Vous aviez dormi la veille ? 🤣 Toute l'équipe qui pique du nez ahaha (2:24) Blague à part, vous faites un super taf. Merci pour cette petite dose régulière de bonne humeur et de valeur ajoutée.
Je suis dépressif depuis aussi souvent que je le souvienne. J'eus pris pas mal de kétamine et c'est vrais que ça me rendrai vraiment bien. Je suis sortie de toute drogue dur depuis 6 ans (sans ressentir ni manque ni envie d'en reprendre, en comparaison avec le tabac). Enfin bref courage à tous les dépressif, internelemen insatisfait.
"les antidépresseurs ça permet à certains d'attendre un peu avant de se suicider" Les gens : nan mais vous avez pas honte c'est sérieux c'est pas drôle Les gens dépressifs : mdrr oui
Si vous êtes déprimés, allez voir un psychiatre ou un psychologue mais PAS un psychothérapeute ! Le médecin généraliste sera plus qualifié pour vous aider.
En soit le psychothérapeute est un psychologue, soit une personne formée à la psychologie au même titre que beaucoup de psychanalystes (à la différence certaine que ce dernier a dirigé sa pratique sur une seule approche théorique et pratique qu'est la psychanalyse que celle ci soit Lacanienne Freudienne ou même Jungienne et j’en passe), le psychiatre en revanche a aussi et originellement été formé en tant que médecin : Tous les 3 ont opté pour une pratique clinique dans le rôle de proposer des thérapies, la question n’est alors pas de blâmer l’un ou l’autre voir les 3, mais de trouver le clinicien qui propose une solution adaptée à ses propres attentes et croyances (dans le cadre d'un individu déprimé).
@@marinthomas6712 oulah, pas du tout. Les psychanalystes (et autres "psychothérapeutes") n'ont rien de clinique, ne sont pas des psychologues et ne fondent pas leur avis sur des faits scientifiques "cliniques" mais justement sur des croyances, des idées reçues infondées et non soutenues par des preuves. Ils réclament souvent à leurs victimes des sommes astronomiques, ce qui les rapproche beaucoup de la définition de charlatans. Beaucoup de victimes de dérives sectaires sont aussi très satisfaites de donner toutes leurs économies à leur gourou parce qu'il leur promet bonheur et rémission sur la base de croyances infondées, les mécanismes pour la psychanalyse ne sont pas du tout différents. Sauf qu'on ne soigne pas des maladies réelles avec des croyances, on est plus au moyen-âge. Les jus de fruits ne soignent pas le cancer, la psychanalyse ne soigne pas la dépression. La psychanalyse s'est juste fondée sur une fraude massive, mais c'est juste une pseudo-science. Certains psychologues ou même psychiatres se revendiquent certes de la psychanalyse, ceux-là il faut les fuir comme la peste. La psychiatrie et la psychologie clinique sont les deux sciences qui étudient les troubles psychiques, et si le professionnel de santé que vous allez voir se base sur autre chose, il sort de son rôle de professionnel de santé pour entrer dans le domaine de la religion. En allant voir ces personnes, vous vous mettez en danger et diminuez votre pronostic.
@@Madinko12 Encore une fois, cela dépend du thérapeute, il est vrai que dans la sphère occidentale la psychanalyse comprend un aspect sectaire soutenu par certains dans une psychologie qui se veut alors réductionniste ; mais les aspirations sont multiples et les articulations différentes. Il existe aussi des psychanalystes prônant les idées de Dollar et Miller, Rogers voir même Kelly, ce qui apporte une dimension tout autre à la bien connue dérive freudo-Lacanienne. Aussi, et je partage cet avis, certains proposent la psychanalyse comme la solution unique à toutes pathologie ce qui est une erreur (au même titre que de penser tous pouvoir soigner par la neurobiologie ce qui réduit l’individu à sa structure cérébrale et omet son interaction avec le monde) La psychanalyse est, et devrait simplement être, un outil au service du clinicien parmi tant d'autres : Elle peut tout à fait s'inscrire dans une démarche Intégrative (soit une démarche combinatoire de plusieurs modèles théoriques et pratiques), ce qui est très en vogue dans les nouvelle générations de pratiquants. La psychanalyse a un champ d'action que d'autre approches n'ont pas et cela va de soi pour toutes les approches (comportementalistes - existentialistes - humaniste...) Le fait est alors de se servir de la psychanalyse comme d’un outil parmi d'autres outils pour porter un soin. PS : N'oublions pas que nier toutes valeurs au modèle psychanalytique revient à dépeindre un appareil psychique sans dynamique dont les instances psychiques ne seraient pas différenciées voire inexistantes. Ce qui en soi est aussi une pensée "moyenâgeuse" à l'instar de l'empirisme associationniste.
@@marinthomas6712 Mais sur quelles preuves scientifiques se basent-ils ? Pourquoi continuent-ils à s'appeler psychanalystes s'ils ont une approche basée sur les preuves ? D'ailleurs, à ma connaissance, aucune des personnes que vous avez cité ne se revendique de la psychanalyse. Ce sont tous des psychologues cliniciens qui ont une approche rationnelle, basée sur les preuves et les expériences scientifiques. C'est ça la seule question qui importe parce que c'est ça qui différencie une pseudo-médecine d'une médecine, que vous le vouliez ou non. Le reste, c'est de la religion, c'est du baratin : vous ne pouvez pas demander à des gens en souffrance de se soigner avec des thérapies non éprouvées, fussent-elles de courant comportementaliste, existentialiste, humaniste, psychanalytique ou ce que vous voulez. Même des branches de l'hypnose font aujourd'hui partie de la psychologie clinique parce qu'il y a des preuves d'efficacité. Les approches dynamiques peuvent tout à fait s'intégrer à une prise ne charge clinique. La psychanalyse n'a rien à voir avec ça et ne permet pas ça, ça sert à rien de donner plus de crédit qu'ils n'en méritent à des purs charlatans qui ont fait suffisamment de mal comme ça.
A noter que la ketamine est avant tout un anesthésiant / analgésique utilisé chez les humains et pas que chez les chevaux ! C’est d’ailleurs une des principales substances utilisées en particulier par l’armée car elle présente peu de risques d’arrêt respiratoire / cardiaque même à forte dose et permet d’intervenir rapidement.
Je trouve cela amusant qu'en Médecine traditionnelle chinoise, le poumon en tant que logiciel, quand il est fragile, engendre de la tristesse, et la tristesse affaiblit le poumon. Ici un médicament qui soignait les poumons aurait rétablit une sorte de joie de vivre, aurait soigné la morosité des patients.
Mon dieu de l'information critique et pertinente sur les anti-dépresseurs ? Mais que font les théoristes du complot !? En vrai merci pour ce billet d'intérêt public :D
@@dyuklse Bah un peu parce qu'il met la science sous le tapis en faisant comme si ça existait pas en pensant qu'on est au moyen âge. Mais la science des maladies mentales, ça s'appelle la psychiatrie, et ça existe...
@@dexter9313 et la psychologie clinique. Entendre la psychanalyse mise sur le même plan que les thérapies comportementales, ça fait un peu mal quand même 😥.
Étant professionnel de santé , les antidépresseurs font des ravages et dérèglent fondamentalement certaines sécrétions hormonales naturelles au long terme dans le cerveau. De plus ils créent une grande dépendance. Difficile de s’en défaire. Donc blague à part, faites attention. Être déprimé c’est se sentir seul. Les médicaments ne viennent en rien nous combler sur le long terme quant à la solitude. Donc aller vers l’autre c’est déjà un peu de guérir. Surtout en cette période.
Sans vouloir t'offenser tu n'as pas vraiment l'être d'etre un professionnel de santé, surtout quand tu écris que "la solitude c'est se sentir seul", étant moi même un jeune dépressif sa a été pour moi le symptôme suivant d'autres symptômes lorsque j'ai commencer ma dépression, c'est du moins ce que j'ai vécu de mon côté. Donc résumé la dépression à la solitude bon..
C'est plutôt inquiétant qu'un "professionnel de santé" tienne ce genre de discours en dépit de toute la littérature scientifique qui existe sur le sujet. Mais ça correspond malheureusement à la réalité du traitement des troubles psychiatriques en France.
@@jofjof27 d'après la littérature scientifique sur le sujet, ça marche une dizaine de jours et puis les effets s'amenuisent. S'ajoutent des effets secondaires de type hallucinations, confusion, euphorie, troubles de la concentration et de l'élocution, etc… Ça serait une drogue qu'elle ne se comporterait pas différemment. Bref, pas du tout un traitement miracle (et en règle général quand on parle de traitement miracle il faut vraiment se méfier, surtout si son nom se termine en -ine). Le mieux qu'on puisse espérer de ce traitement "prometteur", c'est réduire les symptômes de la dépression en attendant un début de réponse à un traitement classique (ISRS(N), TCC et autres). Pour le reste, c'est juste un traitement expérimental et dangereux, même sous la supervision d'un médecin. En faire la promotion est très anticipé et tout aussi dangereux.
@@vivi74ify sur petite dose ET sur une petite durée. Ça a toute son importance puisqu'après une dizaine de jours les effets s'amenuisent drastiquement, toutes les études le montre. Ce traitement est étudié sur la dépression (bipolaire et unipolaire) depuis les années 2000, si c'était si miraculeux ça fait longtemps que la psychiatrie s'en servirait. Sauf énorme risque suicidaire imminent, ça semble quand même assez peu indiqué en l'état des connaissances scientifiques. Et le prescrire est assez questionnable sur le plan étique.
Moi je préfère ne pas me passer de ce genre de conseil qui m'aidera plus surement à perdre quelques kilos que des pillules qui vont m'en faire prendre 30 tout en émoussant mes émotions. Toutes ces pillules ont des effets nocifs et ne fonctionnent pas au delà de l'effet placebo.
@@francoisdupin975 après j'imagine que ce genre de conseil tu y avait déjà pensé avant qu'on te le suggère... on est pas bêtes... on est juste épuisés.. Mais certains n'ont jamais vécu ça ce qui est très mystérieux et injuste.. Bonne course alors 👍🏼
@@Lala-un5yb Merci. Ce n'est pas simple en effet. Ne pas se laisser aller, continuer son effort, s'autoriser des pauses, et se remotiver. Je vais y arriver, je vais y arriver 😄
@@francoisdupin975 on peut pas faire plus que ce qu'on peut faire... ^^' il y a des limites qui sont réelles la dépression est physiologique pas psychologique et elle est là en réponse à un environnement ou un contexte nocif qu'il n'est pas toujours simple d'ajuster... les théories de la toute puissance, du quand on veut on peut, elles nous sont souvent servies par des privilégiés et elles sont à prendre avec du recul sans quoi elles nous remettent une couche de culpabilité et d'angoisse ce qui en devient justement contre productif.. oui c'est un chemin complexe. Oui on va y arriver et oui on fait de notre mieux.. Et non on est pas vous égaux... Bonne route à toi :)
C'est pas un peut de la drogue en différent et en plus doux ? Et je trouve que y'a de la méprise sur la dépression car y'a sûrement la maladie qui rend triste biologiquement mais sa veut pas forcément dire que si on est beaucoup triste on est déprésiffe. Je trouve qu'il faut séparer le mental (l'âme) et le biologique ( le cerveau). Quand t'es tristes faut faire des trucs qui te rendent heureux et si ça marche pas au bout de plusieur mois voir anné alors que ce passe bien dans la vie c peut-être la maladie ? cette avis est totalement subjectif.
Effectivement je pense que c’est le problème beaucoup de personne sont considéré comme en dépression alors qu’elle ont "juste” eu un moment compliqué (décès d’un proche, licenciement divorce) des moments très mal acceptés par certain mais ce n’est pas une dépression c’est une maladie qui s’installe tout doucement très insidieusement donc donner des antidépresseurs à ce moment là c’est contreproductif (ce sont des médicaments relativement lourds et je pense que pour un coup dure la personne doit disposer de toute ces capacités d’analyse de réflexion et d’introspection ce que ne garantie pas du tout un traitement antidépresseur/anxiolytique ) je pense que ces médicaments doivent être reservé à ceux qui n’ont plus le choix et doivent avoir un coup de pouce chimique pour remonter la pente quand les autres situations n’ont pas marcher et que la personne n’est plus capable de vivre comme ça mais associé à un suivi ce que la psychiatrie n’arrive PAS DU TOUT à faire c’est un domaine qui privilégie tellement les médicaments au reste des traitements possible alors qu’il y aurait tellement à faire sans médoc qui sont même pas si efficaces que ça pour la majorité des patients psy enfin je m’égare désolé
La dépression est aussi état physique, pas seulement mental, et a, de fait, des répercussions physiques. Le problème, c'est que les états mental et physique de la dépression se nourrissent mutuellement et ça crée un cercle vicieux qu'il est franchement difficile d'arrêter soi-même et la médication est principalement un outil pour casser ce cercle au niveau physique. Au final, la source du problème est effectivement dans la tête de la personne dépressive et la médication ne fera jamais tout le travail ; par contre, c'est un filet de sécurité temporaire pour les gens qui vivent des bas très bas et de ressentir un contrôle de plus en plus stable crée un cercle vertueux qui contrebalance les effets de la dépression. Par définition, oui c'est une drogue, mais on est loin des stupéfiants addictifs qui altèrent les capacités mentales normales des gens. C'est plus comme une béquille pour quelqu'un qui s'est cassé le pied et doit être accompagné d'un processus personnel pour gérer le côté mental de la dépression.
💝merci David! Le Meilleur antidépresseur! Ne pas interrompre le traitement trop brusquement 😘🇨🇭
Vous aviez dormi la veille ? 🤣
Toute l'équipe qui pique du nez ahaha (2:24)
Blague à part, vous faites un super taf. Merci pour cette petite dose régulière de bonne humeur et de valeur ajoutée.
Je suis dépressif depuis aussi souvent que je le souvienne.
J'eus pris pas mal de kétamine et c'est vrais que ça me rendrai vraiment bien.
Je suis sortie de toute drogue dur depuis 6 ans (sans ressentir ni manque ni envie d'en reprendre, en comparaison avec le tabac).
Enfin bref courage à tous les dépressif, internelemen insatisfait.
Peut-être vous devriez acheter des trucs... Si vous êtes à l'aise financièrement...
Faut faire tourner l'économie...
Il ne se plaint pas, non... Les affaires marchent en ce moment.
@@jeanlebreton2049 du coup les gens voient qu'il a des trucs
@@jeanleconquerant4594 et du coup il est heureux
Merci super chronique. Enfin on ose toucher à la suprématie scandaleuse du monde de la psychiatrie. Merci.
"les antidépresseurs ça permet à certains d'attendre un peu avant de se suicider"
Les gens : nan mais vous avez pas honte c'est sérieux c'est pas drôle
Les gens dépressifs : mdrr oui
Un plaisir
C'est extrêmement drôle et très fin
Et c'est la réalité
La psychothérapie c'est toujours hasardeux mais quand même on peut dire que ça avance c'est bien mieux qu'avant :)
Si vous êtes déprimés, allez voir un psychiatre ou un psychologue mais PAS un psychothérapeute ! Le médecin généraliste sera plus qualifié pour vous aider.
En soit le psychothérapeute est un psychologue, soit une personne formée à la psychologie au même titre que beaucoup de psychanalystes (à la différence certaine que ce dernier a dirigé sa pratique sur une seule approche théorique et pratique qu'est la psychanalyse que celle ci soit Lacanienne Freudienne ou même Jungienne et j’en passe), le psychiatre en revanche a aussi et originellement été formé en tant que médecin :
Tous les 3 ont opté pour une pratique clinique dans le rôle de proposer des thérapies, la question n’est alors pas de blâmer l’un ou l’autre voir les 3, mais de trouver le clinicien qui propose une solution adaptée à ses propres attentes et croyances (dans le cadre d'un individu déprimé).
@@marinthomas6712 oulah, pas du tout. Les psychanalystes (et autres "psychothérapeutes") n'ont rien de clinique, ne sont pas des psychologues et ne fondent pas leur avis sur des faits scientifiques "cliniques" mais justement sur des croyances, des idées reçues infondées et non soutenues par des preuves. Ils réclament souvent à leurs victimes des sommes astronomiques, ce qui les rapproche beaucoup de la définition de charlatans. Beaucoup de victimes de dérives sectaires sont aussi très satisfaites de donner toutes leurs économies à leur gourou parce qu'il leur promet bonheur et rémission sur la base de croyances infondées, les mécanismes pour la psychanalyse ne sont pas du tout différents. Sauf qu'on ne soigne pas des maladies réelles avec des croyances, on est plus au moyen-âge. Les jus de fruits ne soignent pas le cancer, la psychanalyse ne soigne pas la dépression. La psychanalyse s'est juste fondée sur une fraude massive, mais c'est juste une pseudo-science.
Certains psychologues ou même psychiatres se revendiquent certes de la psychanalyse, ceux-là il faut les fuir comme la peste. La psychiatrie et la psychologie clinique sont les deux sciences qui étudient les troubles psychiques, et si le professionnel de santé que vous allez voir se base sur autre chose, il sort de son rôle de professionnel de santé pour entrer dans le domaine de la religion. En allant voir ces personnes, vous vous mettez en danger et diminuez votre pronostic.
@@Madinko12 Encore une fois, cela dépend du thérapeute, il est vrai que dans la sphère occidentale la psychanalyse comprend un aspect sectaire soutenu par certains dans une psychologie qui se veut alors réductionniste ; mais les aspirations sont multiples et les articulations différentes. Il existe aussi des psychanalystes prônant les idées de Dollar et Miller, Rogers voir même Kelly, ce qui apporte une dimension tout autre à la bien connue dérive freudo-Lacanienne.
Aussi, et je partage cet avis, certains proposent la psychanalyse comme la solution unique à toutes pathologie ce qui est une erreur (au même titre que de penser tous pouvoir soigner par la neurobiologie ce qui réduit l’individu à sa structure cérébrale et omet son interaction avec le monde)
La psychanalyse est, et devrait simplement être, un outil au service du clinicien parmi tant d'autres :
Elle peut tout à fait s'inscrire dans une démarche Intégrative (soit une démarche combinatoire de plusieurs modèles théoriques et pratiques), ce qui est très en vogue dans les nouvelle générations de pratiquants.
La psychanalyse a un champ d'action que d'autre approches n'ont pas et cela va de soi pour toutes les approches (comportementalistes - existentialistes - humaniste...) Le fait est alors de se servir de la psychanalyse comme d’un outil parmi d'autres outils pour porter un soin.
PS : N'oublions pas que nier toutes valeurs au modèle psychanalytique revient à dépeindre un appareil psychique sans dynamique dont les instances psychiques ne seraient pas différenciées voire inexistantes. Ce qui en soi est aussi une pensée "moyenâgeuse" à l'instar de l'empirisme associationniste.
@@marinthomas6712 Mais sur quelles preuves scientifiques se basent-ils ? Pourquoi continuent-ils à s'appeler psychanalystes s'ils ont une approche basée sur les preuves ? D'ailleurs, à ma connaissance, aucune des personnes que vous avez cité ne se revendique de la psychanalyse. Ce sont tous des psychologues cliniciens qui ont une approche rationnelle, basée sur les preuves et les expériences scientifiques. C'est ça la seule question qui importe parce que c'est ça qui différencie une pseudo-médecine d'une médecine, que vous le vouliez ou non. Le reste, c'est de la religion, c'est du baratin : vous ne pouvez pas demander à des gens en souffrance de se soigner avec des thérapies non éprouvées, fussent-elles de courant comportementaliste, existentialiste, humaniste, psychanalytique ou ce que vous voulez. Même des branches de l'hypnose font aujourd'hui partie de la psychologie clinique parce qu'il y a des preuves d'efficacité. Les approches dynamiques peuvent tout à fait s'intégrer à une prise ne charge clinique. La psychanalyse n'a rien à voir avec ça et ne permet pas ça, ça sert à rien de donner plus de crédit qu'ils n'en méritent à des purs charlatans qui ont fait suffisamment de mal comme ça.
Personne n'est qualifié. Tout le monde tâtonne bêtement. Et on en sort encore plus déboussolé et découragé.
4:22 tellement d'entrain de cette annonce
Noooon ! Tu n'as pas parler de la psilocybin ! Une étude incroyable a été faite au states ! Certainement la molecule la plus prometteuse !!
A noter que la ketamine est avant tout un anesthésiant / analgésique utilisé chez les humains et pas que chez les chevaux ! C’est d’ailleurs une des principales substances utilisées en particulier par l’armée car elle présente peu de risques d’arrêt respiratoire / cardiaque même à forte dose et permet d’intervenir rapidement.
Une chance que les jambes soient mieux soignées que le mental sinon tout le monde boîterait...
David a vu le Joker il y a peu de temps 😂 pour la blague du psychanalyste
Ou bien Watchmen
Je trouve cela amusant qu'en Médecine traditionnelle chinoise, le poumon en tant que logiciel, quand il est fragile, engendre de la tristesse, et la tristesse affaiblit le poumon.
Ici un médicament qui soignait les poumons aurait rétablit une sorte de joie de vivre, aurait soigné la morosité des patients.
Pour la dépression on est plus sur une stagnation du qi du foie, qui bloque les émotions et nous renferme sur nous même..
@@dimdimdu54 merci pour cette précieuse explication, j'adore !
Il y a aussi la sismotherapie ou ECT (électron convuslo thérapie)
DCL qui cite Watchmen on aura tout vu 😲
Mon dieu de l'information critique et pertinente sur les anti-dépresseurs ? Mais que font les théoristes du complot !?
En vrai merci pour ce billet d'intérêt public :D
Le mot correct c'est "Théoriciens"
La kétamine, efficace 😃
Euh... On en parle du fait que la psychanalyse ça n'a rien de scientifique ?
On n'en parle ptêtre pas parce que c'est pas le sujet (et ptêtre aussi parce que ça n'a pas de sens le dire)
@@dyuklse Bah un peu parce qu'il met la science sous le tapis en faisant comme si ça existait pas en pensant qu'on est au moyen âge. Mais la science des maladies mentales, ça s'appelle la psychiatrie, et ça existe...
@@dexter9313 et la psychologie clinique.
Entendre la psychanalyse mise sur le même plan que les thérapies comportementales, ça fait un peu mal quand même 😥.
@@Madinko12 exactement.
Étant professionnel de santé , les antidépresseurs font des ravages et dérèglent fondamentalement certaines sécrétions hormonales naturelles au long terme dans le cerveau.
De plus ils créent une grande dépendance. Difficile de s’en défaire.
Donc blague à part, faites attention.
Être déprimé c’est se sentir seul. Les médicaments ne viennent en rien nous combler sur le long terme quant à la solitude.
Donc aller vers l’autre c’est déjà un peu de guérir. Surtout en cette période.
Sans vouloir t'offenser tu n'as pas vraiment l'être d'etre un professionnel de santé, surtout quand tu écris que "la solitude c'est se sentir seul", étant moi même un jeune dépressif sa a été pour moi le symptôme suivant d'autres symptômes lorsque j'ai commencer ma dépression, c'est du moins ce que j'ai vécu de mon côté. Donc résumé la dépression à la solitude bon..
@@comediev432 J'entendais simplement l'idée de s'entourer soigneusement quand on souffre de pathologies qui nous isolent.
courage.
C'est plutôt inquiétant qu'un "professionnel de santé" tienne ce genre de discours en dépit de toute la littérature scientifique qui existe sur le sujet. Mais ça correspond malheureusement à la réalité du traitement des troubles psychiatriques en France.
Ça fonctionne pas la ketamine... malheureusement. J’en connais qui en prennent et les effets secondaires sont méchants...
L’étude se concentre sur l’effet de très petites doses, évidemment que pris sans controle ni suivi médical est une mauvaise idée
@@vivi74ify ils sont suivi pas des psychiatres. Sincèrement pour souffrir de dépression j'ai suivi un peu le truc et les retours sont plutôt bof bof
@@jofjof27 d'après la littérature scientifique sur le sujet, ça marche une dizaine de jours et puis les effets s'amenuisent. S'ajoutent des effets secondaires de type hallucinations, confusion, euphorie, troubles de la concentration et de l'élocution, etc… Ça serait une drogue qu'elle ne se comporterait pas différemment.
Bref, pas du tout un traitement miracle (et en règle général quand on parle de traitement miracle il faut vraiment se méfier, surtout si son nom se termine en -ine). Le mieux qu'on puisse espérer de ce traitement "prometteur", c'est réduire les symptômes de la dépression en attendant un début de réponse à un traitement classique (ISRS(N), TCC et autres). Pour le reste, c'est juste un traitement expérimental et dangereux, même sous la supervision d'un médecin. En faire la promotion est très anticipé et tout aussi dangereux.
@@vivi74ify sur petite dose ET sur une petite durée. Ça a toute son importance puisqu'après une dizaine de jours les effets s'amenuisent drastiquement, toutes les études le montre. Ce traitement est étudié sur la dépression (bipolaire et unipolaire) depuis les années 2000, si c'était si miraculeux ça fait longtemps que la psychiatrie s'en servirait. Sauf énorme risque suicidaire imminent, ça semble quand même assez peu indiqué en l'état des connaissances scientifiques. Et le prescrire est assez questionnable sur le plan étique.
Il est partout.
Cc dis moi quand tu a macron a la tele comment tu fais pour t' en passer
par contre va falloir aller vous coucher vous avez le syndrome de la fatigue.
Sinon il reste moins chère et plus "naturel" : le sport.
Et précisément quand on est en dépression on ne peux plus se lever alors ce genre de conseil on s'en passera merci
Moi je préfère ne pas me passer de ce genre de conseil qui m'aidera plus surement à perdre quelques kilos que des pillules qui vont m'en faire prendre 30 tout en émoussant mes émotions.
Toutes ces pillules ont des effets nocifs et ne fonctionnent pas au delà de l'effet placebo.
@@francoisdupin975 après j'imagine que ce genre de conseil tu y avait déjà pensé avant qu'on te le suggère... on est pas bêtes... on est juste épuisés.. Mais certains n'ont jamais vécu ça ce qui est très mystérieux et injuste..
Bonne course alors 👍🏼
@@Lala-un5yb
Merci.
Ce n'est pas simple en effet. Ne pas se laisser aller, continuer son effort, s'autoriser des pauses, et se remotiver.
Je vais y arriver, je vais y arriver 😄
@@francoisdupin975 on peut pas faire plus que ce qu'on peut faire... ^^' il y a des limites qui sont réelles la dépression est physiologique pas psychologique et elle est là en réponse à un environnement ou un contexte nocif qu'il n'est pas toujours simple d'ajuster... les théories de la toute puissance, du quand on veut on peut, elles nous sont souvent servies par des privilégiés et elles sont à prendre avec du recul sans quoi elles nous remettent une couche de culpabilité et d'angoisse ce qui en devient justement contre productif.. oui c'est un chemin complexe. Oui on va y arriver et oui on fait de notre mieux.. Et non on est pas vous égaux...
Bonne route à toi :)
Le monsieur en gris n'est pas contant de ce qui est dit...
C'est pas un peut de la drogue en différent et en plus doux ? Et je trouve que y'a de la méprise sur la dépression car y'a sûrement la maladie qui rend triste biologiquement mais sa veut pas forcément dire que si on est beaucoup triste on est déprésiffe. Je trouve qu'il faut séparer le mental (l'âme) et le biologique ( le cerveau). Quand t'es tristes faut faire des trucs qui te rendent heureux et si ça marche pas au bout de plusieur mois voir anné alors que ce passe bien dans la vie c peut-être la maladie ? cette avis est totalement subjectif.
Effectivement je pense que c’est le problème beaucoup de personne sont considéré comme en dépression alors qu’elle ont "juste” eu un moment compliqué (décès d’un proche, licenciement divorce) des moments très mal acceptés par certain mais ce n’est pas une dépression c’est une maladie qui s’installe tout doucement très insidieusement donc donner des antidépresseurs à ce moment là c’est contreproductif (ce sont des médicaments relativement lourds et je pense que pour un coup dure la personne doit disposer de toute ces capacités d’analyse de réflexion et d’introspection ce que ne garantie pas du tout un traitement antidépresseur/anxiolytique ) je pense que ces médicaments doivent être reservé à ceux qui n’ont plus le choix et doivent avoir un coup de pouce chimique pour remonter la pente quand les autres situations n’ont pas marcher et que la personne n’est plus capable de vivre comme ça mais associé à un suivi ce que la psychiatrie n’arrive PAS DU TOUT à faire c’est un domaine qui privilégie tellement les médicaments au reste des traitements possible alors qu’il y aurait tellement à faire sans médoc qui sont même pas si efficaces que ça pour la majorité des patients psy
enfin je m’égare désolé
@@pierrelafaye4955 exactement 👏🏾
La dépression est aussi état physique, pas seulement mental, et a, de fait, des répercussions physiques. Le problème, c'est que les états mental et physique de la dépression se nourrissent mutuellement et ça crée un cercle vicieux qu'il est franchement difficile d'arrêter soi-même et la médication est principalement un outil pour casser ce cercle au niveau physique. Au final, la source du problème est effectivement dans la tête de la personne dépressive et la médication ne fera jamais tout le travail ; par contre, c'est un filet de sécurité temporaire pour les gens qui vivent des bas très bas et de ressentir un contrôle de plus en plus stable crée un cercle vertueux qui contrebalance les effets de la dépression.
Par définition, oui c'est une drogue, mais on est loin des stupéfiants addictifs qui altèrent les capacités mentales normales des gens. C'est plus comme une béquille pour quelqu'un qui s'est cassé le pied et doit être accompagné d'un processus personnel pour gérer le côté mental de la dépression.