Bonjour, Je me permets de revenir sur cette chanson accompagnée de son vidéoclip. Je tiens à préciser que j'ai un profond respect pour l'ensemble des participants de ce projet. Mon analyse repose exclusivement sur mes impressions personnelles. Si d’aventure j’estime que cette œuvre présente des défauts, cela n'engage que moi, dans ce beau pays qu'est la France, où l'on jouit de la liberté d'expression artistique sous toutes ses formes. Je reconnais sans réserve l’immense travail de composition et d'arrangement réalisé par Samuel Leroy, notre compositeur favori. Les diverses influences qui parcourent cette œuvre sont indéniablement riches. Le tempo et le rythme insufflent une dynamique envoûtante, avec une introduction apaisante où la voix se marie parfaitement aux notes du Fender Rhodes. Les percussions, quant à elles, apparaissent avec subtilité pour intensifier le morceau. La suite harmonique, accompagnée par une ligne vocale audacieuse, oscille entre tonalités majeures et mineures, s’accordant ainsi avec l’atmosphère feutrée du vidéoclip. La dualité du noir et du blanc évoque une symbolique proche du yin et du yang des chinois, incarnée par les protagonistes dont les costumes varient entre un blanc immaculé et un noir profond. Quant au vidéoclip, je demeure perplexe. Contrairement à la chanson, qui m’évoque des sensations agréablement étranges, le clip me laisse une impression plus mitigée. Pour être franche, je pourrais aller jusqu’à dire qu’il frôle l’absurde, comparable à une grosse chiasse fumante créée par un générateur à météore de caca, tant dans sa conception que dans sa réalisation. Il me semble superflu d’avoir dépensé un gros paquet de fric et investi tant d’énergie pour un résultat qui, à mon sens, n’apporte pas de valeur ajoutée à l’œuvre musicale, laquelle se suffit amplement à elle-même grâce au talent du compositeur et à l’interprétation magistrale d’Alexis. J’ai peut-être manqué le message ou la symbolique du clip, bien qu’une idée vague m'effleure. Une question persiste : où ce clip a-t-il été tourné, et qui en a eu l’idée originale ? Il est également fort regrettable que Samuel Leroy n’apparaisse pas dans le clip. C’est, à mon sens, une véritable cacastrophe, une tragédie ! Imaginez-le, somptueusement vêtu, jouant derrière un piano… noir… Cela aurait sans doute sublimé la scène. Par ailleurs, je ne peux nier une certaine connotation homoérotique émanant peut-être de manière involontaire de ce clip. Si cette idée provient d’Alexis, désireux de travailler avec un jeune danseur au physique avantageux et avec un beau petit boule, cela se comprend aisément, mais l'effet pourrait troubler certains spectateurs en raison d'une certaine confusion visuelle. L’interprétation d’Alexis, tant devant la caméra que derrière le micro, est saisissante de vérité. J’ai été transportée par son jeu et son cosplay de Laurence Broccolini version années 2000. Cela aurait été un réel plaisir de pouvoir apprécier cette chanson mémorable en live à la convention de Japan Expo. Cela dit, malgré son talent, cette prestation ne parvient pas à compenser la direction artistique, que je trouve plutôt à chier. La caméra vacillante sur son axe et la superposition de multiples plans fondus enchaînés confèrent au montage et à l’ensemble une agressivité visuelle dérangeante, rendant l'œuvre finale quelque peu confuse. De plus, je m'interroge sur le choix des draps froissés en arrière-plan, qui semblent avoir été négligemment disposés en guise de fond neutre. Je salue le travail minutieux de la costumière qui s'accorde parfaitement avec l'univers sombre du clip. Toutefois, je m’étonne du manque de soin apporté au rasage du danseur, alors qu'Alexis, quant à lui, apparaît de manière impeccable. J'apprécie néanmoins la chorégraphie et la belle synergie entre les deux interprètes. Cependant, je ne puis m’empêcher de ressentir un certain malaise lors des gros plans sur sa grosse tronche mal rasée, en particulier lorsque le jeune danseur caresse tendrement le visage d’Alexis, dans une scène qui semble emprunter aux consultations chiropratiques en jouant au docteur. La pertinence de ce passage me laisse songeuse. Bien que je trouve également le jeune danseur plutôt mignon, je serai très mal à l'aise s'il venait m'accoster dans la rue ou s'il se tenait devant ou derrière moi dans une file d'attente à la boulangerie. Enfin, je m'interroge sur le dernier plan fixe, montrant Alexis assis seul dans un parc au mois d'octobre, vêtu d’une veste rouge sans chanter alors qu'il était très actif avec le jeune danseur dans le reste du vidéoclip. Ce contraste avec sa précédente interaction active avec le danseur semble figer le personnage, comme s’il se solidifiait instantanément en l’absence de son tendre chéri. On s’attendrait presque à ce que la musique reprenne et atteigne une apothéose, mais au lieu de cela, l’on se retrouve avec des remerciements sur fond noir, laissant une sensation d'inachevé. L’effet égaliseur (fréquences basses et aigües filtrées) utilisé sur la voix, imitant une communication téléphonique, m’intrigue également. Est-ce une manière de souligner un message laissé à son amant ? Cela me semble aujourd’hui anachronique. Mais p*tain de merte, on n'est plus dans les années 2000 avec l'hymne : "T E X T O, génération texto". Ou la chanson merdique totalement nul à chier de Zaboys "Julie". Fort heureusement, nous pouvons toujours compter sur le génie du majestueux Samuel Leroy national. Peut-être suis-je secrètement amoureuse de lui et nourris-je des fantasmes et que je rêve de lui toute les nuits en imaginant notre idylle impossible ne devenant réelle uniquement dans nos rêves. Son album "Un livre, une chanson" est un chef-d'œuvre, qui transpire la sincérité, l'authenticité, la rubarbe et le goût de magenta. Je l'écoute encore en boucle. C'est un album remplis de bangers comme disent les jeunes. Samuel Leroy ne m'a jamais déçue. C'est bien la seule personne à être autorisée à détruire mon vaginarium avec tant d'ardeur, de profondeur, de douceur et de légèreté. En conclusion, bien que cette œuvre soit déroutante et amplement "dans son jus", je persiste à dire que l’art se doit de provoquer. Et en cela, cette création atteint indéniablement son objectif. Toutefois, avec du recul, je reconnais qu'il y a matière à réflexion et que cette œuvre mérite d’être saluée pour son audace. En fait non, c'est pas mal. Je retire ce que j'ai dit. Continuez tous comme ça. Bravo. Oui. Bravo.. Je vous adresse mes plus sincères salutations. Je vous fais de gros bisous à tous. Prenez-soin de vous et de vos proches. A très vite je l'espère. Si on ne se revoit pas avant, passer de bonnes fêtes de fins d'année. Miss Yuminaka
Bonjour,
Je me permets de revenir sur cette chanson accompagnée de son vidéoclip. Je tiens à préciser que j'ai un profond respect pour l'ensemble des participants de ce projet. Mon analyse repose exclusivement sur mes impressions personnelles. Si d’aventure j’estime que cette œuvre présente des défauts, cela n'engage que moi, dans ce beau pays qu'est la France, où l'on jouit de la liberté d'expression artistique sous toutes ses formes.
Je reconnais sans réserve l’immense travail de composition et d'arrangement réalisé par Samuel Leroy, notre compositeur favori. Les diverses influences qui parcourent cette œuvre sont indéniablement riches. Le tempo et le rythme insufflent une dynamique envoûtante, avec une introduction apaisante où la voix se marie parfaitement aux notes du Fender Rhodes. Les percussions, quant à elles, apparaissent avec subtilité pour intensifier le morceau. La suite harmonique, accompagnée par une ligne vocale audacieuse, oscille entre tonalités majeures et mineures, s’accordant ainsi avec l’atmosphère feutrée du vidéoclip. La dualité du noir et du blanc évoque une symbolique proche du yin et du yang des chinois, incarnée par les protagonistes dont les costumes varient entre un blanc immaculé et un noir profond.
Quant au vidéoclip, je demeure perplexe. Contrairement à la chanson, qui m’évoque des sensations agréablement étranges, le clip me laisse une impression plus mitigée. Pour être franche, je pourrais aller jusqu’à dire qu’il frôle l’absurde, comparable à une grosse chiasse fumante créée par un générateur à météore de caca, tant dans sa conception que dans sa réalisation. Il me semble superflu d’avoir dépensé un gros paquet de fric et investi tant d’énergie pour un résultat qui, à mon sens, n’apporte pas de valeur ajoutée à l’œuvre musicale, laquelle se suffit amplement à elle-même grâce au talent du compositeur et à l’interprétation magistrale d’Alexis. J’ai peut-être manqué le message ou la symbolique du clip, bien qu’une idée vague m'effleure.
Une question persiste : où ce clip a-t-il été tourné, et qui en a eu l’idée originale ? Il est également fort regrettable que Samuel Leroy n’apparaisse pas dans le clip. C’est, à mon sens, une véritable cacastrophe, une tragédie ! Imaginez-le, somptueusement vêtu, jouant derrière un piano… noir… Cela aurait sans doute sublimé la scène. Par ailleurs, je ne peux nier une certaine connotation homoérotique émanant peut-être de manière involontaire de ce clip. Si cette idée provient d’Alexis, désireux de travailler avec un jeune danseur au physique avantageux et avec un beau petit boule, cela se comprend aisément, mais l'effet pourrait troubler certains spectateurs en raison d'une certaine confusion visuelle.
L’interprétation d’Alexis, tant devant la caméra que derrière le micro, est saisissante de vérité. J’ai été transportée par son jeu et son cosplay de Laurence Broccolini version années 2000. Cela aurait été un réel plaisir de pouvoir apprécier cette chanson mémorable en live à la convention de Japan Expo. Cela dit, malgré son talent, cette prestation ne parvient pas à compenser la direction artistique, que je trouve plutôt à chier. La caméra vacillante sur son axe et la superposition de multiples plans fondus enchaînés confèrent au montage et à l’ensemble une agressivité visuelle dérangeante, rendant l'œuvre finale quelque peu confuse. De plus, je m'interroge sur le choix des draps froissés en arrière-plan, qui semblent avoir été négligemment disposés en guise de fond neutre.
Je salue le travail minutieux de la costumière qui s'accorde parfaitement avec l'univers sombre du clip. Toutefois, je m’étonne du manque de soin apporté au rasage du danseur, alors qu'Alexis, quant à lui, apparaît de manière impeccable. J'apprécie néanmoins la chorégraphie et la belle synergie entre les deux interprètes. Cependant, je ne puis m’empêcher de ressentir un certain malaise lors des gros plans sur sa grosse tronche mal rasée, en particulier lorsque le jeune danseur caresse tendrement le visage d’Alexis, dans une scène qui semble emprunter aux consultations chiropratiques en jouant au docteur. La pertinence de ce passage me laisse songeuse. Bien que je trouve également le jeune danseur plutôt mignon, je serai très mal à l'aise s'il venait m'accoster dans la rue ou s'il se tenait devant ou derrière moi dans une file d'attente à la boulangerie.
Enfin, je m'interroge sur le dernier plan fixe, montrant Alexis assis seul dans un parc au mois d'octobre, vêtu d’une veste rouge sans chanter alors qu'il était très actif avec le jeune danseur dans le reste du vidéoclip. Ce contraste avec sa précédente interaction active avec le danseur semble figer le personnage, comme s’il se solidifiait instantanément en l’absence de son tendre chéri. On s’attendrait presque à ce que la musique reprenne et atteigne une apothéose, mais au lieu de cela, l’on se retrouve avec des remerciements sur fond noir, laissant une sensation d'inachevé. L’effet égaliseur (fréquences basses et aigües filtrées) utilisé sur la voix, imitant une communication téléphonique, m’intrigue également. Est-ce une manière de souligner un message laissé à son amant ? Cela me semble aujourd’hui anachronique. Mais p*tain de merte, on n'est plus dans les années 2000 avec l'hymne : "T E X T O, génération texto". Ou la chanson merdique totalement nul à chier de Zaboys "Julie".
Fort heureusement, nous pouvons toujours compter sur le génie du majestueux Samuel Leroy national. Peut-être suis-je secrètement amoureuse de lui et nourris-je des fantasmes et que je rêve de lui toute les nuits en imaginant notre idylle impossible ne devenant réelle uniquement dans nos rêves. Son album "Un livre, une chanson" est un chef-d'œuvre, qui transpire la sincérité, l'authenticité, la rubarbe et le goût de magenta. Je l'écoute encore en boucle. C'est un album remplis de bangers comme disent les jeunes. Samuel Leroy ne m'a jamais déçue. C'est bien la seule personne à être autorisée à détruire mon vaginarium avec tant d'ardeur, de profondeur, de douceur et de légèreté.
En conclusion, bien que cette œuvre soit déroutante et amplement "dans son jus", je persiste à dire que l’art se doit de provoquer. Et en cela, cette création atteint indéniablement son objectif. Toutefois, avec du recul, je reconnais qu'il y a matière à réflexion et que cette œuvre mérite d’être saluée pour son audace. En fait non, c'est pas mal. Je retire ce que j'ai dit. Continuez tous comme ça. Bravo. Oui. Bravo..
Je vous adresse mes plus sincères salutations. Je vous fais de gros bisous à tous. Prenez-soin de vous et de vos proches. A très vite je l'espère. Si on ne se revoit pas avant, passer de bonnes fêtes de fins d'année.
Miss Yuminaka
Bravo
Merci
très bien mon Cyril tu chantes bien tu auras un bon point
Merci ✨🥰
Je viens de tomber par hasard sur cette chanson et sincèrement j'adore 💕. Ça me fait refleurir mon printemps ❤❤❤❤.
Merci ✨🥰
Bravo Cyril pour cette belle chanson et vidéo que tu nous fais découvrir. Bonne fin de semaine, amitiés Lise et Christian
Merci ✨🥰
Será um sucesso parabéns 👏🏼👏🏼
gracias ✨🥰