Le gars en lacoste orange je ne sais pas si c'est un coach mais il parle trop pour nous montrer son ignorance il me rappelle Eddie malou plus de bruit mais ne dis rien un vrai tonneau vide
Pourquoi le Sénégal s'approprie l'histoire des tirailleurs Sénégalais a la place de l'union Africaine. L'inventio relève de l'étape initiale, celle de la rencontre d'un conteur et d'une histoire, et du choix à poursuivre ensemble de l'aventure. Aujourd'hui, on distingue souvent deux sortes de conteurs : ceux qui découvrent et ceux qui inventent. Certains Sénégalais, nés Français de « statut civil réservé » dans les Quatre communes du Sénégal, ne sont pas considérés comme tirailleurs. À cause de l'existence du droit musulman incompatible avec la pleine citoyenneté française, dont la pratique de la polygamie, l'administration limita, dans un premier temps, les droits de ces citoyens particuliers. C'est durant la Première Guerre mondiale, sous l'impulsion du député Blaise Diagne que les ressortissants des Quatre communes (Dakar, Gorée, Rufisque et Saint-Louis) sont considérés comme citoyens à part entière9 et dès lors intégrés dans les régiments métropolitains plutôt que dans ceux de tirailleurs sénégalais. Contrairement à l'idée répétée de tirailleurs utilisés comme « chair à canon », engagés délibérément dans les assauts trop risqués pour l'infanterie européenne, les cas de régiments de tirailleurs sénégalais employés de la sorte au combat sont rarissimes. Les tirailleurs sénégalais sont un corps de militaires appartenant aux troupes coloniales constitué au sein de l'Empire colonial français en 1857, principal élément de la « Force noire »1 ou de l'« Armée Noire » et dissous au début des années 1960. Bien que le recrutement de tirailleurs ne se soit pas limité au Sénégal (c'est dans ce pays que s'est formé en 1857 le premier régiment de tirailleurs africains), ces unités d'infanterie vont rapidement désigner l'ensemble des soldats africains d'Afrique subsaharienne qui se battent sous le drapeau français et qui se différencient ainsi des unités d'Afrique du Nord, tels les tirailleurs algériens. En 1895, ils participent à la conquête de Madagascar, et de 1895 à 1905, ils sont employés à la « pacification » de ce pays. En Afrique française du Nord (AFN) et surtout au Maroc, des unités de l'armée coloniale, européennes ou africaines ( douze bataillons), servaient dans le cadre de la « pacification ». Lors de la Première Guerre mondiale, ce sont environ 200 000 « Sénégalais » de l'Afrique-Occidentale française (AOF) qui se battent sous le drapeau français, dont plus de 135 000 en Europe. Environ 15 % d'entre eux, soit 30 000 soldats, y ont trouvé la mort et beaucoup sont revenus blessés ou invalides2. Jean-Yves Le Naour compte quant à lui 180 000 tirailleurs sénégalais, « dont 130 000 ont combattu en France » et « 30 000 sont morts, ce qui représente un mort pour six mobilisés : c'est à peu de chose près la proportion de décès que l'on observe parmi les poilus français.
Le Sénégal ne sait pas approprier l'histoire des tirailleurs. Au contraire le Sénégal doit être le catalyseur de l'unité africaine. D'où son obsession de vouloir savoir sa vraie histoire...
Félicitations et j'aime beaucoup ce juriste.
elle en a fait des massacres la france dans ses colonies
Donc finalement Togocom aussi à été vendu. Au moment où les pays voisins se battent pour émerger, le gouvernement togolais cherche à sombrer son pays.
cancre quand tu ne maitrise pas tu ne la ramene pas🤡Togocom a ete privatiser a 51% depuis longtemps par efficacité et strategie!🤡
Le gars en orange la veut il trouver une explication à cette barbarie de la France ?
Pas de réparations sans reconnaissance après il faut payer ces réparations ! En or !
Pour la réputation de la chaine : attention à des invités comme celui (niveau bas) en tshirt orange.
Le gars avec lacoste arange est bête
😂😂😂
Le gars en lacoste orange je ne sais pas si c'est un coach mais il parle trop pour nous montrer son ignorance il me rappelle Eddie malou plus de bruit mais ne dis rien un vrai tonneau vide
Le Monsieur en Lacoste orange dit du n'importe quoi,
Un vrai colonise sur le plateau😅😅😅
Pourquoi le Sénégal s'approprie l'histoire des tirailleurs Sénégalais a la place de l'union Africaine.
L'inventio relève de l'étape initiale, celle de la rencontre d'un conteur et d'une histoire, et du choix à poursuivre ensemble de
l'aventure. Aujourd'hui, on distingue souvent deux sortes de conteurs : ceux qui découvrent et ceux qui inventent.
Certains Sénégalais, nés Français de « statut civil réservé » dans les Quatre communes du Sénégal, ne sont pas considérés comme tirailleurs. À cause de l'existence du droit musulman incompatible avec la pleine citoyenneté française, dont la pratique de la polygamie, l'administration limita, dans un premier temps, les droits de ces citoyens particuliers. C'est durant la Première Guerre mondiale, sous l'impulsion du député Blaise Diagne que les ressortissants des Quatre communes (Dakar, Gorée, Rufisque et Saint-Louis) sont considérés comme citoyens à part entière9 et dès lors intégrés dans les régiments métropolitains plutôt que dans ceux de tirailleurs sénégalais.
Contrairement à l'idée répétée de tirailleurs utilisés comme « chair à canon », engagés délibérément dans les assauts trop risqués pour l'infanterie européenne, les cas de régiments de tirailleurs sénégalais employés de la sorte au combat sont rarissimes.
Les tirailleurs sénégalais sont un corps de militaires appartenant aux troupes coloniales constitué au sein de l'Empire colonial français en 1857, principal élément de la « Force noire »1 ou de l'« Armée Noire » et dissous au début des années 1960. Bien que le recrutement de tirailleurs ne se soit pas limité au Sénégal (c'est dans ce pays que s'est formé en 1857 le premier régiment de tirailleurs africains), ces unités d'infanterie vont rapidement désigner l'ensemble des soldats africains d'Afrique subsaharienne qui se battent sous le drapeau français et qui se différencient ainsi des unités d'Afrique du Nord, tels les tirailleurs algériens.
En 1895, ils participent à la conquête de Madagascar, et de 1895 à 1905, ils sont employés à la « pacification » de ce pays.
En Afrique française du Nord (AFN) et surtout au Maroc, des unités de l'armée coloniale, européennes ou africaines ( douze bataillons), servaient dans le cadre de la « pacification ».
Lors de la Première Guerre mondiale, ce sont environ 200 000 « Sénégalais » de l'Afrique-Occidentale française (AOF) qui se battent sous le drapeau français, dont plus de 135 000 en Europe. Environ 15 % d'entre eux, soit 30 000 soldats, y ont trouvé la mort et beaucoup sont revenus blessés ou invalides2. Jean-Yves Le Naour compte quant à lui 180 000 tirailleurs sénégalais, « dont 130 000 ont combattu en France » et « 30 000 sont morts, ce qui représente un mort pour six mobilisés : c'est à peu de chose près la proportion de décès que l'on observe parmi les poilus français.
Le Sénégal ne sait pas approprier l'histoire des tirailleurs. Au contraire le Sénégal doit être le catalyseur de l'unité africaine.
D'où son obsession de vouloir savoir sa vraie histoire...
Mais demande à ton président parler de ça a Macron comme il va lui botter les fesses
Comme ton président a peur comme tous le reste d'ailleurs de parler à la France donc les sénégalais s'en occupe
@@ahmasylla8968 😂😂😂😂
T'es ridicule, ce président a fait de la prison car il a insulter le système.
Si le Sénégal te dérange pourquoi tu ne demandes pas à ton pays de s'en occuper
AKLÉSSO c'est pas mieux que tu restes à la maison. Arrête de nous fatiguer les oreilles. Tu dis rien de bon.
😅😅❤❤❤