[AITALKS] VERS UNE IA RESPONSABLE - DÉFIS ET SOLUTIONS

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  • Опубликовано: 21 фев 2024
  • WAICF24 : AITALKS DU VENDREDI BY "CÔTE D’AZUR FRANCE, TERRE D’IA"
    Les 8,9 et 10 février 2024, Cannes est redevenu le centre névralgique mondial de l’Intelligence Artificielle (IA) à l’occasion du World AI Cannes Festival, premier rendez-vous mondial dédié exclusivement à l’IA, aux leaders de la tech qui y innovent et aux enjeux économiques, humains et sociétaux qui impactent nos vies.
    L’occasion pour le Département des Alpes-Maritimes et la Maison de l'Intelligence Artificielle de présenter avec leurs partenaires l’écosystème azuréen qui font des Alpes-Maritimes, une terre d’IA !
    L'intelligence artificielle prend de plus en plus d’ampleur dans notre mode de vie. Cependant, cette avancée technologique s'accompagne de défis éthiques et légaux majeurs. Biais algorithmiques, responsabilités mal définies, et dilemmes éthiques sont au cœur des préoccupations actuelles. Une question ressort alors : comment garantir une utilisation responsable de l'IA ?
    Dans cette #AITALKS, Alexandra Brehier nous rappelle que l’IA présente divers biais éthiques et légaux, notamment liés au genre, à la génération, et à la culture, souvent dus aux données de formation biaisées. De plus, nous sommes face à une fausse perception de l'IA comme entité décisionnelle, alors qu'elle reste un simple outil de code.
    Laurence Vanin complète ces propos en argument sur le fait que les défis éthiques incluent la familiarité trompeuse des objets connectés, leur programmation par des groupes non représentatifs de la totalité de la société et l'absence de compréhension par les utilisateurs. L'éthique subjective joue un rôle crucial, mais il y a un fossé entre les normes d'entreprise dictées par l'économie et les besoins individuels et collectifs.
    Pour Julie Charpenet, droit et éthique vont dans le même sens et sont complémentaires. L'IA ACT et le RGPD montrent que droit et éthique visent le bien commun mais diffèrent dans leurs méthodes. Le droit, moins contextuel que l'éthique, se met en œuvre pour rattraper les enjeux éthiques. L'IA, en tant qu'outil, assiste la prise de décision sans la remplacer. Les décisions finales restent humaines, avec une supervision nécessaire pour garantir des pratiques éthiques et efficaces.
    Dans l'utilisation de l'IA, il y a des bonnes pratiques à mettre en place, une supervision rigoureuse à assurer, et une distinction à maintenir entre l'outil et le décideur.
    Avec :
    ➡️ Alexandra Brehier, Présidente & Co-Fondatrice TalentCoin
    ➡️ Laurence Vanin, Philosophe & Directrice de Chaire Université Côte d’Azur
    ➡️ Julie Charpenet, Docteur en Droit et Membre de DL4T Université Côte d’Azur
    Captation vidéo : ‪@StudioLaffitte‬

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