La réduction du paquet d’ondes a une explication plausible très simple, mon hypothèse est qu’une particule possède une onde intermittente, c’est-à dire dont le volume varie (grossissement jusqu’à plusieurs centaines de milliers de fois le diamètre de la particule et rétrécissement jusqu’au diamètre de ladite particule) ceci des millions de fois par seconde, donc quand on prend la mesure, la localisation varie car la particule change de volume, et probablement de vitesse ( la vitesse de la particule se cumule peut etre à la vitesse d’émission de son onde, au point par exemple de ne pas pouvoir franchir les fentes de Young. Cette onde intermittente fait office de radar qui permet le guidage de la particule avant même son arrivée vers un endroit donné, et ce qui lui permet de choisir le chemin le plus long (objectif de survie), comme l’eau dans un labyrinthe remplit les cul-de sacs et trouve finalement la sortie par saturation de ces derniers.
Le peu que je comprends de la physique quantique c’est que celle- ci décrit ce que l’on sait de la Nature par des probabilités. Par exemple, telle particule ira ici, ou là, ou là-bas avec probabilités à priori respectives de 1/2, 1/3 et 1/6. C’est l’information qu’on a à priori. Or, lorsque la particule atteint sa destination, l’information change d’un coup sec; c’est « l’effondrement de la fonction d’onde, ou du paquets d’ondes », ou de toutes les probabilités antérieures à l’événement. La particule est désormais située ici disons et la nouvelle distribution des probabilités est désormais (1, 0, 0 ). Mais il n’y a rien de mystérieux là-dedans. Au fur et à mesure que le temps passe, l’information entre et les probabilités varient par sauts discrets, par quanta d’informations.
Voyons , je ne suis pas du tout d'accord, la physique est dans l'interprétation de ses productions depuis le tout début ! Ce monsieur oubli quand même que depuis le 18ème siècle, grâce à Newton, Il y a un problème quasi métaphasique sur l'interprétation des calculs, on doit invoquer une force invisible entre des points infiniment distant, ... ce qui lui a valu d’être critiqué comme mystique... C'est finalement grâce à Einstein, depuis le siècle dernier seulement, que l'on a compris de quoi est physiquement faite, cette soit disant "force", qui n'en est pas une, mais bien un champ gravitationnel. Merci Einstein, qui a mis fin au concept d'éther ! Voici un autre exemple archi typique du travail du physicien : celui du modèle orbital des planètes de ptolémé repris par Copernic qui y introduit le double épicycle pour y remplacer l’équant. Alors, là on remonte encore plus loin dans le temps, 16 siècle ! La préface d'Andreas Osiander sur "De Revolutionibus Orbium Caelestum", où il affirme que la thèse de Copernic est un arsenal mathématique utile, qui ne peut être considéré comme une représentation de la réalité. Cet exemple illustre bien que ceci n'est pas quelque chose de nouveau, ni de révolutionnaire : une mathématique ne reste qu'une abstraction qui ne donne absolument aucune information sur de quoi est fait la réalité, ... Une mathématique peut marcher dans un contexte précis pour le quel elle aura été fabriquée, sans rien dire d'autre du réel. D'ailleurs, l'interprétation de Copenhague est une Andreas Osiander bis : la mathématique marche, ne cherchez pas plus loin, ... C'est le travaille du physicien, du scientifique, d'y mettre un sens physique, et de voir si son modèle capture en effet bien une loi de la nature, ou ne fait pas juste mimer ce comportement fidèlement sans pour autant ne rien à voir avec la réalité. À mon sens, la où la vrai révolution de la physique quantique est, ce n'est pas dans ses multiples interprétations, mais surtout et vous l'avez dit, dans le fait que c'est une destruction massive de nos concepts matérialistes, un véritable chaos conceptuel en résulte, et c'est exactement la raison pour la quelle des idéologies s'en empare. (Ceci n'est encore une fois pas nouveau, et on peut facilement avoir en tête des exemples sinistres du siècle dernier, eugénisme, ...) Expérience après expériences, toutes nos croyances, intuitions mécaniste et déterministes, se sont envolées en éclat, et nous sommes actuellement encore en deuil collectif de ces valeurs du siècle dernier. Comme vous l'avez dit, le champion du déterminisme Einstein lui même s'est trompé sur le sujet ! C'est pour dire la violence du truc ! Maintenant, je me demande dans le contexte psychologique de l'époque, si l'interprétation de Copenhague n'est juste le reflet aussi d'une incapacité à accepter que la mécanique matérialiste soit "morte", et donc le sauf conduit revient à dire que l'on ne cherchera pas à interpréter. Les éxpèrience du quantique sont assez nombreuses maintenant pour que nous acceptions la réalité comme fondamentalement différente de ce que nous croyions et les prenions comme nouveau départ, pilier conceptuel de celle-ci. Demain avec encore un beaucoup d'effort, on s'en vient vers les télécommunication quantique, vers l'ordinateur quantique, et toutes ces choses ne sont pas basés juste sur de la mathématique, mais bien sur des objets "réel", un réel certes bien plus malléable et étrange qu'il nous paraissait, mais le "réel" tel qu'il est, et non pas tel que nous pensions qu'il était. :)
Je ne suis pas sûr qu’Einstein ait eu tord de contester l’indéterminisme quantique, je pense que l’expérience d’Alain Aspect est biaisée et repose sur une faille, la méconnaissance du fonctionnement d’une particule : Mon hypothèse est qu’une particule (électron ou photon) possède son propre champ ondulatoire. Ce champ est intermittent mais jamais désolidarisé de la particule, donc il est toujours relié à elle, et lui communique simultanément ses informations sur son environnement, le but étant de survivre comme tout élément de toute matière atomique ou moléculaire, elle va donc choisir le chemin le plus long qu’il lui faudra emprunter pour optimiser sa durée de vie. Ce champ ondulatoire est emis à une vitesse qui peut être équivalente à celle de la lumiere ou supérieure : Soit la vitesse de la lumiere est la résultante de deux vitesses cumulées (vitesse de la particule + vitesse du champ ondulatoire = vitesse de la lumiere, soit la vitesse de la lumiere est depassable (vitesse de la lumiere de la particule + vitesse du champ ondulatoire > la vitesse de la lumiere (> 300 000km/s), puisque ce champ entoure la particule et projete une vitesse cumulative à celle de la particule déjà en mouvement. Le périmètre de ce champ ondulatoire peut grossir jusqu’à des centaines de milliers de fois le diamètre de la particule, (à l’instar de l’électron qui évolue proportionnellement, à des centaines de milliers fois son diamètre de distance par rapport à son atome) et se rétrécir jusqu’à revenir au diamètre initial de la particule. La fréquence peut-etre de plusieurs millions de fois par seconde, ce qui explique que suivant la phase du champ ondulatoire dans laquelle se trouve la particule au moment de la mesure, la particule ne puisse pas passer par certains endroits (comme les fentes de young, ou les filtres solaires de nos lunettes de soleil) Les particules n’obéiraient donc pas à des phénomènes aléatoires, quantiques, ou non-locaux, mais simplement à leurs propres activités intrinsèques.
Ce qui est ici une illusion complètement fausse c'est "qu'on n'avait pas besoin d'interpréter" les expériences de Galilée ! Ben voyons ! On a Toujours eu besoin d'interpréter. Preuve : l'interprétation d'Aristote de la pesanteur admise pendant 20 siècles ! Devant le même phénomène Galilée change radicalement d'interprétation, et c'est une révolution ! Le biais cognitif est ici évident : le délire de présomption des nouvelles générations qui croient être sortis tout armés de la cuisse de Jupiter. Délire commun très répandu...😮 L'ennui c'est que ça obture la Recherche sur le processus des Émergences dans l'Évolution darwinienne universelle ! 😮
Il n'y a pas d'interprétation physique car la mécanique quantique n'est qu'un formalisme mathématiques. On aurait pu choisir un autre formalisme mathématiques et tomber sur la même qualité de résultats. On ne parlerait pas alors de réduction du paquet d'ondes, mais d'une autre chose formulée différemment.
Je ne comprends pas pourquoi il dit qu'Einstein s'était trompé... il a formulé un problème réel (le fait que si on accepte les prémisses de la mécanique quantique, on pourrait obtenir une violation du principe de localité) et les expériences d'Alain Aspect ont montré qu'il y a bien violation de ce principe, et c'est tout...
Einstein avait postulé qu'il existait des variables non prises en compte par le formalisme quantique (des variables dites _cachées_) pour expliquer l'apparente violation du principe de causalité. L'expérience d'Aspect a démontré que ces variables ne pouvaient pas exister. Comment ? En violant les inégalités de Bell, qui se *devaient* d'être vérifiées précisément si Einstein avait raison. Sur le sujet, voir l'excellente vidéo+interview d'Aspect réalisée par David Louapre de ScienceEtonnante.
@@krenv2052 Il avait dit que l'inexistence de variables cachées locales impliquaient la violation du principe de localité. Pour lui, violer le principe de localité était un paradoxe. Mais sans Einstein, on ne saurait pas que l'interprétation de Copenhague de la physique quantique est en contradiction avec le principe de localité.
L'interprétation des phénomènes quantiques n'est pas incompréhensible... Emmanuel Ransford interprète les différents phénomènes de la mécanique quantique d'une manière qui ne me laisse pas indifférent. Ecoutez le! Il se bat depuis des années comme se battait Copernic à son époque... C'est en tout cas le seul à ma connaissance qui arrive aujourd'hui à émettre un raisonnement logique aux phénomènes d'intrication quantique et de réduction du paquet d'onde avec une seule et même explication. Explication qui ferait de plus appel à des notions de liens entre objets quantiques. Liens existants dans une dimensions d'espace non soumises aux lois relativistes du temps et de l'espace (ce n'est donc pas une dimension spatiale mais qui transcende notre espace). Son hypothèse, qui devrait à mon sens être prise au sérieuse, ne nous permettrait-elle pas en plus de valider la masse manquante et l'énergie sombre. Je veux dire par là qu'un lien entre 2 photos intriqués doit bien "consommer" de l'énergie ou avoir une masse non nul qui se répercute dans nos dimensions et se répartie topologiquement plus spécifiquement au sein d'une même d'une galaxie plutôt qu'entre 2 galaxies car l'intrication est plus probable entre 2 objets qui furent proches à un moment...Ceci expliquant au passage la courbe des vitesses de rotation des étoiles des extérieurs galactiques. Si j'avais un clin d'œil à lui faire je dirai: restez scientifiques, jouez sa quille!
Elle n'est pas incompréhensible au sens où elle est inintelligible, mais plutôt où elle décrit un modèle tellement différent du monde macroscopique qu'il n'existe aucune image représentative de ce que décrit la physique quantique ne possédant pas un grave contresens. Comme le dit très bien Étienne Klein, cette physique est iconoclaste, de l'atome il ne reste plus que la description mathématique des niveaux d'énergies dans l'atome. Si on veut la rendre intelligible, il y a un travail à faire d'interprétation qui ne passe pas par des images représentatives.
La réduction du paquet d’ondes a une explication plausible très simple, mon hypothèse est qu’une particule possède une onde intermittente, c’est-à dire dont le volume varie (grossissement jusqu’à plusieurs centaines de milliers de fois le diamètre de la particule et rétrécissement jusqu’au diamètre de ladite particule) ceci des millions de fois par seconde, donc quand on prend la mesure, la localisation varie car la particule change de volume, et probablement de vitesse ( la vitesse de la particule se cumule peut etre à la vitesse d’émission de son onde, au point par exemple de ne pas pouvoir franchir les fentes de Young. Cette onde intermittente fait office de radar qui permet le guidage de la particule avant même son arrivée vers un endroit donné, et ce qui lui permet de choisir le chemin le plus long (objectif de survie), comme l’eau dans un labyrinthe remplit les cul-de sacs et trouve finalement la sortie par saturation de ces derniers.
Le peu que je comprends de la physique quantique c’est que celle- ci décrit ce que l’on sait de la Nature par des probabilités. Par exemple, telle particule ira ici, ou là, ou là-bas avec probabilités à priori respectives de 1/2, 1/3 et 1/6. C’est l’information qu’on a à priori. Or, lorsque la particule atteint sa destination, l’information change d’un coup sec; c’est « l’effondrement de la fonction d’onde, ou du paquets d’ondes », ou de toutes les probabilités antérieures à l’événement. La particule est désormais située ici disons et la nouvelle distribution des probabilités est désormais (1, 0, 0 ). Mais il n’y a rien de mystérieux là-dedans. Au fur et à mesure que le temps passe, l’information entre et les probabilités varient par sauts discrets, par quanta d’informations.
C'est le fils de Monsieur Saladin qui ne dit rien à côté ?
Et donc l’effondrement de la fonction d’onde c’est quoi ?
On galère déjà avec la définition d'une onde pour une particule....
Potentiellement la particule est une one ou pas d'ailleurs...
😅
Voyons , je ne suis pas du tout d'accord, la physique est dans l'interprétation de ses productions depuis le tout début !
Ce monsieur oubli quand même que depuis le 18ème siècle, grâce à Newton, Il y a un problème quasi métaphasique sur l'interprétation des calculs, on doit invoquer une force invisible entre des points infiniment distant, ... ce qui lui a valu d’être critiqué comme mystique... C'est finalement grâce à Einstein, depuis le siècle dernier seulement, que l'on a compris de quoi est physiquement faite, cette soit disant "force", qui n'en est pas une, mais bien un champ gravitationnel. Merci Einstein, qui a mis fin au concept d'éther !
Voici un autre exemple archi typique du travail du physicien : celui du modèle orbital des planètes de ptolémé repris par Copernic qui y introduit le double épicycle pour y remplacer l’équant. Alors, là on remonte encore plus loin dans le temps, 16 siècle !
La préface d'Andreas Osiander sur "De Revolutionibus Orbium Caelestum", où il affirme que la thèse de Copernic est un arsenal mathématique utile, qui ne peut être considéré comme une représentation de la réalité.
Cet exemple illustre bien que ceci n'est pas quelque chose de nouveau, ni de révolutionnaire : une mathématique ne reste qu'une abstraction qui ne donne absolument aucune information sur de quoi est fait la réalité, ... Une mathématique peut marcher dans un contexte précis pour le quel elle aura été fabriquée, sans rien dire d'autre du réel. D'ailleurs, l'interprétation de Copenhague est une Andreas Osiander bis : la mathématique marche, ne cherchez pas plus loin, ...
C'est le travaille du physicien, du scientifique, d'y mettre un sens physique, et de voir si son modèle capture en effet bien une loi de la nature, ou ne fait pas juste mimer ce comportement fidèlement sans pour autant ne rien à voir avec la réalité.
À mon sens, la où la vrai révolution de la physique quantique est, ce n'est pas dans ses multiples interprétations, mais surtout et vous l'avez dit, dans le fait que c'est une destruction massive de nos concepts matérialistes, un véritable chaos conceptuel en résulte, et c'est exactement la raison pour la quelle des idéologies s'en empare. (Ceci n'est encore une fois pas nouveau, et on peut facilement avoir en tête des exemples sinistres du siècle dernier, eugénisme, ...)
Expérience après expériences, toutes nos croyances, intuitions mécaniste et déterministes, se sont envolées en éclat, et nous sommes actuellement encore en deuil collectif de ces valeurs du siècle dernier. Comme vous l'avez dit, le champion du déterminisme Einstein lui même s'est trompé sur le sujet ! C'est pour dire la violence du truc !
Maintenant, je me demande dans le contexte psychologique de l'époque, si l'interprétation de Copenhague n'est juste le reflet aussi d'une incapacité à accepter que la mécanique matérialiste soit "morte", et donc le sauf conduit revient à dire que l'on ne cherchera pas à interpréter.
Les éxpèrience du quantique sont assez nombreuses maintenant pour que nous acceptions la réalité comme fondamentalement différente de ce que nous croyions et les prenions comme nouveau départ, pilier conceptuel de celle-ci.
Demain avec encore un beaucoup d'effort, on s'en vient vers les télécommunication quantique, vers l'ordinateur quantique, et toutes ces choses ne sont pas basés juste sur de la mathématique, mais bien sur des objets "réel", un réel certes bien plus malléable et étrange qu'il nous paraissait, mais le "réel" tel qu'il est, et non pas tel que nous pensions qu'il était. :)
Je ne suis pas sûr qu’Einstein ait eu tord de contester l’indéterminisme quantique, je pense que l’expérience d’Alain Aspect est biaisée et repose sur une faille, la méconnaissance du fonctionnement d’une particule :
Mon hypothèse est qu’une particule (électron ou photon) possède son propre champ ondulatoire.
Ce champ est intermittent mais jamais désolidarisé de la particule, donc il est toujours relié à elle, et lui communique simultanément ses informations sur son environnement, le but étant de survivre comme tout élément de toute matière atomique ou moléculaire, elle va donc choisir le chemin le plus long qu’il lui faudra emprunter pour optimiser sa durée de vie.
Ce champ ondulatoire est emis à une vitesse qui peut être équivalente à celle de la lumiere ou supérieure :
Soit la vitesse de la lumiere est la résultante de deux vitesses cumulées (vitesse de la particule + vitesse du champ ondulatoire = vitesse de la lumiere,
soit la vitesse de la lumiere est depassable (vitesse de la lumiere de la particule + vitesse du champ ondulatoire > la vitesse de la lumiere (> 300 000km/s), puisque ce champ entoure la particule et projete une vitesse cumulative à celle de la particule déjà en mouvement.
Le périmètre de ce champ ondulatoire peut grossir jusqu’à des centaines de milliers de fois le diamètre de la particule, (à l’instar de l’électron qui évolue proportionnellement, à des centaines de milliers fois son diamètre de distance par rapport à son atome) et se rétrécir jusqu’à revenir au diamètre initial de la particule.
La fréquence peut-etre de plusieurs millions de fois par seconde, ce qui explique que suivant la phase du champ ondulatoire dans laquelle se trouve la particule au moment de la mesure, la particule ne puisse pas passer par certains endroits (comme les fentes de young, ou les filtres solaires de nos lunettes de soleil)
Les particules n’obéiraient donc pas à des phénomènes aléatoires, quantiques, ou non-locaux, mais simplement à leurs propres activités intrinsèques.
mais pourquoi alain aspect s'est fait pousser une telle barbe ? et comment a t il perdu son accent du sud ?
Ce qui est ici une illusion complètement fausse c'est "qu'on n'avait pas besoin d'interpréter" les expériences de Galilée ! Ben voyons ! On a Toujours eu besoin d'interpréter. Preuve : l'interprétation d'Aristote de la pesanteur admise pendant 20 siècles ! Devant le même phénomène Galilée change radicalement d'interprétation, et c'est une révolution !
Le biais cognitif est ici évident : le délire de présomption des nouvelles générations qui croient être sortis tout armés de la cuisse de Jupiter. Délire commun très répandu...😮
L'ennui c'est que ça obture la Recherche sur le processus des Émergences dans l'Évolution darwinienne universelle ! 😮
Il n'y a pas d'interprétation physique car la mécanique quantique n'est qu'un formalisme mathématiques. On aurait pu choisir un autre formalisme mathématiques et tomber sur la même qualité de résultats. On ne parlerait pas alors de réduction du paquet d'ondes, mais d'une autre chose formulée différemment.
Je ne comprends pas pourquoi il dit qu'Einstein s'était trompé... il a formulé un problème réel (le fait que si on accepte les prémisses de la mécanique quantique, on pourrait obtenir une violation du principe de localité) et les expériences d'Alain Aspect ont montré qu'il y a bien violation de ce principe, et c'est tout...
Einstein avait postulé qu'il existait des variables non prises en compte par le formalisme quantique (des variables dites _cachées_) pour expliquer l'apparente violation du principe de causalité. L'expérience d'Aspect a démontré que ces variables ne pouvaient pas exister. Comment ? En violant les inégalités de Bell, qui se *devaient* d'être vérifiées précisément si Einstein avait raison. Sur le sujet, voir l'excellente vidéo+interview d'Aspect réalisée par David Louapre de ScienceEtonnante.
@@krenv2052 Il avait dit que l'inexistence de variables cachées locales impliquaient la violation du principe de localité. Pour lui, violer le principe de localité était un paradoxe. Mais sans Einstein, on ne saurait pas que l'interprétation de Copenhague de la physique quantique est en contradiction avec le principe de localité.
L'interprétation des phénomènes quantiques n'est pas incompréhensible...
Emmanuel Ransford interprète les différents phénomènes de la mécanique quantique d'une manière qui ne me laisse pas indifférent. Ecoutez le! Il se bat depuis des années comme se battait Copernic à son époque... C'est en tout cas le seul à ma connaissance qui arrive aujourd'hui à émettre un raisonnement logique aux phénomènes d'intrication quantique et de réduction du paquet d'onde avec une seule et même explication. Explication qui ferait de plus appel à des notions de liens entre objets quantiques. Liens existants dans une dimensions d'espace non soumises aux lois relativistes du temps et de l'espace (ce n'est donc pas une dimension spatiale mais qui transcende notre espace).
Son hypothèse, qui devrait à mon sens être prise au sérieuse, ne nous permettrait-elle pas en plus de valider la masse manquante et l'énergie sombre. Je veux dire par là qu'un lien entre 2 photos intriqués doit bien "consommer" de l'énergie ou avoir une masse non nul qui se répercute dans nos dimensions et se répartie topologiquement plus spécifiquement au sein d'une même d'une galaxie plutôt qu'entre 2 galaxies car l'intrication est plus probable entre 2 objets qui furent proches à un moment...Ceci expliquant au passage la courbe des vitesses de rotation des étoiles des extérieurs galactiques.
Si j'avais un clin d'œil à lui faire je dirai: restez scientifiques, jouez sa quille!
Elle n'est pas incompréhensible au sens où elle est inintelligible, mais plutôt où elle décrit un modèle tellement différent du monde macroscopique qu'il n'existe aucune image représentative de ce que décrit la physique quantique ne possédant pas un grave contresens. Comme le dit très bien Étienne Klein, cette physique est iconoclaste, de l'atome il ne reste plus que la description mathématique des niveaux d'énergies dans l'atome.
Si on veut la rendre intelligible, il y a un travail à faire d'interprétation qui ne passe pas par des images représentatives.
Les raisonnements de Ransford son purement spéculatifs et s'orientent vers Dieu - Il n'y aucun parallèle à faire avec Copernic le scientifique.