avec moi et/ou avec les histoires qu'elles me racontent, cette idée d'un homme qui dit jamais non est ultra presente, cette idée d'embrasser de force en soirée également, de faire des câlins sans demander aussi, et surtout dans l'intimité, la pression, les chantages sont quasi systématique, il suffit en réalité de ne pas être en demande, pour subir en général la demande, les complaintes et forçage de l'autre, peu importe le genre...quand je raconte mes histoires, mes anecdotes, mon vécu, celà surprend la majorité des femmes, car elles me répondent qu'en effet elles n'ont absolument jamais réfléchi à ce sujet, et donc ne sachant absolument pas ce qu'est le consentement concernant les hommes, on peut largement douter qu'elles en respectent les limites, il serait temps d'en parler en effet, je n'ai malheureusement pas l'audience, le poid pour le faire...
"C'est okay"
"Je crois que les stats disent qu'il y en a moins dans les couples lesbiennes"...
C'est l'inverse... c'est dans les couples gays qu'il y en a moins...
A 16:50 "c'est tellement sexy de demander". Les relations amoureuses se créé justement avec beaucoup d'implicite. Toute la littérature amoureuse ne parle que de gens qui tombent amoureux parce que l'autre a fait le truc que l'autre personne voulait, précisément sans rien demander. Je vais être un peu taquin, mais j'ai l'impression d'entendre 2 geeks parler d'amour, ou tout devrait être explicite, c'est tellement loin des mécaniques amoureuses !
Ceci. Ce commentaire, c'est exactement la démonstration de comment on justifie et on alimente une culture du viol. C'est pas que vous êtes taquin, David, c'est que vous n'avez toujours pas compris ou pas envie de comprendre ce qu'est le consentement.
Ou bien vous commencez à vous poser les vraies questions et admettre qu'il va falloir déconstruire votre rapport au consentement ou bien continuez à vous conformer à cette culture.
Je n'ai aucun doute sur la direction que vous allez prendre, mais hey... surprenez moi.
Ah je vous préviens : je ne lirai pas votre réponse. Je m'en fous
@@alteredbrain du coup je ne vais pas répondre à cette amalgame douteux ou sortir l'expression "culture du viol" est le sésame qui est censé donner raison et clore la débat. C'est quand même bizarre de faire des messages si on n'en attend pas de réponse...
Je partage l'avis de David, contre les conférencière.
Mais, je pense que c est quand même bien de soulever le sujet. Il Faut être prêt à entendre un refus ou changement d avis du partenaire ... Soit il précisément implicite, ou non verbalisé ...
Après, tout dépend avec qui.
«2 geeks » c est pas le bon terme. Y a des geeks du non dit et de l implicite. Mais on est proche de l idée.
En tout cas, cette conf, c'est du caviar, je pense que ça va être ma référence à montrer pour éduquer les gens à ce sujet.
La section commentaire montre que les mecs ont encore du taf, mais hasard du calendrier, une influenceuse sextoys a fait une vidéo sur le consentement où elle dit que c'est important, mais qu'en vrai, ça la fait chier de devoir demander à chaque pratique qu'elle veut faire avec son partenaire, parce qu'elle veut pas casser le mood ou se rendre moins sexy.
Y'a du TAF
Non, s'interroger sur l'impossibilité de prouver un dit oral, ce n'est pas se faire l'avocat du diable ou un gros masculiniste...
Le niveau des questions est affligeant.
L'analogie avec la tasse de thé n'est pas bonne car l'investissement n'est pas identique.
J'en ai une bien meilleure : imaginez que vous avez le projet de partir à l'étranger depuis 1 an. Vous avez tout organisé pour ça. Et une semaine avant le départ la personne qui devait vous accueillir en colocation vous dit : "au fait j'ai changé d'avis". Vous devez soit trouver une location pourrie a la va vite pour partir quand même, soit abandonner le projet. Vous sentez cette frustration ?
Et du coup, parce que l investissement est élevée, ça vous donne le droit de kidnapper la personne pour qu elle prenne l avion avec vous ? Ou de passer des heures à la culpabilité pour qu elle finisse par dire oui ? Enfin, l image du "voyage d un an" est pour moi très inapproprié car s il te faut autant de temps pour avoir un "oui" et autant de préparation de ta partenaire pour s envoyer en l air avec sa partenaire peut-être qu en réalité de base elle pense constamment non et finit systématiquement par céder vue "ta préparation"(qu on va appeler insistance)
Un(e) partenaire n'est ni un projet ni un lieu d'accueil. C'est une personne.
@@CaptainSpatsC'est pas non plus une tasse de thé du coup. Vous savez ce qu'est une analogie ?
La frustration ne justifie en rien le forçage. L'analogie de la colocation ne me parle pas du tout. Vous présentez ça comme un contrat rompu pour raison inconnue. Dans le cas de relations intimes, il ne s'agit pas d'un contrat, d'un engagement, d'une parole qu'on donne. Il s'agit de ressentis qui peuvent se modifier au fil du temps. Le partenaire peut se comporter de manière inquiétante et casser ainsi le désir. Et là, on fait quoi ? On accepte de continuer alors qu'on se sent mal à l'aise ? Éventuellement même, on se sent en danger ? Vous accepteriez ça, vous ?
@@didierredford8816 Dans l'analogie, la tasse de thé ne représente pas la/le partenaire, elle représente le rapport sexuel.
Du coup, oui, je sais parfaitement comprendre une analogie. Vous visiblement c'est plus compliqué.