Super vidéo ! Dans la continuité, le livre de Yannick Nyanga (ancien rugbyman pro) et Aurélie Jean (Scientifique spécialiste des traitements de données) : « Data & sport La Révolution » aborde parfaitement les concepts de la vidéo via le rugby !
C’est un point très important que vous mettez en évidence avec ce paradoxe! Il est sympa d’avoir choisi le rugby comme support mais au final c’est absolument transposable à toutes les prises de décisions de notre monde: finance, économie, militaire, médicale… C’est notre paradoxe à tous que l’ont soit trader, instituteur ou boucher chez Inter ce problème impacte nos vies à tous. Jusqu’où amenons-nous l’empirisme?
Content d'entendre à nouveau Xavier de La Porte Aborder ce sujet en faisant l'impasse sur les implications économiques et capitalistiques du sport moderne est une véritable gageure :) Si "le sport c'est la guerre", comme le disait Norbert Elias, sans doute de façon positive à son époque marquée par les guerres mondiales, on peut s'interroger sur la tendance à préparer des rencontres sportives comme on prépare des guerres.. l'enjeu n'est-il pas plus l'économique que le symbolique ? Au risque d'essentialiser la "nature humaine" comme dans l'épisode sur la vitesse.. non, toutes les sociétés humaines n'ont pas tendanciellement optées pour l'accélération, ou dans ce cas, pour la rationalisation scientifique du sport qui a peut-être plus à voir avec la valeur économique en jeu que la finalité symbolique de la victoire
merci super intéressant - au tennis l'exécution des schémas fort sur les points les plus importants est un standard mais les joueurs capables de sortir de ces stéréotypes sont adorés (Federer) !
Merci et bravo pour cette video. Sujet qui me tient a coeur (et Monney Game tres bon film). Ancien triathlete l utilisation de donnees est essentielle dans l atteinte des objectifs. Ou pas. J ai lu une fois qu aujourd hui un cycliste du dimanche genere plus de donnees avec ses differents equipement de tracking que le volume de donnees necessaires a envoyer la premiere fusee sur la lune. Le propos se voulait comique mais on ne doit pas en etre loin. Oui l athlete et son mental feront toujours la difference. Les donnees et leur analyse ont pour objectif de limiter l inconnu et d optimiser la preparation. L un des interets de la donnee est aussi le pari, ne l oublions pas. On pari sur tout. Quant a la forme, j ai trouve saisissant le calme et la retenue de l interviewe vs l agitation du journaliste. Ps: le choix d un sport collectif comme le rugby est tres interessant. Quelle serait votre analyse sur un sport comme la F1 (qui collecte des 100,000 de points de donnes a la seconde). Ne parle t on pas ici aussi d equipe ferrari ou redbull?
Sujet très complexe, mais qui mélange un peu tout et n'importe quoi. La statistique pour individualiser les entraînements et améliorer la performance, ce n'est pas la même chose qu'une stat affichée sur la tv ou une palette graphique en plateau. Même s'il y a de bons professionnels dans chaque camp, généralement c'est plutôt clair. D'un côté on a les professionnels du sports qui vont chercher à mieux comprendre, s'améliorer et analyser dans un but de progression. Ils ne vont pas tout prendre, mais seulement les stats utiles. Et de l'autre on a de la stat à foison, pour remplir du temps d'antenne et faire semblant de s'y connaitre face au sportif de canapé. On ne peut pas tout mettre dans le même sac... Et cette histoire de croyance comme conclusion fourre-tout, aussi vague que stupide, me laisse un goût amer.
Exemple pur avec Romain Ntamack qui a marqué l’essai de la victoire face à La Rochelle sur un exploit alors que les datas disait qu’il était fatigué et qu’il fallait qu’il sorte
Je ne vois vraiment pas où vous voulez en venir dans cette vidéo. En effet vous partez du principe que des aléas comme (est ce qu'il a bien mangé? , Est-ce qu'il ne s'est pas disputé ?;..) mais justement il s'agit de paramètres / variables d'entrées qu'on peut rentrer dans des modèles. Et pouvoir régler notre modèle selon certaines situations. Globalement on jugera que notre modèle est suffisamment "complet" sans être trop gourmand en temps de calcul (pour justement prendre des décisions rapidement) quand statistiquement il fera relativement bien le travail (erreur minimisée) D'autant plus que maintenant avec l'arrivée des intelligences artificielles et de l'apprentissage en profondeur (machine learning), les modèles apprennent de leurs erreurs et deviennent donc plus robustes. Dans l'attente de votre retour.
Pour paraphraser Deleuze et Guattari, nous sommes toujours dans des rapports de décomposition et recomposition avec nos affects qui determinent nos corporéités individuelle et collective. Les statistiques, tout comme autre outils d'analyse et de gestion sont des outils qui decomposent tout. En faire les seuls manieres de nous apprehender est une erreur, mais personnellement ça ne me derange pas plus que ça, car les données disent quelque chose de nous, des performances de nos corps, comment on se place dans l'echelle social. Mais la donnée brute ne raconte rien, c'est à nous soit de raconter les histoires derrière nos volontés de faire telle ou telle sport et d'utiliser ou non telle ou telle donnée. Ce ne sont qu'un outil parmi des milliers de nous raconter. Il faut savoir les apprehender tout en se detachant des comparaisons esthetiques et competitives, trouver le juste milieu. Le problème est cet aspect mediatique à se concentrer la plupart du temps sur led tops elites, sur le podium. Car d'abord, ce qui est important dans les pratiques physiques, c'est comment mettre nos corps en mouvement, ce qui fait moteur chez nous-memes.
2 commentaires on peut améliorer les résultats des statistiques par le savoir d experts : technique Beyesienne . Il existe base sur la théorie des jeux des méthodes de prises de décision en milieux incertains : soit les données sont incomplètes, fausses , biaisées méthodes qui permettent de quantifier le risque et de prévoir des actions de couvertures des risques
Quand la science et la croyance se retrouvent dans le sport . La science est toujours limitée un peu au départ mais elle prend le dessus sur la croyance en l'humain. Regarder aux échecs sur l'intelligence artificielle...
Avec le troisième rideau de l'équipe de France de rugby, pas besoin d'être data scientist pour savoir qu'on va être bombardé sur le R3 (l'ex de l'Australie)! La science ne doit pas s'éloigner de la connaissance du sport et de la performance si elle veut être pertinente
On dirait qu’il essaye de décrédibiliser la statistique en disant qu’on ne peut pas s’y fier. Tout le monde sait que ça ne marche pas à 100% mais ça donne toujours des indications utiles sur l’adversaire en sport co ou sur notre état de forme c’est un super outil surtout dans les sports de performance comme l’athlétisme. Bien dommage d’attaquer le travail statistique qui est intéressant et utile juste car il semble que vous trouvez que ça fait perdre ça spontanéité au sport.
Datas, var (IA un jour peut-être)…et de moins en moins de place pour l’incertitude et l’improvisation. C’est dommage, c’est ce qui faisait la beauté du sport (je me demandais pourquoi le foot était devenu un sport chiant à mourir…ben maintenant je sais pourquoi)
Dites moi que vous ne connaissez pas le domaine de l'IA sans me le dire explicitement. Sans aller jusqu'à dire qu'il s'agit de variables en entrée, il s'agit de prerequis cruciaux que personne n'ignore. L'objectif n'étant pas de les réduire mais d'en tirer le meilleur.
Cette manie de mettre des stats dans les sports nous vient des USA où il est impossible d'y échapper (NFL, NBA, baseball, hockey, golf,...). C'est aussi souvent, pour les chaînes de TV, masquer les temps morts.
Un gros sujet non évoqué ici c’est l’IA et l’apprentissage profond. L’enjeu de la récolte massive de données c’est la capacité des IA à exploiter des quantités énormes et suggérer des choses qu’un humain est incapable de dicerner. On dirait que vous limitez les données à un jargon pour rassurer ou croire qu’on sait. Et que rien ne remplace l’intuition. C’est dommage. Ca fait pifometre. L’intuition ça serait un sujet super pour une prochaine vidéo. Ce n’est peut être pas ce que vous pensez. 😅
Journaliste insupportable et avec une vision complètement biaisée du sujet dès le départ. "Ouin ouin j'aime pas les statistiques dans le sport car ça enlève la magie, mais finalement regardez ça ne sert à rien lol j'avais raison". Dommage car ce sujet est très intéressant...
Les statistiques c'est comme les mini-jupes, ça montre beaucoup de choses mais ça cache l'essentiel. C'est un peu la conclusion de la (chouette) vidéo.
@@azazbonsang L'objectif du sport, c'est de gagner. Qu'il y ait de l'argent ou pas en jeu. Le sport amateur, ils essayent d'être le plus nul possible ?
Statistiques, robotisation, automatisation, IA...déshumanisation, asservissement, précarisation... La fin de l'Homo Sapiens décérébré arrive à grand pas. On en fait déjà le constat tous les jours😁 L'important est que ça ne semble pas inquiéter grand monde😆 Dormez tranquille🤩
Super vidéo ! Dans la continuité, le livre de Yannick Nyanga (ancien rugbyman pro) et Aurélie Jean (Scientifique spécialiste des traitements de données) : « Data & sport La Révolution » aborde parfaitement les concepts de la vidéo via le rugby !
C’est un point très important que vous mettez en évidence avec ce paradoxe! Il est sympa d’avoir choisi le rugby comme support mais au final c’est absolument transposable à toutes les prises de décisions de notre monde: finance, économie, militaire, médicale… C’est notre paradoxe à tous que l’ont soit trader, instituteur ou boucher chez Inter ce problème impacte nos vies à tous. Jusqu’où amenons-nous l’empirisme?
Le Code a changé sur ARTE ! Une playlist avec tous les épisodes portés par Xavier de La Porte : ruclips.net/p/PLCwXWOyIR22uj6rJBs6LS_JXJuLs4MbIB
Content d'entendre à nouveau Xavier de La Porte
Aborder ce sujet en faisant l'impasse sur les implications économiques et capitalistiques du sport moderne est une véritable gageure :) Si "le sport c'est la guerre", comme le disait Norbert Elias, sans doute de façon positive à son époque marquée par les guerres mondiales, on peut s'interroger sur la tendance à préparer des rencontres sportives comme on prépare des guerres.. l'enjeu n'est-il pas plus l'économique que le symbolique ? Au risque d'essentialiser la "nature humaine" comme dans l'épisode sur la vitesse.. non, toutes les sociétés humaines n'ont pas tendanciellement optées pour l'accélération, ou dans ce cas, pour la rationalisation scientifique du sport qui a peut-être plus à voir avec la valeur économique en jeu que la finalité symbolique de la victoire
super sujet finement traité ! Merci !
merci super intéressant - au tennis l'exécution des schémas fort sur les points les plus importants est un standard mais les joueurs capables de sortir de ces stéréotypes sont adorés (Federer) !
Merci et bravo pour cette video. Sujet qui me tient a coeur (et Monney Game tres bon film).
Ancien triathlete l utilisation de donnees est essentielle dans l atteinte des objectifs. Ou pas. J ai lu une fois qu aujourd hui un cycliste du dimanche genere plus de donnees avec ses differents equipement de tracking que le volume de donnees necessaires a envoyer la premiere fusee sur la lune. Le propos se voulait comique mais on ne doit pas en etre loin. Oui l athlete et son mental feront toujours la difference. Les donnees et leur analyse ont pour objectif de limiter l inconnu et d optimiser la preparation.
L un des interets de la donnee est aussi le pari, ne l oublions pas. On pari sur tout.
Quant a la forme, j ai trouve saisissant le calme et la retenue de l interviewe vs l agitation du journaliste.
Ps: le choix d un sport collectif comme le rugby est tres interessant. Quelle serait votre analyse sur un sport comme la F1 (qui collecte des 100,000 de points de donnes a la seconde). Ne parle t on pas ici aussi d equipe ferrari ou redbull?
Sujet très complexe, mais qui mélange un peu tout et n'importe quoi. La statistique pour individualiser les entraînements et améliorer la performance, ce n'est pas la même chose qu'une stat affichée sur la tv ou une palette graphique en plateau.
Même s'il y a de bons professionnels dans chaque camp, généralement c'est plutôt clair. D'un côté on a les professionnels du sports qui vont chercher à mieux comprendre, s'améliorer et analyser dans un but de progression. Ils ne vont pas tout prendre, mais seulement les stats utiles. Et de l'autre on a de la stat à foison, pour remplir du temps d'antenne et faire semblant de s'y connaitre face au sportif de canapé.
On ne peut pas tout mettre dans le même sac... Et cette histoire de croyance comme conclusion fourre-tout, aussi vague que stupide, me laisse un goût amer.
Exemple pur avec Romain Ntamack qui a marqué l’essai de la victoire face à La Rochelle sur un exploit alors que les datas disait qu’il était fatigué et qu’il fallait qu’il sorte
vive Xavier de la porte !
Je ne vois vraiment pas où vous voulez en venir dans cette vidéo. En effet vous partez du principe que des aléas comme (est ce qu'il a bien mangé? , Est-ce qu'il ne s'est pas disputé ?;..) mais justement il s'agit de paramètres / variables d'entrées qu'on peut rentrer dans des modèles. Et pouvoir régler notre modèle selon certaines situations. Globalement on jugera que notre modèle est suffisamment "complet" sans être trop gourmand en temps de calcul (pour justement prendre des décisions rapidement) quand statistiquement il fera relativement bien le travail (erreur minimisée) D'autant plus que maintenant avec l'arrivée des intelligences artificielles et de l'apprentissage en profondeur (machine learning), les modèles apprennent de leurs erreurs et deviennent donc plus robustes. Dans l'attente de votre retour.
Je pensais que la vidéo aurait un angle plus scientifique
Pour paraphraser Deleuze et Guattari, nous sommes toujours dans des rapports de décomposition et recomposition avec nos affects qui determinent nos corporéités individuelle et collective. Les statistiques, tout comme autre outils d'analyse et de gestion sont des outils qui decomposent tout. En faire les seuls manieres de nous apprehender est une erreur, mais personnellement ça ne me derange pas plus que ça, car les données disent quelque chose de nous, des performances de nos corps, comment on se place dans l'echelle social. Mais la donnée brute ne raconte rien, c'est à nous soit de raconter les histoires derrière nos volontés de faire telle ou telle sport et d'utiliser ou non telle ou telle donnée. Ce ne sont qu'un outil parmi des milliers de nous raconter. Il faut savoir les apprehender tout en se detachant des comparaisons esthetiques et competitives, trouver le juste milieu. Le problème est cet aspect mediatique à se concentrer la plupart du temps sur led tops elites, sur le podium. Car d'abord, ce qui est important dans les pratiques physiques, c'est comment mettre nos corps en mouvement, ce qui fait moteur chez nous-memes.
Je dirais, Fondation d'Asimov... Chouette video en tout cas
2 commentaires on peut améliorer les résultats des statistiques par le savoir d experts : technique Beyesienne . Il existe base sur la théorie des jeux des méthodes de prises de décision en milieux incertains : soit les données sont incomplètes, fausses , biaisées méthodes qui permettent de quantifier le risque et de prévoir des actions de couvertures des risques
Quand la science et la croyance se retrouvent dans le sport .
La science est toujours limitée un peu au départ mais elle prend le dessus sur la croyance en l'humain.
Regarder aux échecs sur l'intelligence artificielle...
Encore un présentateur qui s’écoute parler … Dommage car le sujet est intéressant.
Avec le troisième rideau de l'équipe de France de rugby, pas besoin d'être data scientist pour savoir qu'on va être bombardé sur le R3 (l'ex de l'Australie)!
La science ne doit pas s'éloigner de la connaissance du sport et de la performance si elle veut être pertinente
On dirait qu’il essaye de décrédibiliser la statistique en disant qu’on ne peut pas s’y fier. Tout le monde sait que ça ne marche pas à 100% mais ça donne toujours des indications utiles sur l’adversaire en sport co ou sur notre état de forme c’est un super outil surtout dans les sports de performance comme l’athlétisme. Bien dommage d’attaquer le travail statistique qui est intéressant et utile juste car il semble que vous trouvez que ça fait perdre ça spontanéité au sport.
Pour les sites de paris aussi
Datas, var (IA un jour peut-être)…et de moins en moins de place pour l’incertitude et l’improvisation. C’est dommage, c’est ce qui faisait la beauté du sport (je me demandais pourquoi le foot était devenu un sport chiant à mourir…ben maintenant je sais pourquoi)
Pourquoi "data" et pas "données"?...
j'ai juste retenu que Ramos il doit pas regarder Titanic les veilles de match
Mettons des robots sur le terrain histoire de voir s'ils sont malins... 😅
C'est tout à fait les limites de l'IA. Les émotions et les sentiments n'ont pas de place dans les statistiques.
Dites moi que vous ne connaissez pas le domaine de l'IA sans me le dire explicitement.
Sans aller jusqu'à dire qu'il s'agit de variables en entrée, il s'agit de prerequis cruciaux que personne n'ignore. L'objectif n'étant pas de les réduire mais d'en tirer le meilleur.
Cette manie de mettre des stats dans les sports nous vient des USA où il est impossible d'y échapper (NFL, NBA, baseball, hockey, golf,...). C'est aussi souvent, pour les chaînes de TV, masquer les temps morts.
Un gros sujet non évoqué ici c’est l’IA et l’apprentissage profond. L’enjeu de la récolte massive de données c’est la capacité des IA à exploiter des quantités énormes et suggérer des choses qu’un humain est incapable de dicerner.
On dirait que vous limitez les données à un jargon pour rassurer ou croire qu’on sait. Et que rien ne remplace l’intuition.
C’est dommage. Ca fait pifometre.
L’intuition ça serait un sujet super pour une prochaine vidéo.
Ce n’est peut être pas ce que vous pensez. 😅
Journaliste insupportable et avec une vision complètement biaisée du sujet dès le départ. "Ouin ouin j'aime pas les statistiques dans le sport car ça enlève la magie, mais finalement regardez ça ne sert à rien lol j'avais raison". Dommage car ce sujet est très intéressant...
Je rêve ou ce journaliste découvre le concept de métagame et de brain?
Les statistiques c'est comme les mini-jupes, ça montre beaucoup de choses mais ça cache l'essentiel. C'est un peu la conclusion de la (chouette) vidéo.
Le fantasme des stats, prédire l'avenir par les Maths!
La performance à tout prix. Quand le capitalisme investit le sport.
Mais qu'est-ce que tu racontes toi encore
L'objectif du sport de compétition c'est de gagner et comment on gagne ? En étant le plus performant. Rien à voir avec le capitalisme.
L’objectif c’est faire de l’argent, comment fait on ? On gagne
@@azazbonsang L'objectif du sport, c'est de gagner. Qu'il y ait de l'argent ou pas en jeu. Le sport amateur, ils essayent d'être le plus nul possible ?
en faite
Statistiques, robotisation, automatisation, IA...déshumanisation, asservissement, précarisation...
La fin de l'Homo Sapiens décérébré arrive à grand pas. On en fait déjà le constat tous les jours😁
L'important est que ça ne semble pas inquiéter grand monde😆
Dormez tranquille🤩
😢tout ça pour le fric..ce monde fais gerber..