Voici un texte plus long, toujours dans le style de “Frèche la Douille”, avec un couplet unique qui garde l’énergie brute, l’authenticité et la violence du quotidien : Couplet : J’sors d’l’ombre, prêt à tout, rien qu’ça frôle les nerfs, Dans l’binks ça fume des douilles pendant qu’les keufs guettent l’enfer, J’ai grandi dans la foudre, là où ça parle avec le fer, Où les regards sont des balles, ça tire à chaque revers. J’fais des tours dans la zone, poto, ça sent la guerre, Les petits braquent pour des sommes, trop d’chômage dans l’air, On vit dans l’urgence, on mise tout sur un coup d’dés, Les rêves sont cramés, y’a plus qu’les flammes pour éclairer. Les deals se font à l’ombre, les sirènes tournent en boucle, J’entends des frères qui tombent pour quelques billets sous les couches, On joue tous un rôle, ici personne est clean, Les sourires sont des masques, ça calcule même dans l’spleen. La rue t’attrape, elle t’empoisonne, j’vois des âmes brisées, Des corps sous tension, les nerfs sont paralysés, Ça rêve de sortir mais les chaînes sont invisibles, Chaque jour c’est le même cycle, prison ou cercueil possible. J’vois des frères qui s’perdent, piégés par les centimes, Ça rêve d’bolides et d’villas mais ça crame dans les vitrines, Le cash est sale, frère, faut qu’tu l’attrapes avant qu’il te glisse, Y’a pas d’place pour les faibles, ici c’est la loi du vice. Les regards sont glacés, l’espoir est dans la dope, Les mains pleines d’secrets, chaque deal est sous l’couvre-feu des cops, On s’serre la ceinture mais faut qu’ça rentre en masse, Les proches veulent voir l’oseille, qu’tu deviennes une menace. Le béton nous parle, j’comprends chaque mot d’sa langue, C’est lui qui m’a forgé, j’sais qu’ici y’a pas d’anges, Les potes d’enfance ont tourné, maintenant c’est chacun sa chance, Ça part en vrille pour des broutilles, chacun tente sa danse. J’vois les têtes tomber comme des dominos, Trop de frères calcinés dans l’vortex de la came ou des kilos, Ça tire sans sommation, juste pour des billets froissés, Ici l’orgueil coûte cher, faut toujours savoir effacer. Les chiffres sont là, mais la vie vaut-elle vraiment l’prix ? On s’tue pour des miettes, on finit tous pris, J’suis dans l’brouillard, les fumées m’bloquent la vue, Les keufs tournent en rond, ils fouillent la rue, ils nous ont tous vus. On parle pas trop, ici chaque mot est compté, Les balances sont partout, faut bien choisir avec qui compter, Chaque jour c’est l’même combat, faut qu’j’garde l’contrôle, Si tu tombes c’est fini, y’a personne pour remonter l’seul rôle. La rue t’forge à coups d’poing, elle t’enseigne la douleur, J’vois des frères sourire mais j’lis l’vide dans leurs cœurs, On fait tout pour survivre mais au fond on s’tue à petit feu, Le diable est dans l’détail, il te glisse des pensées vicieuses. Les keufs frappent à la porte, j’sens qu’la fin est proche, Les murs se resserrent, chaque nuit me rapproche, On court après l’temps, mais le compteur s’emballe, Chaque seconde compte, chaque faux pas te fait mal. Les rêves sont morts depuis longtemps dans le bloc, On survit comme on peut, entre le fer et la coque, J’me suis blindé pour pas plonger dans l’fossé, J’avance sans bruit, mais la pression me fait saigner. J’sais qu’la rue nous garde captifs, elle sait tout d’nous, Elle t’attire dans ses bras mais elle t’achève à bout d’souffle, Les billets pleuvent mais le prix c’est la liberté, Et quand t’as tout perdu, y’a plus personne pour t’aider. Ce texte s’étire dans une tension constante, avec des images brutales, évoquant les pièges de la rue, les illusions du pouvoir et de l’argent, ainsi que l’urgence d’une vie qui se vit au jour le jour dans la violence et la survie.
Voici un texte plus long, toujours dans le style de “Frèche la Douille”, avec un couplet unique qui garde l’énergie brute, l’authenticité et la violence du quotidien :
Couplet :
J’sors d’l’ombre, prêt à tout, rien qu’ça frôle les nerfs,
Dans l’binks ça fume des douilles pendant qu’les keufs guettent l’enfer,
J’ai grandi dans la foudre, là où ça parle avec le fer,
Où les regards sont des balles, ça tire à chaque revers.
J’fais des tours dans la zone, poto, ça sent la guerre,
Les petits braquent pour des sommes, trop d’chômage dans l’air,
On vit dans l’urgence, on mise tout sur un coup d’dés,
Les rêves sont cramés, y’a plus qu’les flammes pour éclairer.
Les deals se font à l’ombre, les sirènes tournent en boucle,
J’entends des frères qui tombent pour quelques billets sous les couches,
On joue tous un rôle, ici personne est clean,
Les sourires sont des masques, ça calcule même dans l’spleen.
La rue t’attrape, elle t’empoisonne, j’vois des âmes brisées,
Des corps sous tension, les nerfs sont paralysés,
Ça rêve de sortir mais les chaînes sont invisibles,
Chaque jour c’est le même cycle, prison ou cercueil possible.
J’vois des frères qui s’perdent, piégés par les centimes,
Ça rêve d’bolides et d’villas mais ça crame dans les vitrines,
Le cash est sale, frère, faut qu’tu l’attrapes avant qu’il te glisse,
Y’a pas d’place pour les faibles, ici c’est la loi du vice.
Les regards sont glacés, l’espoir est dans la dope,
Les mains pleines d’secrets, chaque deal est sous l’couvre-feu des cops,
On s’serre la ceinture mais faut qu’ça rentre en masse,
Les proches veulent voir l’oseille, qu’tu deviennes une menace.
Le béton nous parle, j’comprends chaque mot d’sa langue,
C’est lui qui m’a forgé, j’sais qu’ici y’a pas d’anges,
Les potes d’enfance ont tourné, maintenant c’est chacun sa chance,
Ça part en vrille pour des broutilles, chacun tente sa danse.
J’vois les têtes tomber comme des dominos,
Trop de frères calcinés dans l’vortex de la came ou des kilos,
Ça tire sans sommation, juste pour des billets froissés,
Ici l’orgueil coûte cher, faut toujours savoir effacer.
Les chiffres sont là, mais la vie vaut-elle vraiment l’prix ?
On s’tue pour des miettes, on finit tous pris,
J’suis dans l’brouillard, les fumées m’bloquent la vue,
Les keufs tournent en rond, ils fouillent la rue, ils nous ont tous vus.
On parle pas trop, ici chaque mot est compté,
Les balances sont partout, faut bien choisir avec qui compter,
Chaque jour c’est l’même combat, faut qu’j’garde l’contrôle,
Si tu tombes c’est fini, y’a personne pour remonter l’seul rôle.
La rue t’forge à coups d’poing, elle t’enseigne la douleur,
J’vois des frères sourire mais j’lis l’vide dans leurs cœurs,
On fait tout pour survivre mais au fond on s’tue à petit feu,
Le diable est dans l’détail, il te glisse des pensées vicieuses.
Les keufs frappent à la porte, j’sens qu’la fin est proche,
Les murs se resserrent, chaque nuit me rapproche,
On court après l’temps, mais le compteur s’emballe,
Chaque seconde compte, chaque faux pas te fait mal.
Les rêves sont morts depuis longtemps dans le bloc,
On survit comme on peut, entre le fer et la coque,
J’me suis blindé pour pas plonger dans l’fossé,
J’avance sans bruit, mais la pression me fait saigner.
J’sais qu’la rue nous garde captifs, elle sait tout d’nous,
Elle t’attire dans ses bras mais elle t’achève à bout d’souffle,
Les billets pleuvent mais le prix c’est la liberté,
Et quand t’as tout perdu, y’a plus personne pour t’aider.
Ce texte s’étire dans une tension constante, avec des images brutales, évoquant les pièges de la rue, les illusions du pouvoir et de l’argent, ainsi que l’urgence d’une vie qui se vit au jour le jour dans la violence et la survie.
Sall🔥
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