Plaire n'est pas un métier, par contre la rentabilité est la condition obligatoire à l'existence d'une activité. En ce moment les gens ont malheureusement d'autres choses à faire que d'acheter des macarons.
malgré un narratif de démonstratrice de la foire de Paris , tout ça "sent" manifestement la grosse arnaque ! Incidemment je trouve que Charles et Ava dans leur récentes vidéos ont moins la "banane" et l'enthousiasme que lorsqu'il et elle s'occupaient de revisiter les pâtisseries et desserts sucrés de leurs " maîtres" Ce qui manifestement semble indiquer que confronté aux dures réalités de l'économie et du marché ,leur projet de formation et d'accompagnement commence sérieusement à "prendre l'eau". Je suis prêt à prendre le pari que dans une quinzaine d'années elle regrettera d'avoir abandonné ses études de médecine. En effet "on ne vit qu'une seule fois " et la vie passe vite plus on avance en âge.Mais arrivé au crépuscule d'une vie il vaut mieux l'avoir passé peut être avec un travail moyennant passsionnant mais sans soucis financiers - comme l'offre une carrière de médecins- que de se lancer dans sa passion et vivre dans l'insécurité financière permanente.
Il faut tout simplement être conscient de tous les problèmes dû à l'inflation énormément de boutiques ferment donc le calcul est vite fait.
Toujours aussi plaisant de voir vos vidéos 😘
avez-vous lu "L'Homme qui voulait être heureux" de Laurent Gounelle ? ça met un élan à ceux qui hésitent.
Plaire n'est pas un métier, par contre la rentabilité est la condition obligatoire à l'existence d'une activité. En ce moment les gens ont malheureusement d'autres choses à faire que d'acheter des macarons.
Merci bq
malgré un narratif de démonstratrice de la foire de Paris , tout ça "sent" manifestement la grosse arnaque ! Incidemment je trouve que Charles et Ava dans leur récentes vidéos ont moins la "banane" et l'enthousiasme que lorsqu'il et elle s'occupaient de revisiter les pâtisseries et desserts sucrés de leurs " maîtres" Ce qui manifestement semble indiquer que confronté aux dures réalités de l'économie et du marché ,leur projet de formation et d'accompagnement commence sérieusement à "prendre l'eau". Je suis prêt à prendre le pari que dans une quinzaine d'années elle regrettera d'avoir abandonné ses études de médecine. En effet "on ne vit qu'une seule fois " et la vie passe vite plus on avance en âge.Mais arrivé au crépuscule d'une vie il vaut mieux l'avoir passé peut être avec un travail moyennant passsionnant mais sans soucis financiers - comme l'offre une carrière de médecins- que de se lancer dans sa passion et vivre dans l'insécurité financière permanente.