Poème: Fête des mères

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  • Опубликовано: 7 сен 2024
  • Pokoua pour sa mère Da Dédé !
    Si tout devient sombre et que je ne me retrouve pas, j'aurai toujours l'assurance de la force de ton amour. Cet amour que tu nous as montré mon petit frère Toukouin et moi.
    Ces forces d'amours récurrentes qui embomaient et enveloppaient agréablement nos vies d'enfants, ta gestion de ton temps pour nous trouver de temps de joie est si douce que je ne peux imaginer qu'ailleurs des gens ont cette grâce de pures sollicitudes d'une mère bienveillante.
    En cette période où tout le monde élève la voix pour honorer les mères, je ne peux guère faire l'économie de mon temps tant que je te porte encore plus solidement dans mon cœur.
    Dada, je t'assure que tu as grandement comblé nos vies et pas simplement pendant ces périodes où nous étions encore comme des poussins sous ta couverture de mère mais aussi pour le fait que tu nous guidais toujours par ta maternelle attention.
    Qui ne se sentirait pas assez comblé par ce grand et pur amour maternel qui s'étend sans s'éteindre dans notre vie. Qui peut remplacer dans nos cœurs cet amour si vivant, bienveillant et crédible que tu nous offres toujours à travers le temps que tu continues de nous accorder de diverses manières.
    Dada de la grande famille royale des régions reculées de Krikri, Grande tante des grandes familles Gningnin, je me sens toujours collée à toi comme l'ongle sur les doigts. Rien ne peut éteindre cette grande flamme d'amour que tu as semé en moi.
    Pokoua finit son poème, baissa sa tête, regardant droit dans le passé, elle retrouvait dans ses pensées plusieurs moments de sa vie où sa mère avait véritablement fait des sacrifices de sa propre vie en écrasant sa liberté, ses désirs et ses loisirs pour leur consacrer les meilleures attentions pour qu'ils se sentent toujours heureux.
    Pokoua ne réussit pas à empêcher les pleurs qui gagnèrent ses yeux. Elle cria plus fort et soupira. Elle se remit de cette émotion en jetant un coup d'œil à la photo de sa mère qui était accrochée à une petite hauteur de sa vue. Elle cria enfin avec une joie indéfiniment grande, Dada pour moi, je t'aime toujours et toujours.
    Gabin Conrad AFANGNIDE
    "Pokoua de Krikri "

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