On veut un get ready with us, avec votre skin Care et votre make-up, comme ça on sait tous les produits que vous utilisez, tout ça en faisant une FAQ!!❤❤
dégoûtée je pensais que vous alliez tester le casque apple VS une copie (comme il y avait sur la miniature) peut être dans une prochaine vidéo ? Sinon super comme toujours, continuez comme ça 🌟🫶🏼
Les Meilleurs RUclipsurs Que J'ai Jamais Vu De Ma Vie Je Vous Aime Trop🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩🤩🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍🤩😍
je n’ai pas encore commencé à regarder votre incroyable vidéo que je sais déjà qu’elle va être incroyable !! je vous adore vous êtes mes youtubeurs préférés 🩷 continuez comme ça vous êtes génials
Vous êtes tellement rayonnant et beau je vous adore vous êtes vraiment les meilleurs continuez comme ça en tout cas la vidéos est incroyable comme toute les autres bisousss❤️❤️❤️❤️❤️
Au cœur de cette dialectique matérialiste qui oppose les produits dits "chers" aux "pas chers" réside une profonde interrogation sur la nature de la valeur, la perception du bien-être et la relativité des standards de qualité dans la consommation humaine. Cette dichotomie, loin d'être superficielle, soulève des questions ontologiques sur l'essence même du désir et de la satisfaction humains, articulant ainsi un débat qui transcende la simple matérialité des biens pour s'ancrer dans la psyché collective et individuelle. Lorsqu'on considère la prémisse selon laquelle les individus issus de milieux économiquement moins favorisés tendent à s'accommoder des produits à moindre coût, percevant ces derniers comme adéquats, voire satisfaisants, une réflexion émerge sur le conditionnement social et économique qui modèle nos aspirations et nos contentements. Ce phénomène n'est pas uniquement le reflet d'une acclimatation à une réalité économique, mais aussi le témoignage d'une adaptabilité humaine qui trouve racine dans une forme de résilience matérielle. Cependant, la transition vers une consommation de produits plus onéreux - souvent perçue comme un ascenseur vers une qualité supérieure - ne se fait pas sans ébranler les fondements de cette acceptation initiale. Cette métamorphose de la perception révèle une fragilité intrinsèque dans notre évaluation de la qualité, soumise à la relativité de notre expérience. L'accès à ce qui est perçu comme supérieur ne fait pas qu'élargir l'horizon de nos expériences consuméristes ; il reconstruit également notre échelle de valeur, souvent au détriment de nos satisfactions antérieures, marquant un point de non-retour dans le jugement des produits "moins chers". Ce phénomène, loin d'être anodin, soulève une interrogation philosophique sur la nature éphémère de nos satisfactions et sur le véritable fondement de la valeur que nous attribuons aux objets de notre quotidien. Dans ce contexte, l'expérience de consommation devient un miroir de la condition humaine, reflétant une quête incessante de mieux-être dans un monde où la qualité est souvent mesurée par l'épaisseur du portefeuille. Mais cette course vers l'acquisition de biens supposément supérieurs masque une quête plus profonde, celle d'un contentement durable qui, ironiquement, semble s'éloigner au fur et à mesure que les standards de qualité se déplacent vers des sommets toujours plus élevés. La vraie richesse, pourrait-on arguer, réside peut-être dans la capacité à trouver satisfaction dans ce qui est déjà à portée de main, à reconnaître la valeur intrinsèque des choses indépendamment de leur coût monétaire. Dans cette perspective, la sagesse consisterait à cultiver une forme de contentement intérieur qui ne soit pas tributaire des fluctuations de la valeur marchande, mais qui soit ancré dans une appréciation authentique de la simplicité et de l'essence véritable des choses. Ainsi, la réflexion sur les produits "chers" versus "pas chers" nous invite à méditer sur les fondements de notre rapport au monde matériel, nous poussant à questionner non seulement la nature de la valeur, mais aussi la manière dont nous construisons nos identités et nos aspirations dans un monde saturé de biens de consommation.
C'est triste que tout les produits les + chères soient les meilleurs, ça montre qu'il faut être riche pour avoir des bons produits, de la bonne nourriture, etc....
Nan mais, ne pensez pas que « parce que vous payez plus cher » la compo sera meilleure, ça n’a rien avoir, quand vous acheter les produits de marque qui sont cher, vous n’achetez pas seulement le produit mais aussi la marque donc faut arrêter de penser que « parce que c’est moins cher c’est une compo claqué » alors oui ça peut être le cas, mais que se soit les marques ou les sous marque y’a toujours des bonnes et des mauvaise compo. Passer une bonne soirée 😊
Au cœur de cette dialectique matérialiste qui oppose les produits dits "chers" aux "pas chers" réside une profonde interrogation sur la nature de la valeur, la perception du bien-être et la relativité des standards de qualité dans la consommation humaine. Cette dichotomie, loin d'être superficielle, soulève des questions ontologiques sur l'essence même du désir et de la satisfaction humains, articulant ainsi un débat qui transcende la simple matérialité des biens pour s'ancrer dans la psyché collective et individuelle. Lorsqu'on considère la prémisse selon laquelle les individus issus de milieux économiquement moins favorisés tendent à s'accommoder des produits à moindre coût, percevant ces derniers comme adéquats, voire satisfaisants, une réflexion émerge sur le conditionnement social et économique qui modèle nos aspirations et nos contentements. Ce phénomène n'est pas uniquement le reflet d'une acclimatation à une réalité économique, mais aussi le témoignage d'une adaptabilité humaine qui trouve racine dans une forme de résilience matérielle. Cependant, la transition vers une consommation de produits plus onéreux - souvent perçue comme un ascenseur vers une qualité supérieure - ne se fait pas sans ébranler les fondements de cette acceptation initiale. Cette métamorphose de la perception révèle une fragilité intrinsèque dans notre évaluation de la qualité, soumise à la relativité de notre expérience. L'accès à ce qui est perçu comme supérieur ne fait pas qu'élargir l'horizon de nos expériences consuméristes ; il reconstruit également notre échelle de valeur, souvent au détriment de nos satisfactions antérieures, marquant un point de non-retour dans le jugement des produits "moins chers". Ce phénomène, loin d'être anodin, soulève une interrogation philosophique sur la nature éphémère de nos satisfactions et sur le véritable fondement de la valeur que nous attribuons aux objets de notre quotidien. Dans ce contexte, l'expérience de consommation devient un miroir de la condition humaine, reflétant une quête incessante de mieux-être dans un monde où la qualité est souvent mesurée par l'épaisseur du portefeuille. Mais cette course vers l'acquisition de biens supposément supérieurs masque une quête plus profonde, celle d'un contentement durable qui, ironiquement, semble s'éloigner au fur et à mesure que les standards de qualité se déplacent vers des sommets toujours plus élevés. La vraie richesse, pourrait-on arguer, réside peut-être dans la capacité à trouver satisfaction dans ce qui est déjà à portée de main, à reconnaître la valeur intrinsèque des choses indépendamment de leur coût monétaire. Dans cette perspective, la sagesse consisterait à cultiver une forme de contentement intérieur qui ne soit pas tributaire des fluctuations de la valeur marchande, mais qui soit ancré dans une appréciation authentique de la simplicité et de l'essence véritable des choses. Ainsi, la réflexion sur les produits "chers" versus "pas chers" nous invite à méditer sur les fondements de notre rapport au monde matériel, nous poussant à questionner non seulement la nature de la valeur, mais aussi la manière dont nous construisons nos identités et nos aspirations dans un monde saturé de biens de consommation.
On veut un get ready with us, avec votre skin Care et votre make-up, comme ça on sait tous les produits que vous utilisez, tout ça en faisant une FAQ!!❤❤
De ouf c incrrr ton idée
Ouiiiii
GRAVE
Ouiiiiii ça serait incrrrrr
Ah ouais grave !!🎉🎉
Lena on veut trop de alex juge ou regarde tout tes produits makeup que tu as !! Sinon j’vous adores !!
Ommggg toujours aussi beau et belle vous 2, ne changez pas vous êtes magnifiqueeeee
Y’a pas de chaîne plus drôle et plus tranquille que vous ! Je vous adores continuez ce que vous faites please ! ❤
OMGGGGG ENCORE UNE VIDÉO INCROYABLE !! j’ai attendu que la vidéo sorte toute la journée ,vraiment jvous aime troppp ❤❤
Mon revvvveee que vous soyez un peu plus actifs sur RUclips j’adore vos vidéos 😍😍😍😍😍
ce genre de contenues sont mes préférés 😍😍
Tellement impressionante Léna. Son palais et son odorat sont impressionant !!!!
dégoûtée je pensais que vous alliez tester le casque apple VS une copie (comme il y avait sur la miniature) peut être dans une prochaine vidéo ?
Sinon super comme toujours, continuez comme ça 🌟🫶🏼
Pareiiiil
En plus il a le casque Apple rose comme sur la miniature (on le voit dans la vidéo)
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je n’ai pas encore commencé à regarder votre incroyable vidéo que je sais déjà qu’elle va être incroyable !! je vous adore vous êtes mes youtubeurs préférés 🩷 continuez comme ça vous êtes génials
Et les casques apple ?
Lena et Alex vous été trop beau ne changer pas vous êtes magnifique ❤❤
Ouiiii une nouvelle vidéo j'ai trop hate !! Bon visionnage 🥰
Ohhh j'avais trop aimé la partie 1 je suis trop contente ☺️☺️🥺
J’adore vos vidéos 😻😻😻❤
J’ai vu la notif, trop contente enfin une nouvelle vidéo, j’ai sauté sur la notif🥳🥳
Bon visionnage
Vos vidéos sont des safes places
Incroyable cette vidéo comme d’habitude vous êtes les meilleurs 🥰
Quand il y a de la nourriture, Lena est là 😂
LES TAMBURNIIIII’S JE VOUS EN SUPLIE 😂 RÉAGISSEZ À VOS ANCIENNES VIDEOOOOS ❤❤❤
trop beaux les cheveux d'alex j'adore
Vous êtes tellement rayonnant et beau je vous adore vous êtes vraiment les meilleurs continuez comme ça en tout cas la vidéos est incroyable comme toute les autres bisousss❤️❤️❤️❤️❤️
Alex si tu es fan de galette frangipane, tu dois absolument goûter celle de chez Sève, un délice ☺️
tellement safe leur chaîne >>>
Une vidéo ou vous faites un maximums d'activités à Paris se serait top !!!
Ils sont juste magnifique, félicitations
toujours aussi drôle je vous aimes j'ai toujours aussi des faut rire avec vous merci continuer comme les bosses 😍🥰❤🙏
Je vous adore 💜
WOOOOW vous avez refais ma journée
Mes stars je les aimes trop ils me remontent toujours le moral ❤❤
un peu decue je pensais quil y allait y avoir un test de casque apple...
Léna est drôle asf😂😂😂
les bougies c’est comme les parfums c’est un travail olfactif, on paye la qualité des produits, l’origine, la rareté et la conception forcément
les meilleurs youtubeurs omg
j’ai adorée cette vidéo !
bon visionnage!
mes starsss ❤j’vous aimessss
la vidéo est incroyable
On voit pas le casque Apple dans la vidéo
Cc.je vien de decouvrir votre chaine youtube et j adoreeeee❤❤❤❤❤🎉🎉🎉🎉🎉merci bcppppp
ouiiiiii enfin une ouvelle vidéoo
Les petites vidéos simple comme ça c’est vrm incroyable ❤
Dommage on a pas vu le casque Apple
omgggg vous pouvez faire un whats on my phone ?🥰
Coucouuu une grosse dégustation des trompes l’œil Cédric groletttt j’attend que sa !!!
MES STARS D’AMOUR
Y’a tellement de produits random c’est trop bien 😂😂
Aaaahhhhh en avance carrément 🤣❤️❤️
Quel font (nom de lecriture) vous utilisez pour le text dans la video?
Au cœur de cette dialectique matérialiste qui oppose les produits dits "chers" aux "pas chers" réside une profonde interrogation sur la nature de la valeur, la perception du bien-être et la relativité des standards de qualité dans la consommation humaine. Cette dichotomie, loin d'être superficielle, soulève des questions ontologiques sur l'essence même du désir et de la satisfaction humains, articulant ainsi un débat qui transcende la simple matérialité des biens pour s'ancrer dans la psyché collective et individuelle.
Lorsqu'on considère la prémisse selon laquelle les individus issus de milieux économiquement moins favorisés tendent à s'accommoder des produits à moindre coût, percevant ces derniers comme adéquats, voire satisfaisants, une réflexion émerge sur le conditionnement social et économique qui modèle nos aspirations et nos contentements. Ce phénomène n'est pas uniquement le reflet d'une acclimatation à une réalité économique, mais aussi le témoignage d'une adaptabilité humaine qui trouve racine dans une forme de résilience matérielle.
Cependant, la transition vers une consommation de produits plus onéreux - souvent perçue comme un ascenseur vers une qualité supérieure - ne se fait pas sans ébranler les fondements de cette acceptation initiale. Cette métamorphose de la perception révèle une fragilité intrinsèque dans notre évaluation de la qualité, soumise à la relativité de notre expérience. L'accès à ce qui est perçu comme supérieur ne fait pas qu'élargir l'horizon de nos expériences consuméristes ; il reconstruit également notre échelle de valeur, souvent au détriment de nos satisfactions antérieures, marquant un point de non-retour dans le jugement des produits "moins chers". Ce phénomène, loin d'être anodin, soulève une interrogation philosophique sur la nature éphémère de nos satisfactions et sur le véritable fondement de la valeur que nous attribuons aux objets de notre quotidien.
Dans ce contexte, l'expérience de consommation devient un miroir de la condition humaine, reflétant une quête incessante de mieux-être dans un monde où la qualité est souvent mesurée par l'épaisseur du portefeuille. Mais cette course vers l'acquisition de biens supposément supérieurs masque une quête plus profonde, celle d'un contentement durable qui, ironiquement, semble s'éloigner au fur et à mesure que les standards de qualité se déplacent vers des sommets toujours plus élevés.
La vraie richesse, pourrait-on arguer, réside peut-être dans la capacité à trouver satisfaction dans ce qui est déjà à portée de main, à reconnaître la valeur intrinsèque des choses indépendamment de leur coût monétaire. Dans cette perspective, la sagesse consisterait à cultiver une forme de contentement intérieur qui ne soit pas tributaire des fluctuations de la valeur marchande, mais qui soit ancré dans une appréciation authentique de la simplicité et de l'essence véritable des choses. Ainsi, la réflexion sur les produits "chers" versus "pas chers" nous invite à méditer sur les fondements de notre rapport au monde matériel, nous poussant à questionner non seulement la nature de la valeur, mais aussi la manière dont nous construisons nos identités et nos aspirations dans un monde saturé de biens de consommation.
Les vidéos sont cool comme d'habitude massacré les likes les abonnements
Coucou je me suis dit que vous pourrez faire une vidéo ou vous réagissez à vos ancienne vidéo RUclips sa serait drôle je vous adore bisous 😽
lena avec son beau palais et ta moi avec mon palais de doberman la 🤣🤣
A un moment on voit Alex avec un casque en main , ensuite il l’a reposé je suppose qu’il y’a eu un problème 🤷🏻♀️
Je kiff ta coiffure léna😘
vous ète génial
Coucou, le concept aurait été plus sympa à regarder si lena avait les yeux bandes
mes staaars ❤️❤️
Hé🤗merc TAMi pour ton travail👍✂️🏝️ j'ai inventé une discipline vraiment atypique et tres insolite ça va vous surprendre!!!
on dirais les pâtes au pesto du crous
Vous pouvez fair les nouveautés bouffe 2024 !! ❤
Les plus beaux 🤭
Première 🫶🏻🫶🏻
FALLAIT METTRE DU LAIT AVEC LE ANGELINA !!!
❤❤❤
J’ai pas vue le casque
C'est triste que tout les produits les + chères soient les meilleurs, ça montre qu'il faut être riche pour avoir des bons produits, de la bonne nourriture, etc....
Mdr c’est surtout que la matière première et les ingrédients sont de meilleure qualité , logique que le produit final soit plus cher ptdrrr
@@Kay-qx9tgles produits sont les mêmes c’est juste la manière de faire
@@lauriehurbain7851décidément vous n’êtes pas très futés sur cette application
C est du chocolat au lait Angelina ou poulain c est le noir ? Vous aurez pas oublier le lait. ?
🎉
Salut , vous êtes en couple ou juste amis? =)
Ils sont frère et sœur
Ils sont où les casques?
on est d'accord ils y sont pas ?!
Tu veux pas faire nez Lena??? ça serait parfait pour toi comme métier!
Mais watttttt att le bronzer charlotte ne coûte pas du tt 111 € il coute 38€
le coffret
Coucou mes chéris
Y’a une faute rien que dans le titre mdr
Elle aurai du goûter les yeux bander !
😮
Un conseil dans le titre enlever le « qu’est » juste : on devine ce qui est le plus cher
. Y’a😅😅
Cc
Nan mais, ne pensez pas que « parce que vous payez plus cher » la compo sera meilleure, ça n’a rien avoir, quand vous acheter les produits de marque qui sont cher, vous n’achetez pas seulement le produit mais aussi la marque donc faut arrêter de penser que « parce que c’est moins cher c’est une compo claqué » alors oui ça peut être le cas, mais que se soit les marques ou les sous marque y’a toujours des bonnes et des mauvaise compo. Passer une bonne soirée 😊
On apprend à écrire surtout ce serait déjà mieux.
Elle est gênante 😅
Bonjour, je mets un dis like suite au rot de Lena car je trouve ça insupportable qu’une femme rote😡
ptdrrr ensuite ? on est plus au 20e siècle
donc un homme c’est ok ? va pleurer ailleurs clara
si c’est pour dire ça tu peux t’abstenir aussi
Ferme ta gorge tu es hyper gênante
Mais ferme la srx
Au cœur de cette dialectique matérialiste qui oppose les produits dits "chers" aux "pas chers" réside une profonde interrogation sur la nature de la valeur, la perception du bien-être et la relativité des standards de qualité dans la consommation humaine. Cette dichotomie, loin d'être superficielle, soulève des questions ontologiques sur l'essence même du désir et de la satisfaction humains, articulant ainsi un débat qui transcende la simple matérialité des biens pour s'ancrer dans la psyché collective et individuelle.
Lorsqu'on considère la prémisse selon laquelle les individus issus de milieux économiquement moins favorisés tendent à s'accommoder des produits à moindre coût, percevant ces derniers comme adéquats, voire satisfaisants, une réflexion émerge sur le conditionnement social et économique qui modèle nos aspirations et nos contentements. Ce phénomène n'est pas uniquement le reflet d'une acclimatation à une réalité économique, mais aussi le témoignage d'une adaptabilité humaine qui trouve racine dans une forme de résilience matérielle.
Cependant, la transition vers une consommation de produits plus onéreux - souvent perçue comme un ascenseur vers une qualité supérieure - ne se fait pas sans ébranler les fondements de cette acceptation initiale. Cette métamorphose de la perception révèle une fragilité intrinsèque dans notre évaluation de la qualité, soumise à la relativité de notre expérience. L'accès à ce qui est perçu comme supérieur ne fait pas qu'élargir l'horizon de nos expériences consuméristes ; il reconstruit également notre échelle de valeur, souvent au détriment de nos satisfactions antérieures, marquant un point de non-retour dans le jugement des produits "moins chers". Ce phénomène, loin d'être anodin, soulève une interrogation philosophique sur la nature éphémère de nos satisfactions et sur le véritable fondement de la valeur que nous attribuons aux objets de notre quotidien.
Dans ce contexte, l'expérience de consommation devient un miroir de la condition humaine, reflétant une quête incessante de mieux-être dans un monde où la qualité est souvent mesurée par l'épaisseur du portefeuille. Mais cette course vers l'acquisition de biens supposément supérieurs masque une quête plus profonde, celle d'un contentement durable qui, ironiquement, semble s'éloigner au fur et à mesure que les standards de qualité se déplacent vers des sommets toujours plus élevés.
La vraie richesse, pourrait-on arguer, réside peut-être dans la capacité à trouver satisfaction dans ce qui est déjà à portée de main, à reconnaître la valeur intrinsèque des choses indépendamment de leur coût monétaire. Dans cette perspective, la sagesse consisterait à cultiver une forme de contentement intérieur qui ne soit pas tributaire des fluctuations de la valeur marchande, mais qui soit ancré dans une appréciation authentique de la simplicité et de l'essence véritable des choses. Ainsi, la réflexion sur les produits "chers" versus "pas chers" nous invite à méditer sur les fondements de notre rapport au monde matériel, nous poussant à questionner non seulement la nature de la valeur, mais aussi la manière dont nous construisons nos identités et nos aspirations dans un monde saturé de biens de consommation.
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@@nonolabricotnon 2 médailles