Pas besoin de sources particulières, en situation de libre échange les barrières douanières sont quasi inexistantes, on constate alors une liberté de circulation des capitaux et donc de l'investissement, facteur qui va ensuite développer la production des entreprises et par conséquent alimenter la demande, stimuler la consommation. En consommant plus, les ménages vont permettre aux entreprises d'améliorer leur CA, ces dernières vont alors pouvoir embaucher de nouveaux salariés et/ou tirer les salaires à la hausse.
Permettez-moi de douter de ce que vous avancez, cela d'autant plus que vous ne citez pas de sources... Le libre-échange n' a pas que des effets bénéfiques tout comme d'autres agents économiques. En effet, sur le marché intérieur en particulie, le libre-échange produit de la déflation (Japon...) Quant à votre conclusion je suis un peu perplexe car dans les pays où le libre échange est appliqué on observe le contraire : une hausse du chômage et une baisse des salaires via notamment la production à l'étranger ou encore les travailleurs importés via la directive Bolkenstein..Au sujet de la déflation je vous invite à prendre connaissance de ce lien :www.economie.gouv.fr/facileco/deflation-effets-nefastes. Au plaisir de vous lire.
Je suis économiste universitaire et honnêtement il ne s'agit que de principes de bases de l'économie en situation de libre échange dans un contexte de concurrence pure et parfaite. Évidement que le libre échange n'a pas que des effets positifs, je suis d'accord avec vous sur ce fait, la situation du Japon est particulière et intéressante, la déflation japonaise qui a débuté au début des années 90 est relativement simple à comprendre. Avant 90, le Japon s'est spécialisé dans la production de produits manufacturés dits de "haute technologie", dans un 1e temps, la balance commerciale japonaise s'est améliorée et est devenus excédentaire (Exportation > Importations) le reste du monde s'est mis à acheter les produits japonais. Pour acheter ces produits japonais les pays importateurs devaient donc convertir leurs devises en Yen. Le Yen s'est donc fortement apprécié, après appréciation du Yen la balance commerciale japonaise est revenue à une situation d'équilibre car l'appréciation du Yen a conduis les Japonais à importer plus (car hausse du pouvoir d'achat à l'international). L'appréciation du Yen est synonyme d'inflation nationale, certains producteurs Japonais ont dû faire face à une concurrence accrue sur le marché mondial ce qui a créé des faillites japonaises (faillites qui ont principalement concernées les secteurs non industriels et au contraire consolidées le secteur industriel japonais aux yeux du reste du monde). Jusqu'ici tout va bien puisque on est encore dans une situation où l'inflation tire la valeur de la demande nationale (et donc le PIB) vers le haut mais cela ne fonctionne que dans le cas où la demande japonaise est également importante concernant les produits japonais, ce qui était le cas puisque le japon se hissait vers une avance technologique sur le reste du monde. Voilà donc l'explication de la forte croissance Japonaise pre-90s. Le problème dans ce cadre est la manière qu'a eu la banque centrale japonaise de faire face à la montée subite de la concurrence sur le marché international (concurrence qui je le rappelle a principalement touché les secteurs non industriels car les secteurs industriels ont justement été les moteurs de la croissance japonaise.). En effet la BCJ a décidé d'augmenter les crédits aux entreprises pensant, par conséquent, faire face à l'inflation nationale et les faillites d'entreprises (dû à l'appréciation du Yen). Malheureusement la forte croissance des crédits va avoir pour conséquence un assouplissement des règles d'éligibilité aux crédits, puis, en parallèle, une hausse de l'endettement des agents. On peut ici mettre en lumière les théories/explications économiques concernant la formation des crises et la définition de ces dernières comme étant des "phases" inhérentes à l'économie elle même (idées de Marx, Juglar et surtout Minsky et son fameux "paradoxe de la tranquillité"...) Fin des années 80; début des années 90 un autre problème majeurs arrive alors, fin 80 la création d'une bulle immobilière au Japon, va, après éclat, créer une situation de récession économique et entrainer les ménages et agents financiers japonais dans une situation d'insolvabilité doublée d'une forte crainte qui par la suite va entrainer l'économie japonaise toute entière dans une phase de déflation jusqu'en 2008 (signes de sortie de la déflation) mais malheureusement début de la pandémie des subprimes qui va donc replonger le Japon dans une situation déflationniste. Pour en revenir avec votre définition du libre échange qui serait facteur de déflation et bien je ne suis pas de votre avis, de manière générale l'ouverture au marché international va plutôt créer une inflation qui, sauf dans de rares cas (exemple avec la crise pétrolière des années 70 et la remise en compte de la courbe de Phillips) va alors effectivement amener l'économie vers une déflation. Voici mon explication des conséquences de la participation d'un pays "pauvre" (puis "riche") dans le commerce international: Si un pays sous-développé s’ouvre aux échanges mondiaux, les ménages/consommateurs de ce pays vont alors subir une perte de pouvoir d'achat à l'international (les produits Français sont plus chers que les produits Indiens par exemple) et donc une perte de bien être MAIS parallèlement les producteurs/entreprises de ce même pays sous-développé vont eux être avantagés car ils fabriquent des produits nécessitants des couts de production qui sont bien moins chers que ceux de leurs partenaires des pays riches, les producteurs du pays S.D vont donc beaucoup vendre sur le marché international, ce qui signifie une amélioration de la balance commerciale (hausse des exportations donc on tend vers une situation où les exportations vont, à LT égaliser les importations, voir les dépasser), une appréciation de la monnaie nationale et par conséquent, vous l'avez compris, une inflation qui va booster la croissance du PIB. Dans le cas d'un pays développé ce sont les producteurs qui vont être désavantagés sur le marché mondial cependant dans cette situation on considère que la monnaie nationale est déjà très "puissante" ( Dollar; Euro; Livre Sterling;...) donc les ménages/consommateurs ont un fort pouvoir d'achat sur les produits venants de pays sous développés. D'où la forte croissance du PIB dans les pays sous-développés (dans le cas où ces pays sont ouverts aux échanges internationaux bien évidement) et la relative faible (voir stagnation) de la croissance du PIB des pays développés. A ces règles de l'économie en situations de libre échange en concurrence pure et parfaite ont trouve bien évidement des cas à part comme celui de la Chine qui grâce à des barrières douanières très fortes vis-à-vis des produits et/ou services venant de l'étranger va biaiser les résultats, les termes de l'échange. Enfin, en ce qui concerne la hausse du chômage et bien c'est tout simplement une variable qui dépend fortement de la politique en matière de marché du travail qui s'applique dans le pays x Dans un pays comme les USA où le système social assurantiel est bien plus développé que le système mutualiste et/ou d'assistance, le taux de chômage est très bas, on considère même le pays dans une situation de chômage avec équilibre de sous emploi ( 7% à la fin de l'ère Bush à environ 4% à la fin de l'ère Obama soit une situation proche du plein emploi) là il s'agit de définir la position du pays idéologiquement en matière de protection sociale. En France nous avons une vision très keynésienne, très interventionniste de l’État en ce qui concerne la politique sociale, il faut aujourd'hui se demander si la France n'est pas victime de cette forte dépendance aux aides sociales, sur le plan économique j’entends. le sujet est épineux et je ne souhaite pas forcément m'y attarder mais pour vous répondre je dirait que les situations de marché du travail où le libéralisme et la non intervention étatique sur le marché de l'emploi sont lois ont plutôt tendance à résorber le chômage, c'est le cas en Allemagne, au R.U, aux USA et dans biens d'autres pays développés. Cependant pour nuancer mes propos en bon économiste j’ajouterait qu'on peut constater que les pays dotés d'un faible taux de chômage sont souvent les pays où l'emploi dit "précaire" est aussi plus important, pas LE plus important mais simplement plus important que dans un pays où il y'a une forte implication de l’État dans la redistribution des taxes et le financement social. Dans tout les cas si on se fixe du point de vue d'un pays développé, la délocalisation, à long terme permet de réaliser des économies de coûts qui ne sont pas négligeables pour les entreprises, ces coûts sont supposés moindre nationalement à terme SAUF si l'entreprise décide d'augmenter sa marge bénéficiaire et de profiter (aux dépends de la population intérieure) des économies réalisés... Tout ces mécanismes sont complexes et divers d'un pays à l'autre, la politique sociale est parfois plus proche de l'idéologie, du passé historique d'un pays; continent; région que des fondements purement et simplement économiques je veux bien l'avouer. Une chose est sûre, ce n'est pas la production à l'étranger qui est responsable de la hausse du chômage, il faut être bien clair avec ça, réfléchir de la sorte c'est à mon avis se voiler la face. l'ouverture au libre échange signifie que vous comme moi étant dans un pays développé, nous pouvons avoir accès à une gamme BIEN PLUS LARGE de produits venant du monde entier et par conséquent venant de pays où ils sont produits à des couts de production bien plus faible...n'est ce pas là la lueur d'une hausse de pouvoir d'achat ??? Bonne journée à vous.Monsieur Rehberg.
Vous n'êtes pas sans ignorer qu'au début du processus, le libre-échange produit des effets séduisants, alors que par la suite il en va tout autrement. Je serais curieux de savoir comment sur le long terme on peut créer de l'inflation dans une situation de libre échange telle que nous la connaissons en Europe et prétendre qu'au final il y a une hausse de pouvoir d'achat alors que dans les faits c'est exactement le contraire que nous constatons... bonne soirée Monsieur
Ce que vous affirmez est faux, le seul fait de vivre en autarcie nous plongerais dans une situation économique que vous n'avez pas l'air d'entrevoir, pousser votre raisonnement sur la question, lisez, comprenez et vous vous en rendrez compte. bonne soirée à vous.
![[BAC] Cours Commerce International - Le libre échange](http://i.ytimg.com/vi/8bIpGRXc93g/mqdefault.jpg)
Oui, cette vidéo m'a été utile je vous en remercie du fond du coeur
Merci! très utile pour les révisions
La hausse du salaire ? Pour le libre échange ? pouvez vous citer votre source svp ?
Pas besoin de sources particulières, en situation de libre échange les barrières douanières sont quasi inexistantes, on constate alors une liberté de circulation des capitaux et donc de l'investissement, facteur qui va ensuite développer la production des entreprises et par conséquent alimenter la demande, stimuler la consommation. En consommant plus, les ménages vont permettre aux entreprises d'améliorer leur CA, ces dernières vont alors pouvoir embaucher de nouveaux salariés et/ou tirer les salaires à la hausse.
Permettez-moi de douter de ce que vous avancez, cela d'autant plus que vous ne citez pas de sources... Le libre-échange n' a pas que des effets bénéfiques tout comme d'autres agents économiques. En effet, sur le marché intérieur en particulie, le libre-échange produit de la déflation (Japon...) Quant à votre conclusion je suis un peu perplexe car dans les pays où le libre échange est appliqué on observe le contraire : une hausse du chômage et une baisse des salaires via notamment la production à l'étranger ou encore les travailleurs importés via la directive Bolkenstein..Au sujet de la déflation je vous invite à prendre connaissance de ce lien :www.economie.gouv.fr/facileco/deflation-effets-nefastes. Au plaisir de vous lire.
Je suis économiste universitaire et honnêtement il ne s'agit que de principes de bases de l'économie en situation de libre échange dans un contexte de concurrence pure et parfaite. Évidement que le libre échange n'a pas que des effets positifs, je suis d'accord avec vous sur ce fait, la situation du Japon est particulière et intéressante, la déflation japonaise qui a débuté au début des années 90 est relativement simple à comprendre.
Avant 90, le Japon s'est spécialisé dans la production de produits manufacturés dits de "haute technologie", dans un 1e temps, la balance commerciale japonaise s'est améliorée et est devenus excédentaire (Exportation > Importations) le reste du monde s'est mis à acheter les produits japonais.
Pour acheter ces produits japonais les pays importateurs devaient donc convertir leurs devises en Yen. Le Yen s'est donc fortement apprécié, après appréciation du Yen la balance commerciale japonaise est revenue à une situation d'équilibre car l'appréciation du Yen a conduis les Japonais à importer plus (car hausse du pouvoir d'achat à l'international). L'appréciation du Yen est synonyme d'inflation nationale, certains producteurs Japonais ont dû faire face à une concurrence accrue sur le marché mondial ce qui a créé des faillites japonaises (faillites qui ont principalement concernées les secteurs non industriels et au contraire consolidées le secteur industriel japonais aux yeux du reste du monde). Jusqu'ici tout va bien puisque on est encore dans une situation où l'inflation tire la valeur de la demande nationale (et donc le PIB) vers le haut mais cela ne fonctionne que dans le cas où la demande japonaise est également importante concernant les produits japonais, ce qui était le cas puisque le japon se hissait vers une avance technologique sur le reste du monde. Voilà donc l'explication de la forte croissance Japonaise pre-90s.
Le problème dans ce cadre est la manière qu'a eu la banque centrale japonaise de faire face à la montée subite de la concurrence sur le marché international (concurrence qui je le rappelle a principalement touché les secteurs non industriels car les secteurs industriels ont justement été les moteurs de la croissance japonaise.). En effet la BCJ a décidé d'augmenter les crédits aux entreprises pensant, par conséquent, faire face à l'inflation nationale et les faillites d'entreprises (dû à l'appréciation du Yen). Malheureusement la forte croissance des crédits va avoir pour conséquence un assouplissement des règles d'éligibilité aux crédits, puis, en parallèle, une hausse de l'endettement des agents. On peut ici mettre en lumière les théories/explications économiques concernant la formation des crises et la définition de ces dernières comme étant des "phases" inhérentes à l'économie elle même (idées de Marx, Juglar et surtout Minsky et son fameux "paradoxe de la tranquillité"...)
Fin des années 80; début des années 90 un autre problème majeurs arrive alors, fin 80 la création d'une bulle immobilière au Japon, va, après éclat, créer une situation de récession économique et entrainer les ménages et agents financiers japonais dans une situation d'insolvabilité doublée d'une forte crainte qui par la suite va entrainer l'économie japonaise toute entière dans une phase de déflation jusqu'en 2008 (signes de sortie de la déflation) mais malheureusement début de la pandémie des subprimes qui va donc replonger le Japon dans une situation déflationniste.
Pour en revenir avec votre définition du libre échange qui serait facteur de déflation et bien je ne suis pas de votre avis, de manière générale l'ouverture au marché international va plutôt créer une inflation qui, sauf dans de rares cas (exemple avec la crise pétrolière des années 70 et la remise en compte de la courbe de Phillips) va alors effectivement amener l'économie vers une déflation.
Voici mon explication des conséquences de la participation d'un pays "pauvre" (puis "riche") dans le commerce international:
Si un pays sous-développé s’ouvre aux échanges mondiaux, les ménages/consommateurs de ce pays vont alors subir une perte de pouvoir d'achat à l'international (les produits Français sont plus chers que les produits Indiens par exemple) et donc une perte de bien être MAIS parallèlement les producteurs/entreprises de ce même pays sous-développé vont eux être avantagés car ils fabriquent des produits nécessitants des couts de production qui sont bien moins chers que ceux de leurs partenaires des pays riches, les producteurs du pays S.D vont donc beaucoup vendre sur le marché international, ce qui signifie une amélioration de la balance commerciale (hausse des exportations donc on tend vers une situation où les exportations vont, à LT égaliser les importations, voir les dépasser), une appréciation de la monnaie nationale et par conséquent, vous l'avez compris, une inflation qui va booster la croissance du PIB.
Dans le cas d'un pays développé ce sont les producteurs qui vont être désavantagés sur le marché mondial cependant dans cette situation on considère que la monnaie nationale est déjà très "puissante" ( Dollar; Euro; Livre Sterling;...) donc les ménages/consommateurs ont un fort pouvoir d'achat sur les produits venants de pays sous développés. D'où la forte croissance du PIB dans les pays sous-développés (dans le cas où ces pays sont ouverts aux échanges internationaux bien évidement) et la relative faible (voir stagnation) de la croissance du PIB des pays développés.
A ces règles de l'économie en situations de libre échange en concurrence pure et parfaite ont trouve bien évidement des cas à part comme celui de la Chine qui grâce à des barrières douanières très fortes vis-à-vis des produits et/ou services venant de l'étranger va biaiser les résultats, les termes de l'échange.
Enfin, en ce qui concerne la hausse du chômage et bien c'est tout simplement une variable qui dépend fortement de la politique en matière de marché du travail qui s'applique dans le pays x
Dans un pays comme les USA où le système social assurantiel est bien plus développé que le système mutualiste et/ou d'assistance, le taux de chômage est très bas, on considère même le pays dans une situation de chômage avec équilibre de sous emploi ( 7% à la fin de l'ère Bush à environ 4% à la fin de l'ère Obama soit une situation proche du plein emploi) là il s'agit de définir la position du pays idéologiquement en matière de protection sociale. En France nous avons une vision très keynésienne, très interventionniste de l’État en ce qui concerne la politique sociale, il faut aujourd'hui se demander si la France n'est pas victime de cette forte dépendance aux aides sociales, sur le plan économique j’entends. le sujet est épineux et je ne souhaite pas forcément m'y attarder mais pour vous répondre je dirait que les situations de marché du travail où le libéralisme et la non intervention étatique sur le marché de l'emploi sont lois ont plutôt tendance à résorber le chômage, c'est le cas en Allemagne, au R.U, aux USA et dans biens d'autres pays développés. Cependant pour nuancer mes propos en bon économiste j’ajouterait qu'on peut constater que les pays dotés d'un faible taux de chômage sont souvent les pays où l'emploi dit "précaire" est aussi plus important, pas LE plus important mais simplement plus important que dans un pays où il y'a une forte implication de l’État dans la redistribution des taxes et le financement social.
Dans tout les cas si on se fixe du point de vue d'un pays développé, la délocalisation, à long terme permet de réaliser des économies de coûts qui ne sont pas négligeables pour les entreprises, ces coûts sont supposés moindre nationalement à terme SAUF si l'entreprise décide d'augmenter sa marge bénéficiaire et de profiter (aux dépends de la population intérieure) des économies réalisés...
Tout ces mécanismes sont complexes et divers d'un pays à l'autre, la politique sociale est parfois plus proche de l'idéologie, du passé historique d'un pays; continent; région que des fondements purement et simplement économiques je veux bien l'avouer.
Une chose est sûre, ce n'est pas la production à l'étranger qui est responsable de la hausse du chômage, il faut être bien clair avec ça, réfléchir de la sorte c'est à mon avis se voiler la face.
l'ouverture au libre échange signifie que vous comme moi étant dans un pays développé, nous pouvons avoir accès à une gamme BIEN PLUS LARGE de produits venant du monde entier et par conséquent venant de pays où ils sont produits à des couts de production bien plus faible...n'est ce pas là la lueur d'une hausse de pouvoir d'achat ???
Bonne journée à vous.Monsieur Rehberg.
Vous n'êtes pas sans ignorer qu'au début du processus, le libre-échange produit des effets séduisants, alors que par la suite il en va tout autrement. Je serais curieux de savoir comment sur le long terme on peut créer de l'inflation dans une situation de libre échange telle que nous la connaissons en Europe et prétendre qu'au final il y a une hausse de pouvoir d'achat alors que dans les faits c'est exactement le contraire que nous constatons... bonne soirée Monsieur
Ce que vous affirmez est faux, le seul fait de vivre en autarcie nous plongerais dans une situation économique que vous n'avez pas l'air d'entrevoir, pousser votre raisonnement sur la question, lisez, comprenez et vous vous en rendrez compte. bonne soirée à vous.
Super
video très utiles merci beaucoup