Merci Arnaud pour ce nouvel épisode de ton journal filmé, et pour ce beau moment passé ensemble, que nous pouvons revivre grâce à toi. Hier et avant-hier, nous avons passé deux jours avec Joseph Morder, à l'occasion de l'Hommage à Cinémarge. Il faisait grand-soleil à Rochefort sur la place qui résonne encore des chansons et des danses des Demoiselles de monsieur Demy. Joseph a filmé, j'ai filmé, et on a parlé de toi.
Le récit de Dominique et Pierre Laudijois m'a remémoré la séance de cinématographe la plus extraordinaire de ma vie. Elle a eu lieu en octobre 1968, j'avais 11 ans, chez un oncle et une tante dans la banlieue de Paris, en présence de mes parents, ma sœur, mon frère et ma grand-mère (sœur de ma tante). Mon oncle, filmeur au long cours, a projeté des bobines concernant notre famille. Nous avons vu mon père âgé de 3 ans en 1936, les premiers films en couleur qu'il a testé en 1929 sur la Côte d'Azur, nous au début des années 1960, des histoire de chats filmé en 1939 en Alsace juste avant la début de la guerre. Mon oncle avait une passion, filmer les trottoir de Paris, un plan de la plaque du nom de la rue et 3 minutes de trottoir. Du cinéma expérimental nous sautait à la figure. Nous sommes les seuls de la famille côté Suisse à avoir vu ces films. Cette séance mythique ne s'est jamais reproduite et je ne saurai jamais ce que sont devenu ces bobines… La mémoire du journal filmé ravive la mémoire du spectateur.
Merci Arnaud pour ce nouvel épisode de ton journal filmé, et pour ce beau moment passé ensemble, que nous pouvons revivre grâce à toi. Hier et avant-hier, nous avons passé deux jours avec Joseph Morder, à l'occasion de l'Hommage à Cinémarge. Il faisait grand-soleil à Rochefort sur la place qui résonne encore des chansons et des danses des Demoiselles de monsieur Demy. Joseph a filmé, j'ai filmé, et on a parlé de toi.
Le récit de Dominique et Pierre Laudijois m'a remémoré la séance de cinématographe la plus extraordinaire de ma vie. Elle a eu lieu en octobre 1968, j'avais 11 ans, chez un oncle et une tante dans la banlieue de Paris, en présence de mes parents, ma sœur, mon frère et ma grand-mère (sœur de ma tante). Mon oncle, filmeur au long cours, a projeté des bobines concernant notre famille. Nous avons vu mon père âgé de 3 ans en 1936, les premiers films en couleur qu'il a testé en 1929 sur la Côte d'Azur, nous au début des années 1960, des histoire de chats filmé en 1939 en Alsace juste avant la début de la guerre. Mon oncle avait une passion, filmer les trottoir de Paris, un plan de la plaque du nom de la rue et 3 minutes de trottoir. Du cinéma expérimental nous sautait à la figure.
Nous sommes les seuls de la famille côté Suisse à avoir vu ces films. Cette séance mythique ne s'est jamais reproduite et je ne saurai jamais ce que sont devenu ces bobines…
La mémoire du journal filmé ravive la mémoire du spectateur.
@@jean-jacques-reveries1176 merci pour ce magnifique souvenir.