Les mariages consanguins entre cousins germains dans les populations musulmanes représentent une très forte proportion des unions : de 25 à 80 % selon les pays et les régions. Les enfants issus de ces mariages se marient dans les mêmes proportions avec des cousins germains et ce, depuis le VII° siècle de notre ère. Le résultat est désastreux. Dans le monde musulman, ce sujet est discuté par les médecins et les avertissements sont clairement émis pour tenter d’enrayer ce phénomène. Le prophète Mahomet a lui-même épousé une de ses cousines et selon le Coran, Allah permet les relations sexuelles entre cousins (Coran 4 :23-24). La Sharia, la loi islamique, insiste sur cette manière de contrôler les membres de la famille, particulièrement les filles en les mariant dans le cadre familial. C’est une question « d’honneur” et de « respect » de la famille. Au fil des siècles, les effets de ces mariages consanguins pèsent très lourdement sur la société. Selon Lise Egholm, directrice d’école depuis de nombreuses années dans le quartier musulman de Nørrebro à Copenhagen (Danemark), il faut énoncer cette pratique des mariages entre cousins chez les musulmans et le silence qui entoure ce problème : au Danemark, les migrants non-européens sont 300 fois plus susceptibles d’échouer aux tests d’intelligence (QI) de l’armée danoise que les Danois de souche. Musulmans Danois : peut-être le retrait communautariste est-il également dû pour partie, à un sentiment d’infériorité qui raidit les communautés musulmanes, parlant en permanence d’honneur et de respect. En matière de production d’études scientifiques, le monde islamique ne publie qu’un dixième de la moyenne mondiale. La priorité donnée à la religion sur la connaissance est une des raisons pour lesquelles - le chiffre est impressionnant - moins de livres ont été traduits en arabe sur le dernier millénaire que de livres sont traduits en espagnol chaque année. L’arriération mentale (Quotient Intellectuel de moins de 69) chez les enfants issus de mariages consanguins est 5 fois plus importante. En moyenne, le QI est de 10 à 15 points inférieur. L’empathie et autres qualités sociales sont moins développées. En sus du problème de QI relativement faible, le risque de maladies d’ordre génétique est nettement plus élevé. C’est la cause d'handicapés, de maladies et d’une espérance de vie réduite. Les statistiques officielles et les recherches sur les pays arabes montrent une consanguinité qui atteint 70 % au Pakistan, 67 % en Arabie saoudite, 64 % en Jordanie, au Koweit et dans les pays du Golfe, 40 % en Libye, 39 % en Tunisie, 33 % en Egypte, ou 25 à 30 % en Turquie (Reproductive Health Journal, 2009 Consanguinity and reproductive health among Arabs.) En Europe, l'État a très tôt pris conscience du problème : Les mariages consanguins entre cousins germains sont interdits, sauf dispense par l'Église. Par contre, en France comme en Belgique, les mariages civils entre cousins germains sont autorisés sans problème. On ne peut donc reprocher à une communauté donnée de pratiquer ce type de mariage. Mais en Belgique, les mariages entre cousins germains restent heureusement rares dans la population « de souche ». En 1959, c’était moins d’ 1 %. Il n’en est pas de même dans les populations musulmanes l'arriération mentale de ces populations est catastrophique.
18% au Maroc en 2023... Il faut communiquer de plus plus sur le fléau de la consanguinité. Les problèmes ne sont pas forcément visibles et immédiats. Cela peut sauter des générations même. Mais c'est un pur fléau.
Les mariages consanguins entre cousins germains dans les populations musulmanes représentent une très forte proportion des unions : de 25 à 80 % selon les pays et les régions. Les enfants issus de ces mariages se marient dans les mêmes proportions avec des cousins germains et ce, depuis le VII° siècle de notre ère. Le résultat est désastreux. Dans le monde musulman, ce sujet est discuté par les médecins et les avertissements sont clairement émis pour tenter d’enrayer ce phénomène. Le prophète Mahomet a lui-même épousé une de ses cousines et selon le Coran, Allah permet les relations sexuelles entre cousins (Coran 4 :23-24). La Sharia, la loi islamique, insiste sur cette manière de contrôler les membres de la famille, particulièrement les filles en les mariant dans le cadre familial. C’est une question « d’honneur” et de « respect » de la famille. Au fil des siècles, les effets de ces mariages consanguins pèsent très lourdement sur la société. Selon Lise Egholm, directrice d’école depuis de nombreuses années dans le quartier musulman de Nørrebro à Copenhagen (Danemark), il faut énoncer cette pratique des mariages entre cousins chez les musulmans et le silence qui entoure ce problème : au Danemark, les migrants non-européens sont 300 fois plus susceptibles d’échouer aux tests d’intelligence (QI) de l’armée danoise que les Danois de souche. Musulmans Danois : peut-être le retrait communautariste est-il également dû pour partie, à un sentiment d’infériorité qui raidit les communautés musulmanes, parlant en permanence d’honneur et de respect. En matière de production d’études scientifiques, le monde islamique ne publie qu’un dixième de la moyenne mondiale. La priorité donnée à la religion sur la connaissance est une des raisons pour lesquelles - le chiffre est impressionnant - moins de livres ont été traduits en arabe sur le dernier millénaire que de livres sont traduits en espagnol chaque année. L’arriération mentale (Quotient Intellectuel de moins de 69) chez les enfants issus de mariages consanguins est 5 fois plus importante. En moyenne, le QI est de 10 à 15 points inférieur. L’empathie et autres qualités sociales sont moins développées. En sus du problème de QI relativement faible, le risque de maladies d’ordre génétique est nettement plus élevé. C’est la cause d'handicapés, de maladies et d’une espérance de vie réduite. Les statistiques officielles et les recherches sur les pays arabes montrent une consanguinité qui atteint 70 % au Pakistan, 67 % en Arabie saoudite, 64 % en Jordanie, au Koweit et dans les pays du Golfe, 40 % en Libye, 39 % en Tunisie, 33 % en Egypte, ou 25 à 30 % en Turquie (Reproductive Health Journal, 2009 Consanguinity and reproductive health among Arabs.) En Europe, l'État a très tôt pris conscience du problème : Les mariages consanguins entre cousins germains sont interdits, sauf dispense par l'Église. Par contre, en France comme en Belgique, les mariages civils entre cousins germains sont autorisés sans problème. On ne peut donc reprocher à une communauté donnée de pratiquer ce type de mariage. Mais en Belgique, les mariages entre cousins germains restent heureusement rares dans la population « de souche ». En 1959, c’était moins d’ 1 %. Il n’en est pas de même dans les populations musulmanes l'arriération mentale de ces populations est catastrophique.
Dégueulasse
Des malades...ils pensent qu'à piner leur cousine depuis 14 siècles.
Ça pine beaucoup entre cousins-cousines là-bas.
Comme des animaux
Et ça pire avec les chats les chèvres etc etc ils ne sont pas difficile lol
@@gucciboy1952y’a de très belles chèvres aussi
Islam ne le conseille pas cela peut arrivé de temps en temps
18% au Maroc en 2023...
Il faut communiquer de plus plus sur le fléau de la consanguinité. Les problèmes ne sont pas forcément visibles et immédiats. Cela peut sauter des générations même. Mais c'est un pur fléau.
88% en Algérie 🤣🤣🤣@@ZaneS1W
@@TheStartingEditor minimum
Ignorant, le coran préconise le mariage entre cousin cousine, Mohammed lui même était marié avec sa cousine.
@ qui ignore les tares de la consanguinité…