Bien sûr, et Sollers a fait une critique élogieuse du Proust et les Signes de Deleuze en 1964. Néanmoins, il fera de la « lecture » un procédé textuel; et du « fond » que dévoile Georges Bataille la source d’une investigation aussi… Deleuze ne pointe pas cette dimension…
J’adore la jalousie des médiocres face à Sollers : Lisez l’écriture et l’expérience des limites. Les français n’ont plus aucun niveau. Il est venu le temps d’une épuration intellectuelle, n’est-ce pas ? 😅
Non tu as mal écouté parce que tu es épais. C’est plutôt bien prélevé et très décanté en vue d’un programme textuel des années Tel Quel, bien moins superficiel que toi. A toi de lire sérieusement.
Parait-il que Sollers n’aurait jamais totalement fait le travail de deuil de sa Libido primaire, en renonçant au passage à une Libido Sciendi. Ce qui concrètement le conduit à exister pour accroître son capital mondain (combinaison du capital social et du capital sexuel) et non utiliser sa libido au service de, qui la littérature ou la critique littéraire. La conversion est toujours possible car l’homme est toujours vivant paraît-il.
La réflexion abordée sur l’imparfait et le présent était profondément d’actualité. Le nouveau roman cherchait un Présent Total. Lui, fera jouer les deux temps.
Proust reste à lire : Sollers devrait d'abord s'y mettre ; la référence à Bataille fait figure de triste béquille, "sorte de" angoisse extatique : eh bien allons-y Mais non rien ne vient sinon "intéressante" adjectif favori de ceux qui n'ont pas lu véritablement
Putain que t’es con, et français évidemment. Et prétentieux, vu ta face de sousmerde. Réécoute attentivement si tu en as la modestie. Ces bases sont développées dans toute les années 69 chez Tel Quel et bien que moins extraordinairement formulées que Deleuze, elles sont pertinentes et l’utilisation qu’en fera Sollers t’écrase pour des siècles, petit paltoquet blanc.
Ouh là là, quel baratin creux! C'est presque un exercice de style un peu oulipien: comment remplir un maximum de phrases avec un maximum de mots tout en respectant strictement le contrainte de ne rien dire.
@@christophedesbiens4490 Pas seulement "sur Proust", mais Proust il même a dit tout ce qu'a besoin d'être dit. Qu'est-ce qu'on peut ajouter à Proust? Il est la mot finale.
Syllogisme et théorie du « fond » intérieur dépassant tout espace-temps que Sollers prépare dans Drame et Nombres, puis dans sa conception de l’individuation. Intervention en apparence imprécise, en apparence seulement. Deleuze, louangé par Sollers, refusera cette révélation de Bataille. De façon ultra modeste, Sollers n’indique pas tout ce qu’il en tirera ensuite.
@@michelchevrier4904 Eh bien . Il dit comment il a lu Proust , et ressenti comme une ouverture sur de nouvelles façons de concevoir la littérature . . Qu'y a til de choquant à ce que dit Sollers !? Il répond à la question qui lui est posée. !
voila la difference entre un Francis Ponge et un petit gars a minettes: le premier comme disait Valeri digere l'oeuvre pour soi-meme, le second se contente de lieux communs et d'images d'epinal tant il est vide de sens.
Je suis assez d'accord, Sollers n'a pas dit grand chose ici... Mais prendre Ponge en contrepartie, c'eet pas un argument très fort. Il a intellectualisé la littérature, la poésie....
Non, aucuns lieux communs précisément sur cette intériorité totale que soulève Bataille et que Sollers reconceptualisera dans Drame, Nombres, Logiques. Ce qui parait decanté ici n’est pas aussi superficiel que toi.
Ce bellâtre (bien décati aujourd'hui), cet accent emmerdé (complètement out aujourd'hui), c'est en vérité l'image de Proust même, évoquée par un de ses héritiers : fadeur, logorrhée insipide, pause de la "profondeur", ennui total du commentaire sur l'oeuvre ennuyeuse -- au contraire de Barthes : commentaire passionnant sur l'oeuvre ennuyeuse. Sollers, parlez-nous plutôt de la "pensée-Mao-tsé-Toung" : à l'époque au moins, vous nous faisiez mourir de rire...
Ouh que tu pues le ressentiment sexuel, social et textuel. Essaye d’être quelqu’un une minute dans ta vie. Il faut écouter ce passage en rapport avec le Tel Quel de 62-68. Bien plus profond qu’il n’y parait, toi le « moche » si je comprend bien. France moisie.
@@xx8307 mon diagnostic : t'as un QI à deux chiffres, je ne peux pas discuter avec ta pomme, pas plus qu'avec un têtard ou une grenouille; bye, & oublie moi, non mais, j'ai autre chose à foutre !
Retrouvez bien d'autres archives sur Marcel Proust ici : bit.ly/2EeojUr
Proust, always Proust
.
Le plus que parfait reprend du terrain .
Sollers dit la même chose que Deleuze qui dans son bouquin parle de Proust comme d'un lecteur de signes émis
Bien sûr, et Sollers a fait une critique élogieuse du Proust et les Signes de Deleuze en 1964. Néanmoins, il fera de la « lecture » un procédé textuel; et du « fond » que dévoile Georges Bataille la source d’une investigation aussi… Deleuze ne pointe pas cette dimension…
Cet analyse est le navet complet.
Non je crois que tu es con.
Mon grand frère mon ami mon amour mon maître
Ce temps qu'il croyait perdu, il le retrouve dans dans l'acte de création, la divinisation de nos activités humaines, où le temps est aboli .
J’adore la jalousie des médiocres face à Sollers : Lisez l’écriture et l’expérience des limites. Les français n’ont plus aucun niveau. Il est venu le temps d’une épuration intellectuelle, n’est-ce pas ? 😅
Aucune substance dans ce blabla. Que contraste avec les propos limpides de Barthes..
Non tu as mal écouté parce que tu es épais. C’est plutôt bien prélevé et très décanté en vue d’un programme textuel des années Tel Quel, bien moins superficiel que toi. A toi de lire sérieusement.
Parait-il que Sollers n’aurait jamais totalement fait le travail de deuil de sa Libido primaire, en renonçant au passage à une Libido Sciendi. Ce qui concrètement le conduit à exister pour accroître son capital mondain (combinaison du capital social et du capital sexuel) et non utiliser sa libido au service de, qui la littérature ou la critique littéraire. La conversion est toujours possible car l’homme est toujours vivant paraît-il.
Il excelle dans la critique littéraire
Tu n’as aucun talent d’écriture de lecture comme d’écoute !
Tu as des problèmes de sexe ?
Il me semble, tout de même, si vous voulez, c’est à dire, ou bien encore, donc, il me semble, or… c’est à dire, n’est-ce pas?
La réflexion abordée sur l’imparfait et le présent était profondément d’actualité. Le nouveau roman cherchait un Présent Total. Lui, fera jouer les deux temps.
Proust reste à lire : Sollers devrait d'abord s'y mettre ; la référence à Bataille fait figure de triste béquille, "sorte de" angoisse extatique : eh bien allons-y
Mais non rien ne vient sinon "intéressante" adjectif favori de ceux qui n'ont pas lu véritablement
Putain que t’es con, et français évidemment. Et prétentieux, vu ta face de sousmerde. Réécoute attentivement si tu en as la modestie. Ces bases sont développées dans toute les années 69 chez Tel Quel et bien que moins extraordinairement formulées que Deleuze, elles sont pertinentes et l’utilisation qu’en fera Sollers t’écrase pour des siècles, petit paltoquet blanc.
Ouh là là, quel baratin creux! C'est presque un exercice de style un peu oulipien: comment remplir un maximum de phrases avec un maximum de mots tout en respectant strictement le contrainte de ne rien dire.
C est vrai qu il n a pas grand chose a dire alors qu il y a tellement a dire sur Proust.
@@christophedesbiens4490 Pas seulement "sur Proust", mais Proust il même a dit tout ce qu'a besoin d'être dit. Qu'est-ce qu'on peut ajouter à Proust? Il est la mot finale.
Le vent a parlé.
imagine Francis Ponge dire ""ce truc savoureux etc...
Et j’entends le vent siffler sur la colline.
Syllogisme et théorie du « fond » intérieur dépassant tout espace-temps que Sollers prépare dans Drame et Nombres, puis dans sa conception de l’individuation.
Intervention en apparence imprécise, en apparence seulement. Deleuze, louangé par Sollers, refusera cette révélation de Bataille. De façon ultra modeste, Sollers n’indique pas tout ce qu’il en tirera ensuite.
La resurrection du passee!!!
Il n'a rien à dire sur Proust. Mais il le dit...
Que de mots en effet, que des mots.
@@michelchevrier4904
Eh bien . Il dit comment il a lu Proust , et ressenti comme une ouverture sur de nouvelles façons de concevoir la littérature . . Qu'y a til de choquant à ce que dit Sollers !?
Il répond à la question qui lui est posée. !
Cest justement ce qui est intéressant .
ne dire rien , en disant beaucoup sur ce rien .
@@gamekilleuse9185 ah bon ?
@@juliusevola7727
:-)))
voila la difference entre un Francis Ponge et un petit gars a minettes: le premier comme disait Valeri digere l'oeuvre pour soi-meme, le second se contente de lieux communs et d'images d'epinal tant il est vide de sens.
N'oublions pas que l'un a 64 ans lors de l'entretien tandis que l'autre est un très jeune homme, certes précieux et souvent oiseux.
Je suis assez d'accord, Sollers n'a pas dit grand chose ici... Mais prendre Ponge en contrepartie, c'eet pas un argument très fort. Il a intellectualisé la littérature, la poésie....
Non, aucuns lieux communs précisément sur cette intériorité totale que soulève Bataille et que Sollers reconceptualisera dans Drame, Nombres, Logiques. Ce qui parait decanté ici n’est pas aussi superficiel que toi.
Ce bellâtre (bien décati aujourd'hui), cet accent emmerdé (complètement out aujourd'hui), c'est en vérité l'image de Proust même, évoquée par un de ses héritiers : fadeur, logorrhée insipide, pause de la "profondeur", ennui total du commentaire sur l'oeuvre ennuyeuse -- au contraire de Barthes : commentaire passionnant sur l'oeuvre ennuyeuse. Sollers, parlez-nous plutôt de la "pensée-Mao-tsé-Toung" : à l'époque au moins, vous nous faisiez mourir de rire...
Oeuvre ennuyeuse ?
Mais c'est l'extase ce livre !
@@laubedunfou2848l'extase à 2€.
Ouh que tu pues le ressentiment sexuel, social et textuel. Essaye d’être quelqu’un une minute dans ta vie. Il faut écouter ce passage en rapport avec le Tel Quel de 62-68. Bien plus profond qu’il n’y parait, toi le « moche » si je comprend bien. France moisie.
@@xx8307 mon diagnostic : t'as un QI à deux chiffres, je ne peux pas discuter avec ta pomme, pas plus qu'avec un têtard ou une grenouille; bye, & oublie moi, non mais, j'ai autre chose à foutre !