Borges sabía muy bien el francés, pues estudió la secundaria en Ginebra, Suiza, donde el francés es el idioma oficial, pero no sentía un gran aprecio por el francés como lengua literaria, como tampoco lo tenía por los escritores en español. Las lenguas que si estimó mucho como lenguas literarias fueron el inglés y el alemán. Este último idioma lo aprendió como autodidacta, con la ayuda de un diccionario. Todos estos idiomas los hablaba con acento argentino.
@@diccionariosxxi Hola ! Acabo de transcribir la entrevista pero me falta una frase que no entendí. Espero que te sea útil de todos modos. « Un père libre-penseur, une mère catholique, d’une façon tiède, Argentine, une sœur ultra religieuse, une grand-mère protestante, et tout cela n’a pas été une tragédie pour moi, au contraire, j’ai vu ces religions et l’athéisme de mon père, je les ai vus comme des possibilités intellectuelles. Toutes intéressantes. Par exemple, en 1916, je crois que j’ai passé presque une année à lire des livres de théologie évangélistes, luthériens. Je ne croyais pas à cette théologie mais tout cela m’intéressait de la même façon que le bouddhisme m’intéressait, le taoïsme m’intéressait, que les divers systèmes philosophiques : idéalisme, matérialisme, solipsisme, m’ont intéressée. C’est-à-dire, je pourrais dire, (????) , que je suis le contraire d’Unamuno. Unamuno disait que Dieu, était pour lui le producteur d’immortalité. Et moi, j’accepterais l’immortalité à condition d’oublier ma vie présente. Alors, on peut se demander ce que l’immortalité signifie . C’est-à-dire que ce serait triste pour moi de penser après ma mort corporelle, qu’une fois sur la terre, je m’appelais Borges, que j’ai publié des bouquins, que je venais d’une famille militaire, etcétéra. Je préfère oublier tout cela, comme je préfère oublier l’époque que j’ai passée, au ventre de ma mère, quoique selon les freudiens, tout cela est très important, pour moi. Je crois, quand je parle, de dieu, je parle plutôt d’une essence morale, d’une volonté morale, je ne pense pas à lui comme un homme. Je suis un peu fatigué de Borges, et j’espère être quelqu’un, une autre personne, mais en tout cas ne plus être Borges après ma mort. » Traducción: "Un padre librepensador, una madre católica, de manera tibia, argentina, una hermana ultrarreligiosa, una abuela protestante, y todo esto no fue una tragedia para mí, al contrario, yo veía estas religiones y el ateísmo de mi padre, los veía como posibilidades intelectuales. Todas interesantes. Por ejemplo, en 1916, creo que pasé casi un año leyendo libros de teología evangélica, luterana. No creía en esa teología, pero todo eso me interesaba del mismo modo que me interesaba el budismo, que me interesaba el taoísmo, que me interesaban los distintos sistemas filosóficos: idealismo, materialismo, solipsismo. Es decir, podría decir (????) que soy lo contrario de Unamuno. Unamuno decía que Dios era para él el productor de la inmortalidad. Y yo, aceptaría la inmortalidad con la condición de olvidar mi vida actual. Entonces, cabe preguntarse qué significa la inmortalidad. Es decir, sería triste para mí pensar después de mi muerte corporal que una vez en la tierra me llamé Borges, que publiqué libros, que vine de una familia militar, etc. Prefiero olvidar todo eso, como prefiero olvidar el tiempo que pasé en el vientre de mi madre, aunque según los freudianos, todo eso es muy importante para mí. Cuando hablo de Dios, hablo más bien de una esencia moral, de una voluntad moral, no pienso en él como un hombre. Estoy un poco cansado de Borges, y espero ser alguien, otra persona, pero en todo caso no ser Borges después de mi muerte. »
@@carlarusso8626 ¡Wow! Esto no me lo esperaba. Te lo agradecemos mucho Carla. Agregaré los subtítulos tan pronto como pueda, gracias por tu colaboración. Creo que en esa parte dice: “s’il est un peu vicieux” o “un peu ambitieux”.
Seguramente el Maestro Borges debe estar triste, porque él dice que le gustaría que después de su muerte nadie se acuerde el él ni de su obra. Han pasado 35 años de su partida (año 1986) y está cada día más vivo y por fortuna para nosotros, pobres mortales, disfrutar y emocionarnos con su obra monumental, con su genialidad ETERNA. Como siempre, MIL GRACIAS Maestro !!
No dijo que quería que nadie se acuerde de su obra ni de él. Sino que él, en el momento de su muerte olvide su propia vida, y trascienda a la eternidad como una conciencia pura, sin estar marcada por "haber sido Borges".
La literature de Monsieur Borges, écrite originalment en espagnol, a trascendé les frontières, parce que, en bonne partie, ses obsessions literaires (le temps, la mort, les cauchemars, etc.) appartient à la culture universelle.
@@francogiaccone329 Le temps est un élément qui appartient à toutes les cultures. Est-ce que il y a un peuple qui n'a pas eu une conception du temps? Avec leur nuances, bien sûr, mais la même sensation et perception du passage. Et qu'est qu'on peut dire sur la mort? Est-ce que il y a eu un peuple où les gens ne meurent pas? Les cauchemars, bon, tout le monde se rêve de qqch, et aussi tout le monde a un cauchemar quant on a mangé bcp ou quant on est préocupé, etc.
@@victorgarciavargas8056 Non. Le Temps est une Idée philosophique, qui découle des différents concepts catégorielles (le temps de la Physique, le temps de l'Histoire, le temps grammatical, etc.). L'idée du temps qu'une tribu amazonienne peut avoir n'est pas la même que celle de nos sociétés industrielles modernes. Par conséquent, elle n'appartient pas à toutes les cultures, au moins, telle que l'on la connaît. On peut dire la même chose de l'Idée de la Mort (il y a un concept biologique, un autre religieux, etc.). En tout cas, il n'y a pas de culture universelle. La culture, en tant que concept anthropologique, recouvre cet « ensemble complexe » dont parlait Edward Tylor et, donc, non seulement les différentes « couches » dans lesquelles ses différentes composantes peuvent être placées (la couche subjective ou intrasomatique, la couche sociale ou intersomatique et la couche matérielle ou extrasomatique), mais aussi les différents cercles culturelles au sens ethnographique.
@@francogiaccone329 Cependant, je ne parle pas sur les differences, elles existent évidemment, mais je parle sur ce qu'il y a en common entre les cultures et les choses que tout le monde vit ou ressent, en depit de sa culture or sa provenance. N'importe de quelle culture on parle, le temps es toujours le passage de qqch. N'importe de quelle culture on parle, la mort signifie la fin de qqch; etc. Même, une des tendances du sprit humain a été la capacité de généraliser. Par exemple, vous avez mentionné les tribus amazonnienes. Les mythes qu'elles ont conçu pour expliquer le monde concernent la realité total, pas seulement leur realité. Il n'aurait aucun sense qu'ils ont à voir seulement avec leur realité à la forêt amazonienne. Et si on va au monde occidental, il existe la philosophie, et il y a une definition de la philosophie: c'est l'exercise de la réflexion qui atteint à comprendre la realité dans son ensemble; mais on ne peut nier que il y a eu aussi des filosophies indienne, chinoise, arabique, americaine, etc., chacune d'elles avec leur propre vision du monde. Il y a des catégories mentales qui appartienent à l'espèce, pas seulement aux individus.
@@victorgarciavargas8056 Ce qu'ils vivent ou ressentent est totalement hors de propos. Bien sûr, la mort signifie quelque chose pour tous les humains, mais aussi pour le reste des animaux supérieurs. Et ce n'est pas pour cela que nous étendons la culture humaine à la culture animale, en général, puisque contrairement à eux, nous avons une rationalité institutionnelle (nous faisons des cérémonies pour nos morts, etc.). Si vous voulez trouver quelque chose de commun à toutes les cultures humaines (sans les hypostasier dans une « civilisation universelle »), c'est la catégorie suprême de l'espace anthropologique, l'institution. Après, par rapport à la réalité, c'est faux. Les mythes que ces tribus ont construits ne sauraient expliquer la réalité totale, car la réalité n'est pas un tout, elle est infinie. De plus, ces mythes ont été inspirés de leur réalité quotidienne, matérielle, technologique, sociale. Par exemple, seule une civilisation comme l'hellénique pouvait postuler que le monde était une sphère (Empédocle), car les Grecs avaient construit des formes géométriques. La vraie philosophie est la philosophie académique, issue de la tradition platonicienne (philosophie est un mot grec), et ce n'est pas « une vision du monde », car chacun a sa propre « philosophie mondaine », sa « mappa mundi ». C'est un savoir de second degré qui présuppose donc d'autres savoirs préalables, de « premier degré » (techniques, politiques, mathématiques, biologiques, ...). Ce que vous dites des « catégories mentales » est un mentalisme inacceptable. Les catégories ne sont pas des formes a priori de la raison pure. Ça c'est de la métaphysique pure. Les catégories sont objectives et impliquent d'autres catégories, spécifiques à chaque domaine, tant au sens gnoséologique qu'ontologique.
Saer también, y qué tiene que ver Cortázar con esto. La gente siempre queriendo poner al mismo nivel a Cortázar y Borges, Sabato y Borges. Borges estaba en otro plano, no hay ni comparación. Hay un antes y un después en la literatura con la aparición de Jorge Luis.
@@octavioojuarez Pero mas vale. Es una pavada lo que decís. Fijate donde hizo sus primeros años de vida Borges y donde vivió los últimos años de Cortazar.
Ufff, es que es una tautologia, me parece. Porque olvidarse quien es uno, algo tan identitario como la memoria, es tambien morir. Uno no puede vivir sin recordar. Las memorias estan ahi, lo constituyen a uno, son, estan, no se pueden tirar. Si se van, si nos olvidamos, no seremos ya nosotros, seremos otros, lo cual no es no morir. Olvidarse es tambien morir. Asi que venga, muerte, que te estamos esperando.
Ils traversent ainsi le noir illimité, Ce frère du silence éternel, O cité ! Pendant qu'autour de nous tu chantes, ris et beugles, Éprise du plaisir jusqu'à l'atrocité, Vois ! Je me traîne aussi mais, plus qu'eux hébété, Je dis : Que cherchent-ils au Ciel, tous ces aveugles ? Baudelaire Me hace pensar a un Borges que no dejaba de mirar a cierta cumbre, a un Borges cuya vista no fatigaba aún el amarillo. ¡Genialidad!
@@diccionariosxxi Un amor irracional a la vida, cierta pasión por la memoria y sus hijas tal vez. Es que uno toma un libro y es éste el que te lee a ti, porque una vida dedicada al arte se vive tanto, acaso más, que aquella que excede las pasiones y el vicio
Que loco como se escucha a Borges en francés, que gusto.
Borges sabía muy bien el francés, pues estudió la secundaria en Ginebra, Suiza, donde el francés es el idioma oficial, pero no sentía un gran aprecio por el francés como lengua literaria, como tampoco lo tenía por los escritores en español. Las lenguas que si estimó mucho como lenguas literarias fueron el inglés y el alemán. Este último idioma lo aprendió como autodidacta, con la ayuda de un diccionario. Todos estos idiomas los hablaba con acento argentino.
Y creo que llegó a comprender inglés antiguo. Es más en su lápida hay una frase en inglés antiguo
que buen dato y no me arrepiento esta vez de ver los comentarios
Gracias por la información. Me fascina este Ser Humano.
un extraterrestre
Y sabía latín pero se avergonzaba de no saber griego.
Se agradecen los subtítulos en español para los que no sabemos francés...
Descuida, intentaré conseguirlos. Gracias.
@@diccionariosxxi
Hola ! Acabo de transcribir la entrevista pero me falta una frase que no entendí.
Espero que te sea útil de todos modos.
« Un père libre-penseur, une mère catholique, d’une façon tiède, Argentine, une sœur ultra religieuse, une grand-mère protestante, et tout cela n’a pas été une tragédie pour moi, au contraire, j’ai vu ces religions et l’athéisme de mon père, je les ai vus comme des possibilités intellectuelles. Toutes intéressantes.
Par exemple, en 1916, je crois que j’ai passé presque une année à lire des livres de théologie évangélistes, luthériens. Je ne croyais pas à cette théologie mais tout cela m’intéressait de la même façon que le bouddhisme m’intéressait, le taoïsme m’intéressait, que les divers systèmes philosophiques : idéalisme, matérialisme, solipsisme, m’ont intéressée. C’est-à-dire, je pourrais dire, (????) , que je suis le contraire d’Unamuno.
Unamuno disait que Dieu, était pour lui le producteur d’immortalité. Et moi, j’accepterais l’immortalité à condition d’oublier ma vie présente. Alors, on peut se demander ce que l’immortalité signifie . C’est-à-dire que ce serait triste pour moi de penser après ma mort corporelle, qu’une fois sur la terre, je m’appelais Borges, que j’ai publié des bouquins, que je venais d’une famille militaire, etcétéra.
Je préfère oublier tout cela, comme je préfère oublier l’époque que j’ai passée, au ventre de ma mère, quoique selon les freudiens, tout cela est très important, pour moi. Je crois, quand je parle, de dieu, je parle plutôt d’une essence morale, d’une volonté morale, je ne pense pas à lui comme un homme. Je suis un peu fatigué de Borges, et j’espère être quelqu’un, une autre personne, mais en tout cas ne plus être Borges après ma mort. »
Traducción:
"Un padre librepensador, una madre católica, de manera tibia, argentina, una hermana ultrarreligiosa, una abuela protestante, y todo esto no fue una tragedia para mí, al contrario, yo veía estas religiones y el ateísmo de mi padre, los veía como posibilidades intelectuales. Todas interesantes.
Por ejemplo, en 1916, creo que pasé casi un año leyendo libros de teología evangélica, luterana. No creía en esa teología, pero todo eso me interesaba del mismo modo que me interesaba el budismo, que me interesaba el taoísmo, que me interesaban los distintos sistemas filosóficos: idealismo, materialismo, solipsismo. Es decir, podría decir (????) que soy lo contrario de Unamuno.
Unamuno decía que Dios era para él el productor de la inmortalidad. Y yo, aceptaría la inmortalidad con la condición de olvidar mi vida actual. Entonces, cabe preguntarse qué significa la inmortalidad. Es decir, sería triste para mí pensar después de mi muerte corporal que una vez en la tierra me llamé Borges, que publiqué libros, que vine de una familia militar, etc.
Prefiero olvidar todo eso, como prefiero olvidar el tiempo que pasé en el vientre de mi madre, aunque según los freudianos, todo eso es muy importante para mí. Cuando hablo de Dios, hablo más bien de una esencia moral, de una voluntad moral, no pienso en él como un hombre. Estoy un poco cansado de Borges, y espero ser alguien, otra persona, pero en todo caso no ser Borges después de mi muerte. »
@@carlarusso8626 ¡Wow! Esto no me lo esperaba. Te lo agradecemos mucho Carla. Agregaré los subtítulos tan pronto como pueda, gracias por tu colaboración. Creo que en esa parte dice: “s’il est un peu vicieux” o “un peu ambitieux”.
Tenes que habilitar los subtitulos con el boton que está abajo a la derecha.
@@carlarusso8626 Muchas Gracias por tu aporte!
Seguramente el Maestro Borges debe estar triste, porque él dice que le gustaría que después de su muerte nadie se acuerde el él ni de su obra. Han pasado 35 años de su partida (año 1986) y está cada día más vivo y por fortuna para nosotros, pobres mortales, disfrutar y emocionarnos con su obra monumental, con su genialidad ETERNA. Como siempre, MIL GRACIAS Maestro !!
No dijo que quería que nadie se acuerde de su obra ni de él. Sino que él, en el momento de su muerte olvide su propia vida, y trascienda a la eternidad como una conciencia pura, sin estar marcada por "haber sido Borges".
@@berpmorph2946 exactamente
jaja, cuando termina de decir todas esas frases pone una cara de alegría... como si estuviera haciendo un chiste...
Un grand merci de diffuser ces (si rares) entretiens vidéos de Borges.
Los subtítulos en español y en francés han sido agregados. Creditos: @carla russo
Gracias totales👍
La literature de Monsieur Borges, écrite originalment en espagnol, a trascendé les frontières,
parce que, en bonne partie, ses obsessions literaires (le temps, la mort, les cauchemars, etc.)
appartient à la culture universelle.
La « culture universelle » n'existe pas.
@@francogiaccone329 Le temps est un élément qui appartient à toutes les cultures. Est-ce que il y a un peuple qui n'a pas eu une conception du temps? Avec leur nuances, bien sûr, mais la même sensation et perception du passage. Et qu'est qu'on peut dire sur la mort? Est-ce que il y a eu un peuple où les gens ne meurent pas? Les cauchemars, bon, tout le monde se rêve de qqch, et aussi tout le monde a un cauchemar quant on a mangé bcp ou quant on est préocupé, etc.
@@victorgarciavargas8056 Non. Le Temps est une Idée philosophique, qui découle des différents concepts catégorielles (le temps de la Physique, le temps de l'Histoire, le temps grammatical, etc.). L'idée du temps qu'une tribu amazonienne peut avoir n'est pas la même que celle de nos sociétés industrielles modernes. Par conséquent, elle n'appartient pas à toutes les cultures, au moins, telle que l'on la connaît. On peut dire la même chose de l'Idée de la Mort (il y a un concept biologique, un autre religieux, etc.).
En tout cas, il n'y a pas de culture universelle. La culture, en tant que concept anthropologique, recouvre cet « ensemble complexe » dont parlait Edward Tylor et, donc, non seulement les différentes « couches » dans lesquelles ses différentes composantes peuvent être placées (la couche subjective ou intrasomatique, la couche sociale ou intersomatique et la couche matérielle ou extrasomatique), mais aussi les différents cercles culturelles au sens ethnographique.
@@francogiaccone329 Cependant, je ne parle pas sur les differences, elles existent évidemment, mais je parle sur ce qu'il y a en common entre les cultures et les choses que tout le monde vit ou ressent, en depit de sa culture or sa provenance. N'importe de quelle culture on parle, le temps es toujours le passage de qqch. N'importe de quelle culture on parle, la mort signifie la fin de qqch; etc. Même, une des tendances du sprit humain a été la capacité de généraliser. Par exemple, vous avez mentionné les tribus amazonnienes. Les mythes qu'elles ont conçu pour expliquer le monde concernent la realité total, pas seulement leur realité. Il n'aurait aucun sense qu'ils ont à voir seulement avec leur realité à la forêt amazonienne. Et si on va au monde occidental, il existe la philosophie, et il y a une definition de la philosophie: c'est l'exercise de la réflexion qui atteint à comprendre la realité dans son ensemble; mais on ne peut nier que il y a eu aussi des filosophies indienne, chinoise, arabique, americaine, etc., chacune d'elles avec leur propre vision du monde.
Il y a des catégories mentales qui appartienent à l'espèce, pas seulement aux individus.
@@victorgarciavargas8056 Ce qu'ils vivent ou ressentent est totalement hors de propos. Bien sûr, la mort signifie quelque chose pour tous les humains, mais aussi pour le reste des animaux supérieurs. Et ce n'est pas pour cela que nous étendons la culture humaine à la culture animale, en général, puisque contrairement à eux, nous avons une rationalité institutionnelle (nous faisons des cérémonies pour nos morts, etc.). Si vous voulez trouver quelque chose de commun à toutes les cultures humaines (sans les hypostasier dans une « civilisation universelle »), c'est la catégorie suprême de l'espace anthropologique, l'institution.
Après, par rapport à la réalité, c'est faux. Les mythes que ces tribus ont construits ne sauraient expliquer la réalité totale, car la réalité n'est pas un tout, elle est infinie. De plus, ces mythes ont été inspirés de leur réalité quotidienne, matérielle, technologique, sociale. Par exemple, seule une civilisation comme l'hellénique pouvait postuler que le monde était une sphère (Empédocle), car les Grecs avaient construit des formes géométriques. La vraie philosophie est la philosophie académique, issue de la tradition platonicienne (philosophie est un mot grec), et ce n'est pas « une vision du monde », car chacun a sa propre « philosophie mondaine », sa « mappa mundi ». C'est un savoir de second degré qui présuppose donc d'autres savoirs préalables, de « premier degré » (techniques, politiques, mathématiques, biologiques, ...).
Ce que vous dites des « catégories mentales » est un mentalisme inacceptable. Les catégories ne sont pas des formes a priori de la raison pure. Ça c'est de la métaphysique pure. Les catégories sont objectives et impliquent d'autres catégories, spécifiques à chaque domaine, tant au sens gnoséologique qu'ontologique.
Borges y Cortázar tuvieron una excelente fluidez en el francés.
Saer también, y qué tiene que ver Cortázar con esto. La gente siempre queriendo poner al mismo nivel a Cortázar y Borges, Sabato y Borges. Borges estaba en otro plano, no hay ni comparación. Hay un antes y un después en la literatura con la aparición de Jorge Luis.
@@imdr.b142 Hablo acerca de su fluidez en el idioma.
@@octavioojuarez Pero mas vale. Es una pavada lo que decís. Fijate donde hizo sus primeros años de vida Borges y donde vivió los últimos años de Cortazar.
También Vargas Llosa
@@escamillaalejandro1490 También y varios más. Pero me pareció que apuntaba a escritores argentinos el comentario. Por eso no lo mencioné.
Qué hombre tan encantador! Me hubiera gustado entrará dentro de mis maestros!
Saludos.
Leé su obra y será uno de tus maestros.
Merci beaucoup 🇨🇵🇦🇷
El DIVINO Borges :')
Ufff, es que es una tautologia, me parece. Porque olvidarse quien es uno, algo tan identitario como la memoria, es tambien morir. Uno no puede vivir sin recordar. Las memorias estan ahi, lo constituyen a uno, son, estan, no se pueden tirar. Si se van, si nos olvidamos, no seremos ya nosotros, seremos otros, lo cual no es no morir. Olvidarse es tambien morir.
Asi que venga, muerte, que te estamos esperando.
¡Muchas gracias!
Enterno genio .
Borges te espero para hablar, cuando quieras, Kant ya dijo que si, tenes que confirmar. Au revoir!!!
increible
Ils traversent ainsi le noir illimité,
Ce frère du silence éternel, O cité !
Pendant qu'autour de nous tu chantes, ris et beugles,
Éprise du plaisir jusqu'à l'atrocité,
Vois ! Je me traîne aussi mais, plus qu'eux hébété,
Je dis : Que cherchent-ils au Ciel, tous ces aveugles ?
Baudelaire
Me hace pensar a un Borges que no dejaba de mirar a cierta cumbre, a un Borges cuya vista no fatigaba aún el amarillo. ¡Genialidad!
¡Excelente!, gracias por tu comentario. ¿Qué te acerca a Borges?
@@diccionariosxxi Un amor irracional a la vida, cierta pasión por la memoria y sus hijas tal vez. Es que uno toma un libro y es éste el que te lee a ti, porque una vida dedicada al arte se vive tanto, acaso más, que aquella que excede las pasiones y el vicio
@@neilmirandalozano6656 ¡Qué bonitas palabras! Estoy de acuerdo. Gracias.
Genial!
Recuerdo haber visto este documento completo, quién sabe dónde se puede ver?
Si habría subtitulos seria un placer
Descuida, ya han sido publicados.
Aprende francés.
Manjar
mar del plata...