Traduction mélodique de : A wi trun (Ah, si je pouvais pleurer) - à 0.00 Ah, si je pouvais pleurer Je m’étonne d’être contrarié Ma chance à rien ne servant Quand je veux une chose, l’enlevant Regarder vers moi, refusant Ennemi, me considérant Depuis que j’étais enfant Mon cœur est dans le tourment Ni joyeux, ni égayé La misère à mon côté De la patience, fatigué Tordues même est mon idée Je suis suivi, où je vais Les misères sont en excès Sur moi, elles se sont unies Même mes amis, tous, ont fui Aisé, ils sont toujours là Dans la dèche, ils ne viennent pas La lumière ne la voyant Et moi, j’attends, jusqu’à quand Souci un fini, reste le deux Le jour mélangé à la nuit La misère a banni mon vœu Ô ma chance, tu m’as trahi. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : A medden selted (Ô gens, écoutez) - à 16.55 Ô gens, écoutez C'est peu, ce qui est arrivé ? La liberté est là Mais on ne le dirait pas Dieu nous a créés Des gens veulent nous enlever En soixante-deux On a cru à nos droits On attendait d'eux Qu'on soit comme les autres, là L'Amazigh, paria Le pauvre, il n'existait pas Le Seigneur a dit Personne n'aura d’avanie La loi écrivant Le respect de son ethnie Mais pour l'Algérie L’arbitraire pour ses enfants Montagne, te rappelant Est-ce peu ce qu'on a subi Le jour, tombe la nuit Les villages ont enduré Le mort fait pitié Des tourments pour ses enfants N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique du refrain et des préludes et dernier couplet (à 5.26) de : Sligh i wedrar (j'entendis la montagne) - à 12.24 La montagne crie, je l'entends Un appel de ses enfants Par les flammes, ils sont brûlés Leur mère a disparu, et Leurs vies, aux balles, exposés L'ennemi, est à côté Ô vérité, où tu es Par les gens, revendiquée La montagne est oubliée Hantée par l'obscurité A l'orphelin, ce qu'on a fait On a détruit son foyer. N.B : Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Merci les artistes pour toutes ces belles reprises de notre ami Dda Hamic Atmani.
Magnifique
Traduction mélodique de : A wi trun (Ah, si je pouvais pleurer) - à 0.00
Ah, si je pouvais pleurer
Je m’étonne d’être contrarié
Ma chance à rien ne servant
Quand je veux une chose, l’enlevant
Regarder vers moi, refusant
Ennemi, me considérant
Depuis que j’étais enfant
Mon cœur est dans le tourment
Ni joyeux, ni égayé
La misère à mon côté
De la patience, fatigué
Tordues même est mon idée
Je suis suivi, où je vais
Les misères sont en excès
Sur moi, elles se sont unies
Même mes amis, tous, ont fui
Aisé, ils sont toujours là
Dans la dèche, ils ne viennent pas
La lumière ne la voyant
Et moi, j’attends, jusqu’à quand
Souci un fini, reste le deux
Le jour mélangé à la nuit
La misère a banni mon vœu
Ô ma chance, tu m’as trahi.
Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : A medden selted (Ô gens, écoutez) - à 16.55
Ô gens, écoutez
C'est peu, ce qui est arrivé ?
La liberté est là
Mais on ne le dirait pas
Dieu nous a créés
Des gens veulent nous enlever
En soixante-deux
On a cru à nos droits
On attendait d'eux
Qu'on soit comme les autres, là
L'Amazigh, paria
Le pauvre, il n'existait pas
Le Seigneur a dit
Personne n'aura d’avanie
La loi écrivant
Le respect de son ethnie
Mais pour l'Algérie
L’arbitraire pour ses enfants
Montagne, te rappelant
Est-ce peu ce qu'on a subi
Le jour, tombe la nuit
Les villages ont enduré
Le mort fait pitié
Des tourments pour ses enfants
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique du refrain et des préludes et dernier couplet (à 5.26) de : Sligh i wedrar (j'entendis la montagne) - à 12.24
La montagne crie, je l'entends
Un appel de ses enfants
Par les flammes, ils sont brûlés
Leur mère a disparu, et
Leurs vies, aux balles, exposés
L'ennemi, est à côté
Ô vérité, où tu es
Par les gens, revendiquée
La montagne est oubliée
Hantée par l'obscurité
A l'orphelin, ce qu'on a fait
On a détruit son foyer.
N.B : Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.