La constitution doit être changée pour que la population se retrouve et garder notre terre et réduire d'autres institutions qui n'aident pas la population.
L'argent qui sera utiliser pour le Mulopwelisation de la RDC peut servir à indemniser les démolitions nécessaires au traçage des voies pour arrêter ces embouteillages
Le problème c'est que chacun y va de son interpretation parfois bêtement. Ces memes gens qu appuient ils le président? le pays?.pcq si cetait le pays puisqu'il nous appartient à tous S il y a des divergences c est pcq on lie ce changement/revision à un individu : le président
On doit changer la constitution car il ya des choses à revoir comme la nomination des gouverneurs moi je trouve que c'est le président qui devrait commencer à nommer les gouverneurs, ministères, Cena...
Salut papa Sango. Oyo boyebisa bato ya udps mboka oyo eza ya bango moko te eza ya biso nyonso mais pourquoi Félix aboyaka Joseph Kabila a changé mais pourquoi ye alingi à changé
La seul moyen de désengorger et diminuer les embouteillages c’est déplacer les institutions de l’état de la commune de la gombé et le placer dans divers communes. Reconstruire toutes les routes secondaires ou raccourcies, crée aussi des nouvelles routes.
Probleme ya RDC ezali constitution te mais zali kimuyibi ya ba politivendres pe Felix zoki bayibi hoo batika bango bazali ba pere dela famille haa Boketsu azali na raison ya kololoba
Sango merci bcp pona nini te kozongisa train de aéroport , masina , kingabua tiiii gare centrale , où soit une route de gare centrale jusqu'à l'aéroport ?
CHANGEMENT DE LA CONSTITUTION: EST-CE UN RISQUE POUR LA GUERRE CIVILE EN RDC? L’adoption d’une nouvelle Constitution en RDC, qu’elle intervienne avant, pendant, ou après les élections de 2028, aura des implications juridiques et politiques complexes. Voici une analyse des scénarios possibles : 1. Adoption d’une nouvelle Constitution avant 2028 Si une nouvelle Constitution est adoptée avant les élections prévues en 2028, plusieurs conséquences légales et politiques pourraient découler : Conséquences pour le Président actuel : Fin prématurée du mandat : Une nouvelle Constitution pourrait prévoir des dispositions annulant les mandats en cours, y compris celui du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Cela impliquerait la mise en place d’un nouveau cadre institutionnel, ce qui pourrait entraîner une vacance du pouvoir jusqu’à l’organisation de nouvelles élections. Maintien temporaire au pouvoir : Si la nouvelle Constitution stipule que le Président en exercice demeure en fonction jusqu’à l’installation des nouvelles institutions, Félix Tshisekedi pourrait rester au pouvoir à titre provisoire, mais sans possibilité de se présenter à une éventuelle réélection, selon les clauses définies. Conséquences pour les parlementaires et sénateurs : Dissolution des assemblées : Une nouvelle Constitution pourrait entraîner la dissolution immédiate de l’Assemblée nationale et du Sénat pour permettre la réorganisation institutionnelle selon les nouvelles dispositions. Mandat prorogé : Si aucune disposition transitoire ne prévoit une dissolution immédiate, les parlementaires et sénateurs pourraient être autorisés à achever leur mandat ou à exercer provisoirement jusqu’à la mise en place des nouvelles institutions. Impacts sur les autres institutions : Les institutions pourraient être remaniées ou supprimées si la nouvelle Constitution prévoit des réformes structurelles. Par exemple, certaines structures actuelles pourraient être fusionnées, abolies ou redéfinies. Risques juridiques et politiques : Instabilité : La transition pourrait créer des tensions, surtout si les parties prenantes perçoivent le processus comme une tentative d'usurpation du pouvoir ou une atteinte à la légalité constitutionnelle. Crise institutionnelle : Si les acteurs actuels contestent les termes de la transition, cela pourrait conduire à une paralysie institutionnelle. 2. Adoption d’une nouvelle Constitution pendant les élections de 2028 L’adoption d’une nouvelle Constitution concomitante avec les élections pourrait avoir des implications nuancées : Conséquences pour les élections : Si la nouvelle Constitution redéfinit les conditions d'éligibilité, les élections présidentielles et législatives prévues pourraient être reportées pour s’aligner avec le nouveau cadre institutionnel. Les candidats déjà déclarés pourraient être disqualifiés si les critères d’éligibilité ou les circonscriptions électorales changent. Pour le Président, les parlementaires et les sénateurs : Risque d’annulation des élections : Si les institutions élues en 2028 ne correspondent pas aux exigences de la nouvelle Constitution, cela pourrait invalider les résultats. Une transition temporaire pourrait être instaurée pour organiser de nouvelles élections. Maintien en fonction des anciens élus : Une disposition transitoire pourrait maintenir les élus sortants jusqu’à l’installation des nouveaux dirigeants. Risques : Confusion juridique : La superposition d’un référendum et des élections générales pourrait semer la confusion et compliquer la transition. Protestations : Les changements soudains pendant un processus électoral pourraient être perçus comme une tentative de manipulation politique, entraînant des manifestations ou des boycotts. 3. Adoption d’une nouvelle Constitution après 2028 Si une nouvelle Constitution est adoptée après les élections de 2028, les impacts pourraient être plus progressifs et organisés : Conséquences pour les institutions élues : Les mandats présidentiel, parlementaire et sénatorial en cours seraient théoriquement respectés, sauf disposition contraire dans la nouvelle Constitution. La mise en œuvre des réformes constitutionnelles pourrait être programmée à la fin des mandats actuels, réduisant ainsi les risques d’instabilité. Pour le Président élu en 2028 : Si la nouvelle Constitution limite ou prolonge la durée des mandats, le président élu en 2028 pourrait être directement affecté, notamment par des restrictions ou des ajustements de son mandat. Pour les parlementaires et sénateurs élus en 2028 : Les mêmes principes s’appliqueraient, avec des ajustements en fonction des nouvelles règles institutionnelles. Risques : Opposition populaire : Si la nouvelle Constitution est perçue comme favorisant des intérêts particuliers, elle pourrait être rejetée lors du référendum ou contestée par la population. Dans tous les cas, la soumission d’une nouvelle Constitution au référendum doit s’accompagner de dispositions transitoires claires pour éviter l’instabilité ou l’anarchie. Le risque que les pouvoirs des animateurs actuels soient remis en cause dépendra des termes exacts de la transition inscrits dans la nouvelle loi fondamentale. Sans dispositions transitoires explicites, le pays pourrait basculer dans une crise institutionnelle. Avec un cadre juridique clair, le processus pourrait renforcer la légitimité des institutions et permettre une transition harmonieuse. Pour éviter toute dérive, il est crucial que les acteurs politiques impliqués s’accordent sur un calendrier précis et des garanties institutionnelles solides avant de soumettre la nouvelle Constitution au peuple.
Salut de pere et de mere isael motombo mais muasi oyo akeba atika kotanga petit hyppo kanambe alias kabila na makombo ya rd congo odia arlette je suis wazalendo mabele ya biso ba congolais ❤❤😅
Bonjour
Merci beaucoup mon frere Pascal
Papa sango Svp, a la prochaine émission bengisa pe Alain Bolodjw
Mon cher frère Isreal mutumbo, sois béni cher frère et continuez à dénoncer les intivaleurs je t'encourage à faire plus les œuvres humanitaires
Bjr sango
Bjr papa Sango, je vous écoute a partir de kamoa ( Kolwezi)
On doit changer de gré ou de force
Bonjour ndeko nsango
Normalement Sango okoki kotuna motu na oyo té il faut eya sima soki ba préparé batu
BONJOUR SANGO ISRAEL JE VOUS ECOUTE DEPUIS LA VILLE QUI PRUFFERE, JE SITE LUBUMBASHI
Papa sango soit sincère ne soyez pas polémiste réponde à des questions posée, svp
Tata oyo azali moyibi😮
Ndeko sango ,constitution oyo esalama na afrique du sud, nazalaki na sun city
La constitution doit être changée pour que la population se retrouve et garder notre terre et réduire d'autres institutions qui n'aident pas la population.
L'argent qui sera utiliser pour le Mulopwelisation de la RDC peut servir à indemniser les démolitions nécessaires au traçage des voies pour arrêter ces embouteillages
Le problème c'est que chacun y va de son interpretation parfois bêtement. Ces memes gens qu appuient ils le président? le pays?.pcq si cetait le pays puisqu'il nous appartient à tous S il y a des divergences c est pcq on lie ce changement/revision à un individu : le président
On doit changer la constitution car il ya des choses à revoir comme la nomination des gouverneurs moi je trouve que c'est le président qui devrait commencer à nommer les gouverneurs, ministères, Cena...
Je suis pour le changement ou la révision de la constitution mais je suis contre la nomination des gouverneurs.
On vas changer cette fameuse constitution
Salut papa Sango. Oyo boyebisa bato ya udps mboka oyo eza ya bango moko te eza ya biso nyonso mais pourquoi Félix aboyaka Joseph Kabila a changé mais pourquoi ye alingi à changé
La seul moyen de désengorger et diminuer les embouteillages c’est déplacer les institutions de l’état de la commune de la gombé et le placer dans divers communes. Reconstruire toutes les routes secondaires ou raccourcies, crée aussi des nouvelles routes.
Botika kotambola n'a lokuta, n'a mitema boyebi bien bolingi bo change po botikala n'a pouvoir
Le problème c'est que ces 2 approches ne sont pas ex clusives. Contrôle et construire les routes
Probleme ya RDC ezali constitution te mais zali kimuyibi ya ba politivendres pe Felix zoki bayibi hoo batika bango bazali ba pere dela famille haa Boketsu azali na raison ya kololoba
On parle du changement de la constitution
Sango merci bcp pona nini te kozongisa train de aéroport , masina , kingabua tiiii gare centrale , où soit une route de gare centrale jusqu'à l'aéroport ?
Kuna osembolaki bango mobeko likonzi malamu papa sango ata yomoko sosola maloba nabango malamu
Sango ozui muasi oyo wapi boye
Elisa odja bolinga to te eko change biso nde bas congolais tolingi
Le plateaux n'est pas équilibré
Iyele azo pesayo elikanisi ya malamu
Les élections sont aussi réalisées pendant la geure et l'état de siège , ainsi le référendum doit aussi se faire
Sango Mokonzi, yo olobi ma vallée, CLÉ YA MONENE YA MALUKU EKENDA WAPI ?
Ye awuti Lola? Ayebi te ke kisasa épola? Mokonzi ya réseau sociaux nionso to publiaka amonaka ba mêma ye lisusu wapi
CHANGEMENT DE LA CONSTITUTION: EST-CE UN RISQUE POUR LA GUERRE CIVILE EN RDC?
L’adoption d’une nouvelle Constitution en RDC, qu’elle intervienne avant, pendant, ou après les élections de 2028, aura des implications juridiques et politiques complexes. Voici une analyse des scénarios possibles :
1. Adoption d’une nouvelle Constitution avant 2028
Si une nouvelle Constitution est adoptée avant les élections prévues en 2028, plusieurs conséquences légales et politiques pourraient découler :
Conséquences pour le Président actuel :
Fin prématurée du mandat : Une nouvelle Constitution pourrait prévoir des dispositions annulant les mandats en cours, y compris celui du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Cela impliquerait la mise en place d’un nouveau cadre institutionnel, ce qui pourrait entraîner une vacance du pouvoir jusqu’à l’organisation de nouvelles élections.
Maintien temporaire au pouvoir : Si la nouvelle Constitution stipule que le Président en exercice demeure en fonction jusqu’à l’installation des nouvelles institutions, Félix Tshisekedi pourrait rester au pouvoir à titre provisoire, mais sans possibilité de se présenter à une éventuelle réélection, selon les clauses définies.
Conséquences pour les parlementaires et sénateurs :
Dissolution des assemblées : Une nouvelle Constitution pourrait entraîner la dissolution immédiate de l’Assemblée nationale et du Sénat pour permettre la réorganisation institutionnelle selon les nouvelles dispositions.
Mandat prorogé : Si aucune disposition transitoire ne prévoit une dissolution immédiate, les parlementaires et sénateurs pourraient être autorisés à achever leur mandat ou à exercer provisoirement jusqu’à la mise en place des nouvelles institutions.
Impacts sur les autres institutions :
Les institutions pourraient être remaniées ou supprimées si la nouvelle Constitution prévoit des réformes structurelles. Par exemple, certaines structures actuelles pourraient être fusionnées, abolies ou redéfinies.
Risques juridiques et politiques :
Instabilité : La transition pourrait créer des tensions, surtout si les parties prenantes perçoivent le processus comme une tentative d'usurpation du pouvoir ou une atteinte à la légalité constitutionnelle.
Crise institutionnelle : Si les acteurs actuels contestent les termes de la transition, cela pourrait conduire à une paralysie institutionnelle.
2. Adoption d’une nouvelle Constitution pendant les élections de 2028
L’adoption d’une nouvelle Constitution concomitante avec les élections pourrait avoir des implications nuancées :
Conséquences pour les élections :
Si la nouvelle Constitution redéfinit les conditions d'éligibilité, les élections présidentielles et législatives prévues pourraient être reportées pour s’aligner avec le nouveau cadre institutionnel.
Les candidats déjà déclarés pourraient être disqualifiés si les critères d’éligibilité ou les circonscriptions électorales changent.
Pour le Président, les parlementaires et les sénateurs :
Risque d’annulation des élections : Si les institutions élues en 2028 ne correspondent pas aux exigences de la nouvelle Constitution, cela pourrait invalider les résultats. Une transition temporaire pourrait être instaurée pour organiser de nouvelles élections.
Maintien en fonction des anciens élus : Une disposition transitoire pourrait maintenir les élus sortants jusqu’à l’installation des nouveaux dirigeants.
Risques :
Confusion juridique : La superposition d’un référendum et des élections générales pourrait semer la confusion et compliquer la transition.
Protestations : Les changements soudains pendant un processus électoral pourraient être perçus comme une tentative de manipulation politique, entraînant des manifestations ou des boycotts.
3. Adoption d’une nouvelle Constitution après 2028
Si une nouvelle Constitution est adoptée après les élections de 2028, les impacts pourraient être plus progressifs et organisés :
Conséquences pour les institutions élues :
Les mandats présidentiel, parlementaire et sénatorial en cours seraient théoriquement respectés, sauf disposition contraire dans la nouvelle Constitution.
La mise en œuvre des réformes constitutionnelles pourrait être programmée à la fin des mandats actuels, réduisant ainsi les risques d’instabilité.
Pour le Président élu en 2028 :
Si la nouvelle Constitution limite ou prolonge la durée des mandats, le président élu en 2028 pourrait être directement affecté, notamment par des restrictions ou des ajustements de son mandat.
Pour les parlementaires et sénateurs élus en 2028 :
Les mêmes principes s’appliqueraient, avec des ajustements en fonction des nouvelles règles institutionnelles.
Risques :
Opposition populaire : Si la nouvelle Constitution est perçue comme favorisant des intérêts particuliers, elle pourrait être rejetée lors du référendum ou contestée par la population.
Dans tous les cas, la soumission d’une nouvelle Constitution au référendum doit s’accompagner de dispositions transitoires claires pour éviter l’instabilité ou l’anarchie. Le risque que les pouvoirs des animateurs actuels soient remis en cause dépendra des termes exacts de la transition inscrits dans la nouvelle loi fondamentale.
Sans dispositions transitoires explicites, le pays pourrait basculer dans une crise institutionnelle.
Avec un cadre juridique clair, le processus pourrait renforcer la légitimité des institutions et permettre une transition harmonieuse.
Pour éviter toute dérive, il est crucial que les acteurs politiques impliqués s’accordent sur un calendrier précis et des garanties institutionnelles solides avant de soumettre la nouvelle Constitution au peuple.
Ridicule, la France qui a changé la Constitution n'est- elle pas une démocratie ?
12:24 n'importe quoi, bosala nde ba nzela ya siika c'est tout
Tala makanisi ya bozoba oyó ya pprd mmn odja
COMBIEN DESS. BUS. ONT. ILS. LANCES. POUR. COUVRIR. CES. CARS QUI SERONT. ECARTES ?
Salut de pere et de mere isael motombo mais muasi oyo akeba atika kotanga petit hyppo kanambe alias kabila na makombo ya rd congo odia arlette je suis wazalendo mabele ya biso ba congolais ❤❤😅
Sango ndeko nabiso tika kolia mbongo lokola ambongo lobelaka nde congo malamu
Botika lokuta
Avec cette gamine g me demande si cette émission serait important à suivre
Mwana kisimbi aza mutu te?botika ba theories ya bamba
Tangu ya Kabila Oyo kindoki teee 🤔🤫😈jk asala rien aaah politique eza lukuta
Sango aujouduit jbaccepte qe tu n es pas intelligent....😮
Botika lokuta