Si comme nous vous passez beaucoup trop de temps à regarder les vidéos débiles que youtube vous suggère, pensez à cliquer sur tous les machins, le pouce, l'abonnement et le "partager". Ca permettra à d'autres d'accéder à cette formidable interview.
Le problème de ce saucissonnage des victimitudes, c'est que cela créé des tribus d'affect. La tribalisation ou la ghettoisation ou la division de la société ne bénéficie qu'à ceux qui peuvent manipuler ces tribus.
Chez notre cousin le chimpanzé, on observe de grands mouvements génocidaires pour l'espace vital contre les autres groupes voisins qui font des incursions de collecte, mais pas de grands mouvements de solidarité. La compassion et le partage restent dans la sphère privée. Pour moi, nous avons les mêmes instincts parce qu'il n'y a pas si longtemps, du point de vue de l'évolution, que nous avons divergé (400 ou 500 mille générations). Les aspects physiques évoluent plus facilement que le cerveau archaïque. Le cerveau s'est adjoint de bouvelles fonctions sans remplacer l'ancien. Et l'histoire nous montre que, malgré nos belles organisations et nos idéaux, nous n'avons pas abandonné ces comportements archaïques : la hiérarchie, la fascination du chef, la prédation des ressources jusqu'au risque de famine, et bien sûr la xénophobie et la guerre génocidaire. C'est pourquoi la gauche qui a pu prendre le pouvoir était violente et virait à la dictature. C'est un fond d'instincts hiérarchico-bellicistes relayé brillamment par l'idéel du puissant sachant gouverner, prendre des risques comme avoir le goût de l'excellence culturelle... L'existence d'une classe dominante minoritaire mais fascinante nous vient du fond des âges. D'ailleurs, partout j'observe chez mes contemporains ce réflexe d'idéalisation du chef, du puissant, du riche... C'est le châtelain de la bourgade, le patron de la plus grosse entreprise locale, comme s'ils étaient des héros alors qu'ils sont le fruit de leur classe d'héritiers. C'est aussi l'idée fainéante de remettre sa responsabilité à un leader fédérateur surtout s'il est nouveau (l'extrême droite se dit toujours nouvelle). Bien entendu je n'espère plus du tout que la gauche vaincra, en tout cas une gauche démocratique égalitaire sociale... En revanche je vois que l'on retourne à l'ancien régime, avec des familles de noblourgeois fagocitant un système prétendu démocratique (et sans doute encore un chouïa démocratique). Et pourtant ce système n'a pas comme pivot un leader ou une famille royale, pas de guide suprême. Et le peuple le cherche ce sauveur ! Alors une blonde ou un barbarella c'est fascinant et ça rassemble. Je parie, sur la base des instincts précités, que ça va marcher. La gauche a tiré les leçons de l'histoire et n'avance plus de général rouge ni de tribun socialiste pour gagner. La droite craint aussi qu'un dictateur ne les entraîne vers la destruction, mais garde ce logiciel de soumission au chef. C'est un atout. Vous faites l'éloge du libéralisme qui titrise toutes les capacités individuelles et transforme le monde en lutte de chacun contre tous. Du coup, en appeler à la lutte des classes ne fait plus envie puisque dès la maternelle nous sommes en lutte dans un idéel libéral qui a cancérisé toute réflexion politique. En tout cas, il est éclairant de connaître les chimpanzés pour constater qu'ils sont, comme nous, hiérarchisés identitaires, prédateurs et xénophobes.
Sérieusement... comparer les chimpanzés aux humains a de groooosses limites. Je vous propose une autre analyse: 1) Historiquement, la démocratie (au sens d'une quête d'horizontalité et d'organicité des prises de décision) est très neuve dans nos cultures occidentales. 2) Le pouvoir a, par tautologie, beaucoup de pouvoir, notemment celui de mobiliser la force. 3) Tout pouvoir met en place les conditions de sa réplication car il s'auto-justifie. 4) Le 19ème siècle est le siècle en Europe qui a vu triompher le pouvoir actuel et le concept d'éducation de masse. On peut donc considérer cette dernière, non comme un outil d'émancipation mais de contrôle au service du pouvoir. 5) L'école, depuis 150ans, n'a pas changé fondamentalement et enseigne autant les savoirs que l'obéissance à l'autorité, la légitimation de l'autorité, la crainte de la répression, la concurrence inter-individuelle, le tri social, le mérite individuel, le culte de l'effort, etc... Conclusion : si la famille est le lieu privilégié de la réplique du patriarcat, c'est à l'école que nous passons le plus de temps et c'est là que nous apprenons à répliquer l'ordre inique et prédateur du capitalisme, forgé dans le colonialisme du 19ème siècle. Les chimpanzés... comment dire... leurs cultures sont très différentes des notres et répondent à des impératifs très différents. D'ailleurs, vous faites une généralité sur l'espèce alors que leurs cultures sont multiples, y compris sur les questions de territorialité. Bref, votre comparaison me parait un brin hâtive. Avec tout mon respect bien sûr. Je fais moi-même de gros raccourcis.
@@DilaneZloanje Je voulais vous répondre de manière exhaustive, mais RUclips refuse ma réponse en prétendant que je dévoile des informations personnelles... Il veut du trash, du croustillant, pas de longues réflexions !
Pas roosevelt, juste continuateur, mais wilson bodrow, 25 janvier 1918 ,et ses 14 points, resumés comme main basse sur l europe, allemagne leader!! En outre raison pour laquelle il fallait menager l allemagne, et n intervenir qu en 1918...
Michel Feher, dans son intervention, développe une réflexion critique sur les dynamiques politiques contemporaines, le fascisme, et les réponses possibles à gauche. Voici les points clés : 1. Critique du paradigme de la gauche historique : • La gauche a longtemps reposé sur l’idée que la lutte contre les inégalités conduirait à une majorité naturelle, mais cette vision optimiste est remise en question. • Michel Feher propose une “gauche d’occasion”, pragmatique et opportuniste, qui saisit les moments favorables au lieu d’attendre une transformation historique inéluctable. 2. Évolution du fascisme et du capitalisme : • Le fascisme moderne se caractérise par un ressentiment centré sur l’épuration sociale et identitaire, visant à restaurer un “bon peuple” débarrassé des “parasites” perçus. • Le capitalisme financiarisé a déplacé l’objectif du profit vers le crédit, influençant la manière dont les individus et les mouvements sociaux se définissent et agissent. 3. Subjectivité et luttes intersectionnelles : • La gauche doit affronter les tensions internes liées à l’intersectionnalité (multiplicité des luttes) sans espérer une convergence naturelle des luttes. • Les mouvements contemporains comme Black Lives Matter ou MeToo sont des exemples de luttes spéculatives, cherchant à redonner de la valeur à des vies ou à discréditer des oppressions. 4. Fascisation et géopolitique : • Un nouvel impérialisme émerge, distinct du modèle colonial ou totalitaire classique : l’impérialisme continental. Il vise à restaurer un territoire jugé légitimement acquis à une identité nationale (Russie, Israël, Inde, Chine, etc.). • Ce phénomène marque une montée des régimes autoritaires basés sur l’épuration identitaire et le ressentiment. 5. Antifascisme et affirmation : • L’antifascisme ne doit pas être une simple réaction, mais une affirmation positive de formes de vie alternatives, expérimentales, capables de rivaliser avec l’éthique de la droite radicale. • L’enjeu pour la gauche est de maintenir une intransigeance sur les principes d’égalité et de justice tout en expérimentant des manières nouvelles de vivre ensemble. 6. Urgence d’une réponse globale : • Face à la fascisation mondiale, il est crucial de créer des alliances larges, au-delà des divisions internes historiques (anti-impérialisme vs anti-totalitarisme). • La lutte nécessite d’aménager des zones de liberté et d’expérimentation tout en s’appuyant sur des mécanismes institutionnels pour protéger ces espaces.
J'ai trouvé la partie géopolitique séduisante (revendications identitaires et géographiques ethniquement pures) et probablement en partie opérante mais ce que cela occulte, je trouve, c'est que pour accroître les moyens de leurs puissances, ces entités doivent jouer à fond le jeu capitaliste et donc produire en masse de nouveaux "parasites". Ne tient-on donc pas là le talon d'achille de ces nouveaux agencements ? La condition parasitaire semble partagée par un nombre croissant de gens, tout genre/classe/race confondus, comme l'a remarqué Michalis Lianos dans ses travaux sur le GJ. Les désintégrés du système, dont les conditions d'une vie digne ne cessent de s'éroder malgré les postures MAGA&co, ont de plus en plus de raison de se soulever tant les promesses d'inclusion sont bafouées (cf. l'explosion de la pauvreté en Argentine...). L'ethos et la position économique et matérielle parasitaire semble donc devenir celle à investir par tout mouvement révolutionnaire digne de ce nom. Encore faut-il ne pas penser qu'un fachés/fachos est forcément indécrottable comme ce monsieur... Sur ce point aussi, Michalis Lianos me semble plus en prise avec le terrain. Ps : cet homme a vraiment la même voix que Deleuze... c'est troublant...
Serait interessant "d'envisager" pour quels interets et qui stipendiait" la trop fameuse ana harendt!!.... ou a tout le moins, en faire etat, idem pour orwell et....
"la gauche, la droite " sont des concepts qui servent depuis au moins 35 ans à diviser les citoyens beaucoup plus qu'à définir une "réflexion ".... vous devriez prendre acte de la progression continue des idées réactionnaires et réfléchir un peu à la phrase dont j'ai oublié l'origine et le début....😁 " ...nous sommes tous des anarchistes sans le savoir "
![Raoult Aggro Darwin -01- Les faits alternatifs [TdF 10.1]](http://i.ytimg.com/vi/5V-90eBuQVc/mqdefault.jpg)
![Raoult Aggro Darwin -01- Les faits alternatifs [TdF 10.1]](/img/tr.png)
Si comme nous vous passez beaucoup trop de temps à regarder les vidéos débiles que youtube vous suggère, pensez à cliquer sur tous les machins, le pouce, l'abonnement et le "partager". Ca permettra à d'autres d'accéder à cette formidable interview.
cet interview est une " suggestion de RUclips "....
"Il s'agit de faire de l'europe une maison de retraite fortifiée pour épargnants de souche"
Waw, l'effict de cette phrase. Une vraie perle. Bravo.
Le problème de ce saucissonnage des victimitudes, c'est que cela créé des tribus d'affect. La tribalisation ou la ghettoisation ou la division de la société ne bénéficie qu'à ceux qui peuvent manipuler ces tribus.
Chez notre cousin le chimpanzé, on observe de grands mouvements génocidaires pour l'espace vital contre les autres groupes voisins qui font des incursions de collecte, mais pas de grands mouvements de solidarité. La compassion et le partage restent dans la sphère privée.
Pour moi, nous avons les mêmes instincts parce qu'il n'y a pas si longtemps, du point de vue de l'évolution, que nous avons divergé (400 ou 500 mille générations). Les aspects physiques évoluent plus facilement que le cerveau archaïque. Le cerveau s'est adjoint de bouvelles fonctions sans remplacer l'ancien. Et l'histoire nous montre que, malgré nos belles organisations et nos idéaux, nous n'avons pas abandonné ces comportements archaïques : la hiérarchie, la fascination du chef, la prédation des ressources jusqu'au risque de famine, et bien sûr la xénophobie et la guerre génocidaire.
C'est pourquoi la gauche qui a pu prendre le pouvoir était violente et virait à la dictature. C'est un fond d'instincts hiérarchico-bellicistes relayé brillamment par l'idéel du puissant sachant gouverner, prendre des risques comme avoir le goût de l'excellence culturelle... L'existence d'une classe dominante minoritaire mais fascinante nous vient du fond des âges.
D'ailleurs, partout j'observe chez mes contemporains ce réflexe d'idéalisation du chef, du puissant, du riche... C'est le châtelain de la bourgade, le patron de la plus grosse entreprise locale, comme s'ils étaient des héros alors qu'ils sont le fruit de leur classe d'héritiers. C'est aussi l'idée fainéante de remettre sa responsabilité à un leader fédérateur surtout s'il est nouveau (l'extrême droite se dit toujours nouvelle).
Bien entendu je n'espère plus du tout que la gauche vaincra, en tout cas une gauche démocratique égalitaire sociale... En revanche je vois que l'on retourne à l'ancien régime, avec des familles de noblourgeois fagocitant un système prétendu démocratique (et sans doute encore un chouïa démocratique). Et pourtant ce système n'a pas comme pivot un leader ou une famille royale, pas de guide suprême. Et le peuple le cherche ce sauveur ! Alors une blonde ou un barbarella c'est fascinant et ça rassemble. Je parie, sur la base des instincts précités, que ça va marcher. La gauche a tiré les leçons de l'histoire et n'avance plus de général rouge ni de tribun socialiste pour gagner. La droite craint aussi qu'un dictateur ne les entraîne vers la destruction, mais garde ce logiciel de soumission au chef. C'est un atout.
Vous faites l'éloge du libéralisme qui titrise toutes les capacités individuelles et transforme le monde en lutte de chacun contre tous. Du coup, en appeler à la lutte des classes ne fait plus envie puisque dès la maternelle nous sommes en lutte dans un idéel libéral qui a cancérisé toute réflexion politique.
En tout cas, il est éclairant de connaître les chimpanzés pour constater qu'ils sont, comme nous, hiérarchisés identitaires, prédateurs et xénophobes.
Épître aux chimpanzés ?
Sérieusement... comparer les chimpanzés aux humains a de groooosses limites. Je vous propose une autre analyse:
1) Historiquement, la démocratie (au sens d'une quête d'horizontalité et d'organicité des prises de décision) est très neuve dans nos cultures occidentales.
2) Le pouvoir a, par tautologie, beaucoup de pouvoir, notemment celui de mobiliser la force.
3) Tout pouvoir met en place les conditions de sa réplication car il s'auto-justifie.
4) Le 19ème siècle est le siècle en Europe qui a vu triompher le pouvoir actuel et le concept d'éducation de masse. On peut donc considérer cette dernière, non comme un outil d'émancipation mais de contrôle au service du pouvoir.
5) L'école, depuis 150ans, n'a pas changé fondamentalement et enseigne autant les savoirs que l'obéissance à l'autorité, la légitimation de l'autorité, la crainte de la répression, la concurrence inter-individuelle, le tri social, le mérite individuel, le culte de l'effort, etc...
Conclusion : si la famille est le lieu privilégié de la réplique du patriarcat, c'est à l'école que nous passons le plus de temps et c'est là que nous apprenons à répliquer l'ordre inique et prédateur du capitalisme, forgé dans le colonialisme du 19ème siècle.
Les chimpanzés... comment dire... leurs cultures sont très différentes des notres et répondent à des impératifs très différents. D'ailleurs, vous faites une généralité sur l'espèce alors que leurs cultures sont multiples, y compris sur les questions de territorialité. Bref, votre comparaison me parait un brin hâtive.
Avec tout mon respect bien sûr. Je fais moi-même de gros raccourcis.
@@DilaneZloanje Je voulais vous répondre de manière exhaustive, mais RUclips refuse ma réponse en prétendant que je dévoile des informations personnelles... Il veut du trash, du croustillant, pas de longues réflexions !
Pas roosevelt, juste continuateur, mais wilson bodrow, 25 janvier 1918 ,et ses 14 points, resumés comme main basse sur l europe, allemagne leader!! En outre raison pour laquelle il fallait menager l allemagne, et n intervenir qu en 1918...
Michel Feher, dans son intervention, développe une réflexion critique sur les dynamiques politiques contemporaines, le fascisme, et les réponses possibles à gauche. Voici les points clés :
1. Critique du paradigme de la gauche historique :
• La gauche a longtemps reposé sur l’idée que la lutte contre les inégalités conduirait à une majorité naturelle, mais cette vision optimiste est remise en question.
• Michel Feher propose une “gauche d’occasion”, pragmatique et opportuniste, qui saisit les moments favorables au lieu d’attendre une transformation historique inéluctable.
2. Évolution du fascisme et du capitalisme :
• Le fascisme moderne se caractérise par un ressentiment centré sur l’épuration sociale et identitaire, visant à restaurer un “bon peuple” débarrassé des “parasites” perçus.
• Le capitalisme financiarisé a déplacé l’objectif du profit vers le crédit, influençant la manière dont les individus et les mouvements sociaux se définissent et agissent.
3. Subjectivité et luttes intersectionnelles :
• La gauche doit affronter les tensions internes liées à l’intersectionnalité (multiplicité des luttes) sans espérer une convergence naturelle des luttes.
• Les mouvements contemporains comme Black Lives Matter ou MeToo sont des exemples de luttes spéculatives, cherchant à redonner de la valeur à des vies ou à discréditer des oppressions.
4. Fascisation et géopolitique :
• Un nouvel impérialisme émerge, distinct du modèle colonial ou totalitaire classique : l’impérialisme continental. Il vise à restaurer un territoire jugé légitimement acquis à une identité nationale (Russie, Israël, Inde, Chine, etc.).
• Ce phénomène marque une montée des régimes autoritaires basés sur l’épuration identitaire et le ressentiment.
5. Antifascisme et affirmation :
• L’antifascisme ne doit pas être une simple réaction, mais une affirmation positive de formes de vie alternatives, expérimentales, capables de rivaliser avec l’éthique de la droite radicale.
• L’enjeu pour la gauche est de maintenir une intransigeance sur les principes d’égalité et de justice tout en expérimentant des manières nouvelles de vivre ensemble.
6. Urgence d’une réponse globale :
• Face à la fascisation mondiale, il est crucial de créer des alliances larges, au-delà des divisions internes historiques (anti-impérialisme vs anti-totalitarisme).
• La lutte nécessite d’aménager des zones de liberté et d’expérimentation tout en s’appuyant sur des mécanismes institutionnels pour protéger ces espaces.
J'ai trouvé la partie géopolitique séduisante (revendications identitaires et géographiques ethniquement pures) et probablement en partie opérante mais ce que cela occulte, je trouve, c'est que pour accroître les moyens de leurs puissances, ces entités doivent jouer à fond le jeu capitaliste et donc produire en masse de nouveaux "parasites". Ne tient-on donc pas là le talon d'achille de ces nouveaux agencements ? La condition parasitaire semble partagée par un nombre croissant de gens, tout genre/classe/race confondus, comme l'a remarqué Michalis Lianos dans ses travaux sur le GJ. Les désintégrés du système, dont les conditions d'une vie digne ne cessent de s'éroder malgré les postures MAGA&co, ont de plus en plus de raison de se soulever tant les promesses d'inclusion sont bafouées (cf. l'explosion de la pauvreté en Argentine...). L'ethos et la position économique et matérielle parasitaire semble donc devenir celle à investir par tout mouvement révolutionnaire digne de ce nom. Encore faut-il ne pas penser qu'un fachés/fachos est forcément indécrottable comme ce monsieur... Sur ce point aussi, Michalis Lianos me semble plus en prise avec le terrain.
Ps : cet homme a vraiment la même voix que Deleuze... c'est troublant...
La gauche d'occasion parce qu'on a pas les moyens de s'en procurer une neuve bien sûr. 🤣
Quel niveau !
Faut laisser plus de temps de parole au caméraman ! 😁😇
Populisme opportuniste pars bon pour une révolution proletarienne
faites taire le marteau! chg
son de gauche
C'est le contraire précisément.
Serait interessant "d'envisager" pour quels interets et qui stipendiait" la trop fameuse ana harendt!!.... ou a tout le moins, en faire etat, idem pour orwell et....
"la gauche, la droite " sont des concepts qui servent depuis au moins 35 ans à diviser les citoyens beaucoup plus qu'à définir une "réflexion ".... vous devriez prendre acte de la progression continue des idées réactionnaires et réfléchir un peu à la phrase dont j'ai oublié l'origine et le début....😁
" ...nous sommes tous des anarchistes sans le savoir "
Vos questions sont un poil trop longues.
On aurait dit un tronc mais si c'est qu'un poil, franchement ça va.
Que de verbiage !!!