Marianne Faithfull - The Bridge of Sighs (Official Audio)

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  • Опубликовано: 10 сен 2024

Комментарии • 9

  • @kmdionis
    @kmdionis 3 года назад +5

    she's always has this incredible way of inhabiting the words she sings and now speaks. imagine if *she* read poetry in the schools...

  • @lizzieroberts9872
    @lizzieroberts9872 9 месяцев назад

    Twice haves music ad and lyrics... but he breath.. the silences between .. Noticticed , validated and breathed hope into me.. Marianne, I hope life was fun and kind for you, in the breathless energy AGAIN . ..LIFE with no regrets WITH HOPE . SEEn. ALIVE , 'HUMANITY' xx

  • @jameslongmore3830
    @jameslongmore3830 3 года назад +5

    Thank you this made me bawl my eyes out 😭😥

  • @henriquefarias7604
    @henriquefarias7604 3 года назад +4

    Beautiful voice!! Beautiful Song!

  • @jeanneilina4113
    @jeanneilina4113 3 года назад +1

    Amazing, magic voice combined with wonderful music😍❤️😘

  • @reyramirez5710
    @reyramirez5710 3 года назад +3

    Beautiful!!!😍

  • @beataspiewakjonsson1749
    @beataspiewakjonsson1749 3 года назад +2

    Beautiful ❤️

  • @alanchriston6806
    @alanchriston6806 3 года назад +1

    Beautiful 😊😊😊

  • @didadou6509
    @didadou6509 3 года назад +1

    Un malheureux de plus,
    A bout de souffle,
    imprudemment importuné,
    Parti vers sa mort !
    Prenez-la tendrement,
    Soulevez-la avec soin ;
    Si finement façonnée
    Si jeune et si belle !
    Regardez ses vêtements
    Qui s'accrochent comme des céréales ;
    Tandis que l'onde, sans cesse.
    dégoutte de ses vêtements ;
    Emmenez-la immédiatement,
    L'aimer, et non la détester.
    Ne la touchez pas avec mépris ;
    Pensez à elle avec tristesse,
    Doucement et humainement ;
    Pas aux taches qu'elle a laissées,
    Tout ce qui reste d'elle
    C'est de la pure féminité.
    N'examinez pas de près
    Dans sa mutinerie
    téméraire et indocile :
    Au-delà de tout déshonneur,
    La mort n'a laissé sur elle
    que la beauté.
    Pourtant, pour toutes ses glissades,
    Une des familles d'Eve-
    Essuyez ces pauvres lèvres qui sont les siennes
    Qui suintent de façon si maladroite.
    Relevez ses tresses
    Echappées du peigne,
    Sa belle chevelure auburn ;
    Tandis que l'émerveillement devine
    Où était sa maison ?
    Qui était son père ?
    Qui était sa mère ?
    Avait-elle une sœur ?
    Avait-elle un frère ?
    Ou y avait-il un frère plus cher
    encore, et un autre plus proche
    que tous les autres ?
    Hélas ! pour la rareté
    De la charité chrétienne
    Sous le soleil !
    O, c'était pitoyable !
    Près d'une ville entière pleine,
    Elle n'avait pas de foyer.
    Sœur, frère,
    Père, mère
    Les sentiments avaient changé :
    L'amour, par une dure évidence,
    jeté de son éminence ;
    Même la providence de Dieu
    Semblent s'être éloignées.
    Là où les lampes tremblent
    Si loin dans la rivière,
    Avec beaucoup de lumière
    De la fenêtre et du battant,
    De la mansarde à la cave,
    Elle se tenait, avec étonnement,
    Sans maison la nuit.
    Le vent glacial de mars
    La faisait trembler et frissonner ;
    Mais pas l'arche sombre,
    ou la rivière noire qui coule :
    Folle de l'histoire de la vie,
    Heureuse du mystère de la mort,
    prompte à être précipitée.
    N'importe où, n'importe où
    Hors du monde !
    Elle y a plongé avec audace
    Peu importe la froideur
    La rivière rugueuse coule
    Par-dessus le bord,
    Imaginez-la, pensez-y,
    Homme dissolu !
    Plonge dedans, bois-en l'eau,
    Puis, si tu le peux !
    Prends-la tendrement,
    soulève-la avec soin ;
    Façonnée avec tant de finesse,
    Jeune, et si belle !
    Avant que ses membres, frigorifiés.
    Ne se raidissent trop rigidement,
    Avec décence, avec gentillesse,
    lissez-les et composez-les ;
    Et ses yeux, fermez-les,
    Fixent si aveuglément !
    Fixant affreusement
    Dans l'impureté de la boue,
    Comme lorsqu'avec l'audace
    Le dernier regard du désespoir
    Fixé sur l'avenir.
    Périssant lugubrement,
    éperonné par le mépris,
    une froide inhumanité,
    une folie brûlante,
    Dans son repos.
    Croise humblement ses mains
    comme une prière muette,
    sur sa poitrine.
    Reconnaissant sa faiblesse,
    sa mauvaise conduite,
    Et abandonnant, avec douceur,
    ses péchés à son Sauveur !
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