Stop au liseron ! La méthode infaillible expliquée scientifiquement.
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- Опубликовано: 1 янв 2025
- Le liseron est un véritable fléau dans nos jardins et potagers.
Dans cette vidéo, nous allons explorer une méthode efficace pour lutter contre le liseron sans compromettre la santé de nos jardins et potagers.
Je vous explique pourquoi cela fonctionne, en entrant dans les détails de la biologie cellulaire et du mécanisme d'osmose.
Accrochez-vous , mais pas trop, je vais simplifier au maximum pour une bonne compréhension par tous, même si vous n’y connaissez rien en biologie cellulaire ou en chimie. Tout sera très clair ensuite.
Un extrait de la remarquable vidéo, réalisée par le professeur Stéphane Chouleur (professeur au Lycée Claude Fauriel à Saint-Étienne), présente une observation au microscope de ce qui se déroule à l’intérieur des cellules places dans un milieu salin.
Je remercie le professeur Stéphane Chouleur de m’avoir autorisé à utiliser sa vidéo didactique.
Track: Dramatic Epic [Epic Music] by MokkaMusic / Invasion • (No Copyright Music) Dramatic Epic [E... Music provided by "MokkaMusic" channel and inaudio.org
Super recette et qui marche top 👍👍👍
Merci beaucoup pour ces informations très instructives. Je vais utiliser cette pratique sur les liserons qui envahissent des petits fruitiers; Cependant, j'ai eu beaucoup de mal à garder ma concentration d'écoute car la musique de fond a grandement parasité mon attention et m'a demandé des retours en arrière pour capter toutes les informations.
Merci pour ce commentaire très pertinent, je vais en tenir compte pour la prochaine vidéo.
Cordialement
Hugues
Merci je connaissais déjà mais pas aussi bien expliqué
Merci pour le commentaire
Hugues
Merci de Montréal Canada. A solution est intéressante mais trop d'explications scientifiques. Juste le bon dosage.
Bonjour, je souhaitais expliquer de façon scientifique mais accessible à tous ces aspects biologiques et chimiques, souvent très complexes, en les vulgarisant pour les rendre compréhensibles par tous.
Cordialement
Hugues
Salut, merci pour la recette 👍
Pour les infestations légères, une méthode sans produits consiste à arracher les parties visibles puis enfermer les repousses aériennes qui sortirons dans des contenants opaques, comme des boites de conserves de récup, et d'arracher périodiquement ces repousses. La plante est ainsi privée de photosynthèse et les parties souterraines s'épuisent à produire de la végétation qui ne lui rapporte rien. Elles finissent ainsi par péricliter et disparaître, au prix d'un peu d'assiduité peut-être sur plusieurs saisons. Je n'ai pas testé cette méthode énoncée par Did67 du Potager du paresseux car j'ai la chance de ne pas avoir de liseron.
tu as beaucoup de chance de ne pas avoir de mildiou. Mais je pense que la méthode que tu cites s'applique uniquement pour une infestation très légère et sur un espace réduit. Sinon c'est mission impossible et Tom Cruise n'est pas dispo.
Hugues
@@nuestropotager Oui, sur un terrain tapissé de liseron comme celui qu'on voit, il doit y avoir des pieds de liseron partout, ça deviendrait un champ de boites de conserves ! 😅
Bonne continuation, c'est plaisant d'avoir ainsi des explications détaillées sur le pourquoi du comment 👍
Merci pour ces commentaires honnêtes et constructifs (ce n’est pas toujours le cas, c’est rare mais ça arrive. Je me suis créé un cuticule cireux contre ceux-ci 🤣).
Vulgariser les matières scientifiques est essentiel, quel que soit le domaine. Moi, ça me passionne.
Cordialement
Hugues
Merci !
Est ce qu on peut faire de même avec le chiendent ?
Tout à fait. Les mêmes mécanismes liés à l'osmose s'appliquent
Cordialement
Hugues
@@nuestropotager merci beaucoup !
Bonjour. Je pratique exactement la même méthode pour le ronces.
quel est votre retour d'expérience avec les ronces?
Cordialement
Hugues
@@nuestropotager En fait, je laisse tremper l'extrémité d'une ronce dans un petit bocal contenant du vinaigre d'alcool à 10°, c'est-à-dire, le début d'une marcotte trempé dans ce vinaigre. Et la ronce va en boire un peu et ce vinaigre va se disperser dans toute la plante jusqu'aux racines. Après environ 2 mois, la ronce est devenue complètement brun clair, desséchée et morte, jusqu'aux racines incluses.
Pour bien faire, il faut faire ça pour chaque ronce. J'ai environ 100 m2 de ronce, j'ai déjà brulé environ 20 m2 cette année. J'en ai encore pour 2 à 3 ans pour complètement en arriver à bout. Plus, vous placez de bocaux de vinaigre, plus ça ira vite. Pour ma part, je fais quand même attention aux chats, aux rongeurs, etc...Région de Tournai en Belgique.
Très intéressant, merci du partage d'expérience. Un couvercle ou un protection contre la pluie au dessus des bocaux?
@@nuestropotager Juste un petit plastique bien tendu pour fermer le bocal avec une grosse élastique ou de la ficelle. Mais aussi une brique ou une pierre pour bien stabiliser le bocal.
Astucieux et pratique
Merci
Le chlorure de calcium est un « déchet » de la fabrication de la soude (carbonate de sodium) par le procédé Solvay. La découverte d’immenses gisements de trona, notamment au Wyoming, a entrainé la fermeture de nombreuses usines et la raréfaction du chlorure de calcium. Pour le déneigement, c’est le sel gemme qui est le plus utilisé actuellement, il doit sa coloration rose à l’addition de… mazout de chauffage, ce qui le rend impropre à la consommation alimentaire, probablement pour une question de droits d’accises.
De par ses propriétés hygroscopiques, le chlorure de calcium est utilisé dans un type de déshumidificateur d’air (Déshumidificateur Limpro, 4,97 € chez Action pour 1,8 kg de matière active, nettement plus cher que le sel de table mais la disparition du liseron vaut bien de casser sa tirelire). À noter que ce sel, une fois gorgé d’eau, peut être régénéré en le chauffant à plus de 100° C et réutilisé indéfiniment pour cet usage.
J'ai déjà fait cette méthode et c'est long quand on a beaucoup de liseron. En plus certains liserons arrêtent leur décomposition avant le rhizome et repoussent. Trouver et arracher les rhizomes prend plus de temps mais au bout de quelques années on peut les éradiquer mais ce n'est toujours pas ce que je conseille. La meilleure méthode est de couvrir intégrament une surface d'une bâche noire assez solides et qui ne se décompose pas peut suffir. mais alors comment faire pour les légumes en attendant? Simplement les cultiver avec de la terre, du sable, du terreau ou du compost par dessus à condition évidemment qu'il soit vierge de liseron évidemment. Le mieux est de laisser la bâche durant 3 ans. Et si on veut éviter la bâche, il y a toujours 4 ou 5 couches de cartons récupérés à mettre au sol et à renouveller à chaque récolte (il se décompose rapidement), pas besoin d'aller le déterrer, ça ne sert à rien, il faudra renouveller la couche de carton puis la couche de compost à chaque période de récolte/semis : fin hiver~début printemps et fin été~début automne pour les plantes d'hiver.
Tout à fait d'accord. C'est la quadrature du cercle. Il y a eu une prolifération "explosive" du mildiou cette année. Le problème est qu'il a envahi des zones "non maraîchères" avec des mûriers, des framboisiers,... Placer une bâche est impossible. Le problème n'est vraiment pas simple. Pour certains (commentaires sur la vidéo), ce n'est pas un problème, il faut laisser faire la nature (pas de commentaires ..).
@@nuestropotager ah oui, effectivement, moi c'est exclusivement potager. Et je ne suis pas d'accord avec ces commentaires, si on laisse faire la nature, autant ne pas faire de jardin du tout! Pour moi, il y a un compromis entre ce que l'homme fait et ce que fait la nature, le but étant qu'on nuise le moins possible à l'un et à l'autre car on est tous interdépendants. Parfois, il y a des sacrifices à faire mais si on peut les éviter, on les évite.
Perso, j'oscille entre les données scientifiques, les expériences de chacun, de nombreuses expériences les plus rigoureuse possible et surtout la réflexion pour contourner les problèmes. Bref, on en apprends tous les jours, il ne faut pas avoir peur des erreurs. Mais il faut aussi éviter de reproduire les erreurs des autres, c'est pourquoi je regarde beaucoup de chaîne de personnes qui disent leurs erreurs, les analyses et se remettent en question mais surtout ceux qui s'appuie sur les connaissances scientifiques actuelles.
Pour ton problème, de zone non maraîchère, je ne vois qu'une chose, surtout si tu manque de place, mais elle est gourmande en énergie temporairement et peut aller à l'encontre d'une certaine esthétique rehcerché mais aussi ça peut avoir un impacte sur les plantes si elles ne s'y plaisent pas : les replanter dans des zones maraîchères non infesté, et faire la méthode de la bâche là où était ces plantes et en faire une zone maraîchère.
mes conseils, d'après mon expérience sur la méthode que tu présentes, que tu fais si vraiment tu ne veux pas la méthode de la bâche : vinaigre+tensio-actif+NaCl mais fais attention au sel qui peut s'échapper quand-même, ça risque d'impacter les autres cultures, tout est une question de dose, et il faut se rappeler que le sel est basique et à tendance à annuler l'acidité du vinaigre, donc bien vérifier le pH avec du chou rouge par exemple si tu évites le papier pH. Et rapproche le produit le plus possible du rhizome, l'enterrer légèrement est toujours mieux, cette méthode demande une attention constante et une planification parfaite surtout quand on a beaucoup de liseron. je ne m'embarassais pas des parties aériennes, je coupais chaque tige de liseron mais en laissant une longueur suffisante pour que ça aille dans la solution. La solution étant dans un compartiment parfaitement fermé car attention, on est jamais à l'abris que la solution s'échappe surtout quand il y en a beaucoup et mal fermé! Le mieux pour moi était les petits bocaux de confitures, et les tubes de médicaments effervescents. Mais j'en ai retrouvé un cassé et vide, donc attention malgré tout avec les récipients en plastique.
On ne sait pas déplacer les plantes (groseillers, framboisiers,...) car c'est un potager collectif et elles sont sur différentes parcelles gérées par différentes personnes. Et la gestion (façon de parler) d'un groupe d'humain est toujours assez délicate et demande une bonne touche d'équilibriste. Pour ce qui est du débordement, je place ces petits toits mais je ne laisse pas les pots en place trop longtemps non plus.
@@nuestropotager Ah oui, je comprends mieux la situation, en tout cas je souhaite que cette situation s'améliore pour vous tous, il n'y a hélas pas de solutions miracles et je n'ai pas de meilleures idées à part peut-être en discuter entre vous et élaborer un plan ensemble, enfin bon courage pour la suite 👍
Très intéressant.
Étant moi-même chercheur j'ai apprécié la clarté du propos.
Tout ceci m'a rapellé la vidéo de blast sur les actions de l'association Secret toxiques. Ils y répétaient que sans tensio-actif le glyphosate ne pénétrait pas dans la plante. Tout est dit.
ruclips.net/video/RAbqVRNbepU/видео.htmlsi=aStC6PwhbiyygovY
Merci pour ce commentaire encourageant
Cordialement
Hugues
Est-ce que cela ne va pas contaminer la terre du potager ?
Non, mais certaines précautions sont à considérer :
Lorsque de l'acide acétique est versé sur le sol, il va généralement se dégrader rapidement. Ce processus dépend de plusieurs facteurs environnementaux comme la température, la composition du sol, et l'exposition à la lumière et à l'air.
On va avoir 4 processus de dégradation de l'acide acétique dans le sol :
1) L'acide acétique est très soluble dans l'eau, ce qui signifie qu'il se dissout rapidement dans l'humidité présente dans le sol.
2) Une grande partie de l'acide acétique sera décomposée par des micro-organismes présents dans le sol. Ces bactéries et champignons utilisent l'acide acétique comme source d'énergie et le dégradent en composants inoffensifs comme le dioxyde de carbone et l'eau.
3) Réactions chimiques : L'acide acétique peut aussi réagir avec les composants du sol (comme les minéraux) et se neutraliser. Cela dépend du pH et de la capacité tampon du sol.
4) Évaporation : Dans certaines conditions, une petite quantité d'acide acétique peut s'évaporer dans l'air, mais cela dépend de la concentration et de l'exposition directe à l'air.
L'acide acétique se dégrade rapidement dans un environnement naturel. En fonction des conditions, il peut se décomposer en quelques heures à quelques jours, particulièrement grâce à l'activité microbienne. Cependant, une utilisation excessive pourrait temporairement affecter l'acidité du sol, rendant celui-ci plus acide à court terme, ce qui pourrait avoir un impact sur les plantes sensibles au pH.
Par contre, le NaCl, lorsqu'il est versé sur le sol, ne se recombine ni ne se dégrade de la même manière que d'autres composés, tels que les produits organiques ou l'acide acétique. En fait, il reste sous forme de ions Na⁺ (sodium) et Cl⁻ (chlorure) dans le sol, car il est un sel stable qui ne subit pas de dégradation chimique naturelle.
Si une grande quantité de NaCl est appliquée, cela peut provoquer une salinisation du sol, un phénomène difficile à inverser, et rendre le sol moins fertile pour les cultures. Pour éliminer cet excès de sel, il faut soit rincer abondamment le sol avec de l'eau, soit attendre que le sel soit emporté naturellement par le drainage ou l'infiltration, un processus qui peut être lent.
Les quantités de NaCl considérées ici sont assez faibles. Néanmoins, il vaut mieux éviter de renverser les récipients et les placer sur une surface bien stable. Ne pas les "oublier pas sur place" pendant des mois. Quelques jours suffisent. Personnellement, je place un piquet de marquage au sol pour ne pas l’oublier.
Cordialement
Hugues
@@nuestropotager merci pour cette réponse détaillée !
Je ne suis pas d'accord pour cette solution dans un jardin, il faut tout simplement l'arraché
Etes-vous volontaire pour venir chez nous et arracher le liseron sur l'ensemble du potager et environs? Vous pouvez rester une semaine et à la fin de la semaine, vous repasser sur le début. L'arracher est inutile au vu du système racinaire très particulier du liseron.
Vidéo intéressante, mais sinon il y a le Cacl² qui sera bien plus puissant que du NaCl... merci pour la vulgarisation chimique et biologique, que je salue, mais beaucoup d'explications pour une solution peu efficace. comme vous le dites dans la vidéo, l'action ne sera pas racinaire mais que foliaire.... (mon commentaire ne se veut nullement péjoratif sur votre vidéo, juste critique)😉
Vous avez raison, plus il y a d'ions dans une solution, plus la pression osmotique sera élevée. Le NaCl en libère 2 tandis que le CaCl2 en libère 3.
Et ainsi pour une concentration équivalente, CaCl₂ produit une pression osmotique 50 % plus élevée que NaCl.
Je vais réaliser des essais comparatifs, qui auront une valeur scientifique toute relative car je ne vais pas trouver 2 plants de liseron avec les mêmes carateristiques.
Merci pour la suggestion et pour votre commentaire très constructif.
Cordialement
Hugues
@@nuestropotager
Vous verrez, résultat incomparable , bcp plus rapide, et produit "gratuit", j'utilise le soluté de mes absorbeurs d'humidité.
Vous l'appliquez un jour de chaleur et de grand soleil, presque aussi instantané que de l'acide acétique.
Cordialement.
Essai programmé pour demain. Le sel de déneigement (CaCl2, pas NaCl) coûte peut-être moins cher mais on ne le trouve facilement qu'en période hivernale
@@nuestropotager
Dans l'attente de vos retours d'essai.
Effectivement en sel de déneigement il est beaucoup moins cher qu'en recharge pour pour absorbeur d'humidité.
L’essai est en cours.
Néanmoins il y a un souci. J’ai calculé le ratio de la pression osmotique entre deux solutions avec un poids identique de NaCl pour l’une et CaCl2 pour l’autre.
La formule de la pression osmotique est P= i . M . R . T
avec
i = facteur de Van’t Hoof (pour NaCl i=2 (Na+ et Cl- ) et pour CaCl2 i=3 (2 Ca++ et 2 Cl-)
M = concentration molaire
R = constante des gaz parfaits
T = température absolue
La concentration molaire d'une solution contenant 335 grammes de NaCl dissous dans 2 litres d'eau = 2,87 mol/L
La concentration molaire d'une solution contenant 335 grammes de CaCl2 dissous dans 2 litres d'eau = 1,51 mol/L
Pour comparer sans connaître R et T (puisqu'ils s'annulent dans un ratio), il suffit de comparer les produits de i . M
Pour NaCl : i . M = 2 . 2,87 = 5.74
Pour CaCl₂ : i . M = 3 . 1,51 = 4.53
Conclusion :
La pression osmotique de la solution de NaCl est plus élevée que celle de la solution de CaCl₂. Il y a une différence de 26%. La solution avec du NaCl serait plus efficace.
Point de vue intéressant mais à mes yeux limité. Pourquoi remplacer un intrant chimique par un autre ? Et si à la place on essayer de comprendre pourquoi le liseron est dans notre jardin ? La réponse avec Gérard Ducerf : m.ruclips.net/video/8r8Q2j7RnGw/видео.html&pp=ygUObGlzZXJvbiBkdWNlcmY%3D
J’ai visionné la vidéo que vous renseignez.
J’ai de nombreux commentaires:
1. Il existe non pas 2 variétés de liserons mais bien plus de 40.
2. Le liseron pousse particulièrement bien dans les sols riches en nutriments, bien aérés et avec une bonne rétention d'humidité. Nous sommes en Belgique, les sols sont riches et en Belgique il pleut, il pleut beaucoup.
3. Le redoutable liseron des haies (Calystegia sepium) arrive dans le jardin par la voie aérienne, grâce à ses graines fertiles, apportées par le vent et les oiseaux, et le conquiert par la voie souterraine, ses rhizomes.
4. Le liseron conquiert tout l’espace, même si cet espace n’a pas été travaillé. Sur ma vidéo vous voyez très bien qu’il a envahi une parcelle de framboisier. Et monsieur Ducerf ne pourra pas me dire que le sol est déséquilibré, il n'a pas les analyses du sol devant les yeux.
5. Si monsieur Ducerf a des années devant lui à attendre que le liseron fasse son effet comme mentionné dans sa vidéo, c’est son problème et son conseil. Chacun est libre et maître chez soi. Mais pour la majorité des personnes ayant un jardin (petit ou grand) le liseron est très envahissant, que ce soit pour un potager ou un jardin d’agrément. Et je ne connais personne qui va attendre 10 ans pour profiter de son jardin ou de son potager.
6. En ce qui concerne le laisser aller : Je peux comprendre votre intérêt pour une approche plus naturelle et votre confiance en ce que dit cette personne. Cependant, il est essentiel de prendre en compte ce que la science apporte également. Les scientifiques basent leurs conclusions sur des années de recherche, d'expérimentation, et de preuves concrètes. Leurs conseils ne sont pas là pour s'opposer à la nature, mais pour la comprendre et l'utiliser de la meilleure façon possible pour notre santé et celle de l'environnement.
7. Laisser faire la nature a ses limites. Par exemple, si on ne traitait pas certaines maladies, elles pourraient devenir mortelles alors qu'elles sont aujourd'hui évitables. Il en va de même pour les pratiques agricoles ou environnementales : la science aide à prévenir des désastres naturels ou des pénuries alimentaires.
8. Chacun est libre de penser ce qu'il veut, nous sommes fort heureusement en démocratie et les commentaires sur mes vidéos sont les bienvenus. Il y a toujours quelque chose de positif à en retirer, que ce soit une critique positive, un encouragement ou une critique négative. Le votre est très honnête et je respecte votre point de vue, c'est pourquoi j'y répond ouvertement. Je profite de votre commentaire (j'abuse, je sais) pour rappeler que les commentaires doctrinaires ou sectaires sont supprimés, mes parents m'ont transmis de toutes autres valeurs. Pour information, mes parents étaient agriculteurs, il y avait un très grand potager à la ferme et j'ai eu mon petit lopin de potager quand j'avais 8 ans.
Cordialement et merci d'avoir visionné cette vidéo.
Encore désolé d'avoir abusé de votre commentaire pour remettre l'église au milieu du village.
Hugues
Merci d'avoir pris le temps de répondre à mon commentaire. Je ne cherche pas à provoquer une guerre de chapelle et loin de moi l'idée de laisser faire les choses.
En vous écoutant parler de chimie, je me suis seulement dit que vous seriez également intéressé par une autre approche, qui est la compréhension de l'état du sol à un instant "T" qui va créer la condition de levée de dormante des graines et donc le caractère bio-indicateur des plantes présentes.
Si mon propos vous interpelle je vous invite vivement à creuser ce sujet, et notamment les travaux de Ducerf qui ne sont pas de la sorcellerie mais bien des travaux appuyés sur la science et l'observation depuis fort.longtemps.
Bien à vous.