Je suis très fier de mon appartenance à cette ancienne région, Ath Abbas, la place de mes grands-pères et grands-mères, et nous l'avons quittée dans des moments très difficiles.
يجب ترجمة هاد روبتاج بالعربية وبالفرنسية وحتى بالاءنجليزية لكي تاريخ فلعة اءث عباس واث عباس عامة والقبايل يكون معروف عند شعب جزاءري وعند العالم هكذا نحارب مزوري وسارقي تاريخ والذين يسبون قبايل وجزاءر ان ليس لها تاريخ
Sous le nom d'Aïth-Abbes, on comprend une confédédération ou grande tribu formée de huit petites tribus ou fractions, comptant ensemble trente-neuf villages. Les Aith-Abbes touchent au nord, à la rive droite de l'OuedSahel. Les Aïth-Aydel les bornent à l'est, et la plaine de la Medjana au sud ; l'Oued-Mahrir les sépare des AïthMançour à l'ouest. Les habitants de cette tribu sont très-industrieux, les ouvriers en bois et en métaux y sont fort nombreux, et excellent dans leurs travaux. Ils possèdent plus de deux cents moulins à huile. Le tissage des grosses étoffes de laine y est en vigueur. Les gens de Aïth-Ouidhan se livraient, autrefois, à la fabrication de la poudre; mais cette industrie est aujourd'hui totalement tombée. Les Oulez-Rzin confectionnent des cardes pour la laine, et des tamis pour la farine. Plusieurs de leurs villages ont la spécialité de donner un grand nombre de musiciens et de danseurs qui parcourent tous les pays circonvoisins. Les broderies d'or, d'argent et de soie sur les étoffes ou le cuir, ainsi que la cordonnerie, occupent grand nombre d'individus. C'est chez eux que se récolte le piment rouge dont la saveur est presque nulle, comparée à celle des piments des Zouaoua; on s'en sert pour colorer les sauces. Depuis la soumission qu'ils ont faite entre les mains du maréchal Bugeaud, à la suite du combat du 16 mai 1847, les Aïth-Abbes se sont tenus tranquilles ; ils relèvent du commandement de bordj Bou-Areridj. En 1854, un petit bordj a été construit sur leur territoire, en face des Aïth-Mlikeuch; ce bordj est la demeure du caïd Lakhedar-ben-Mokrani, mais un officier français y est aussi établi. On a raconté sur le compte de la famille des OuledMokran, des fables inventées à plaisir. On a prétendu qu'ils descendaient de la famille des Montmorency, et qu'ils portaient une croix dans leurs armoiries. Les Mokrani n'ont point d'armoiries, et la supposition de leur origine est toute gratuite. Cette supposition n'est-elle pas le résultat d'un malentendu ou de l'engouement que nous avons pour toutes les singularités ? Ce qui est plus vraisemblable, c'est que le premier de la famille des Ouled-Mokran qui exerça le pouvoir sur le pays que Marmol appelle royaume de Labbès, succéda au fameux Abd-el-Aziz, tué en 1559, dans un engagement que ce chef eut avec les Turcs commandés par le pacha Hassan-ben-Kheir-ed-Din. Je n'ai rien à ajouter aux descriptions qui ont déjà été faites de Kelâa, ville capitale des Aïth-Abbès à l'époque où ils étaient gouvernés par un chef principal. Aucun ouvrage n'ayant encore rendu compte d'une inscription arabe qui fixe d'une manière très-précise la domination d'Abd-el-Aziz dans la ville de Kelâa, je suppose que nul voyageur ne l'a remarquée. La voici : « El nossor ou el temkin ou el fatah el
A ses unités, il a construit des casernes et des bases militaires fixes situées autour de la Qalaâ, notamment à Tala Mzida et Tazla, et sur les montagnes alentour. Il s'est également constitué une cavalerie basée dans les Hauts- Plateaux et dans le Hodna à partir d'un régiment de la tribu des Hachem de Mascara qu'il a ramené de retour d'une expédition guerrière à l'Ouest et qu'il a installé à la Medjana, tout comme il s'est appuyé sur la tribu des Ouled Madhi de Msila», dit l'historien Djamel Seddik. Abdelaziz Amokrane s'allie d'abord avec les Espagnols de Pedro de Navarro, qui s'était emparé de la ville de Bougie en 1510. En échange de vivres pour la garnison assiégée, ceux-ci lui fournirent de la poudre, des fusils et lui envoyèrent même, nous dit l'historien français Charles Féraud, des ouvriers pour fortifier les parties accessibles de sa Qalâa. Cela semble véridique, car une partie de la muraille qui ceinturait la citadelle des Ath Abbes porte encore aujourd'hui le nom de «Essour Irroumyen». Assiégée, la garnison espagnole était réduite à manger du chat, du rat et du cheval depuis plus d'un mois, lorsque le premier navire chargé de vivres arriva d'Espagne. Dans Bougie, place forte espagnole, Paul Wintzer raconte que c'est grâce aux accords passés entre le chef de la Qalâa et Marino De Ribera, entre 1511 et 1516, que Bougie fut approvisionnée régulièrement et put même supporter le siège des Barberousse sans trop en souffrir. En 1516, le Turc Baba Arroudj entreprend de mettre fin à cette alliance. Il se lance à sa poursuite et le rencontre à Ath Khiar (Ath Imâouche), mais, Abdelaziz, voyant qu'il avait affaire à plus fort que lui, face à des Turcs beaucoup plus nombreux et mieux armés, fit immédiatement sa soumission. Abdelaziz Amokrane décide donc de rompre avec les Espagnols et de se rapprocher des Ottomans. Cette même année 1516, Baba Arroudj s'empare d'Alger avec l'aide de son allié kabyle Ahmed Oulaqadhi, roi de Koukou, sur sollicitation du Cheikh Salim Toumi qui l'avait supplié de venir chasser les Espagnols qui s'étaient emparés du Penon d'Alger. Cette mission accomplie, Arroudj étrangle le vieux Salim de ses propres mains dans son bain et en profite pour se proclamer roi d'Alger. Les Turcs s'emparent du pouvoir pour les trois siècles à venir.
C'est ainsi qu'il a réussi à avoir une bonne troupe de mousquetaires en partie renégats et en partie chrétiens. Alliée à ses fantassins kabyles, cette troupe faisait beaucoup de mal aux Turcs et aux tribus qui leur étaient soumises. Abdelaziz avait une très forte personnalité au point d'impressionner même les chroniqueurs espagnols de l'époque qui font ce portrait de lui : «Fier et brave, tout acte d'honneur seul le réjouissait, s'il ne réservait son admiration que pour ce qui était glorieux, en revanche, le moindre signe de lâcheté ne manquait pas de le révolter. En vrai guerrier et en homme, ayant conscience de sa dignité, les vanités malséantes l'exaspéraient à l'extrême.» Armé d'un coutelas d'une lance et d'un bouclier Abdelaziz, devenu fort, se met en tête de revendiquer les territoires qui faisaient partie de l'ex-royaume de Bougie, fief de ses ancêtres. Il avait réussi à lever une armée de 6000 hommes pour se faire donner l'impôt par les tribus des environs de Msila qui dépendaient directement du gouvernement turc. Une nouvelle guerre éclata entre les Turcs et le chef kabyle en septembre 1559. Hassan Pacha, fils de Khiereddine, leva une armée de plusieurs milliers d'hommes, moitié Turcs et moitié renégats chrétiens et alla camper à Médjana où il construisit un bordj. Il y laissa un contingent arabe appuyé par une garnison de 200 Turcs. Il alla ensuite à Izemmouren (Bordj Zemmoura) et fit de même mais aussitôt parti, les hommes de Abdelaziz fondirent sur les deux garnisons et les massacrèrent. Lorsque ils apprirent l'infortune de leurs camarades d'Izemmouren, la garnison de Medjana prit la fuite et les Ath Abbes vinrent démolir le fortin et récupérer les pièces d'artillerie dont Hassan Pacha les avaient dotées. Aussitôt qu'il apprit la nouvelle, le Beylerbey monta une autre expédition contre les Ath Abbes, cette fois-ci avec l'appui de son beau père Ahmed Oulqadhi, roi de Koukou. Les forces du Turc se montaient à 3000 arquebusiers turcs à pied, 500 à cheval et 2000 cavaliers arabes. Celles du kabyle à 1500 hommes armés de mousquets et 5000 cavaliers. La rencontre des deux armées eut lieu au village de Mouka. Abdelaziz lui-même prit part à la bataille et après une résistance héroïque, il trouva la mort les armes à la main. Il était vêtu de deux cotes de mailles, l'une sur l'autre, et était armé d'un coutelas, d'une lance et d'un bouclier. Pour tout trophée, les Turcs emportèrent la tête du brave Abdelaziz. Elle restera exposée une journée entière à la porte Azzoun, selon la coutume turque de l'époque. La légende dit qu'à la fermeture des portes, le gardien, comme c'était encore l'usage, fit sa tournée des remparts avant de lancer la phrase habituelle pour prévenir les retardataires de la fermeture des portes : «Ne reste-t-il personne dehors ?» C'est alors que la tête prit la parole et répondit : «Il ne reste que la tête de Abdelaziz.» Informé de ce prodige, le pacha ordonna d'enfermer la tête dans un coffret en argent et la fit enterrer avec les honneurs.
dans l'industrie et le commerce de puissantes res�sources. Les gens de Kuelâa, sous ce rapport , sont dignes d'appartenir aux laborieux Beni-Abbas ; ils fabriquent une énorme quantité de vêtements en laine , qu'ils vont vendre au loin dans l'Algérie et même dans les autres états barbaresques. On compte toujours plus de trois cents des leurs expatriés à Constantine , Alger, Bône, Médéah , Tlemcen ou Tunis , s'occupant de travailler la soie , de monter des burnous, des gandouras, etc. Les femmes ne restent point oisives : elles tissent avec une perfection et une célérité qui les rendent pour leurs maris une véritable source de richesses ; aussi sont-elles très-recherchées par ce motif, et en raison de leur réputation de beauté. La Grande Kabylie, Paris, Hachette, 1847 p409 P410
Les gens de Kalaa ont une réputation de probité proverbiale dans toute la Kabylie. C'est à Kalaa, en effet, qu'à toutes les époques d'invasion, les personnages considérables du pays sont venus chercher un refuge pour eux, pour leurs familles et leurs trésors. Ils confiaient leur fortune, leurs objets les plus pré cieux à des habitants qui les enfouissaient dans quelque cachette ignorée de leurs maisons, pour les restituer quand le péril était passé. On ne cite pas un exemple d'un dépôt nié. Les gens de Kalaa s'enrichissent par le commerce. C'est là que se fabriquent les burnous de laine fine, ces gandouras de forme si gracieuse, lamés de fils d'or, tramés de soie, frangés de liserés éclatants. Les femmes tissent les étoffes; les hommes taillent, cousent, montent les vêtements, et vont les vendre en Tunisie, dans toutes nos possessions, et jusque dans le Maroc. À travers la Kabylie De Charles Farine
ruclips.net/video/Da0lmqOBiX0/видео.html&ab_channel=RiveMedTV%28RMTV%29 Le professeur Djamel Oussedik Ighil Ali Bejaia, Ath Abbas, coffre (Assendouq Ath Avla)
. Les gens de Kalaa s'enrichissent par le commerce. C'est là que se fabriquent les burnous de laine fine, ces gandouras de forme si gracieuse, lamés de fils d'or, tramés de soie, frangés de liserés éclatants. Les femmes tissent les étoffes ; les hommes taillent, cousent, montent les vêtements, et vont les vendre en Tunisie, dans toutes nos possessions, et jusque dans le Maroc .
Je suis fière de ma région et d etre tha3ebbast
Je suis lallam de el kalaa n'ath Abas et très fière
Je suis très fier de mon appartenance à cette ancienne région, Ath Abbas, la place de mes grands-pères et grands-mères, et nous l'avons quittée dans des moments très difficiles.
شعب اللي مايعرفش تاريخ بلادو موتو و لا حياتو بدون فائدة ،تاريخ بلادي و الاءصول الامازيغية واجب مقدس لا نقاش فيه.
يجب ترجمة هاد روبتاج بالعربية وبالفرنسية وحتى بالاءنجليزية لكي تاريخ فلعة اءث عباس واث عباس عامة والقبايل يكون معروف عند شعب جزاءري وعند العالم هكذا نحارب مزوري وسارقي تاريخ والذين يسبون قبايل وجزاءر ان ليس لها تاريخ
وآلله غير عملتها يا خالي جمال
Sous le nom d'Aïth-Abbes, on comprend une confédédération ou grande tribu formée de huit petites tribus ou fractions, comptant ensemble trente-neuf villages. Les Aith-Abbes touchent au nord, à la rive droite de l'OuedSahel. Les Aïth-Aydel les bornent à l'est, et la plaine de la Medjana au sud ; l'Oued-Mahrir les sépare des AïthMançour à l'ouest.
Les habitants de cette tribu sont très-industrieux, les ouvriers en bois et en métaux y sont fort nombreux, et excellent dans leurs travaux.
Ils possèdent plus de deux cents moulins à huile.
Le tissage des grosses étoffes de laine y est en vigueur. Les gens de Aïth-Ouidhan se livraient, autrefois, à la fabrication de la poudre; mais cette industrie est aujourd'hui totalement tombée.
Les Oulez-Rzin confectionnent des cardes pour la laine, et des tamis pour la farine. Plusieurs de leurs villages ont la spécialité de donner un grand nombre de musiciens et de danseurs qui parcourent tous les pays circonvoisins.
Les broderies d'or, d'argent et de soie sur les étoffes ou le cuir, ainsi que la cordonnerie, occupent grand nombre d'individus.
C'est chez eux que se récolte le piment rouge dont la saveur est presque nulle, comparée à celle des piments des Zouaoua; on s'en sert pour colorer les sauces.
Depuis la soumission qu'ils ont faite entre les mains du maréchal Bugeaud, à la suite du combat du 16 mai 1847, les Aïth-Abbes se sont tenus tranquilles ; ils relèvent du commandement de bordj Bou-Areridj.
En 1854, un petit bordj a été construit sur leur territoire, en face des Aïth-Mlikeuch; ce bordj est la demeure du caïd Lakhedar-ben-Mokrani, mais un officier français y est aussi établi.
On a raconté sur le compte de la famille des OuledMokran, des fables inventées à plaisir. On a prétendu qu'ils descendaient de la famille des Montmorency, et qu'ils portaient une croix dans leurs armoiries. Les Mokrani n'ont point d'armoiries, et la supposition de leur origine est toute gratuite. Cette supposition n'est-elle pas le résultat d'un malentendu ou de l'engouement que nous avons pour toutes les singularités ?
Ce qui est plus vraisemblable, c'est que le premier de la famille des Ouled-Mokran qui exerça le pouvoir sur le pays que Marmol appelle royaume de Labbès, succéda au
fameux Abd-el-Aziz, tué en 1559, dans un engagement que ce chef eut avec les Turcs commandés par le pacha Hassan-ben-Kheir-ed-Din.
Je n'ai rien à ajouter aux descriptions qui ont déjà été faites de Kelâa, ville capitale des Aïth-Abbès à l'époque où ils étaient gouvernés par un chef principal.
Aucun ouvrage n'ayant encore rendu compte d'une inscription arabe qui fixe d'une manière très-précise la domination d'Abd-el-Aziz dans la ville de Kelâa, je suppose que nul voyageur ne l'a remarquée.
La voici : « El nossor ou el temkin ou el fatah el
Vous connaissez rien des Iwanughen,
Iwanughen ne sont pas des soldat
Iwanughen c'est une tribut d'abord
@@daylab8888 اسم اوانوغن كان يعني محارب عند قبايل وكان اسم اصلي لي اث عباس من قبل تسمية تهم بي تسمية تهم حالية اث عباس
A ses unités, il a construit des casernes et des bases militaires fixes situées autour de la Qalaâ, notamment à Tala Mzida et Tazla, et sur les montagnes alentour. Il s'est également constitué une cavalerie basée dans les Hauts- Plateaux et dans le Hodna à partir d'un régiment de la tribu des Hachem de Mascara qu'il a ramené de retour d'une expédition guerrière à l'Ouest et qu'il a installé à la Medjana, tout comme il s'est appuyé sur la tribu des Ouled Madhi de Msila», dit l'historien Djamel Seddik. Abdelaziz Amokrane s'allie d'abord avec les Espagnols de Pedro de Navarro, qui s'était emparé de la ville de Bougie en 1510. En échange de vivres pour la garnison assiégée, ceux-ci lui fournirent de la poudre, des fusils et lui envoyèrent même, nous dit l'historien français Charles Féraud, des ouvriers pour fortifier les parties accessibles de sa Qalâa. Cela semble véridique, car une partie de la muraille qui ceinturait la citadelle des Ath Abbes porte encore aujourd'hui le nom de «Essour Irroumyen».
Assiégée, la garnison espagnole était réduite à manger du chat, du rat et du cheval depuis plus d'un mois, lorsque le premier navire chargé de vivres arriva d'Espagne. Dans Bougie, place forte espagnole, Paul Wintzer raconte que c'est grâce aux accords passés entre le chef de la Qalâa et Marino De Ribera, entre 1511 et 1516, que Bougie fut approvisionnée régulièrement et put même supporter le siège des Barberousse sans trop en souffrir.
En 1516, le Turc Baba Arroudj entreprend de mettre fin à cette alliance. Il se lance à sa poursuite et le rencontre à Ath Khiar (Ath Imâouche), mais, Abdelaziz, voyant qu'il avait affaire à plus fort que lui, face à des Turcs beaucoup plus nombreux et mieux armés, fit immédiatement sa soumission. Abdelaziz Amokrane décide donc de rompre avec les Espagnols et de se rapprocher des Ottomans. Cette même année 1516, Baba Arroudj s'empare d'Alger avec l'aide de son allié kabyle Ahmed Oulaqadhi, roi de Koukou, sur sollicitation du Cheikh Salim Toumi qui l'avait supplié de venir chasser les Espagnols qui s'étaient emparés du Penon d'Alger. Cette mission accomplie, Arroudj étrangle le vieux Salim de ses propres mains dans son bain et en profite pour se proclamer roi d'Alger. Les Turcs s'emparent du pouvoir pour les trois siècles à venir.
C'est ainsi qu'il a réussi à avoir une bonne troupe de mousquetaires en partie renégats et en partie chrétiens. Alliée à ses fantassins kabyles, cette troupe faisait beaucoup de mal aux Turcs et aux tribus qui leur étaient soumises. Abdelaziz avait une très forte personnalité au point d'impressionner même les chroniqueurs espagnols de l'époque qui font ce portrait de lui : «Fier et brave, tout acte d'honneur seul le réjouissait, s'il ne réservait son admiration que pour ce qui était glorieux, en revanche, le moindre signe de lâcheté ne manquait pas de le révolter. En vrai guerrier et en homme, ayant conscience de sa dignité, les vanités malséantes l'exaspéraient à l'extrême.»
Armé d'un coutelas d'une lance et d'un bouclier
Abdelaziz, devenu fort, se met en tête de revendiquer les territoires qui faisaient partie de l'ex-royaume de Bougie, fief de ses ancêtres. Il avait réussi à lever une armée de 6000 hommes pour se faire donner l'impôt par les tribus des environs de Msila qui dépendaient directement du gouvernement turc. Une nouvelle guerre éclata entre les Turcs et le chef kabyle en septembre 1559. Hassan Pacha, fils de Khiereddine, leva une armée de plusieurs milliers d'hommes, moitié Turcs et moitié renégats chrétiens et alla camper à Médjana où il construisit un bordj. Il y laissa un contingent arabe appuyé par une garnison de 200 Turcs. Il alla ensuite à Izemmouren (Bordj Zemmoura) et fit de même mais aussitôt parti, les hommes de Abdelaziz fondirent sur les deux garnisons et les massacrèrent. Lorsque ils apprirent l'infortune de leurs camarades d'Izemmouren, la garnison de Medjana prit la fuite et les Ath Abbes vinrent démolir le fortin et récupérer les pièces d'artillerie dont Hassan Pacha les avaient dotées. Aussitôt qu'il apprit la nouvelle, le Beylerbey monta une autre expédition contre les Ath Abbes, cette fois-ci avec l'appui de son beau père Ahmed Oulqadhi, roi de Koukou.
Les forces du Turc se montaient à 3000 arquebusiers turcs à pied, 500 à cheval et 2000 cavaliers arabes. Celles du kabyle à 1500 hommes armés de mousquets et 5000 cavaliers. La rencontre des deux armées eut lieu au village de Mouka. Abdelaziz lui-même prit part à la bataille et après une résistance héroïque, il trouva la mort les armes à la main. Il était vêtu de deux cotes de mailles, l'une sur l'autre, et était armé d'un coutelas, d'une lance et d'un bouclier. Pour tout trophée, les Turcs emportèrent la tête du brave Abdelaziz. Elle restera exposée une journée entière à la porte Azzoun, selon la coutume turque de l'époque. La légende dit qu'à la fermeture des portes, le gardien, comme c'était encore l'usage, fit sa tournée des remparts avant de lancer la phrase habituelle pour prévenir les retardataires de la fermeture des portes :
«Ne reste-t-il personne dehors ?» C'est alors que la tête prit la parole et répondit : «Il ne reste que la tête de Abdelaziz.» Informé de ce prodige, le pacha ordonna d'enfermer la tête dans un coffret en argent et la fit enterrer avec les honneurs.
Thanamirth n'wun iguerz Wayne ithkhadmem
❤❤
Lfta n'Athayani aussi originaire n'Aath Abbas, Aussi sabadh oaarquv guath Abbas
La Grande Kabylie: études historiques
De Eugène Daumas, Paul-Dieudonné Fabar
dans l'industrie et le commerce de puissantes res�sources.
Les gens de Kuelâa, sous ce rapport , sont dignes
d'appartenir aux laborieux Beni-Abbas ; ils fabriquent
une énorme quantité de vêtements en laine , qu'ils
vont vendre au loin dans l'Algérie et même dans les
autres états barbaresques. On compte toujours plus de
trois cents des leurs expatriés à Constantine , Alger,
Bône, Médéah , Tlemcen ou Tunis , s'occupant de travailler la soie , de monter des burnous, des gandouras,
etc. Les femmes ne restent point oisives : elles tissent
avec une perfection et une célérité qui les rendent
pour leurs maris une véritable source de richesses ;
aussi sont-elles très-recherchées par ce motif, et en
raison de leur réputation de beauté. La Grande Kabylie, Paris, Hachette, 1847 p409 P410
Les gens de Kalaa ont une réputation de probité proverbiale dans toute la Kabylie. C'est à Kalaa, en effet, qu'à toutes les époques d'invasion, les personnages considérables du pays sont venus chercher un refuge pour eux, pour leurs familles et leurs trésors. Ils confiaient leur fortune, leurs objets les plus pré
cieux à des habitants qui les enfouissaient dans quelque cachette ignorée de leurs maisons, pour les restituer quand le péril était passé. On ne cite pas un exemple d'un dépôt nié.
Les gens de Kalaa s'enrichissent par le commerce. C'est là que se fabriquent les burnous de laine fine, ces gandouras de forme si gracieuse, lamés de fils d'or, tramés de soie, frangés de liserés éclatants. Les femmes tissent les étoffes; les hommes taillent, cousent, montent les vêtements, et vont les vendre en Tunisie, dans toutes nos possessions, et jusque dans le Maroc. À travers la Kabylie
De Charles Farine
ruclips.net/video/Da0lmqOBiX0/видео.html&ab_channel=RiveMedTV%28RMTV%29 Le professeur Djamel Oussedik Ighil Ali Bejaia, Ath Abbas, coffre (Assendouq Ath Avla)
.
Les gens de Kalaa s'enrichissent par le commerce.
C'est là que se fabriquent les burnous de laine fine,
ces gandouras de forme si gracieuse, lamés de fils
d'or, tramés de soie, frangés de liserés éclatants.
Les femmes tissent les étoffes ; les hommes taillent,
cousent, montent les vêtements, et vont les vendre
en Tunisie, dans toutes nos possessions, et jusque
dans le Maroc .
Même l'origine n'lfata sine idosa
واشنوا هو اصلوا الامير عبد العزيز العباس
باينة امازيغي كي دخلو ابن هلال راح
Tu n a mais el haf la tenue tradionneles at abass