Parlons des soins palliatifs avec la loi Leonetti. Exactement dignité quand on ne peut assumer soi-même les gestes simples de la vie. C'est pour moi perdre la dignité. J'espère qu'une loi sera votée.
bonjour je suis dans la deuxième année collégiale et j'ai un petit débat sur l'euthanasie je suis dans l'équipe pour svp je cherche des arguments convaincants et merci :)
Etre pour ou contre n'a aucun sens à mes yeux ,ça regarde uniquement la personne qui est confrontée à la question . C'est de l'ordre de l'intime et personne ne devrait interférer (...) aussi bien dans un sens comme dans l'autre(...)à moins de se prendre pour Dieu. Par anticipation ,faire devant témoins un écrit devrait largement suffire pour exprimer son désir de partir selon ses propres choix de fin de vie, sans qu'on revienne dessus au nom de je ne sais quel prétexte fallacieux. Qui peut me dire comment je dois mourir ...d'une agonie sans fin ou partir d'une piqûre de chlorure de potassium pour arrêter mon coeur en deux secondes? La vérité en la matière n'appartient qu'aux prétentieux qui s'imaginent qu'eux seuls à travers leur point de vue sur la question savent tout de ce qu'est une fin de vie qui par définition est toujours unique et mystérieuse.
C'est - à mon humble avis - le commentaire le plus sensé, celui où je m'y retrouve le mieux. Éternel cas de conscience où il n'est pas facile de trancher par un "pour" ou par un "contre" ce que certains pourraient avoir tendance à faire... Je suis dans la situation de quelqu'un qui, après onze années de batailles, de multiples cancers, d'opérations, de chimios, de radiothérapies et de traitements, a fini par admettre que ces combats deviennent inégaux et qu'il faut que je me rende à l'évidence qu'une fin est proche pour moi. Je ne souhaite pas poursuivre de traitements mais simplement qu'une âme bienveillante du corps médical m'aide à écourter un calvaire qui n'a que trop duré. Et tout le problème est là ! Il est sans doute plus facile de piquer son chien ou son cheval et l'Homme peut être très humain quand il s'agit de ne plus faire souffrir son animal de compagnie. Pourquoi n'en serait-il pas de même pour les humains ?
Bien que ça soit un commentaire sensé il est très utopique. On vit en société et heureusement ou malheureusement les lois existent et pour former ou changer les lois on a besoins d’exprimer notre opinion même pour des cas qui ne nous concernent pas sinon on prend le risque de soit rester dans une situation qui ne nous convient pas ou à l’inverse d’aller vers quelque chose qui ne nous plait pas. Donc pour ce sujet si dire « les gens font ce qu’ils veulent » (point de vue que je partage) revient à dire qu’on est pour la légalisation de l’euthanasie (sous cas particulier bien sûr).
Y'a pas de débat a avoir la, mais quand les medias commencent a diffuser des cas comme ça méfiance dans quelques poignées d'années on a une loi de votée...
Le toubib se gourre avec ses soins palliatifs,le nombre de personnes décrivant les souffrances des malades montre bien l'absurdité de de cet acharnement,le malade a ce droit légitime de décider de sa fin;la France,toujours en retard sur les autres..
il n'y a pas de mort digne ... on peu vivre dans la dignité mais pas y mourir (ce n'est pas un slogan publicitaires pour eux mais pour mieux passer auprès des proches) là ou je trouve que c'est infecte c'est qu'il y a des personnes qui ne sont pas concerné par un handicape et qui disent si c'est légal ou pas... on peu le tourné comme on veux mais un groupe de personnes qui disent non à l'euthanasie et qu'ils connaissent une personne handicapée (incurable) qui souhaite l'euthanasie... c'est que se sont des égoïstes ... une question pour les femmes si vous vous faites violées par plusieurs mecs, est-ce qu'il y a pas un moment (que ce soit pendant ou après le viol) ou vous souhaiteriez mourir? franchement?
Merci ! Dans une société saine d'esprit, chez un être humain sain d'esprit, le premier réflexe naturel face un autre humain en danger ou voulant se suicider, c'est normalement de tenter de l'empêcher de passer à l'acte ou d'appeler les secours pour le sauver, pas de l'aider à mourir ! Il est scandaleux de vouloir permettre à celles et ceux qui pousseraient leur prochain par la fenêtre ou le laisseraient tomber, de le faire d'une part et de le faire sans être inquiété par la justice. Pompiers et médecins-pompiers le font-ils d'ailleurs ? Faudra t-il leur accorder aussi le droit de tuer ? Pourquoi les médecins devraient-ils endosser le rôle de juges et de bourreaux ? Pourquoi leur accorder autant d'autorité ? Où est celle du patient dans ce cas et de sa famille ? N'auront-ils plus le droit de ne pas mourir ou de refuser qu'on tue un de leur proche ? S'il meurt, quel recourt auront-ils s'il est légal de tuer ? Citoyens, médecins belges et hollandais tirent le signal d'alarme depuis bien longtemps, mais les médias font généralement la sourde oreille concernant les opposants. Si on suit l'exemple belge, ce sera au médecin de faire l'expertise, de prendre la décision et de tuer le patient. Il est donc expert, juge et bourreau. A-t-on déjà vu autant de pouvoir entre les mains d'un même homme ? Jamais ! L'euthanasie est un assassinat, l'euthanasie étant un acte prémédité. La loi protège les assassins, mais pas les malades vulnérables ni leur famille. Malades vulnérables qui, dans certains cas, subissent des pressions du personnel soignant ou de son entourage pour qu'on lui administre ce mode de fin de vie brutal. Les abus sont inévitables, mais plus condamnables ! Et dire que la Belgique accepte dorénavant de tuer des enfants, pourtant on leur avait dit aux Belges qu'il n'en serait jamais question. Ah les promesses de gouvernement ! En France, la crainte est qu'une telle loi se transforme en droit, qui ensuite évolue en norme...;comme en Belgique et en Hollande ! Le rôle du médecin serait alors paradoxal : l'obligation de réanimer des personnes ayant tenté de se suicider et leur donner la mort si elles le désirent ! Pure folie !
+Green Light Si je peux me permettre, je ne suis pas d'accord avec toi. Tu présente les choses sous un angle très extrême je trouve. Au même titre que le patient a des droits (le droit de refuser un traitement, le droit d'être soigné dignement...) Pourquoi n'aurait-il pas le droit de choisir de sa mort ? Si la personne malade a le droit de choisir de vivre, je ne vois absolument pas pourquoi le droit de mourir lui serait refusé, lorsqu'elle est justifiée par une fin imminente. Au lieu d'anesthésier les gens, ne plus s'en occuper sur le plan curatif, pourquoi ne pas offrir le droit de partir sereinement et plus rapidement ? Bien-sûr, ici je parlerai des cas dans lesquels les patients sont en fin de vie, et savent que leur sort est fixé. Pour ce qui est du suicide dû à une souffrance psychologique c'est un autre débat selon moi. (Pour ce qui est du suicide, sache que justement beaucoup de tentatives malheureusement réussites, sont en réalité un appel à l'aide, plus qu'un véritable souhait de mourir, et ce "paradoxe" existe justement pour ne pas tomber dans l'erreur de ne pas réanimer quelqu'un qui ne souhaitait pas mourir. Les tentatives de suicide, dont le but réel est vraiment de mourir sont minoritaires) En France, tous les patients ont le droit d'écrire ce qu'on appelle des directives anticipées, dans lesquelles ils expliquent ce qui doit être appliqué en cas de fin de vie. Dans ces conditions, si la personne a clairement énoncé le choix de ne pas continuer les soins à un moment critique, et explique ne pas vouloir vivre dans des conditions de vie qui sont les siennes, c'est son choix et il doit être respecté a mon sens. Bien-sur, ce n'est pas quelque chose à prendre à la légère et qui peut varier. Une personne alitée qui souffre énormément voudra certainement mourir, tandis qu'une personne indolore, dans le même cas ne le voudra pas forcément, c'est pourquoi un traitement curatif, et de confort sont nécessaires pour que la personne puisse réfléchir sans être influencée par des sentiments passagers. Tu dis que l'euthanasie est un assassinat. Et bien je te répondrai que non, en aucun cas. La personne assassinée et n'est certainement pas d'accord pour ça ! L'assassinat peut être motivé par un désire de vengeance, de faire taire quelqu'un, peut être passionnel, et même découler d'une pathologie psychiatrique. L'Euthanasie, c'est une décision qui doit être collégiale. C'est à dire que cette pratique doit faire intervenir beaucoup de personnes, extérieures à la situation (pas de proches de la famille, ou de personnes ayant une quelconque relation avec le patient) qui vont en discuter, peser le pour et le contre. En France en tout cas, c'est comme ça que ça marche (Pas pour l'euthanasie puisqu'elle n'est pas autorisée sous ce nom, mais pour laisser le patient mourir. C'est à dire qu'on stop les traitements curatifs, au profits d'un traitement anti-douleurs, parfois à grosse dose, tout en ayant conscience que les conséquences sont létales. (D'où l’hypocrisie de l'état français sur ce point !!)) Si le patient n'a pas rédigé ces fameuses directives anticipées, ces réunions ont lieu entre personnels soignants, et la famille est bien évidemment consultée afin de recueillir son avis. L’objectif de l'euthanasie n'est pas de tuer pour tuer, ou pour avoir un intérêt personnel. Ici on parle du désire, et surtout du confort du patient. C'est une réalité, ce sont des responsabilités énormes pour le médecin, au même titre que de commencer certains traitements aux effets secondaires extrêmement dangereux pour la santé des patients. A savoir également, que je suis étudiant infirmier. Les infirmiers ont pour but d’accompagner les patients dans leur parcours. Non pas nécessairement de soigner, de guérir. Beaucoup de médecins n'ont pas cette vision là et pensent devoir sauver tous le monde. A quoi bon s'acharner à faire vivre un patient, si c'est pour qu'il soit dans un état de mort cérébrale. Il est difficile de transposer ce genre de choses, mais je pense que la question qu'il faut se poser c'est : "qu'est ce que j'aimerais qu'il se passe pour moi ?" Je pense que permettre a quelqu'un de mourir en paix est le dernier soin, le dernier accompagnement que l'on peut proposer au patient. Bien-sûr, ce raisonnement m'est propre et n'implique que moi, n'y vois aucune animosité ou jugement.
le suicide légalisé ou pas reste un suicide, ce n'est qu'un geste de lache, faibles...sans oublier que vous causer de majeurs malheurs à votre famille,VOUS leurs rendez la vie atroce. N'est ce pas de l'égoïsme?? détruire sa vie et celle des autres.
ika hem Faux, premièrement le suicide est un acte indépendant, qui par définition n'a strictement rien à voir avec l'euthanasie qui est un acte dépendant d'un tiers. Deuxièmement, le suicide, le seul et unique, est mû par une absence de solution(s), il ne peut donc pas être jugé comme un acte lâche ni être jugé tout court, lorsque l'on n'y est pas soi-même confronté ! Le terme "suicide-assisté" est un abus de langage, une entourloupe voulu par les politiciens pour faire passer des vessies pour des lanternes, comme à leur habitude. Suicide : se donner la mort tout seul, sans l'aide d'un tiers. Assisté : assistance, avec l'aide d'un tiers. C'est soit l'un, soit l'autre, les deux ensemble est irrationnel. L'euthanasie est un meurtre, le médecin donnant la mort à son patient. Cet acte était autrefois condamné par la justice bien évidemment. Aujourd'hui, un homme ou une femme qui tue son patient échappe à la justice. Les médecins son ainsi désormais couverts mais, pas les patients comme en Belgique et aux Pays-Bas. Nombreuses familles d'ailleurs ont porté plainte pour abus mais, le meurtre étant dans le cadre hospitalier devenu légal, il est très difficile, voir impossible, d'obtenir justice. D'autant que le témoin principal est mort ! Sujet tabou en France !
C'est le choix de chacun de faire ce qu il veut de sa vie mais pas la peine d en faire la promotion. Que cette dame s en retourne à sa culture d origine.
Merci Emanuéle pour ce témoignage, je suis admirative.
Un débat sans fin.
Pensez donc à la souffrance de la personne !!! Partir dignement... C'est la moindre des choses... Et ne plus se sentir un fardeau !!!
Parlons des soins palliatifs avec la loi Leonetti. Exactement dignité quand on ne peut assumer soi-même les gestes simples de la vie. C'est pour moi perdre la dignité. J'espère qu'une loi sera votée.
bonjour je suis dans la deuxième année collégiale et j'ai un petit débat sur l'euthanasie je suis dans l'équipe pour svp je cherche des arguments convaincants et merci :)
Salim samakum MH hhhhh moi aussi.
Moi même s'il vous plaît
Il serait peut-être temps de l'égaliser cette loie !!!
Les médecins ne doivent pas décider pour nous. Chacun est maître de son propre destin.
Les gens devrais avoir le choix de dire stop a leur souffrance .
On est pas fait pour ça ..... Sinon d être sadique .
Etre pour ou contre n'a aucun sens à mes yeux ,ça regarde uniquement la personne qui est confrontée à la question . C'est de l'ordre de l'intime et personne ne devrait interférer (...) aussi bien dans un sens comme dans l'autre(...)à moins de se prendre pour Dieu. Par anticipation ,faire devant témoins un écrit devrait largement suffire pour exprimer son désir de partir selon ses propres choix de fin de vie, sans qu'on revienne dessus au nom de je ne sais quel prétexte fallacieux. Qui peut me dire comment je dois mourir ...d'une agonie sans fin ou partir d'une piqûre de chlorure de potassium pour arrêter mon coeur en deux secondes? La vérité en la matière n'appartient qu'aux prétentieux qui s'imaginent qu'eux seuls à travers leur point de vue sur la question savent tout de ce qu'est une fin de vie qui par définition est toujours unique et mystérieuse.
C'est - à mon humble avis - le commentaire le plus sensé, celui où je m'y retrouve le mieux. Éternel cas de conscience où il n'est pas facile de trancher par un "pour" ou par un "contre" ce que certains pourraient avoir tendance à faire... Je suis dans la situation de quelqu'un qui, après onze années de batailles, de multiples cancers, d'opérations, de chimios, de radiothérapies et de traitements, a fini par admettre que ces combats deviennent inégaux et qu'il faut que je me rende à l'évidence qu'une fin est proche pour moi. Je ne souhaite
pas poursuivre de traitements mais simplement qu'une âme bienveillante du corps médical m'aide à écourter un calvaire qui n'a que trop duré. Et tout le problème est là ! Il est sans doute plus facile de piquer son chien ou son cheval et l'Homme peut être très humain quand il s'agit de ne plus faire souffrir son animal de compagnie. Pourquoi n'en serait-il pas de même pour les humains ?
Bien que ça soit un commentaire sensé il est très utopique. On vit en société et heureusement ou malheureusement les lois existent et pour former ou changer les lois on a besoins d’exprimer notre opinion même pour des cas qui ne nous concernent pas sinon on prend le risque de soit rester dans une situation qui ne nous convient pas ou à l’inverse d’aller vers quelque chose qui ne nous plait pas. Donc pour ce sujet si dire « les gens font ce qu’ils veulent » (point de vue que je partage) revient à dire qu’on est pour la légalisation de l’euthanasie (sous cas particulier bien sûr).
Y'a pas de débat a avoir la, mais quand les medias commencent a diffuser des cas comme ça méfiance dans quelques poignées d'années on a une loi de votée...
† COQ GAULOIS † Espérons qu'elle soit votée, oui.
J'espère que la loi comme celle de la Belgique sera votée.
J ai l intuition que ce médecin tergiversera moins lorsqu il s agira de sa propre agonie
Le toubib se gourre avec ses soins palliatifs,le nombre de personnes décrivant les souffrances des malades montre bien l'absurdité de
de cet acharnement,le malade a ce droit légitime de décider de sa fin;la France,toujours en retard sur les autres..
Respect 💕
Le Soleil Vert c'est en marche ,non ? pour les faibles et fragiles ... Continuons à réfléchir avec intelligence et ...et humanité
il n'y a pas de mort digne ... on peu vivre dans la dignité mais pas y mourir (ce n'est pas un slogan publicitaires pour eux mais pour mieux passer auprès des proches) là ou je trouve que c'est infecte c'est qu'il y a des personnes qui ne sont pas concerné par un handicape et qui disent si c'est légal ou pas... on peu le tourné comme on veux mais un groupe de personnes qui disent non à l'euthanasie et qu'ils connaissent une personne handicapée (incurable) qui souhaite l'euthanasie... c'est que se sont des égoïstes ... une question pour les femmes si vous vous faites violées par plusieurs mecs, est-ce qu'il y a pas un moment (que ce soit pendant ou après le viol) ou vous souhaiteriez mourir? franchement?
Merci !
Dans une société saine d'esprit, chez un être humain sain d'esprit, le premier réflexe naturel face un autre humain en danger ou voulant se suicider, c'est normalement de tenter de l'empêcher de passer à l'acte ou d'appeler les secours pour le sauver, pas de l'aider à mourir !
Il est scandaleux de vouloir permettre à celles et ceux qui pousseraient leur prochain par la fenêtre ou le laisseraient tomber, de le faire d'une part et de le faire sans être inquiété par la justice.
Pompiers et médecins-pompiers le font-ils d'ailleurs ?
Faudra t-il leur accorder aussi le droit de tuer ?
Pourquoi les médecins devraient-ils endosser le rôle de juges et de bourreaux ?
Pourquoi leur accorder autant d'autorité ?
Où est celle du patient dans ce cas et de sa famille ?
N'auront-ils plus le droit de ne pas mourir ou de refuser qu'on tue un de leur proche ?
S'il meurt, quel recourt auront-ils s'il est légal de tuer ?
Citoyens, médecins belges et hollandais tirent le signal d'alarme depuis bien longtemps, mais les médias font généralement la sourde oreille concernant les opposants.
Si on suit l'exemple belge, ce sera au médecin de faire l'expertise, de prendre la décision et de tuer le patient. Il est donc expert, juge et bourreau.
A-t-on déjà vu autant de pouvoir entre les mains d'un même homme ? Jamais !
L'euthanasie est un assassinat, l'euthanasie étant un acte prémédité.
La loi protège les assassins, mais pas les malades vulnérables ni leur famille.
Malades vulnérables qui, dans certains cas, subissent des pressions du personnel soignant ou de son entourage pour qu'on lui administre ce mode de fin de vie brutal.
Les abus sont inévitables, mais plus condamnables !
Et dire que la Belgique accepte dorénavant de tuer des enfants, pourtant on leur avait dit aux Belges qu'il n'en serait jamais question.
Ah les promesses de gouvernement !
En France, la crainte est qu'une telle loi se transforme en droit, qui ensuite évolue en norme...;comme en Belgique et en Hollande !
Le rôle du médecin serait alors paradoxal : l'obligation de réanimer des personnes ayant tenté de se suicider et leur donner la mort si elles le désirent !
Pure folie !
Tg abrutis tu peux pas comprendre alors
Chut
+Green Light Si je peux me permettre, je ne suis pas d'accord avec toi.
Tu présente les choses sous un angle très extrême je trouve.
Au même titre que le patient a des droits (le droit de refuser un traitement, le droit d'être soigné dignement...) Pourquoi n'aurait-il pas le droit de choisir de sa mort ?
Si la personne malade a le droit de choisir de vivre, je ne vois absolument pas pourquoi le droit de mourir lui serait refusé, lorsqu'elle est justifiée par une fin imminente. Au lieu d'anesthésier les gens, ne plus s'en occuper sur le plan curatif, pourquoi ne pas offrir le droit de partir sereinement et plus rapidement ?
Bien-sûr, ici je parlerai des cas dans lesquels les patients sont en fin de vie, et savent que leur sort est fixé.
Pour ce qui est du suicide dû à une souffrance psychologique c'est un autre débat selon moi. (Pour ce qui est du suicide, sache que justement beaucoup de tentatives malheureusement réussites, sont en réalité un appel à l'aide, plus qu'un véritable souhait de mourir, et ce "paradoxe" existe justement pour ne pas tomber dans l'erreur de ne pas réanimer quelqu'un qui ne souhaitait pas mourir. Les tentatives de suicide, dont le but réel est vraiment de mourir sont minoritaires)
En France, tous les patients ont le droit d'écrire ce qu'on appelle des directives anticipées, dans lesquelles ils expliquent ce qui doit être appliqué en cas de fin de vie.
Dans ces conditions, si la personne a clairement énoncé le choix de ne pas continuer les soins à un moment critique, et explique ne pas vouloir vivre dans des conditions de vie qui sont les siennes, c'est son choix et il doit être respecté a mon sens. Bien-sur, ce n'est pas quelque chose à prendre à la légère et qui peut varier. Une personne alitée qui souffre énormément voudra certainement mourir, tandis qu'une personne indolore, dans le même cas ne le voudra pas forcément, c'est pourquoi un traitement curatif, et de confort sont nécessaires pour que la personne puisse réfléchir sans être influencée par des sentiments passagers.
Tu dis que l'euthanasie est un assassinat. Et bien je te répondrai que non, en aucun cas. La personne assassinée et n'est certainement pas d'accord pour ça ! L'assassinat peut être motivé par un désire de vengeance, de faire taire quelqu'un, peut être passionnel, et même découler d'une pathologie psychiatrique. L'Euthanasie, c'est une décision qui doit être collégiale. C'est à dire que cette pratique doit faire intervenir beaucoup de personnes, extérieures à la situation (pas de proches de la famille, ou de personnes ayant une quelconque relation avec le patient) qui vont en discuter, peser le pour et le contre. En France en tout cas, c'est comme ça que ça marche (Pas pour l'euthanasie puisqu'elle n'est pas autorisée sous ce nom, mais pour laisser le patient mourir. C'est à dire qu'on stop les traitements curatifs, au profits d'un traitement anti-douleurs, parfois à grosse dose, tout en ayant conscience que les conséquences sont létales. (D'où l’hypocrisie de l'état français sur ce point !!))
Si le patient n'a pas rédigé ces fameuses directives anticipées, ces réunions ont lieu entre personnels soignants, et la famille est bien évidemment consultée afin de recueillir son avis.
L’objectif de l'euthanasie n'est pas de tuer pour tuer, ou pour avoir un intérêt personnel. Ici on parle du désire, et surtout du confort du patient.
C'est une réalité, ce sont des responsabilités énormes pour le médecin, au même titre que de commencer certains traitements aux effets secondaires extrêmement dangereux pour la santé des patients.
A savoir également, que je suis étudiant infirmier. Les infirmiers ont pour but d’accompagner les patients dans leur parcours. Non pas nécessairement de soigner, de guérir. Beaucoup de médecins n'ont pas cette vision là et pensent devoir sauver tous le monde. A quoi bon s'acharner à faire vivre un patient, si c'est pour qu'il soit dans un état de mort cérébrale. Il est difficile de transposer ce genre de choses, mais je pense que la question qu'il faut se poser c'est : "qu'est ce que j'aimerais qu'il se passe pour moi ?"
Je pense que permettre a quelqu'un de mourir en paix est le dernier soin, le dernier accompagnement que l'on peut proposer au patient.
Bien-sûr, ce raisonnement m'est propre et n'implique que moi, n'y vois aucune animosité ou jugement.
le suicide légalisé ou pas reste un suicide, ce n'est qu'un geste de lache, faibles...sans oublier que vous causer de majeurs malheurs à votre famille,VOUS leurs rendez la vie atroce. N'est ce pas de l'égoïsme?? détruire sa vie et celle des autres.
ika hem
Faux, premièrement le suicide est un acte indépendant, qui par définition n'a strictement rien à voir avec l'euthanasie qui est un acte dépendant d'un tiers.
Deuxièmement, le suicide, le seul et unique, est mû par une absence de solution(s), il ne peut donc pas être jugé comme un acte lâche ni être jugé tout court, lorsque l'on n'y est pas soi-même confronté !
Le terme "suicide-assisté" est un abus de langage, une entourloupe voulu par les politiciens pour faire passer des vessies pour des lanternes, comme à leur habitude.
Suicide : se donner la mort tout seul, sans l'aide d'un tiers.
Assisté : assistance, avec l'aide d'un tiers.
C'est soit l'un, soit l'autre, les deux ensemble est irrationnel.
L'euthanasie est un meurtre, le médecin donnant la mort à son patient.
Cet acte était autrefois condamné par la justice bien évidemment.
Aujourd'hui, un homme ou une femme qui tue son patient échappe à la justice.
Les médecins son ainsi désormais couverts mais, pas les patients comme en Belgique et aux Pays-Bas.
Nombreuses familles d'ailleurs ont porté plainte pour abus mais, le meurtre étant dans le cadre hospitalier devenu légal, il est très difficile, voir impossible, d'obtenir justice.
D'autant que le témoin principal est mort !
Sujet tabou en France !
C'est le choix de chacun de faire ce qu il veut de sa vie mais pas la peine d en faire la promotion. Que cette dame s en retourne à sa culture d origine.
vous me faites rire, il a une très belle coiffure le présentateur, j'aurais aimé une calvicie
Et le médecin également !
Pour pour pour pour ...' !!!! Et pour !!!!
Elle a le regard de Dracula :/
C'est vraiment pas le sujet.