Toucher le fantôme de la peur grâce à la Thérapie Brève de Palo Alto

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  • Опубликовано: 12 июн 2023
  • "Si la peur frappe un jour à votre porte et que vous avez le courage d'aller lui ouvrir, alors vous constaterez qu'il n'y a personne..." La Thérapie Brève de Palo Alto propose une technique efficace pour se débarrasser de beaucoup de nos peurs.
  • ХоббиХобби

Комментарии • 3

  • @berengeretaminiau2379
    @berengeretaminiau2379 6 месяцев назад

    Merci beaucoup pour cette petite capsule très intéressante

  • @marcmeunier77
    @marcmeunier77 Год назад

    Je trouve un paradoxe dans votre paradoxe… Pour avoir subi des séances en thérapie brève qui m’ont apporté beaucoup, je trouve des détails légèrement erronés dans votre explication. Ou alors c’est mal expliqué.
    Envisager le pire ce n’est pas envisager des solutions. Dans votre exemple, si je n’ai pas les moyens de payer des études à mes enfants, tout se passera mal car j’envisage le pire.
    Mais vous, vous supposez que peut-être, Cela se passera pas exactement comme cela, mais différemment. Donc, dans le pire, vous envisagez une solution, ce qui me paraît complètement en dehors de la thérapie. Puisque le but n’est pas d’envisager une solution mais le pire…
    Dans votre vidéo vous êtes beaucoup plus positif que pessimiste… symboliquement parlant…

    • @vincentgerardlachainedupsy
      @vincentgerardlachainedupsy  Год назад +1

      Bonjour, et merci pour votre commentaire… Ce que j'essaie de mettre en évidence au travers de l'utilisation de cette technique, c'est le fait qu’en imaginant le pire, avec l’aide d’un intervenant, on favorise souvent l'émergence de (prémisses de) solutions… Souvent, pas toujours bien évidemment. Les solutions qui apparaissent dès lors même si elles sont éloignées du scénario idéal peuvent favoriser un soulagement. En effet, même s'il n'est pas possible de payer personnellement les études de ses enfants… Cela ne veut pas dire qu’elles sont néanmoins inaccessibles. Je le répète, ce n'est certainement pas le scénario idéal, mais le fait de savoir qu'une alternative peut exister peut provoquer un apaisement. Peut-être que le choix du mot « alternative » plutôt que celui de « solution » pourrait lever le paradoxe que vous percevez dans mes propos. Cette « technique » doit bien évidemment être utilisée avec prudence et par un professionnel de la santé mentale qui pourra déterminer si elle est judicieuse pour le patient qui se trouve en face de lui. La prudence est toujours de rigueur lorsque l’on travaille avec des humains, je vous rejoins sur ce point. Bien cordialement.