Dans la tétralogie de l'Anneau du Nibelung, vaste fresque mythologique issue des fonds de la mémoire collective nordique, la mémoire est présente sous des formes multiples. Personnifiée par Erda, la déesse-mère, et par ses filles les Nornes, symbolisée pour le dieu Wotan par ses corbeaux, elle se trouve manipulée chez le héros Siegfried, jouet des philtres d'oubli et de réminiscence.
Un peu marre de ces analyses "autosatisfaisantes" des analystes c'est de la démystification, de la cassation du rêve (surtout avec une sémantique moderniste)... Au moins si vous vous sentez l'obligation d'analyser (à votre idée) cette fresque faites le avec un langage ad hoc. On a l'impression d'avoir affaire à un nuage de points ou diagramme de dispersion.
Dans la tétralogie de l'Anneau du Nibelung, vaste fresque mythologique issue des fonds de la mémoire collective nordique, la mémoire est présente sous des formes multiples. Personnifiée par Erda, la déesse-mère, et par ses filles les Nornes, symbolisée pour le dieu Wotan par ses corbeaux, elle se trouve manipulée chez le héros Siegfried, jouet des philtres d'oubli et de réminiscence.
Un peu marre de ces analyses "autosatisfaisantes" des analystes c'est de la démystification, de la cassation du rêve (surtout avec une sémantique moderniste)...
Au moins si vous vous sentez l'obligation d'analyser (à votre idée) cette fresque faites le avec un langage ad hoc.
On a l'impression d'avoir affaire à un nuage de points ou diagramme de dispersion.
Je préfère nettement CE TON ..... (immersion dans le rêve de "Richard l'enchanteur") comme l'appelait JP TARDIF.