Des affrontements violents ont éclaté ce vendredi 22 novembre 2024 sur deux axes stratégiques situés à proximité de la ville de Sake, dans le groupement de Kamuronza, chefferie de Bahunde, territoire de Masisi, Nord-Kivu. Selon Oswald Kulimushi, représentant du Conseil local de la jeunesse de Sake, les combats ont été déclenchés par une attaque des rebelles du M23 contre les positions occupées par la coalition FARDC/Wazalendo à Kimoka et Lutobogo. Ces affrontements ont temporairement perturbé la circulation sur les axes Sake-Masisi centre et Sake- Kitshanga, les zones directement touchées par ces violences, a-t-il précisé.Les échanges de tirs intenses sur les lignes de front ont plongé la population dans un climat de psychose. Plusieurs habitants, qui se rendaient à leurs activités agricoles, ont dû rebrousser chemin par crainte de représailles ou d'être pris dans les combats. Pour l'instant, aucun bilan officiel des affrontements n'a été communiqué, bien que la gravité des échanges suggère des pertes importantes de part et d'autre, a ajouté Oswald Kulimushi. Ces accrochages interviennent quelques jours après que les organisations de la société civile de Masisi ont alerté sur un renforcement des troupes et des équipements du M23 dans cette région. Le regain d'activités militaires met fin à une période d'accalmie relative sur les fronts du territoire de Masisi. Rappelons que la coalition FARDC/Wazalendo, formée pour repousser les avancées du M23, a intensifié ses efforts pour défendre les localités stratégiques de la région. Alors que la situation reste tendue, la population locale appelle à une intervention rapide des autorités pour restaurer la sécurité et garantir la libre circulation sur les axes routiers. La SADC fustige la mise en place de nouvelles autorités par le M23 dans les zones occupées dans l’est de la RDC Le sommet extraordinaire de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) a évoqué aussi l’organisation administrative locale dans les zones occupées par la rébellion du M23 dans l’Est de la RDC. Ce vendredi à Kinshasa, en faisant le compte-rendu du sommet, la ministre des affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba a souligné « la mise en place des autorités illégitimes et illégales par le Rwanda avec ses supplétifs du M23 en particulier dans le territoire de Rutshuru ». « Ceci a été perçu comme une violation flagrante de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de la République démocratique du Congo et condamné fermement. C’est un élément important qui a été soulevé par les Etats membres de la SADC », a indiqué Thérèse Kayikwamba. Cette question que le gouvernement qualifie de « dangereuse » a été mentionnée lors du Conseil des ministres de la semaine dernière. « Nous avons aussi constaté qu'ils sont passés à une étape encore plus dangereuse, c'est la reconnaissance des fausses autorités coutumières pour consacrer cette nouvelle organisation en dehors des populations autochtones », a rappelé le vice-premier ministre de l’intérieur, Jacquemain Shabani lors d’un récent séjour à Lubumbashi. Le chef de l’administration du territoire fait aussi état « de la transplantation de la population étrangère dans les villages et maisons de nos compatriotes qui se trouvent aujourd'hui réfugiés dans les différents camps des déplacés ».
Il y aura une vraie guerre après la guerre. C’est ce qu’ils ont fait au Rwanda après 1994. Ils écrivaient même des noms sur les banques pour dire que la maison est occupée.
Des affrontements violents ont éclaté ce vendredi 22 novembre 2024 sur deux axes stratégiques situés à proximité de la ville de Sake, dans le groupement de Kamuronza, chefferie de Bahunde, territoire de Masisi, Nord-Kivu. Selon Oswald Kulimushi, représentant du Conseil local de la jeunesse de Sake, les combats ont été déclenchés par une attaque des rebelles du M23 contre les positions occupées par la coalition FARDC/Wazalendo à Kimoka et Lutobogo. Ces affrontements ont temporairement perturbé la circulation sur les axes Sake-Masisi centre et Sake- Kitshanga, les zones directement touchées par ces violences, a-t-il précisé.Les échanges de tirs intenses sur les lignes de front ont plongé la population dans un climat de psychose. Plusieurs habitants, qui se rendaient à leurs activités agricoles, ont dû rebrousser chemin par crainte de représailles ou d'être pris dans les combats. Pour l'instant, aucun bilan officiel des affrontements n'a été communiqué, bien que la gravité des échanges suggère des pertes importantes de part et d'autre, a ajouté Oswald Kulimushi. Ces accrochages interviennent quelques jours après que les organisations de la société civile de Masisi ont alerté sur un renforcement des troupes et des équipements du M23 dans cette région. Le regain d'activités militaires met fin à une période d'accalmie relative sur les fronts du territoire de Masisi. Rappelons que la coalition FARDC/Wazalendo, formée pour repousser les avancées du M23, a intensifié ses efforts pour défendre les localités stratégiques de la région. Alors que la situation reste tendue, la population locale appelle à une intervention rapide des autorités pour restaurer la sécurité et garantir la libre circulation sur les axes routiers. La SADC fustige la mise en place de nouvelles autorités par le M23 dans les zones occupées dans l’est de la RDC
Le sommet extraordinaire de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) a évoqué aussi l’organisation administrative locale dans les zones occupées par la rébellion du M23 dans l’Est de la RDC. Ce vendredi à Kinshasa, en faisant le compte-rendu du sommet, la ministre des affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba a souligné « la mise en place des autorités illégitimes et illégales par le Rwanda avec ses supplétifs du M23 en particulier dans le territoire de Rutshuru ». « Ceci a été perçu comme une violation flagrante de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de la République démocratique du Congo et condamné fermement. C’est un élément important qui a été soulevé par les Etats membres de la SADC », a indiqué Thérèse Kayikwamba. Cette question que le gouvernement qualifie de « dangereuse » a été mentionnée lors du Conseil des ministres de la semaine dernière. « Nous avons aussi constaté qu'ils sont passés à une étape encore plus dangereuse, c'est la reconnaissance des fausses autorités coutumières pour consacrer cette nouvelle organisation en dehors des populations autochtones », a rappelé le vice-premier ministre de l’intérieur, Jacquemain Shabani lors d’un récent séjour à Lubumbashi. Le chef de l’administration du territoire fait aussi état « de la transplantation de la population étrangère dans les villages et maisons de nos compatriotes qui se trouvent aujourd'hui réfugiés dans les différents camps des déplacés ».
Courage à toi ma préférée 😘
Bonsoir ma sœur, ma terre, félicitations pour le travail abattu
Nous ne faisons que des constatations depuis 3 Ans, LES Rwandais font la loi chez nous. DOMMAGE.
Slt bcp Senga ? Je te suit depuit Kigali Rwanda , en ignorant tous , je t'aime bcp
Ceux qui ne veulent pas l’état de siège, sont ceux-là qui sont complices de Kigali, consciemment ou inconsciemment.
Jusqu'à quand la population congolaise va subir ces atrocités ?
Que fait nôtre armée, devant le comportement de l'armée Rwandaise....
Tu parle bien francais ma chere Senga congratulations
Ça c'est la balkanisation...
Il y aura une vraie guerre après la guerre. C’est ce qu’ils ont fait au Rwanda après 1994. Ils écrivaient même des noms sur les banques pour dire que la maison est occupée.
Changement ya constituition esalema bazozela nini NAZALI na Angola de papa é de maman CONGOLÊS
Bsr madame ce qui nous étonne a quoi sert nos drones ainsi la SADEC ?
Où en sommes-nous avec la situation securitaire à l'est ? Combien de temps faut-il encore ?
Senga , apres la plui le bon temps , un jour je t'invite a Kigali
Notre armée est faible accepte les rwandais seulement et comme le président est voyageur et non un responsable c’est fini