Merci beaucoup d’avoir présenté toutes ces conférences au CBI du Bourget. Votre façon de présenter Bouddha Dhamma est très ingénieuse et facilement assimilable. Surtout votre présentation de l’analogie entre Dhamma & Physique Quantique est très intéressante. Je vous remercie également de nous avoir présenté Godwin Samararatne. Bien que Sri-lankais je l’ai connu à peine car j’ai juste un livre sur une retraite qu’il a donnée en Allemagne. Même aujourd’hui quand je parle à ma famille ou mes amis au Sri-Lanka personne ne le connais. Grâce à vous et j’ai appris beaucoup sur lui et ses enseignements. Aujourd’hui l’humanité semble se diriger vers une « autodestruction » et Bouddha Dhamma pourrait être un remède efficace. Aujourd’hui les gens ne veulent plus entendre parler de religion. Je préfère donc parler de « Dhamma » plutôt que « Bouddhisme » car il s’agit bien d’une science d’art de vivre en harmonie avec tous les êtres, notre mère planète et l’univers. Nous vous remercions à nouveau pour votre initiative d’étudier et tous vos efforts pour transmettre cette sagesse millénaire pour le plus grand bien du grand public. Bien Cordialement, Jayantha & Suzanne Wickramarachi
Les sept facteurs de l'éveil (bojjhaṅga) La présence d'esprit : sati ; L'investigation et l'analyse des phénomènes et de la Loi : Dhamma vicaya (en) ; La persévérance et l'effort : viriya ; La joie éprouvée : pīti ; La tranquillité : passaddhi ; La concentration : samādhi ; L'équanimité : upekkhā.
Samma vayama permet de s'entraîner sur tout les pratiques, exemple sur la respiration, observer la respiration chercher son équilibre et s'entraîner sur le rythme respiratoire qui correspond le mieux au besoin du sati, et qui va changer la nature du rythme respiratoire qui se transforme en une nouvelle conscience respiratoire. Je m'explique nous ne vivons pas pour respirer, mais nous respirons pour vivre. Anatta intervient alors sur anija car même la respiration est impermanente. Maintenant si on inverse les deux phrases que si nous vivons pour respirer alors la respiration n'est plus un sujet du conditionnement.
Merci beaucoup d’avoir présenté toutes ces conférences au CBI du Bourget.
Votre façon de présenter Bouddha Dhamma est très ingénieuse et facilement assimilable. Surtout votre présentation de l’analogie entre Dhamma & Physique Quantique est très intéressante.
Je vous remercie également de nous avoir présenté Godwin Samararatne. Bien que Sri-lankais je l’ai connu à peine car j’ai juste un livre sur une retraite qu’il a donnée en Allemagne. Même aujourd’hui quand je parle à ma famille ou mes amis au Sri-Lanka personne ne le connais. Grâce à vous et j’ai appris beaucoup sur lui et ses enseignements.
Aujourd’hui l’humanité semble se diriger vers une « autodestruction » et Bouddha Dhamma pourrait être un remède efficace. Aujourd’hui les gens ne veulent plus entendre parler de religion. Je préfère donc parler de « Dhamma » plutôt que « Bouddhisme » car il s’agit bien d’une science d’art de vivre en harmonie avec tous les êtres, notre mère planète et l’univers.
Nous vous remercions à nouveau pour votre initiative d’étudier et tous vos efforts pour transmettre cette sagesse millénaire pour le plus grand bien du grand public.
Bien Cordialement,
Jayantha & Suzanne Wickramarachi
La joie fait partie des 7 facteurs de l'Eveil
Les sept facteurs de l'éveil (bojjhaṅga)
La présence d'esprit : sati ;
L'investigation et l'analyse des phénomènes et de la Loi : Dhamma vicaya (en) ;
La persévérance et l'effort : viriya ;
La joie éprouvée : pīti ;
La tranquillité : passaddhi ;
La concentration : samādhi ;
L'équanimité : upekkhā.
La joie fait partie de la bienveillance
Sati du vipasanna permet de comprendre la nature d'anatta, samadhi permet de filtrer les idées fausses sur sati.
Samma vayama permet de s'entraîner sur tout les pratiques, exemple sur la respiration, observer la respiration chercher son équilibre et s'entraîner sur le rythme respiratoire qui correspond le mieux au besoin du sati, et qui va changer la nature du rythme respiratoire qui se transforme en une nouvelle conscience respiratoire. Je m'explique nous ne vivons pas pour respirer, mais nous respirons pour vivre. Anatta intervient alors sur anija car même la respiration est impermanente. Maintenant si on inverse les deux phrases que si nous vivons pour respirer alors la respiration n'est plus un sujet du conditionnement.