J'ai adoré........ce livre m'a renoué définitivement avec la lecture ....et j'ai adoré la façon dont on a narré l'histoire. Que de mots pour décrire l'enlacement physique. ......ultime danse entre 2 êtres. Et cette phrase qui dit tout: : L'immense tristesse des pleurs met fin l'immense joie des voluptés.
Une si belle histoire d'amour revue par J. Teulé, avec une pointe d'humour, quelques situations crues, et le tout sur fond historique. Je recommande vivement cet excellent bouquin tout autant que "Mr de Montespan" du même auteur et rédigé avec les mêmes ingrédients.
Moi aussi j'ai vraiment aimé ce roman. Remarque, si je voyais cet écrivain en face de moi, on se marre très bien je pense. Il a un humour décapant. De plus j'aime bien sa façon d'écrire. Cependant le seul bémol que j'ajouterai, c'est le chapitre 57, Éloïse revoit Abélard pour la dernière fois. Celui qui se termine par rappelle-toi quand tu étais mon homme je ne suis plus un homme. On a l'impression que Abelard ne ressens plus rien du tout, ou comme le dit Jean Teulé, qu'il paraît indifférent. Et ça ça me fait plus de mal, parce que ça fait un étonnant contraste avec le Abélard de jadis. Qu'est-ce que vous en pensez tous ?
J'ai adoré........ce livre m'a renoué définitivement avec la lecture ....et j'ai adoré la façon dont on a narré l'histoire. Que de mots pour décrire l'enlacement physique. ......ultime danse entre 2 êtres.
Et cette phrase qui dit tout: : L'immense tristesse des pleurs met fin l'immense joie des voluptés.
Une si belle histoire d'amour revue par J. Teulé, avec une pointe d'humour, quelques situations crues, et le tout sur fond historique. Je recommande vivement cet excellent bouquin tout autant que "Mr de Montespan" du même auteur et rédigé avec les mêmes ingrédients.
Oula ! Jean, je vais pas vous louper à Rennes ! Ca me donne envie...
Moi aussi j'ai vraiment aimé ce roman. Remarque, si je voyais cet écrivain en face de moi, on se marre très bien je pense. Il a un humour décapant. De plus j'aime bien sa façon d'écrire. Cependant le seul bémol que j'ajouterai, c'est le chapitre 57, Éloïse revoit Abélard pour la dernière fois. Celui qui se termine par rappelle-toi quand tu étais mon homme je ne suis plus un homme. On a l'impression que Abelard ne ressens plus rien du tout, ou comme le dit Jean Teulé, qu'il paraît indifférent. Et ça ça me fait plus de mal, parce que ça fait un étonnant contraste avec le Abélard de jadis. Qu'est-ce que vous en pensez tous ?
Mais d'où tu vas trouver tous tes sujets géniaux??? Je crois que je vais enfin me remettre à lire des romans!