Sorry to be off topic but does any of you know a tool to get back into an instagram account? I somehow lost the password. I would love any tricks you can offer me.
Encore un artisan passionné par son métier et ses paroles captivent les amoureux du beau et du travail bien fait. De plus, on en apprend un peu et j'espère que ce maître d'art transmet son savoir-faire !
Une vingtaine d'années auparavant,j'ai eu l'occasion de visiter à Cordoue,un atelier de fabrication du papier à partir aussi de vieux chiffons.A partir de votre reportage,j'ai enfin réussi de comprendre la technique employée.Un travail dur,mais les résultats sont éblouissants.Merci pour votre partage,afin de rendre connue cette méthode artisanale.
je me pose beaucoup de question sur la possibilité de fabriquer son papier chez soi, merci pour ce petit format qui explique assez bien le processus, c'est inspirant !
Super vidéo mais qu'est ce que c'est que ce montage bâclé ? Beaucoup de ses phrases sont coupées hyper abruptement ou alors des montages de phrases trop serrés sont faits, tant et si bien que parfois c'est dur de comprendre ce qu'il explique. Ça nuit beaucoup à la qualité du sujet et de l'intervenant qui sont très intéressants par ailleurs.
@@Minferno13 À 0:41 désolé c'est très mal monté, on perd en compréhension juste parce les phrases sont imbriquées maladroitement. Le discours est haché quand il explique la fermentation aussi, je ne comprends pas l'intérêt de couper les fins de phrase...
Comme on le voit, le papier XVIIIe est blanc, c'est "le grand papier", on pense que le papier "vieux" est toujours un peu jaunâtre à cause de l'avènement de la pâte à bois au XIXe et de l'intégration de la lignine, or, un papier au XVIIIe est blanc quasi éclatant (de par la qualité des chiffons employés, qui se perdent au siècle suivant avec les pénuries et les changements d'usage). il peut s'encrasser, s'oxyder, mais ne jaunit pas avec le temps. Malgré tout, on n'assume peu le retour de cette teinte originelle lorsqu'un document XVIIIe est restauré; on trouve cela moins esthétique et authentique, alors que c'est sa teinte naturelle. On voit aussi que sur le papier occidental, il faut remettre une colle ou gélatine après la confection pour restructurer le papier afin qu'il soit utilisable. Il faut attendre milieu-fin XIXe en occident pour penser à encoller la fibre dans sa masse (dans le bain, avant la mise sur le tamis), alors que les japonais utilisent cette méthode depuis le XIIIe siècle. Mais que l'on soit papetier occidental, arabe, japonais, tous sont les contemporains du papier à fibre végétale chinois.
C’est toujours un plaisir de voir des artisans passionnés par leur métier. Merci de m’avoir appris quelque chose avec cette vidéo de qualité.
Oui ! Un passionné !
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Encore un artisan passionné par son métier et ses paroles captivent les amoureux du beau et du travail bien fait. De plus, on en apprend un peu et j'espère que ce maître d'art transmet son savoir-faire !
C'est un plaisir de voir un tel artisan ,
Et merci pour les informations, excellent travail
Ce savoir-faire ancien et artisanal est magnifique et j'espère qu'elle restera ancrer encore longtemps.
Quel travail !!! Passionnant. Le papier est une richesse que la «modernité voire le progrès » ne doit pas faire disparaître. 🙏🙏🙏🙏🙏
Le montage est effectivement à travailler plus finement mais la vidéo, son sujet et l'artisan qui présente son métier sont fascinants.
Merci.
Une vingtaine d'années auparavant,j'ai eu l'occasion de visiter à Cordoue,un atelier de fabrication du papier à partir aussi de vieux chiffons.A partir de votre reportage,j'ai enfin réussi de comprendre la technique employée.Un travail dur,mais les résultats sont éblouissants.Merci pour votre partage,afin de rendre connue cette méthode artisanale.
C'est un plaisir de voir un tel artisan ,
je me pose beaucoup de question sur la possibilité de fabriquer son papier chez soi, merci pour ce petit format qui explique assez bien le processus, c'est inspirant !
Un travail noble et magnifique 🤩
Quel reportage intéressant !
Magnifique amour de son métier. Chapeau.
C’est super intéressant
Une impression typographique sur ce genre de papier donne un super résultat !
Juste incroyable !!! C fou
Très belles vidéos
Trop cool 🤩🤩
Merci!
Amei! Que reportagem maravilhosa
C'est agréable de voir ce savoir ancien
Ma question est de savoir qui produit les tamis pour ces papiers actuellement ?
Merci
Merci. Magnifique. Passionnant.👍
Le papier a aussi son aristocratie : le livre 📖, ce n'est pas du PQ 🧻! 😁
Merci monsieur je suis intéressé de votre explication
Super vidéo mais qu'est ce que c'est que ce montage bâclé ?
Beaucoup de ses phrases sont coupées hyper abruptement ou alors des montages de phrases trop serrés sont faits, tant et si bien que parfois c'est dur de comprendre ce qu'il explique.
Ça nuit beaucoup à la qualité du sujet et de l'intervenant qui sont très intéressants par ailleurs.
Je ne pense pas que ce soit si grave, on comprend quand même ce que dit l’interrogé.
@@Minferno13 À 0:41 désolé c'est très mal monté, on perd en compréhension juste parce les phrases sont imbriquées maladroitement.
Le discours est haché quand il explique la fermentation aussi, je ne comprends pas l'intérêt de couper les fins de phrase...
@@Anton77130 Merci pour votre retour constructif sur cette vidéo, nous le ferons remonter au service concerné. :-)
Anton J’ai du écouter 3-4 fois le passage en question avant de comprendre...
Plus jamais jamais jamais je gâche une feuille même si j'en gâche pas je le jure plus jamais
Pourquoi il ne développe pas sa dernière phrase ? C'était le grand final de cet entretien
Dédicace à madame Duranton 👌
j adore les artisans qui font ca
C'était du recyclage en somme
Le musée du Louvre n'a rien à voir avec ces artisans ?
Comme on le voit, le papier XVIIIe est blanc, c'est "le grand papier", on pense que le papier "vieux" est toujours un peu jaunâtre à cause de l'avènement de la pâte à bois au XIXe et de l'intégration de la lignine, or, un papier au XVIIIe est blanc quasi éclatant (de par la qualité des chiffons employés, qui se perdent au siècle suivant avec les pénuries et les changements d'usage). il peut s'encrasser, s'oxyder, mais ne jaunit pas avec le temps. Malgré tout, on n'assume peu le retour de cette teinte originelle lorsqu'un document XVIIIe est restauré; on trouve cela moins esthétique et authentique, alors que c'est sa teinte naturelle. On voit aussi que sur le papier occidental, il faut remettre une colle ou gélatine après la confection pour restructurer le papier afin qu'il soit utilisable. Il faut attendre milieu-fin XIXe en occident pour penser à encoller la fibre dans sa masse (dans le bain, avant la mise sur le tamis), alors que les japonais utilisent cette méthode depuis le XIIIe siècle. Mais que l'on soit papetier occidental, arabe, japonais, tous sont les contemporains du papier à fibre végétale chinois.