Superbe cette vidéo avec toutes les explications pertinentes, ça fait un bien fou ! Je suis à 3000% pour le CD, les fichiers High Res et le SACD. Je n'ai jamais aimé le vinyle, qui pour moi n'a que des défauts, même à l'époque où le CD n'existait pas encore. Le seul point positif du vinyle, c'est qu'il a relancé l'industrie musicale ;)
Bonjour, oui l'objet vinyl et son rituel sur la platine ont participé à l'appréciation du support. N'oublions pas que le vinyl offre le plus de défauts de lecture, les petits cracs qui n'appartiennent pas à l'œuvre, mais qui pour certains en font le charme.Un comble dans une approche purement hight fidelity.Problème similaire que l'on rencontrait avec le souffle des bandes analogiques que l'on traitait à coup de filtre HxPro ou autres. Personnellement si le CD 44kHz ou 192 kHz ne me parait pas être si différent à cause de mon système et de ma "capacité d'entendre", j'ai longtemps compris que le SACD, codé non plus en PCM, mais en DSD, apporte un réel gain à tout niveau. Aujourd'hui je respecte les gens qui aiment le vinyl, mais vu le prix du support et la qualité objective comme le souligne ce post, cela me semble peu intéressant. Le DSD m'apporte un véritable plaisir tant en terme de résultat que de définition et de dynamique. Merci pour ce post.
À l'époque du vinyl, on enregistrait sur des appareils analogiques, qui avaient l'avantage de supporter des écarts de dynamiques plus importants. Aujourd'hui, il est quasi absurde de presser en vinyl un enregistrement numérique car cela ne ramène que du bruit et des craquements. Actuellement, avec les formats DSD DXD offrent une qualité incomparable, et dans le cas d'enregistrements classiques, ou musiques du monde, c'est incomparable. Quand on sait comment les ingénieurs du son s'emm..... daient lors de prises compliquées, (car lors du mixage sur un appareil à bande, il y a une perte de qualité à chaque passage de la bande devant les têtes) Actuellement, avec les outils dont on dispose dans les studios, on a de quoi faire des miracles. La seule différence avec le "bon vieux temps" c'est la capacité des musiciens à jouer ENSEMBLE, lors de la même session ! Ce qui pour moi a vraiment changé, est le fait d'enregistrer séparément, des jours différents, ce qui nuit à l'effet d'ensemble.
Un autre problème est que dans le rock, la musique électronique on crée des enregistrements avec beaucoup plus de compression (dynamique) que dans les années 60, 70 alors que paradoxalement les supports permettraient d'enregistrer plus de dynamique. Cette dynamique est plutôt utilisée pour l'enregistrement d'instruments acoustiques. Dans le cas du rock, du rap, et de l'electro récent elle est plutôt théorique par la compression des enregistrements et aussi du fait qu'on écoute moins souvent sur une chaine hifi capable de reproduire cette dynamique, mais sur des téléphones, pc ou enceintes bluetooth. A propos des vinyles d'époque, d'avant le cd il y avait aussi de la distorsion (qui peut être plaisante, créer des harmoniques qui enrichissent le son) dues aux bandes, aux consoles et autre appareils électroniques analogiques d'époque
Vous oubliez me semble t'il une chose le gravage des basses sur un vynle n'est pas possible dans l'état pour des problème mécanique, donc on diminue fortement le niveau des basses par un filtre au gravage. A la lecture c'est le contraire, on a dans le préampli d'une entrée phono un filtre qui fait le contraire et donc qui bien souvent favoris les basses qui dit filtres dit coloration et je pense que c'est coloration que les gens apprécies aussi! 🙂
Les frequence basse sont belle et bien présente , elle sont tout simplement atténué pour la gravure et augmenté via le stage d'amplification de conectite Phono .......
Magnifique démonstration. Mais sur le papier, si j'ose dire. Moi qui suis fan des Beatles, je déplore qu'en CD certains raccords de montage soient audibles alors qu'ils ne le sont pas en vinyle. Par ailleurs, sur la magnifique chanson "girl", les soupirs discrets qui accompagnent le refrain ressemblent en CD aux aspirations amplifiées d'un asthmatique. Je suppose que l'échantillonnage ne prend pas en compte ce qui lui paraît du silence, comme si nous disions qu'il n'y a pas d'air (à respirer) parce que nous ne le voyons pas. Quoi qu'il en soit, si nous écoutions le même morceau en vinyle et en CD, ou inversement, je suis convaincu que nous identifierions les supports respectifs instantanément.
" l'échantillonnage ne prend pas en compte ce qui lui paraît du silence" l'échantillonnage ne fait aucun filtrage. Les différences que vous entendez sont liés soit au mastering soit à votre cellule. Certaines cellules phono changent énormément le son
2 года назад+2
La qualité d'un vinyle et trés bonne, mais il est évidentq ue c'est comme tout, si tu a un TD de me..... et encore plus avec un diamand de mauvaise qualitée, bien la qualité s'en ressent.
La qualité d'échantillonage et la fréquence de son ont la même "mesure" (hz) mais se ne sont pas les même données... 44kHz d'un CD c'est pas la même chose que le 20hz d'une sonorité "basse". L'un est les "marches" pour reproduire la vague sonore. L'autre est la mesure de l'oscilation d'une vague. D'autant plus qu'à la base même, n'importe quel conversion analogue vers digital comporte une perte. On part d'une courbe (soundwaves) vers des "escalier". Les marches sont de plus en plus petites, oui, mais il y aura toujours une perte.
ben si c'est des hz, on parle exactement de la même chose. Non ce n'est pas des escaliers, c'est justement le théorème de shannon, après filtrage vous avez exactement le signal original, même avec un instrument de mesure ça se vérifie...
@@brianhead814 Shannon, c'est bien en théorie, mais la réalité n'est pas la théorie. Prenez 2 DAC différents. Tous deux auront une distorsion très faible et une excellente linéarité. Car vous aurez fait les mesures en régime fréquentiel établi. Par exemple sur un balayage en fréquence de 20Hz à 20kHz selon une progression. ou à une fréquence fixe. C'est un régime fréquentiel établi. Ce n'est pas une mesure de distorsion d'intermodulation par exemple. La musique ce n'est pas du tout une fréquence fixe, c'est surtout des transitoires. Prenez ces 2 DAC et envoyez leur un morceau de musique identique à chacun et mesurez en sortie. Ou un bruit blanc, ou rose identique bit à bit de préférence pour chaque essai. Rien qu'une analyse fréquentielle (spectre) de la mesure montrera de bonnes différences. Et pourtant, la théorie dit... un DAC ne peut pas être parfait comme la théorie. Il pourra sussi se comporter différemment selon la résolution du signal de départ (rééchantillonnage et conception). Difficile de trouver une règle générale pour dire qui sonnera mieux ou pas, et pour qui. Ce qui est sûr c'est qu'ils ne sonneront pas pareil, de manière perceptible ou non. Après chacun aime comme il veut à l'écoute.
On voit aussi les différences entre les mesures des 2 DAC en faisant la soustraction des 2 mesures et en analysant le spectre du résultat par exemple. Mesure répétable, on trouve à chaque fois le même type de différence.
@@gautieraudio3590 le signal est le même balayage ou pas, temps qu'on est en dessous de 22K. oui l'étage de sortie va ajouter une légère coloration au signal, et la qualité du filtre également. Mais on parle la de détail. La seule chose qui pourrait vraiment dégrader le signal c'est d'avoir un très mauvais filtre, mais à part acheter quelque chose de cheap, aujourd'hui tout ça ne coute pas très cher.
@@brianhead814 comparaison faite sur le DAC d'un bluesound node et Cambridge DAC Magic. C'est déjà pas très cheap, même si on peut bien plus cher. Beaucoup de DAC ( intégrés ou pas) d'utilisateurs sont plus cheap que ça. C'est un exemple comme il pourrait y en avoir une infinité. Évidemment que ça dépend aussi du filtrage de sortie, tout comme pour un ampli classe D etc. Ce qui montre que le DAC ne sont pas si parfaits que ça vu les différences et donc on est loin de là théorie. Sur il balayage "lent" ou des fréquences fixes le DAC sembleront bien plus proche du parfait (Shannon) que dans la pratique. Et c'est bien ça qu'on écoute....
@@brianhead814 Imagine que l'enregistrement audio est un conteneur avec des limites spécifiques. Les fréquences inaudibles, même à des niveaux de décibels très élevés, peuvent provoquer des effets à l'intérieur de ce conteneur. Par exemple : Infrasons puissants : Ces fréquences peuvent créer des vibrations dans les structures environnantes ou dans le matériel d'enregistrement. Ces vibrations peuvent se propager et altérer le son que le conteneur est censé reproduire, modifiant ainsi la qualité et la clarté des fréquences audibles. Ultrasons puissants : Bien que non perçus directement par l'oreille humaine, les ultrasons à des niveaux élevés peuvent interférer avec les équipements audio, provoquant des distorsions ou des anomalies dans les enregistrements. En résumé, même si les fréquences inaudibles ne sont pas entendues directement, leurs effets peuvent se manifester dans le conteneur de l'enregistrement audio, influençant ainsi les fréquences audibles que nous percevons.
@@brianhead814 Imagine que l'enregistrement audio est un conteneur avec des limites spécifiques. Les fréquences inaudibles, même à des niveaux de décibels très élevés, peuvent provoquer des effets à l'intérieur de ce conteneur. Par exemple : Infrasons puissants : Ces fréquences peuvent créer des vibrations dans les structures environnantes ou dans le matériel d'enregistrement. Ces vibrations peuvent se propager et altérer le son que le conteneur est censé reproduire, modifiant ainsi la qualité et la clarté des fréquences audibles. Ultrasons puissants : Bien que non perçus directement par l'oreille humaine, les ultrasons à des niveaux élevés peuvent interférer avec les équipements audio, provoquant des distorsions ou des anomalies dans les enregistrements. En résumé, même si les fréquences inaudibles ne sont pas entendues directement, leurs effets peuvent se manifester dans le conteneur de l'enregistrement audio, influençant ainsi les fréquences audibles que nous percevons.
Moi, je suis très déçu du vinyle. C'est des conneries tout sa, du pure marketing. J'écoute du classique avec un lecteur de cd et SACD. J'ai acheté il y quelque temps une platine vinyle début charbon avec une bonne cellule et un 33 tours the planets de Holts neuf. Il y a pas photo, le vinyle et très en dessous en qualité, même pas rapport au cd, alors le SACD je t'en parle pas avec c'est 24 bits 192khz. En plus je pensais retrouvé des résonances, mais comme les nouveaux vinyle sont des transcriptions du numérique, car les studios sont tous en digital. C'est du pipeau tout sa.
Très bien expliqué... il n'empêche qu'à l'oreille en tout cas.. d'une manière générale voire quasi unanime, les gens préfèrent le son du vinyle.. quoi qu'on en dise c'est bien plus agréable à écouter que toutes ces merdes numériques 😉
@@lepassantguy3520 " Combat d'arrière garde dépassé " dites vous !!?? Le temps vous donne tort hélas.. les gens y reviennent et pour longtemps.. le cd est mort et tant mieux pour nos oreilles 😉
Sur le plan de la fidélité sonore, le CD et le numérique sont infiniment supérieurs au vinyle (bruit de fond et de surface, dynamique, courbe de réponse en fréquences…). La différence porte sur ce qui est gravé. Le numérique accepte n’importe quoi : compression excessive, soucis hors phase, etc. Il faut simplement ne pas atteindre ou dépasser le niveau de saturation numérique., rien d’autre. Le vinyle demande du métier et les normes techniques pour graver correctement sont plus élevées : des soucis de phase ou de l’hypercompression ne passeront pas en vinyle. Je prends l’exemple de la cuisine : le CD c’est un resto 4 étoiles, où les cuisiniers ne feraient que des hamburgers. Tandis que le vinyle c’est une petite auberge, où le cuisinier donne le meilleur de lui-même. Donc ce qui fait que l’on aime le vinyle, c’est parce que le mixage qui est gravé est habituellement de meilleure qualité. Pour plus d’infos, voir mes vidéos où je grave du vinyle ( je bosse dans une boîte de mastering).
Superbe cette vidéo avec toutes les explications pertinentes, ça fait un bien fou ! Je suis à 3000% pour le CD, les fichiers High Res et le SACD. Je n'ai jamais aimé le vinyle, qui pour moi n'a que des défauts, même à l'époque où le CD n'existait pas encore. Le seul point positif du vinyle, c'est qu'il a relancé l'industrie musicale ;)
Bonjour, oui l'objet vinyl et son rituel sur la platine ont participé à l'appréciation du support. N'oublions pas que le vinyl offre le plus de défauts de lecture, les petits cracs qui n'appartiennent pas à l'œuvre, mais qui pour certains en font le charme.Un comble dans une approche purement hight fidelity.Problème similaire que l'on rencontrait avec le souffle des bandes analogiques que l'on traitait à coup de filtre HxPro ou autres. Personnellement si le CD 44kHz ou 192 kHz ne me parait pas être si différent à cause de mon système et de ma "capacité d'entendre", j'ai longtemps compris que le SACD, codé non plus en PCM, mais en DSD, apporte un réel gain à tout niveau. Aujourd'hui je respecte les gens qui aiment le vinyl, mais vu le prix du support et la qualité objective comme le souligne ce post, cela me semble peu intéressant. Le DSD m'apporte un véritable plaisir tant en terme de résultat que de définition et de dynamique. Merci pour ce post.
À l'époque du vinyl, on enregistrait sur des appareils analogiques, qui avaient l'avantage de supporter des écarts de dynamiques plus importants. Aujourd'hui, il est quasi absurde de presser en vinyl un enregistrement numérique car cela ne ramène que du bruit et des craquements. Actuellement, avec les formats DSD DXD offrent une qualité incomparable, et dans le cas d'enregistrements classiques, ou musiques du monde, c'est incomparable. Quand on sait comment les ingénieurs du son s'emm..... daient lors de prises compliquées, (car lors du mixage sur un appareil à bande, il y a une perte de qualité à chaque passage de la bande devant les têtes) Actuellement, avec les outils dont on dispose dans les studios, on a de quoi faire des miracles. La seule différence avec le "bon vieux temps" c'est la capacité des musiciens à jouer ENSEMBLE, lors de la même session ! Ce qui pour moi a vraiment changé, est le fait d'enregistrer séparément, des jours différents, ce qui nuit à l'effet d'ensemble.
Un autre problème est que dans le rock, la musique électronique on crée des enregistrements avec beaucoup plus de compression (dynamique) que dans les années 60, 70 alors que paradoxalement les supports permettraient d'enregistrer plus de dynamique.
Cette dynamique est plutôt utilisée pour l'enregistrement d'instruments acoustiques.
Dans le cas du rock, du rap, et de l'electro récent elle est plutôt théorique par la compression des enregistrements et aussi du fait qu'on écoute moins souvent sur une chaine hifi capable de reproduire cette dynamique, mais sur des téléphones, pc ou enceintes bluetooth.
A propos des vinyles d'époque, d'avant le cd il y avait aussi de la distorsion (qui peut être plaisante, créer des harmoniques qui enrichissent le son) dues aux bandes, aux consoles et autre appareils électroniques analogiques d'époque
Vous oubliez me semble t'il une chose le gravage des basses sur un vynle n'est pas possible dans l'état pour des problème mécanique, donc on diminue fortement le niveau des basses par un filtre au gravage. A la lecture c'est le contraire, on a dans le préampli d'une entrée phono un filtre qui fait le contraire et donc qui bien souvent favoris les basses qui dit filtres dit coloration et je pense que c'est coloration que les gens apprécies aussi! 🙂
Les frequence basse sont belle et bien présente , elle sont tout simplement atténué pour la gravure et augmenté via le stage d'amplification de conectite Phono .......
Magnifique démonstration. Mais sur le papier, si j'ose dire. Moi qui suis fan des Beatles, je déplore qu'en CD certains raccords de montage soient audibles alors qu'ils ne le sont pas en vinyle. Par ailleurs, sur la magnifique chanson "girl", les soupirs discrets qui accompagnent le refrain ressemblent en CD aux aspirations amplifiées d'un asthmatique. Je suppose que l'échantillonnage ne prend pas en compte ce qui lui paraît du silence, comme si nous disions qu'il n'y a pas d'air (à respirer) parce que nous ne le voyons pas. Quoi qu'il en soit, si nous écoutions le même morceau en vinyle et en CD, ou inversement, je suis convaincu que nous identifierions les supports respectifs instantanément.
" l'échantillonnage ne prend pas en compte ce qui lui paraît du silence" l'échantillonnage ne fait aucun filtrage. Les différences que vous entendez sont liés soit au mastering soit à votre cellule. Certaines cellules phono changent énormément le son
La qualité d'un vinyle et trés bonne, mais il est évidentq ue c'est comme tout, si tu a un TD de me..... et encore plus avec un diamand de mauvaise qualitée, bien la qualité s'en ressent.
bien résumé
Génial !
Phil.
top tout simplement ;On n'est malheureusement pas quidam
La qualité d'échantillonage et la fréquence de son ont la même "mesure" (hz) mais se ne sont pas les même données... 44kHz d'un CD c'est pas la même chose que le 20hz d'une sonorité "basse". L'un est les "marches" pour reproduire la vague sonore. L'autre est la mesure de l'oscilation d'une vague.
D'autant plus qu'à la base même, n'importe quel conversion analogue vers digital comporte une perte. On part d'une courbe (soundwaves) vers des "escalier". Les marches sont de plus en plus petites, oui, mais il y aura toujours une perte.
ben si c'est des hz, on parle exactement de la même chose. Non ce n'est pas des escaliers, c'est justement le théorème de shannon, après filtrage vous avez exactement le signal original, même avec un instrument de mesure ça se vérifie...
Le théorème de Shannon ne s'applique pas bien en transitoires. D'où la différence entre la qualité CD et la Hi-Res sur les messages complexes.
ne s'applique pas bien aux transitoires ? que voulez vous dire ?
@@brianhead814 Shannon, c'est bien en théorie, mais la réalité n'est pas la théorie. Prenez 2 DAC différents. Tous deux auront une distorsion très faible et une excellente linéarité. Car vous aurez fait les mesures en régime fréquentiel établi. Par exemple sur un balayage en fréquence de 20Hz à 20kHz selon une progression. ou à une fréquence fixe. C'est un régime fréquentiel établi. Ce n'est pas une mesure de distorsion d'intermodulation par exemple. La musique ce n'est pas du tout une fréquence fixe, c'est surtout des transitoires. Prenez ces 2 DAC et envoyez leur un morceau de musique identique à chacun et mesurez en sortie. Ou un bruit blanc, ou rose identique bit à bit de préférence pour chaque essai. Rien qu'une analyse fréquentielle (spectre) de la mesure montrera de bonnes différences. Et pourtant, la théorie dit... un DAC ne peut pas être parfait comme la théorie. Il pourra sussi se comporter différemment selon la résolution du signal de départ (rééchantillonnage et conception). Difficile de trouver une règle générale pour dire qui sonnera mieux ou pas, et pour qui. Ce qui est sûr c'est qu'ils ne sonneront pas pareil, de manière perceptible ou non. Après chacun aime comme il veut à l'écoute.
On voit aussi les différences entre les mesures des 2 DAC en faisant la soustraction des 2 mesures et en analysant le spectre du résultat par exemple. Mesure répétable, on trouve à chaque fois le même type de différence.
@@gautieraudio3590 le signal est le même balayage ou pas, temps qu'on est en dessous de 22K. oui l'étage de sortie va ajouter une légère coloration au signal, et la qualité du filtre également. Mais on parle la de détail. La seule chose qui pourrait vraiment dégrader le signal c'est d'avoir un très mauvais filtre, mais à part acheter quelque chose de cheap, aujourd'hui tout ça ne coute pas très cher.
@@brianhead814 comparaison faite sur le DAC d'un bluesound node et Cambridge DAC Magic. C'est déjà pas très cheap, même si on peut bien plus cher. Beaucoup de DAC ( intégrés ou pas) d'utilisateurs sont plus cheap que ça. C'est un exemple comme il pourrait y en avoir une infinité. Évidemment que ça dépend aussi du filtrage de sortie, tout comme pour un ampli classe D etc. Ce qui montre que le DAC ne sont pas si parfaits que ça vu les différences et donc on est loin de là théorie. Sur il balayage "lent" ou des fréquences fixes le DAC sembleront bien plus proche du parfait (Shannon) que dans la pratique. Et c'est bien ça qu'on écoute....
Sympa la video, mais le marshall jvm non non et nooooooon
120db de dynamique me semble dangereux pour les oreilles
Les fréquences que nous ne percevons pas influences celle que nous percevons. Le son est beaucoup plus complexe qu'il semble....
alors la c'est fort, de quelle manière ?
@@brianhead814 Imagine que l'enregistrement audio est un conteneur avec des limites spécifiques. Les fréquences inaudibles, même à des niveaux de décibels très élevés, peuvent provoquer des effets à l'intérieur de ce conteneur. Par exemple :
Infrasons puissants : Ces fréquences peuvent créer des vibrations dans les structures environnantes ou dans le matériel d'enregistrement. Ces vibrations peuvent se propager et altérer le son que le conteneur est censé reproduire, modifiant ainsi la qualité et la clarté des fréquences audibles.
Ultrasons puissants : Bien que non perçus directement par l'oreille humaine, les ultrasons à des niveaux élevés peuvent interférer avec les équipements audio, provoquant des distorsions ou des anomalies dans les enregistrements.
En résumé, même si les fréquences inaudibles ne sont pas entendues directement, leurs effets peuvent se manifester dans le conteneur de l'enregistrement audio, influençant ainsi les fréquences audibles que nous percevons.
@@brianhead814 Imagine que l'enregistrement audio est un conteneur avec des limites spécifiques. Les fréquences inaudibles, même à des niveaux de décibels très élevés, peuvent provoquer des effets à l'intérieur de ce conteneur. Par exemple :
Infrasons puissants : Ces fréquences peuvent créer des vibrations dans les structures environnantes ou dans le matériel d'enregistrement. Ces vibrations peuvent se propager et altérer le son que le conteneur est censé reproduire, modifiant ainsi la qualité et la clarté des fréquences audibles.
Ultrasons puissants : Bien que non perçus directement par l'oreille humaine, les ultrasons à des niveaux élevés peuvent interférer avec les équipements audio, provoquant des distorsions ou des anomalies dans les enregistrements.
En résumé, même si les fréquences inaudibles ne sont pas entendues directement, leurs effets peuvent se manifester dans le conteneur de l'enregistrement audio, influençant ainsi les fréquences audibles que nous percevons.
David Manley qui n était pas n'importe qui en hi fi disait faites du ball trap avec vos vieux vinyle ce que j ai évité de faire
Moi, je suis très déçu du vinyle. C'est des conneries tout sa, du pure marketing. J'écoute du classique avec un lecteur de cd et SACD. J'ai acheté il y quelque temps une platine vinyle début charbon avec une bonne cellule et un 33 tours the planets de Holts neuf. Il y a pas photo, le vinyle et très en dessous en qualité, même pas rapport au cd, alors le SACD je t'en parle pas avec c'est 24 bits 192khz. En plus je pensais retrouvé des résonances, mais comme les nouveaux vinyle sont des transcriptions du numérique, car les studios sont tous en digital. C'est du pipeau tout sa.
Exact, et c'est une honte d'avoir abandonné ce format, le sacd fait une sacré différence
Très bien expliqué... il n'empêche qu'à l'oreille en tout cas.. d'une manière générale voire quasi unanime, les gens préfèrent le son du vinyle.. quoi qu'on en dise c'est bien plus agréable à écouter que toutes ces merdes numériques 😉
@@lepassantguy3520 " Combat d'arrière garde dépassé " dites vous !!?? Le temps vous donne tort hélas.. les gens y reviennent et pour longtemps.. le cd est mort et tant mieux pour nos oreilles 😉
@@fabvinylconnection2331 Le CD n'est pas mort, tu racontes de la merde.
Sur le plan de la fidélité sonore, le CD et le numérique sont infiniment supérieurs au vinyle (bruit de fond et de surface, dynamique, courbe de réponse en fréquences…). La différence porte sur ce qui est gravé. Le numérique accepte n’importe quoi : compression excessive, soucis hors phase, etc. Il faut simplement ne pas atteindre ou dépasser le niveau de saturation numérique., rien d’autre. Le vinyle demande du métier et les normes techniques pour graver correctement sont plus élevées : des soucis de phase ou de l’hypercompression ne passeront pas en vinyle. Je prends l’exemple de la cuisine : le CD c’est un resto 4 étoiles, où les cuisiniers ne feraient que des hamburgers. Tandis que le vinyle c’est une petite auberge, où le cuisinier donne le meilleur de lui-même. Donc ce qui fait que l’on aime le vinyle, c’est parce que le mixage qui est gravé est habituellement de meilleure qualité. Pour plus d’infos, voir mes vidéos où je grave du vinyle ( je bosse dans une boîte de mastering).
@@guillaumehardenne9400 Informe toi crétin de base
MDR sur le vinyle qui a moins de dynamique tu devrait écouter des vinyles original Master recording tu sera bien surpris de la dynamique 😉
Depuis des dizaines d'années je n'ai pas sorti mes LP (que je conserve quand même, souvenirs...)