Merci et bravo Margaux pour cette analyse passionnante des œuvres de l 'artiste Etel Adnan ! J'aime infiniment à la fois ce féroce attachement aux racines de son beau pays, à travers ces sortes de flashes lumineux qui s'imbriquent comme des branches d" arbres entre elles, tout comme ces formes géométriques qui sont autant de fenêtres uniques qui s'offrent à nous en couleurs puissantes. C'est son monde poétique qui habite l'espace de nos émotions qui m'émeut. Je crois que son désir de Liberté se dévoile, impérieux et immense, débordant de la toile, touchant notre cœur dans un trait de couteau à nul autre pareil ! Et comme le ressent cette grande artiste :" Cette poésie s'écrit - et se lit- à la frontière de la vie et de la mort, là où le ciel disparâît dans le ciel." ❤
Bonjour. Merci pour ces commentaires très éclairants. J'ai découvert Etel Adnan dans l'introduction rédigée par Yves Michaud à l'ouvrage d'Alexandre Hollan, "Je suis ce que je vois". Il établit un parallèle avec ce merveilleux peintre-poète et Etal Adnan, Sam Francis ainsi que Joan Mittchel. De sacrées références !
Merci et bravo Margaux pour cette analyse passionnante des œuvres de l 'artiste Etel Adnan ! J'aime infiniment à la fois ce féroce attachement aux racines de son beau pays, à travers ces sortes de flashes lumineux qui s'imbriquent comme des branches d" arbres entre elles, tout comme ces formes géométriques qui sont autant de fenêtres uniques qui s'offrent à nous en couleurs puissantes. C'est son monde poétique qui habite l'espace de nos émotions qui m'émeut. Je crois que son désir de Liberté se dévoile, impérieux et immense, débordant de la toile, touchant notre cœur dans un trait de couteau à nul autre pareil ! Et comme le ressent cette grande artiste :" Cette poésie s'écrit - et se lit- à la frontière de la vie et de la mort, là où le ciel disparâît dans le ciel." ❤
thanks
Bonjour. Merci pour ces commentaires très éclairants. J'ai découvert Etel Adnan dans l'introduction rédigée par Yves Michaud à l'ouvrage d'Alexandre Hollan, "Je suis ce que je vois". Il établit un parallèle avec ce merveilleux peintre-poète et Etal Adnan, Sam Francis ainsi que Joan Mittchel. De sacrées références !