Daniil Trifonov - Johann Strauss Overture to "Die Fledermaus" (transcription by Daniil Trifonov)

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  • Опубликовано: 2 ноя 2024

Комментарии • 26

  • @TonyKnutsson
    @TonyKnutsson 7 лет назад +10

    He is incredible!!! To make such a transcription in a couple of weeks is a clear sign of genius!

  • @miriamprince7479
    @miriamprince7479 Год назад +1

    Gostei muito de ouvir Daniil falando sobre a escola e dedicando sua transcrição da composição de Strauss.
    Sempre é um privilégio assistir Daniil ao piano.
    👏❣️👏

  • @annamusician
    @annamusician 11 лет назад +12

    I think he is not the next...Mozart, Liszt, whoever...he is Daniil, the only one in this world and we all can feel really lucky we live in the same epoque with him:)

  • @sunachong1083
    @sunachong1083 7 лет назад +4

    Daniil seems to be eating his age backwards. The present looks much younger and cheerful. His performance is impressive then and now.

  • @-artart--8317
    @-artart--8317 3 года назад +2

    Умопомрачительно прекрасно! Ой!

  • @tatianaAnkvi
    @tatianaAnkvi 4 года назад +1

    Даниила Трифонова можно слушать бесконечно!

  • @liopopliopo
    @liopopliopo 12 лет назад +5

    this transcription is just incredible!! seems really difficult in some parts:O
    fabolous demonic playing as always!

  • @majorhancock11
    @majorhancock11 11 лет назад +6

    The fact that people laugh is not meant as disrespect. Not in the least.
    Trifonov says the wrote this transcription "a few weeks ago" in a very casual manner ... as in "I just knocked this off a couple of weeks ago."
    The audience knows it will be amazing and is stunned that he could accomplish something so brilliant is such a short time. Hence the laughter.

  • @violinist86
    @violinist86 10 лет назад +6

    Daniil graduated from here at CIM. The graduates and faculty know him and are laughing because they they know him.

  • @ElspethStuart
    @ElspethStuart 11 лет назад +4

    - I bet he engages the joy of anyone around him . If not , is sure to collect in their quiet place :)))

  • @genjiseiwa755
    @genjiseiwa755 12 лет назад +5

    a m a z i n g

  • @ElspethStuart
    @ElspethStuart 11 лет назад +4

    in my opinion, sound like "Laugh Track". It has a perfect balance, unlike organic voices audience. Maybe it's audio mixing error. Someone may have wanted amiable support musings at points, 5:09 and 6:12. I giggles at those times as Daniel was jovial and carefree.:) I am certain that any american there would have been in love with his gentility and authenticity .

  • @camillebouchard6436
    @camillebouchard6436 9 лет назад +4

    Je suis très impressionnée par ce jeune pianiste

    • @Maralegar2009
      @Maralegar2009 9 лет назад

      Camille Bouchard Il est deja tres celebre .

    • @camillebouchard6436
      @camillebouchard6436 9 лет назад

      Merci pour l'info Maralegar2009

    • @Maralegar2009
      @Maralegar2009 9 лет назад +1

      Camille Bouchard Bonsoir , il a remporté le prix Rubinstein et depuis on peux l'apprecier un peu partout .Protégé de Martha Argerich également .Le nouveaux Kissin en somme .
      Je vous recommande son Prokofiev ,par contre je n'ai pas aimé l entendre sur Mozart .
      En tout cas une technique extraordinaire mais parfois trop de pathos dans le resultat .
      Musicalement

    • @camillebouchard6436
      @camillebouchard6436 9 лет назад

      Maralegar2009, bonsoir ! Je vais écouter le Prokofiev de Daniil Trifonov. Avez-vous déjà écouté le Concerto no 2 de Prokofiev avec le pianiste Yundi Li et l'Orchestre Philharmonique de Berlin sous la direction de Seiji Ozawa ? Inégalé en ce qui me concerne. J'ai acheté ce CD il y a une couple d'années. J'ai pu voir à la télé des extraits lors des répétitions avant ce concert à Berlin. J'ai adoré. Yundi Li est mon pianiste préféré et le meilleur interprète de Chopin actuellement au monde.

    • @Maralegar2009
      @Maralegar2009 9 лет назад

      Camille Bouchard " le meilleur interprète de Chopin actuellement au monde." c'est votre opinion .J'ai entendu Yundi li à Pleyel en 2010 .Voici l'article que j'avais publié apres le concert :
      Paris, Salle Pleyel, le 7 novembre 2010 :
      Je ne pensais pas que c'était cela, Yundi Li. C'est-à-dire : je pensais que
      c'était un peu mieux que Lang Lang, ou que Siheng Song. Parce que je me
      figurais une sorte de produit calibré pour un public alternatif à celui
      de Lang Lang, plus "mixte", moins exclusivement asiatique,
      éventuellement plus connaisseur, attaché à la réputation du beau label
      jaune à papa, quelque chose comme ça. Une sorte de chopinien français,
      de bon goût pour ne pas craindre le pléonoasme, sans doute ennuyeux et
      scolaire, mais apportant au moins à la facticité musicalisante la sûreté
      digitale que les français n'ont même pas. C'est cent fois pire que
      cela, donc. C'est l'horreur. De la musicalité musicalisante à gogo, il y
      en a. Tout est très bien appris et sonne aussi faux qu'un élève de
      conservatoire qui n'écoute que Lady Gaga mais qui veut son diplôme peut
      jouer faux, mais musical, cependant. Du moins peut-on dire cela pour la
      sélection (phénoménalement convenue) de nocturnes ouvrant le concert,
      qui fait vaguement illusion, en ce sens que cela ne minaude ni n'orgasme
      trop, jusqu'au choral de l'ut mineur et aux octaves, qui font renouer
      avec l'ordinaire pianistique le plus vulgaire et, qui plus est,
      approximatif. Soyons juste, car c'est bien le seul instant où quelque
      chose de bon s'est passé dans ce récital : Yundi Li aura tenté, certes
      laborieusement, de faire quelque chose de caractérisé du doppio
      movimento, en jouant avec plus ou moins de bonheur ou de maladresse des
      plans sonores.
      C'est ensuite que, petit à petit, cette étonnante construction ("pianiste
      chinois fabriqué pour l'occident", mais nettement moins réussi que Yuja
      Wang) se délite avant de s'effondrer avec grand fracas. C'est ensuite
      que l'horreur se révèle donc. Bien sûr, il est facile de taper sur une
      exécution de l'Andante Spianato et Grande Polonaise. D'un autre
      côté, on n'y peut rien si certains sont assez inconscients pour le
      jouer. Mais au moins est-ce l'occasion pour ce pianiste de commencer à
      se montrer sous son vrai jour, pour apparaître dans tout son artifice.
      Avec une dose respectable de pédale, l'andante se déroule dans une sorte
      de flou sonore vaporeux, en tout cas s'agissant de la main gauche. Les
      deux commentaires choraux sont traités avec un prosaïsme précieux, et
      une théâtralité affligeante (le second trois fois plus fort que le
      premier). Globalement, on est dans le fabriqué absolu, un continuum qui
      ressemble en permanence à du Chopin mais dont il n'est pas vraisemblable de
      croire que cela pourrait en être. Ce pourrait être un mauvais film, où
      dans un contexte totalement décalé un pianiste viendrait jouer Chopin,
      le message de la scène étant quelque chose comme "la musique classique,
      désuète, mondaine, sentimentale", avec des jeunes filles en fleur
      prenant le thé derrière. Tout cela est déjà bien connu et entendu vingt
      fois par an, mais pas à ce degré en quelque sorte industriel, tant tout
      est si calibré et calculé, mis en boîte.
      Le second pan de l'horreur se découvre dans la polonaise : et c'est plus
      inattendu. Côté virtuosité (je parle évidemment de virtuosité au sens
      franco-chinois, précision digitale, pas de vraie virtuosité), on est
      bien loin du compte, c'est-à-dire du standard asiatique de concours
      actuel. Cela savonne pas mal, précisément dès que l'on sort de la
      possibilité d'avoir une maîtrise strictement digitale des traits : les
      ponts chromatiques, ça passe, dès qu'il y a des déplacements ou des
      octaves un peu compliqués, ça casse. Et ce n'était rien à côté de ce qui
      allait suivre.
      Dans l'opus 33 d'abord, marqué par une mazurka en ut majeur
      d'une insondable grossièreté, entièrement tapée, martelée, et qui
      bizarrement semble incapable d'avancer, faute de cadre rythmique
      intelligible - on entend bien un temps fort qui fait taaakkk de temps en temps - et se réduit donc à une chose aussi inerte que bruyante. La grande si mineur
      est consternante : d'abord, là encore, elle paraît n'avoir aucun sens
      (ce qui, en fait, était le cas de chaque page de l'entier programme). On
      arrive là à un stade d'absurdité, ou de barbarie, faisant penser à ces
      malheureux collégiens sommés de déclamer des alexandrins classiques,
      voire de l'ancien français. La dernière section majeure ressemble à un
      air de salsa pour vacanciers du Club Med. Et ce n'est (presque) rien à
      côté de la Funèbre, attaquée avec des sabots de pachyderme et qui sombre
      en deux temps, trois mouvements dans la bouillie absolue. Le
      développement du I a une distinction (enfin du moins une subtilité) de
      rap américain. Le scherzo est pire, car les notes y sont encore moins,
      les duretés plus dures, les trivialités plus dégueulasses encore.
      Parce que, finalement, c'est cela le terme que j'ai le plus envie d'utiliser :
      dégueulasse. Faut-il que je parle de la polonaise héroïque, vraiment ?
      Car, dans ce contexte pianistique là, l'opus 53 après l'opus 35, ce que
      cela a pu donner me semble tomber sous le sens. Maintenant, je trouve
      qu'il y a là un cas d'école, en ce qu'un concert peut donner matière à
      discuter un problème bien plus vaste, et que celui-ci semblait en deux
      heures résumer celui de la barbarie musicale moderne - ou, selon, les
      points de vue, l'agonie de la musique, tout simplement. Car il faut voir
      que Yundi Li a quasiment eu sa standing ovation, après avoir, fier de
      lui, infligé une chinoiserie débile et repoussante (qu'on n'oserait pas
      jouer à la Star Academy, à mon avis), puis une étude révolutionnaire
      (normalement j'écris "en ut mineur" ou "opus 10/12", mais
      puisqu'on était de toute façon passé dans le concert de variété...)
      raccord avec le niveau où l'on était tombé. Je n'aurais aucun problème
      si la réaction de Pleyel avait été celle d'un public normal dans de
      telles circonstances : des supporters qui hurlent pour couvrir les huées
      des autres, des invectives, des bousculades, bref, une réaction vivante de
      gens civilisés face à un phénoménal moment de barbarie et de mise à
      mort. Mais non, je n'ai vu qu'un effet d'abaissement collectif des plus
      glauques, sordides.
      La responsabilité des gens véritablement coupables d'avoir projeté ce
      pianiste sur les grandes scènes internationales est colossale. Tout
      particulièrement celle du jury du Concours Chopin, concours qui n'a
      certes à peu près plus aucune crédibilité. Le jury, Argerich comprise,
      donc, qui aurait mieux fait de garder le coup du scandale pour cette
      occasion plutôt que pour Pogorelich. Car depuis lors, il a dû y avoir
      une évolution de Yundi Li, qui risque de se poursuivre par une course à
      l'abîme sépulcrale de la musique. Il joue comme si, par la sorte de
      magie d'une délivrance de brevet d'authenticité, il détenait réellement
      quelque chose le légitimant dans l'interprétation de Chopin - ou de
      Liszt ou de tout autre sur qui il jettera un jour son dévolu : "en lui
      donnant le prix Chopin, on en a fait une sorte de monstre" m'a-t-on
      notamment glissé à l'issu de ce calvaire. Cela pourrait, aurait déjà pu
      s'arrêter, si la forfaiture ne se poursuivait pas, impliquant dirigeants
      de la production du disque et du concert à travers le monde ne
      continuait à cautionner l'inconcevable. Mais c'est bien en cela que ce
      violent symptôme d'une catastrophe si prévisible dépasse largement le
      cadre de ce concert, et même celui de la personnalité de Yundi Li : il
      s'agit du triomphe d'une idéologie (et non d'une pseudo tolérance,
      quoique cela revienne presque au même), aujourd'hui quasi-totalitaire
      dans le monde musical : cette idéologie nihiliste qui veut que tous les
      interprètes soient d'abord des "personnalités", des "artistes" au sens
      culturo-marchand, ce qui constitue l'exacte raison pour laquelle il sont
      tous interchangeables, et qu'un Yundi Li soit un artiste Deutsche Grammophon,
      au même titre que Maurizio Pollini. Après tout, ils ont remporté le
      même concours, non ? Ainsi l'horreur peut-elle s'avancer, tranquille.
      Rien ou presque ne la perturbera. Qu'ils sont insensés, ceux qui tentent
      de croire qu'on ne vit pas les dernières décades du Bas-Empire.
      Vivez-les comme si vous étiez, tant qu'à faire.

  • @godisimo1122
    @godisimo1122 12 лет назад +5

    THE NEXT MOZART

  • @Aelrond
    @Aelrond 12 лет назад +6

    He is the next Liszt ... and maybe more.

  • @mikepen3477
    @mikepen3477 8 лет назад +1

    Don't know how much he rehearsed it, but it sounds as though it's too difficult even for him!

  • @KasradzeMariam
    @KasradzeMariam 12 лет назад +1

    does anyone know why is people laughing? :X:X what's funny here?

  • @waretada
    @waretada 11 лет назад +2

    > He is the next Liszt ..
    May be next Chopin, but exactly is not next Liszt. He dosn't understand the great Liszt's compositions ( Sonata h moll, Mephisto valse for example)

    • @joaopedrolessa2242
      @joaopedrolessa2242 4 года назад +2

      Well, 7 years later, I can tell you that he understands... he is the best and more mature pianist of his generation and I would venture to say that he’s better than a lot of well known pianists from other older generations...

  • @KakeiTheWoIf
    @KakeiTheWoIf 6 лет назад

    Well, to say it nicely, this is... disrespectful to the concept of tempo.

  • @dtrfanatic237
    @dtrfanatic237 8 лет назад +1

    it is messy!