Merci Mme Loiseau. Une approche pertinente et moins partiale que ce qu'on peut lire/voir habituellement. En nette rupture avec une logique de femmes victimes perpétuelles d'un système et déresponsabilisées de leur condition. Les jugements de valeurs et les préjugés détendent et permettent de maintenir son auditoire mais le discours peut perdre en crédibilité. - « quand on dit d'une femme qu'elle est ambitieuse c'est rarement pour lui faire un compliment ».... ni plus ni moins que pour un homme - « vocation, un sacerdoce... vocabulaire religieux et masculin. »… j'ai pas saisi car pour moi il existe des nonnes, des sœurs ? - « je fais tout mal mais avec enthousiaste »… mal selon l'exigence d’une femme... suffisant selon un homme une perception de l'éducation datant des années 90: - ce qu’on attend d’une petite fille, qu’elle soit gentille, sage, calme, altruiste - pour les filles des livres de princesse s - les filles sont reposantes, c’est ça qui fait qu’elles ont des bonnes notes constat juste sur la scolarité mais la logique est biaisée - exemple de l’éducation sur la petite enfance (=3 ans) comparé à une scolarité qui s'étend sur 10 à 15 ans - en tant qu’ancien élève, étudiant puis parent, je n'ai jamais vu de système d’apprentissage et d’évaluation distincte entre fille et garçon ni en maternelle, ni en primaire… par contre les institutrices de mon époque étaient plus sévères avec une fille "turbulente" vs un garçon "turbulent". Mais j'ai pu constater que cela changeait. La peur de prendre des risques, de sortir de sa zone de confort, de sa routine... échouer, l'accepter et l'analyser pour s'améliorer.... c'est ce qu'on apprend dans la pratique d'un sport en compétition contrairement au sport santé/bien être. Cela peut également expliquer (en partie) pourquoi le sport compétition a été délaissé pendant des décennies par une grande majorité des femmes au profit d'une approche santé/bien être. Beaucoup de filles de ma génération avaient le potentiel de faire tellement plus avec de l'ambition. Les pères doivent soutenir et pousser leur(s) fille(s) mais il faut aussi que certaines mères soient conscientes que, par identification, elles transmettent leur crainte et une certaine vision à leur fille qui n'est plus en adéquation avec la réalité. Avec une confiance suffisante, le besoin de s'identifier et de trouver des repères dans des magazines ou ailleurs est moins fort.
Toujours les mémes pleurnicheries... 'Si je réussi pas,c'est pas ma faute,c'est mon éducation,ouinn ouin !!!' Une fois qu'on est adulte,il faut peu étre essayer de changer,non ?
énormément de points sur lesquels je suis pas en concordance, il semblerait que mme loiseau soit issue d'une très vieille école. les choses on considérablement changées aujourd'hui pour les parents et ce depuis plus d'une vingtaine d'année.
Merci Mme Loiseau.
Une approche pertinente et moins partiale que ce qu'on peut lire/voir habituellement.
En nette rupture avec une logique de femmes victimes perpétuelles d'un système et déresponsabilisées de leur condition.
Les jugements de valeurs et les préjugés détendent et permettent de maintenir son auditoire mais le discours peut perdre en crédibilité.
- « quand on dit d'une femme qu'elle est ambitieuse c'est rarement pour lui faire un compliment ».... ni plus ni moins que pour un homme
- « vocation, un sacerdoce... vocabulaire religieux et masculin. »… j'ai pas saisi car pour moi il existe des nonnes, des sœurs ?
- « je fais tout mal mais avec enthousiaste »… mal selon l'exigence d’une femme... suffisant selon un homme
une perception de l'éducation datant des années 90:
- ce qu’on attend d’une petite fille, qu’elle soit gentille, sage, calme, altruiste
- pour les filles des livres de princesse
s
- les filles sont reposantes, c’est ça qui fait qu’elles ont des bonnes notes
constat juste sur la scolarité mais la logique est biaisée
- exemple de l’éducation sur la petite enfance (=3 ans) comparé à une scolarité qui s'étend sur 10 à 15 ans
- en tant qu’ancien élève, étudiant puis parent, je n'ai jamais vu de système d’apprentissage et d’évaluation distincte entre fille et garçon ni en maternelle, ni en primaire… par contre les institutrices de mon époque étaient plus sévères avec une fille "turbulente" vs un garçon "turbulent". Mais j'ai pu constater que cela changeait.
La peur de prendre des risques, de sortir de sa zone de confort, de sa routine... échouer, l'accepter et l'analyser pour s'améliorer.... c'est ce qu'on apprend dans la pratique d'un sport en compétition contrairement au sport santé/bien être.
Cela peut également expliquer (en partie) pourquoi le sport compétition a été délaissé pendant des décennies par une grande majorité des femmes au profit d'une approche santé/bien être.
Beaucoup de filles de ma génération avaient le potentiel de faire tellement plus avec de l'ambition.
Les pères doivent soutenir et pousser leur(s) fille(s) mais il faut aussi que certaines mères soient conscientes que, par identification, elles transmettent leur crainte et une certaine vision à leur fille
qui n'est plus en adéquation avec la réalité.
Avec une confiance suffisante, le besoin de s'identifier et de trouver des repères dans des magazines ou ailleurs est moins fort.
Magistrale
Toujours les mémes pleurnicheries... 'Si je réussi pas,c'est pas ma faute,c'est mon éducation,ouinn ouin !!!' Une fois qu'on est adulte,il faut peu étre essayer de changer,non ?
énormément de points sur lesquels je suis pas en concordance, il semblerait que mme loiseau soit issue d'une très vieille école. les choses on considérablement changées aujourd'hui pour les parents et ce depuis plus d'une vingtaine d'année.
peut etre du point de vue d un homme, ce qu elle dit a encore beaucoup de sens pour les femmes
@@ihaydoutov Non, vous ne représentez pas les femmes et pour se sentir inspirée par Nathalie Loiseau il faut vraiment pas être une lumière...
Pity ms loiseau doesn't stay abreast of the all the facts when it comes to syria
Rudely interupted Irish EU member Mick Wallace recently.
Noooooooon , aucune ambition ! Pfffffffffffff
J'incrimine les écoles.
T'as l'air triste... LOL l'enthousiasme. Au mieux c'est du déni.
Je pensais que TEDx n'invitait que des personnes de qualité, et c'est généralement le cas.
Une erreur de casting, donc.